Je m’appelle Marie Claude, j’ai 49 ans et, depuis quelque temps, vous suivez mes aventures sexuelles ou plutôt devrais-je dire mes mésaventures sexuelles qui me sont imposées par deux de mes élèves ainsi que leurs complices suite à l’ignoble chantage dont je suis la victime. Beaucoup d’entre vous m’ayant encouragé à continuer à écrire cette confession, je vais donc vous raconter la suite de mon calvaire.
Après avoir été pris de toutes les façons possibles dans mon pavillon, Mohamed et Hervé refusent de partir, voulant assister au repas de famille qui est organisé pour faire la connaissance de la future belle-famille de ma fille Muriel qui doit se marier bientôt avec un avocat.
Il est prévu qu’ils arrivent vers 20 h 00 et rien n’étant près, je commence à me demander si je ne devrais pas annuler le repas. Je supplie une dernière fois Hervé et Mohamed de partir leur promettant de venir les rejoindre ou ils le souhaiteraient après le dîner. Ce qu’ils refusent bien entendu.
Toujours habillée comme une « petite fille perverse » c’est-à-dire d’une jupe écossaise qui arrive à peine à cacher mon sexe, je déambule dans le salon en commençant à mettre la table en attendant Marie, ma bonne, qui doit arriver sous peu à. Pendant ce temps, Hervé prend son téléphone portable et je l’entends, horrifiée, appeler Gaston, le patron du bar, où j’ai, deux fois déjà, été contrainte aux pires turpitudes. Il lui dit qu’il faut absolument qu’ils viennent « avec les autres » chez moi où j’organise une petite fête. Mohamed, de son côté, prévient Sabrina et lui demande d’amener son frère et surtout le « matos ». Je tente de protester que ce n’est pas possible mais Hervé me dit de la fermer. Au même moment, la sonnette du portail me fait sursauter. C’est sûrement Marie qui devait arriver avant les invités pour m’aider à tout préparer.
J’ouvre le portail avec la télécommande. La porte du pavillon s’ouvre et Marie entre. C’est une jolie brune avec un sourire éclatant mais avec un regard dur et froid. J’ai déjà eu des problèmes d’autorité avec elle, la menaçant de la renvoyer plusieurs fois. Elle reste stupéfaite en découvrant sa patronne en jupe écossaise et chemisier blanc trop petit pour elle. Elle est encore plus étonnée de voir que je suis avec deux jeunes hommes qui pourraient être mes fils. Sous son manteau, elle est habillée comme une servante doit l’être : Jupe noire et chemisier blanc, bas couleur chair et ballerines.
Hervé s’approche d’elle et l’emmène au milieu de la pièce. Nous sommes côte à côte et je me sens rougir de honte quand elle me demande d’une voix craintive :
– Mais madame, que se passe-t-il ?
Hervé et Mohamed éclatent de rire.
– « Madame » va t’expliquer. Lance Hervé sur un ton moqueur.
Je reste silencieuse, mortifiée. Hervé s’approche de moi et me regarde dans les yeux avec un air mauvais.
– Explique-lui que tu es devenue notre chienne, notre pute BCBG et qu’on fait tout ce qu’on veut avec toi.
Marie me regarde avec des yeux ronds. Je sais ce qui se passe dans sa tête. Elle se demande si ce qu’elle entend est vrai. Est-ce possible ? Que Madame soit devenue ce que ce jeune prétend ?
Hervé s’approche de moi et me saisit les seins à pleines mains, me le triturant comme si c’était des pis de vaches. Marie fait un « oh » avec sa bouche mais aucun son ne sort, fascinée par ce qu’elle est en train de voir.
Mohamed lui prend le bras et l’entraîne dans le bureau de mon mari où se trouve son ordinateur. Il se connecte sur internet et lui montre mon site intitulé « la bourgeoise salope ». Les photos prisent dans le bar puis la cave et enfin le film tourné dans le pavillon. Bien sûr mon visage est flouté mais Marie me reconnaît malgré tout. Quand elle revient dans le salon, son regard a changé et elle me regarde différemment.
– Alors ? Lance Hervé. Tu découvres quelle salope elle est ta patronne ?
Marie s’approche de moi, un sourire pervers sur ses jolies lèvres.
– Tu es une belle cochonne sous ton air de sainte-nitouche.
Je n’en reviens pas d’entendre Marie parler comme ça. Elle se retourne vers Hervé et Mohamed.
