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Histoire sexe Marie Claude une prof de Français très chaude Chapitre 3

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Après avoir de nouveau subi de multiples humiliations dans ma salle de classe par Mohamed et Hervé, la journée s’écoule sans que je ne sois plus importunée par mes deux élèves que je n’aurais d’ailleurs jamais soupçonnés d’être aussi pervers. Je suis cul nu sous ma jupe. Je rappelle que j’ai été forcée de donner mon slip à Mohamed et Hervé ce qui me contraint à rester sans aucuns sous-vêtements pour le reste de la journée. C’est la première fois que je suis les fesses à l’air sous mes vêtements et je dois reconnaître que cela procure une étrange sensation.

Je suis soulagée quand retentit la sonnerie annonçant la fin des cours pour la journée. Je crois bien que je suis encore plus rapide que mes élèves pour sortir de l’établissement. Je me dirige vers ma voiture garée dans le parking réservé aux professeurs. Je suis en train de chercher mes clés dans mon sac à main quand une voix derrière moi me fait sursauter :

– Bonsoir salope !

Je me retourne et me trouve nez à nez avec Mohamed et Hervé et un autre élève de l’établissement que je ne connais pas.

– Où tu vas là ?

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– Chez… Chez moi… Balbutié-je, terrorisée.

Hervé s’approche de moi et me plaque contre ma voiture.

– Tu vas nous emmener chez toi, pour nous offrir l’apéro.

Je proteste que je ne peux pas, que mon mari va rentrer du travail.

– À quelle heure il rentre ? Me demande Hervé en m’empoignant un sein à travers le chemisier.

– Vers 20 h 00, je pense. Murmurai-je, vaincue.

– Eh bien Impec, il est à peine 17 h 00, on a le temps de visiter ton chez-toi, de boire un coup, et surtout de s’amuser un peu.

Je sens le sang se retirer de mon visage. Ce n’est pas possible ! Je ne vais pas emmener ces voyous chez moi. Soudain, Hervé commence à déboutonner mon chemisier blanc, faisant apparaître mes seins lourds qui débordent de mon soutien-gorge blanc. Il baisse les bonnets et commence à me triturer les seins, les malaxant sans douceur. Je suis complètement affolée à l’idée qu’un élève ou un de mes collègues débarquent dans le parking et nous aperçoivent.

– Je vous en supplie, pas ici, on pourrait nous voir. Dis-je en haletant.

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Hervé me demande les clés de ma voiture que je m’empresse de lui donner. Il s’installe au volant pendant que je suis contrainte de monter à l’arrière avec Mohamed et l’autre garçon. Je suis coincée entre les deux sans aucun moyen de m’enfuir. Hervé me demande mon adresse et nous démarrons.

Pendant le trajet, Mohamed me présente leur copain, il s’appelle André. Il est assez gros, pas très beau je dois dire. Il ne doit pas avoir beaucoup de succès avec les filles. Je suis pelotée par Mohamed et André pendant qu’Hervé conduit la voiture. André a soulevé ma jupe et il a sifflé en découvrant que je ne porte pas de slip. Mohamed lui lance :

– Tu vois, c’est une salope je t’avais dit, elle donne ses cours les fesses à l’air.

Je proteste que ce n’est pas vrai et que ce sont eux qui m’ont forcée à l’enlever. Mohamed plonge soudain ses doigts dans mon vagin et commence à me branler. Très vite, je sens une douce chaleur dans mon bas-ventre. Pendant ce temps-là, André tord les tétons de mes seins en me traitant de salope, de bourgeoise perverse. Le trajet me semble interminable. Plusieurs fois je suis au bord de l’orgasme et je me mords les lèvres. À chaque fois, Mohamed arrête de me branler, il ne veut pas que je prenne mon pied tout de suite me dit-il en rigolant. Il faut me préserver pour tout à l’heure.

Nous arrivons enfin devant mon pavillon et j’actionne l’ouverture automatique de mon portail. Hervé rentre la voiture et se gare dans le jardin. Nous descendons de ma voiture et je les fais entrer dans mon pavillon tout en sachant que je viens de commettre l’irréparable. Les démons sont dans la maison. Ils sifflent en entrant dans le pavillon. J’imagine qu’ils sont éblouis, eux qui habitent dans un HLM de la cité. Un aboiement les fait sursauter. C’est Rocky, mon caniche nain qui arrive pour faire la fête à sa maîtresse. Il se jette sur moi, pas spécialement étonné de voir des personnes qu’il ne connaît pas à la maison. Tu parles d’un chien de garde. Mohamed et Hervé lui font même des caresses.

– Bon, tu nous sers à boire ? Demande Mohamed.

