Je me réveille ce samedi matin avec l’impression d’avoir fait un mauvais rêve. J’ai été une fois de plus contrainte de suivre mes élèves hier soir et de leur obéir.
Tout en prenant mon petit-déjeuner, je pense aux humiliations que j’ai dû subir. Et le plaisir que cela m’a procuré. Je suis à chaque fois surprise et honteuse de constater que, même si je suis la victime de ces maîtres chanteurs pervers, je prends un plaisir immense à être manipulée comme une poupée, un jouet. Ça me procure à chaque fois des orgasmes foudroyants.
Ce soir, je reçois ma fille et son fiancé ainsi que les parents de celui-ci, des gens importants, très en vue dans la ville. Elle, Isabelle, est notaire et conseillère municipale. Justement, les élections municipales approchent et on commence à murmurer qu’elle pourrait être première adjointe si le maire est réélu. Lui est avocat, comme son fils du reste.
Je dois appeler ma femme de ménage, Marie, qui a accepté de faire le service ce soir. Je décide de sortir faire les courses. Je m’habille d’un élégant tailleur sur des bas noirs. Je sors du pavillon et me dirige vers ma voiture. Mon mari est absent, il ne rentrera que dans l’après-midi pour la soirée. Je monte dans ma voiture, actionne l’ouverture du portail automatique et commence à manœuvrer pour sortir. Je freine brutalement. Devant l’entrée se trouvent Hervé et Mohamed qui entrent immédiatement et se dirigent vers moi. Mohamed ouvre la portière de la voiture et me demande de sortir.
– – T’allais où comme ça ?
Je lui explique que je dois aller faire des courses. Mohamed retrousse ma jupe, dévoilant mes bas. Il me demande d’enlever mon string. J’obéis, rouge de honte. Ils me font monter à l’arrière de l’auto. Mohamed se met au volant et la voiture démarre.
Hervé est à l’arrière avec moi et dès que la voiture commence à rouler, il me force à me pencher en m’appuyant sur la nuque.
– Tu vas me sucer.
La figure plaquée sur son ventre, je déboutonne tant bien que mal sa braguette. Tendue comme un ressort, sa queue jaillit du pantalon. Il pousse un soupir quand je lui happe le gland entre mes lèvres. Salivant sur sa bite enfoncée dans ma bouche, je glisse une main dans le pantalon et lui malaxe ses couilles. Le gland décalotté gonfle mes joues et je le suce rapidement. J’enfonce presque toute la longueur du membre dans ma bouche et ma langue s’enroule autour de sa queue en insistant sur le gland. Son sexe se raidit et il éjacule au fond de ma gorge. Je relève la tête en hoquetant avant d’essuyer mes lèvres et mon menton. Hervé se rajuste en me félicitant :
– Tu es vraiment une bonne suceuse !
Les yeux baissés, je ne réponds pas. J’éprouve une étrange satisfaction comme à chaque fois qu’Hervé ou Mohamed abusent de moi.
– Nous t’emmenons voir des potes à la Cité.
Je frémis en réalisant ce que vient de dire Mohamed. Ils m’emmènent dans leur Cité. Je suis terrifiée et je tente de les faire renoncer, en pure perte bien entendu.
– Je veux voir ta chatte ! Lance Mohamed en me regardant dans le rétroviseur.
Honteuse, je soulève ma jupe et dévoile ma chatte. Hervé me soupèse les seins à travers mon chemisier puis il me caresse les jambes.
– Écarte les cuisses comme une vraie pute, tu peux te préparer à faire le tapin. On a parlé de toi à nos copains et ils sont tout excités et prêts à payer pour se taper une pute BCBG, une bourgeoise salope comme toi !
– Non… Je vous en supplie… pas ça…
Avec un petit rire cruel, Hervé enfonce ses doigts dans ma chatte.
– Quelle cochonne, tu es trempée !