– Elle donne des leçons à tout le monde, traite ses domestiques comme des moins que rien et elle fait la pute dans les caves des Cités.
Sans prévenir, elle faufile sa main sous la jupe écossaise et elle glisse un doigt dans ma fente humide tout en me fixant dans les yeux.
– Tu as intérêt à m’obéir au doigt et à l’œil à partir de maintenant. Me lance-t-elle en me fouillant la chatte sans douceur.
Elle pince les lèvres et le clitoris et j’ai un mouvement brusque du bassin pour mieux enfoncer ses doigts dans ma chatte. Elle donne une claque sur mes seins m’ordonnant de ne plus recommencer. Elle enfonce de nouveau ses doigts et haletante, je m’abandonne complètement.
Hervé se penche vers moi et me suce les tétons des seins, les mordillant par moments. Derrière moi, Mohamed claque mes fesses et soudain enfonce son index dans mon trou du cul et il le fait coulisser de plus en plus vite. Inconsciemment, je me cambre pour mieux qu’il s’enfonce. Marie m’ordonne de me mettre à genoux ce que je m’empresse de faire. Elle soulève sa jupe, découvrant un string blanc déjà trempé qu’elle retire.
– Tu vas me sucer salope.
Elle me prend par les cheveux et approche mon visage de son bas-ventre. Je colle ma bouche sur sa fente passant ma langue le long de ses lèvres. Marie halète en se caressant les seins.
– Ah quelle chienne tu es…
Les yeux clos, je m’applique, de nouveau totalement soumise. Je sens que je suis trempée et Hervé et Mohamed ne perdent pas une occasion pour me branler pendant que je dois absorber la mouille de ma nouvelle maîtresse. Le fait que ce soit ma bonne qui me force à la lécher m’excite au plus haut point. Je mordille son clitoris entre mes lèvres. L’orgasme submerge soudain Marie qui gémit de plaisir.
Elle me repousse sans ménagement et Hervé et Mohamed s’occupent de moi protestant qu’ils n’ont pas profité de leur pute. Ils me positionnent à quatre pattes. Hervé s’allonge, sa bite fièrement dressée que je dois avaler et Mohamed, derrière moi, s’enfonce dans mon vagin me limant furieusement à grands coups de reins. Pendant ce temps, je pompe la bite de Hervé avec frénésie. Les mains agrippant mes cheveux, Hervé respire bruyamment en agitant son bas-ventre. Son membre est tellement imposant que j’ai du mal à l’engloutir tout entier. Folle d’excitation, je pompe la grosse queue avec fougue. Derrière moi, je sens Mohamed qui accélère son mouvement de va-et-vient, son ventre claquant contre mes fesses. Marie se lève, le regard fou et me fesse le cul violemment.
– Salope ! T’aime ça te faire défoncer par des grosses bites !
Je ne peux répondre, bâillonnée par l’énorme queue de Hervé. Soudain, j’ai un orgasme violent pendant que Mohamed se déverse dans mon vagin en grognant de plaisir. Dans le même temps, la bite de Hervé crache un long jet de sperme blanchâtre qui s’écrase sur ma bouche. Je détourne la tête avec une grimace mais un autre jet plus puissant encore me souille la joue et les cheveux. Marie s’approche de moi en me murmurant dans l’oreille :
– Je n’aurais jamais cru que tu sois aussi salope, on va bien s’amuser toi et moi pendant que Monsieur sera absent.
Elle commence à lécher le sperme qui dégouline de mon visage comme une petite chatte en ronronnant de plaisir puis sa bouche se colle à la mienne et elle force le barrage de mes lèvres avec sa langue. J’ai un mouvement de recul, écœurée de devoir embrasser une femme mais Marie m’agrippe par les cheveux me tirant violemment la tête en arrière.
– Tu vas te laisser faire. Tu m’appartiens.
Domptée, j’entrouvre ma bouche et sa langue s’enroule autour de la mienne. Puis elle se lève et regarde sa montre.
– Il est bientôt 20 h 00, les invités de Madame ne vont pas tarder. Madame devrait se préparer.
Elle prend un plaisir sadique à me donner de la « Madame » ce qui rend la situation encore plus humiliante pour moi. Je suis conduite dans ma chambre et c’est Marie qui choisit ce que je vais devoir porter pour accueillir la belle-famille. Je dois me déshabiller sous le regard lubrique de Marie. Elle me tend une veste de tailleur rouge très élégante et une jupe noire mais très courte que je ne mets pas normalement avec ce tailleur. Un porte-jarretelles et des bas noirs à couture ainsi que des talons aiguilles vertigineux, qui m’obligent à me cambrer, complète ma tenue.