Je les emmène dans le salon et commence à leur demander ce qu’ils veulent boire. J’ai le chemisier toujours ouvert et me seins ballottent pendant que je marche.

– Attends ! Ce n’est pas marrant comme ça, tu n’as pas une bonniche ?

Je regarde André, interloquée. Non, je n’ai pas de domestique… Enfin, une femme de ménage qui vient seulement une fois par semaine.

– Alors tu vas faire la bonniche. S’exclame Hervé en éclatant de rire.

– Tu vas te saper en bonniche sexy, comme dans les films de cul.

Je baisse la tête. Je vais de nouveau être leur jouet. Je dois leur montrer ou je range mes vêtements. Je les emmène donc dans ma chambre. Ils sourient en voyant le lit conjugal et me demandent si c’est là que mon mari me défonce.

– Oh… Oui. Murmuré-je je rougissante, honteuse.

Hervé et Mohamed ouvrent ma penderie et observent mes vêtements : Surtout des tailleurs, quelques pantalons. Ils m’ordonnent de me déshabiller, ce que je fais sous leurs regards lubriques. Hervé commence à prendre des photos avec son téléphone portable. Je suis totalement nue devant eux et je tente de cacher maladroitement ma toison. Mohamed farfouille dans ma penderie.

– Où tu mets tes chaussures ? Me demande-t-il soudain, et ta lingerie de pute comme l’autre jour dans le bar ?

Je lui désigne une commode qu’il s’empresse d’ouvrir. Il y découvre en effet ma lingerie fine. Il s’extasie devant les strings, les soutiens-gorge en dentelle, les porte-jarretelles, les bas, les collants et surtout une guêpière qu’il sort immédiatement.

– Tiens, tu vas enfiler ça !

– Et ça. Lâche Hervé en sortant un porte-jarretelles noir.

André, lui, sort une paire d’escarpins vernis à très hauts talons : Des chaussures qui m’ont été offertes par mon mari pour assouvir ses fantasmes mais qu’en fait je n’ai jamais mises. Les talons aiguilles sont vraiment hauts et surtout en acier, ce qui me donne vraiment un air de pute.

Je m’habille sous les quolibets de mes tourmenteurs qui décident de m’aider ce qui leur donne l’excuse de me tripoter les seins et la chatte. Ils découvrent ma collection de bas et me choisissent des bas résille. Après un débat existentiel sur le fait de savoir si je dois porter un string ou non, il est finalement décidé que je resterai cul nu pour faire le service. Hervé n’arrête pas de prendre des photos bien sûr.

Nous redescendons dans le salon et je déambule pour faire le service et leur préparer leur whisky. Chaque fois que je m’approche un peu trop près de chacun de mes « invités » une main baladeuse me palpe le cul et s’introduit dans mon vagin, m’écarte les lèvres pour me masturber. Inutile de dire que dans ces conditions, le service dure des heures. Hervé découvre alors sur le guéridon du salon la laisse de Rocky. Il appelle le chien qui vient sans discuter et lui retire son collier. Il se relève et me regarde :

– Viens ici ma chienne…

J’ai déjà compris quand je m’approche de lui. Il m’attache le collier autour du cou et y accroche la laisse. Voilà donc ce que je suis devenue : une chienne.

Hervé me prend par la laisse et s’amuse à me promener dans le salon sous les rires des autres. Mohamed prend des photos. Soudain, André demande :

– On ne lui montre pas le site ?

On me demande s’il y a un ordinateur. Je leur réponds que mon mari en possède un dans son bureau. Hervé me force à me mettre à quatre pattes et, toujours tenue en laisse, je les emmène dans le bureau de mon mari. André se met devant l’ordinateur et se connecte sur internet. Très vite, je vois des photos apparaître. Horrifiée, je reconnais les photos prises dans le bar quand je me suis fait prendre à la chaîne. Heureusement, mon visage est flouté. Des commentaires accompagnent les photos : « La bourgeoise salope se fait enculer dans un bar » ou encore « la prof perverse se fait défoncer par ses élèves ». Ces salauds ont mis les photos sur le Net comme il me l’avait dit et je suis anéantie de savoir que des millions de pervers peuvent les mater. Hervé a fait le tour et s’est mis derrière moi. Il me sort les seins des bonnets de la guêpière et commence à me les triturer en me soufflant dans l’oreille.

– Ça t’excite de savoir que des millions de mecs se branlent en matant tes photos ?

Je ne réponds pas. Il s’empare de mes tétons et commence à les faire rouler entre ses doigts. Puis il me soulève les seins et les laisse retomber, plusieurs fois. Cela semble l’amuser. Il se penche vers moi et me suce les tétons jusqu’à ce qu’ils deviennent rouges.