Il me taquine le clitoris et je ne tarde pas à pousser un gémissement, ce qui les fait rire de bon cœur. Puis il me donne une claque sur les cuisses nues au-dessus des bas.
– Je t’interdis de jouir !
– Je veux voir ses nichons. Lance Mohamed à l’avant de la voiture.
Hervé déboutonne le chemisier et dégage mes seins des balconnets de mon soutien-gorge.
– Reste comme ça jusqu’à ce que nous soyons arrivés.
Nous roulons encore quelque temps et nous arrivons dans la Cité de Mohamed et Hervé. Mohamed gare ma voiture juste devant un groupe de jeunes en train de discuter.
– Salut, les gars ! Ça vous dit toujours de vous taper la bourgeoise dont on vous a parlé la dernière fois ?
Un des jeunes s’avance :
– Celle qui est sur Internet ?
Il me dévisage à travers la vitre. Je baisse les yeux. La jupe troussée, les seins à l’air, il doit vraiment me prendre pour une pute.
Nous descendons de la voiture et je suis immédiatement entourée par ces jeunes qui me regardent tous avec avidité. Je suis entraînée vers un escalier et nous descendons dans une des nombreuses caves où certains jeunes des Cités établissent leur quartier général.
Je suis poussée sans ménagement dans la cave ou trône un matelas sale et un canapé sans doute récupéré dans une décharge. Dans cette cave assez sombre se trouve déjà une dizaine d’individus, des jeunes qui poussent une exclamation en m’apercevant.
Hervé m’enlève ma veste de tailleur, exhibant mes seins. Puis il retrousse ma jupe, montrant ma chatte nue. Je suis tétanisée, incapable de la moindre réaction. J’aperçois des jeunes qui caressent leur verge sortie de leur pantalon.
Hervé attache une cordelette sur mes poignets croisés l’un contre l’autre contre mon ventre. Puis, tenue en laisse, je suis conduite vers le matelas. On m’ordonne de m’agenouiller dessus puis on glisse deux oreillers sous mon ventre. Dans cette posture, mon corps se trouve surélevé, ma chatte et mon cul exhibés à la vue de tous. Un des jeunes attache la corde à une espèce d’anneau scellé dans le mur.
De cette façon, je n’ai aucun moyen de fuir, totalement à la merci de ces jeunes. Je frémis en y pensant. Je sais qu’il est trop tard maintenant pour refuser ou protester. J’entends des pas derrière moi et je devine que la « séance » va commencer. Je me cambre quand le sexe pénètre mon vagin. Il me pistonne rapidement et se libère très abondamment au fond de mon ventre. Plusieurs autres se succèdent en jouissant aussi vite. Chacun des jeunes attend son tour avant d’entrer. Ils sont déjà presque une dizaine à avoir éjaculé dans mon vagin. Je suis dans un état second.
Dans un bref instant de lucidité, je comprends que je suis traitée de sale pute par les jeunes et que Mohamed et Hervé prennent des photos pour les mettre ensuite sur internet. Pour eux, je ne suis plus qu’une bourgeoise salope, une chienne qui leur offre ses deux orifices, une pute ouverte à qui veut me remplir.
J’ai rapidement perdu le compte du nombre de mâles qui ont éjaculé en moi. On me relève et on attache la corde à un anneau fixé au plafond. Je me retrouve dans une posture de soumission que je n’avais jamais connue jusque-là. On a tellement tiré la corde que les talons aiguilles de mes escarpins touchent à peine le sol.
Je croise un instant le regard de Mohamed et Hervé, ils me regardent avec un sourire ironique. Hervé s’approche de moi et enlève ma jupe. J’apparais en bas noirs et les jeunes me sifflent. On me noue un chiffon sale sur les yeux. Je suis aveuglée et je n’entends plus aucun bruit ce qui, soudain, m’inquiète
Mon corps se tend quand je sens des doigts pénétrer ma fente et mon cul. Presque aussitôt, deux bites me pénètrent par les deux côtés. La pénétration est facilitée par le sperme dont j’ai été déjà largement remplie. Je suis traitée de sac à foutre. Surexcités, les deux jeunes qui me pénètrent déchargent très vite. Je suis prise encore plusieurs fois de cette façon. J’ai atteint un état d’abandon total.