Elle m’oblige également à me faire un chignon pour faire, me dit-elle, distinguée. La jupe est trop courte et on aperçoit par moments l’attache du porte-jarretelles. Bien entendu, je ne porte aucuns sous-vêtements et mes seins lourds tressautent sous ma veste rouge portée à même la peau. Il est évident que mes invités vont s’en rendre compte.
Nous retournons dans le salon et je dois m’exhiber devant Hervé et Mohamed qui sirotent un whisky. Marie soulève ma jupe pour leur montrer que je ne porte rien dessous. Nous entendons soudain le crissement des pneus sur les gravillons du jardin. Affolée, je comprends que c’est mon mari qui rentre du travail. Tétanisée, j’ai l’impression d’assister à une scène surréaliste. Mon mari va me trouver avec ces démons qui vont, à ne pas en douter, lui raconter comment je suis devenue leur jouet.
Henri s’introduit dans notre pavillon et reste en arrêt, interdit devant la présence de ces deux jeunes qu’il ne connaît pas.
– Mais, Marie Claude, ma chérie, qui est ces personnes ?
Marie s’avance vers Henri, le prend par la main et le pousse dans le canapé. Subjugué, il se laisse faire. Marie se tourne vers Mohamed et lui demande d’amener l’ordinateur dans le salon. Hervé et Mohamed s’exécutent pendant qu’Henri nous regarde avec étonnement. Commençant à s’énerver, il demande des explications. Marie se penche vers lui :
– Monsieur ne sait pas que Madame est la dernière des traînées, une salope qui se tape ses élèves.
Henri reste bouche bée en me regardant. Marie poursuit cette fois en me dévisageant :
– Et Madame ne se doute pas que son cochon de mari a une aventure avec cette salope de Monique.
Cette fois, c’est à mon tour d’être totalement décontenancée par cette révélation. Ce n’est pas possible : Monique, la fille du Commissaire de police qui est notre voisin et chez qui nous avons été si souvent invités par sa femme Suzanne. Monique est âgée de 21 ans et c’est vrai que j’aurais dû me douter de quelque chose vu le regard de salope qu’elle lui lance dès qu’elle nous croise mon époux et moi dans le centre-ville.
Hervé et Mohamed reviennent dans le salon avec l’ordinateur et font rapidement les branchements sous le regard interrogateur de mon mari. Je tente bien de lui expliquer mais je suis giflée par Marie.
– Tais-toi ! Mets-toi à genoux !
Morte de honte, je m’exécute et Marie se retourne vers Henri.
– Monsieur peut constater que Madame est très obéissante.
Henri ne répond pas, visiblement interloqué. Il a quand même un sursaut de dignité et se lève subitement du canapé en criant :
– Ça suffit ! Sortez tous d’ici !
Hervé et Mohamed le saisissent par ses bras et l’immobilisent assez rapidement. Mon mari n’étant pas d’un gros gabarit, il est facilement maîtrisé. On lui attache les mains et les pieds avec les cordelettes à rideaux.
– Si Monsieur veut bien regarder l’écran de l’ordinateur, il va assister un spectacle très intéressant.
Mohamed se connecte à internet et mon mari découvre mon site avec toutes les photos et les vidéos. Hervé se penche sur mon mari :
– Tu as vu ta femme ? Tu vois comme elle aime se faire baiser dans les caves.
Henri est blême en découvrant les photos dans le bar et dans la cave. Il manque de vomir en découvrant le film tourné dans notre propre pavillon. Nous nous regardons, honteux tous les deux.
Marie s’approche de Henri et défait sa braguette. Le sexe de mon mari jaillit comme un ressort. Il bande comme jamais je ne l’ai vu bander. Je crois rêver. Ce n’est pas possible, cette situation ne peut pas l’exciter ? Marie éclate de rire en découvrant l’état de mon mari. Elle s’empare de sa bite à pleines mains et commence à le masturber.
– Finalement Monsieur est comme Madame, c’est un gros vicieux.
Hervé et Mohamed me relèvent et me mettent à côté de Henri sur le canapé. Je suis contrainte de relever ma jupe, découvrant mes cuisses gainées de bas noirs. Mohamed regarde mon mari :
– Tu as vu, elle ne porte pas de culotte. Elle n’en porte plus depuis longtemps tu sais. On l’a bien éduquée.