Mohamed n’est pas en reste, il est à genoux devant moi et me suce la chatte. Sa langue s’empare de mon clitoris et j’ai un sursaut. Je suis manipulée comme ça pendant un bon moment. Je n’en peux plus, je halète. On me force à m’agenouiller et tous les trois sortent leur queue. Je commence à les sucer, passant d’une queue à l’autre. Mohamed me tient par ma laisse et s’active dans ma bouche en m’insultant :

– Pompe bien la Bourge, on va pouvoir te faire faire la pute, te faire tourner des films…

Je ne réponds pas à ces menaces, tout à mon plaisir. Je les suce comme une folle. Soudain, Je suis relevée et ramenée dans le salon. Je suis penchée sur le canapé. Je sens un doigt puis deux s’introduire avec violence dans ma chatte. Mon corps réagi malgré moi et je suis trempée. Mohamed me murmure dans l’oreille :

– Je vais te baiser.

Il place sa bite contre l’ouverture de ma chatte gluante et s’enfonce d’un coup sec, me faisant crier. Il me donne des grands coups de reins. Il me baise avec brutalité et je me mets à ahaner. Il me donne des petites claques sur les fesses en me traitant de « grosse jument à dresser ».

Hervé a fait le tour du canapé et il me force à prendre sa bite dans ma main et je commence à le branler. André, pendant ce temps, prend des photos. Hervé présente sa bite épaisse devant mes lèvres et force le passage. J’ouvre la bouche et l’engloutis. J’ai les larmes aux yeux tant il est imposant. Hervé fait exprès de me l’enfoncer jusqu’au fond de la gorge. Je veux le recracher mais il me prend les cheveux pour m’obliger à accepter toute la longueur du membre.

Mohamed me donne des coups de reins de plus en plus violents. Bientôt, ils alternent, c’est Hervé qui s’enfonce dans ma chatte et Mohamed qui s’empare de ma bouche. Cela dure des heures. Hervé et Mohamed accélèrent le rythme, me pistonnant chacun par un trou. Puis ils éjaculent presque en même temps, me provoquant un orgasme. Mohamed m’asperge d’un foutre épais qui coule sur mon visage, mes lèvres jusqu’à mes seins, pendant qu’Hervé me remplit le vagin.

Je descends du canapé et m’affale par terre, cuvant mon orgasme, mais je n’ai pas le répit que j’espérais. André s’approche de moi en se branlant et m’oblige à me mettre à quatre pattes sur la moquette du salon. Je sens qu’il pose son gland contre mon cul et je pousse un cri.

– Non ! Pas par là, je ne l’ai…

Hervé se lève et se penche vers moi :

– On n’en a rien à foutre de ce que tu veux. Tu es notre chienne, tu verras tu vas aimer…

André me donne un grand coup de reins et je pousse un hurlement. Hervé et Mohamed me bâillonnent d’abord avec leur main puis avec des bas que Mohamed a été cherché dans ma chambre. Une paire roulée en boule enfoncée dans ma bouche et un autre nouée autour de ma tête m’empêchent de sortir le moindre son et je ne pousse plus que des plaintes étouffées.

André m’a agrippé les hanches et me défonce le cul à grands coups de bassin. Son ventre claque contre mes fesses. Je pousse des cris à travers mon bâillon puis ces cris se transforment en gémissements. Je comprends que je coule comme une fontaine. Je secoue la tête dans tous les sens, ivre de désir. Je bouge mes fesses pour encore mieux sentir la bite de André pendant qu’il me déchire le cul. Il se démène en me donnant des coups de queue puissants et soudains il se vide les couilles dans mon cul en poussant un cri.

Tout le monde se relève. Je tiens à peine debout. Hervé regarde l’heure. Il est 19 h 30.

– Tu vois, me dit-il en ricanant, il te reste une demi-heure pour redevenir une bourgeoise respectable et une bonne épouse pour accueillir ton petit mari qui va rentrer du travail.

Avant de partir, pour donner du piment à leur site dont je suis l’héroïne bien malgré moi, ils me forcent encore à faire des photos dont une à quatre pattes où ils inscrivent au rouge à lèvres sur mes fesses : « PROF A ENCULER ».

Je suis encore humiliée qu’ils m’obligent à les ramener à la gare RER pour qu’ils puissent rentrer chez eux. Mais ils m’ordonnent de mettre simplement un manteau de fourrure par-dessus ma guêpière et mes porte-jarretelles et surtout de garder le collier et la laisse qui pend entre mes seins dégoulinants de sperme car, bien entendu, ils m’ont interdit de me laver. Jusqu’où tout cela va-t-il aller ?

À suivre…

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