Sans me détacher, Hervé fait descendre la corde et m’ordonne de m’agenouiller sur le sol. On enlève mon bandeau et on fait entrer une dizaine d’autres jeunes qui ont déjà sorti leur queue. Le premier s’avance vers moi et fiche sa verge contre ma bouche que j’ouvre instinctivement. Après quelques va-et-vient le jeune m’arrose la gorge de son foutre.
Excités par le spectacle, les autres se masturbent. Sans interruption, ils viennent décharger leur sperme poisseux dans ma bouche accueillante. Après l’éjaculation du cinquième, je commence à avoir du mal à avaler le liquide qui inonde ma bouche.
On me relève et on me pousse sans ménagement vers une table assez haute. On me force à m’y allonger, les poignets toujours liés et on attache la corde aux pieds de la table. Je frissonne en me demandant combien de temps cela va encore durer. Hervé s’approche de moi :
– Tu permets que je prenne ma part ?
Il sort sa verge dressée et agrippe mes jambes qu’il pose sur ses épaules. Il positionne son gland sur mon anus et me pénètre brutalement d’un furieux coup de hanche. Je gémis faiblement car sa queue est vraiment grosse. Il fait glisser son membre dans mon cul pendant de longues minutes. Il s’amuse à ressortir son sexe de mon anus et à le replonger brutalement dedans. Il enfonce deux doigts dans mon vagin et chatouille mon clitoris. Il me malaxe les seins en tordant mes mamelons. Je veux retenir la vague de plaisir qui envahit peu à peu mon corps mais je n’y parviens pas. Je me mets à agiter mon ventre et mes fesses contre lesquelles battent les couilles de Hervé. Il accélère le mouvement de ses reins et je jouis en gémissant alors que son sperme inonde mon cul. Quand il retire son sexe, je suis brisée par l’orgasme.
On me laisse quelques minutes de répit, puis Mohamed fait enter cinq autres jeunes. Ils s’installent autour de moi en se masturbant. Je proteste que je ne veux plus mais les premiers jets de foutre arrosent mon visage. D’autres suivent, arrosant mon cou, mon ventre et mes seins. Dès qu’ils eurent terminé, d’autres jeunes entrent et éjaculent sur moi, aspergeant peu à peu tout mon corps. De ma chatte à mes seins en passant par mon visage, je suis souillée par leur foutre.
Une quinzaine de jeunes ont joui sur moi quand on me détache. Je peux enfin me redresser. Mohamed me dit de rester assise sur la table. Debout devant moi, son sexe tendu hors de son pantalon, il me demande de le masturber. Je recueille assez rapidement son sperme au creux de ma main et je dois l’avaler.
Je suis mise debout et on me demande de me rhabiller sans avoir pu me nettoyer. Le sperme colle rapidement à mes vêtements. Mais le plus désagréable est de supporter le foutre répandu sur mon visage et mes cheveux. Nous sortons de la cave et remontons en voiture. Hervé et Mohamed me montrent une liasse de billets.
– Tu as bien travaillé ma salope, tu nous as rapporté beaucoup de fric, faudra remettre ça !
Je ne réponds pas, mortifiée. C’est tout juste si je réagis quand j’entends Hervé me lancer :
– Tu ne m’as pas dit que tu recevais du monde ce soir ? On peut venir ?
Je reste sans voix, abasourdie par la question. Ce n’est pas possible ! Ce soir il y aura mon mari et ma fille ainsi que la future belle-famille. Hervé et Mohamed éclatent de rire :
– T’inquiète ! On amènera des potes !
À suivre…
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