J’ai l’impression de défaillir. Je m’exhibe devant mon mari totalement aux ordres de ces pervers.
Henri ne répond pas, la respiration oppressée par la vision de sa femme humiliée devant lui et l’habilité de Marie à le masturber tout en lui donnant par moments un coup de langue sur le gland. Je sens qu’il est déjà à deux doigts de l’explosion mais Marie sait y faire et s’arrête toujours avant.
Brutalement, Hervé enfonce ses doigts dans ma chatte tout en m’agaçant le clitoris. Il retire son index en rigolant, le montrant à mon mari. Il est couvert de mouille. Derrière moi, à pleines mains, Mohamed me prend les seins à travers l’échancrure de la veste de mon tailleur qu’il ouvre largement et les pétrit sans ménagement. Le visage déformé par le plaisir, je me mords les lèvres. Hervé me tripote le bouton et je râle de plaisir. Mon mari devient le témoin de ma déchéance. Il me voit m’offrir sans retenue à ces voyous. Hervé s’approche de mon visage, son sexe à pleines mains Puis il se tourne vers Henri et demanda d’un ton ironique :
– Tu permets ?
Blême de rage, mon mari détourne les yeux. Mais, malgré lui, son regard revient rapidement sur moi.
Hervé enfonce son sexe dans ma bouche.
– Vas-y chienne, montre à ton mari comme tu suces bien maintenant.
– C’est qu’elle commence à avoir de l’expérience. Ricane Mohamed en me pinçant les pointes des seins.
Je penche ma tête sur sa bite et je l’engloutis sans sourciller. J’agace son gland avec ma langue, le pompant avidement. Hervé trouve que ça ne va pas assez vite et il me donne une claque sur les cuisses au-dessus des bas et je pousse un gémissement plaintif. À côté, j’entends Marie me traiter de salope, de pute et demander à mon mari s’il veut qu’elle le suce également. Je n’entends pas la réponse mais je vois du coin de l’œil Marie se pencher sur le sexe de mon mari et l’aspirer. Mohamed s’exclame :
– Les paris sont ouverts. Qui va gagner ? La dernière aura un gage.
On entend plus que les bruits de succions de nos langues s’activant sur les bites. Marie termine rapidement car mon mari doit être excité par cette situation d’une perversité sans nom. Elle agite rapidement la queue de Henri et celui-ci éjacule soudain en poussant un cri. Le sperme s’étale sur son pantalon. Le va-et-vient de la queue de Hervé s’accélère entre mes lèvres et soudain il se vide par saccades au fond de ma gorge. Je suis forcée de tout avaler.
Marie s’approche de moi m’obligeant à nettoyer sa main couverte du sperme de Henri avec ma langue. Mohamed demande quel gage on va bien pouvoir m’imposer. C’est, bien entendu, Marie qui trouve. Cette fille est décidément pire que mes élèves. On détache mon mari et on lui ordonne de se déshabiller ce qu’il fait sans protester ce qui m’étonne. Je suis mise à quatre pattes, la veste du tailleur ouverte, mes seins ballottant dans tous les sens. Hervé va chercher une spatule dans la cuisine. On oblige Henri, en caleçon, à se mettre sur mon dos et je dois avancer à quatre pattes dans le salon, Henri sur mon dos pendant que Marie me donne des coups avec la spatule sur mes fesses, me traitant de grosse jument. Hervé filme la scène avec la caméra de mon mari.
Mohamed s’approche de Marie et lui dit :
– On va pouvoir s’éclater tout à l’heure. Sabrina doit venir avec des godes, des martinets et plein d’autres trucs.
– Où va-t-elle trouver tout ça ? Demande Marie, étonnée.
– Son frère travaille dans un sex-shop, rue Saint Denis.
Marie a un sourire pervers.
– C’est intéressant, on pourrait y amener cette salope un jour.
Mohamed éclate de rire et j’ai un frisson qui me parcoure l’échine. Je souffle comme un bœuf, devant supporter le poids de Henri sur mon dos. Par moments je ralentis, n’en pouvant plus, et immédiatement Marie me fesse le cul avec la spatule. J’ai le derrière tout rouge maintenant et je ne parviens plus à avancer. Je supplie qu’on arrête mon gage et je suis relevée. C’est à ce moment précis que le carillon de la porte d’entrée retentit. Ma fille arrive avec sa belle-famille.
À suivre.
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