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Histoire sexe Marie Claude une prof de Français très chaude Chapitre 8

Histoire sexe Marie Claude une prof de Français très chaude Chapitre 8
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Alors que le carillon de la porte d’entrée vient de retentir, Marie nous ordonne de rester dans le salon ce qui m’étonne un peu. Je suis debout, la veste de mon tailleur ouverte, dévoilant mes seins, le cul rougi par les coups et mon mari, Henri, toujours en caleçon. Nous n’allons tout de même pas accueillir ma fille et sa belle-famille ainsi ?

Marie va ouvrir la porte et ma fille Muriel entre la première. Elle me ressemble assez. Elle est blonde, grande, et porte des lunettes, ce qui lui donne un air de sage étudiante. Elle vient de terminer ses études de droit pour être avocate. Son futur mari, Sébastien qui entre juste après elle, est grand également. Lui travaille dans un cabinet d’avocat de la région ayant pignon sur rue. Ma fille est vêtue d’une jupe noire assez courte dévoilant ses jambes gainées de nylon noir avec des bottes à hauts talons. Ils sont suivis des parents de Sébastien. Isabelle, notaire connue de la ville et surtout conseillère municipale habillée d’une veste noire sur un chemisier en satin gris perle et d’une jupe noire. Elle est un peu plus petite que moi, les cheveux courts avec un visage bronzé, sans doute dû aux séances d’UV. Son mari, Albert, est petit et bedonnant.

Ils restent tous cloués sur le seuil en nous voyant. Ils découvrent ces jeunes qu’ils ne s’attendaient pas à voir et surtout mon mari en caleçon et moi, la mère de Muriel, les seins à l’air, la jupe retroussée, en bas noirs et le cul tout rouge d’avoir été frappé. Ma fille nous regarde stupéfaite.

– Mais maman, que se passe-t-il ?

Je ne sais que répondre, une boule d’angoisse dans mon estomac. Marie, d’un ton sans réplique, leur ordonne de s’avancer au milieu du salon. Ils s’exécutent complètement éberlués. Ils n’ont pas encore compris.

Marie demande à Hervé de leur montrer mon site. Je me sens défaillir, honteuse de devoir leur montrer ces images. Ma fille et sa belle-famille restent sans voix devant les photos où l’on me voit en train de tailler des pipes dans le bar et de me faire baiser dans cette cave de la Cité où j’avais été emmenée. Isabelle réagit la première, elle se retourne vers son mari, outrée :

– Albert, mon ami, allons-nous-en immédiatement.

Albert, qui commence à me regarder avec un air salace, obéit. Hervé et Mohamed sont les plus rapides. Ils bloquent la porte en se mettant devant. Marie s’approche de Isabelle, un regard mauvais dans les yeux.

– Toi la bourge, tu la fermes et tu obéis.

Isabelle, qui doit plus avoir l’habitude de commander ouvre la bouche pour protester mais Marie ne lui laisse pas le temps d’aller plus loin. Elle la retourne brutalement se mettant derrière elle et la bloquant avec ses bras. Puis, d’une main, elle commence à lui tripoter ses gros seins à travers le chemisier. Hervé s’approche et lui relève sa jupe dévoilant ses jambes gainées de bas blancs. Sébastien, le fils de Isabelle, reste stupéfait en découvrant que sa mère ne porte pas de sous-vêtements sous sa jupe. Mohamed éclate de rire.

– Regardez-moi cette salope qui ne porte pas de culotte.

Isabelle est rouge de honte et Marie tout en lui triturant les seins, lui demande :

– Pourquoi tu n’as pas de sous-vêtements ?

Comme elle ne répond pas assez vite, elle lui pince un téton à travers le chemisier et Isabelle pousse un couinement de douleur. Elle s’empresse de répondre :

– C’est mon mari qui me l’a demandé. Bafouille-t-elle. Ça l’excite de savoir que je ne porte rien.

Muriel regarde son beau-père avec un air outré. Mohamed s’approche d’elle et lui demande de soulever sa jupe. Elle refuse en lui lançant qu’elle n’est pas une pute.

– Ta mère aussi disait ça, tu as vu les photos sur le site ?

Je suis humiliée que ma fille entende ces propos si dégradants. Henri, mon mari, ne dis rien, les yeux baissés. Hervé et Mohamed s’emparent de Muriel et la pousse vers le canapé où elle est mise à quatre pattes. Hervé soulève sa jupe dévoilant son cul moulé dans le collant. Hervé commence à lui donner des claques sur les fesses. Muriel pousse un cri à chaque fessée.

Pendant ce temps, Marie n’arrête pas de tripoter Isabelle sur tout le corps, les fesses, ses seins, sa chatte où elle enfonce un doigt puis deux et trois. Elle masturbe Isabelle avec délectation. La bourgeoise si hautaine de tout à l’heure a laissé la place à une femme qui commence à avoir du mal à se contrôler. Elle donne des coups de reins pour mieux s’empaler sur les doigts de Marie qui la fouille sans ménagement. Marie lance soudain à Mohamed :

– Occupe-toi des mecs, demande-leur de se foutre à poil !

Mohamed avance vers Sébastien et Albert et leur lance :

– Vous avez entendu ? À poil !

Comme ils hésitent, Marie fait crier Isabelle en lui donnant une violente claque sur les fesses. Ils commencent à se déshabiller et quelle n’est pas ma surprise de découvrir que, comme mon mari juste avant eux, ils ont une érection d’enfer. Je suis complètement déstabilisée de découvrir cela. Peuvent-ils vraiment être excités de voir leur mère et épouse humiliées par ma bonne, et leur future épouse et future belle-fille recevoir la fessée ? Les hommes ne sont-ils donc tous que des pervers ?

Hervé déchire le collant de Muriel, découvrant un string rouge très sexy. Il écarte le string et enfonce deux doigts dans son vagin lui caressant la fente. Muriel pousse un hurlement et Sébastien veut aller la secourir mais Mohamed l’en empêche en le ceinturant. En rigolant, il approche Sébastien de force devant le canapé. Hervé ordonne à Muriel de se mettre à genoux sur le carrelage.

– Allez, fais-lui une gâterie à ton futur. Tu vois bien qu’il bande comme un taureau !

Elle proteste disant que c’est hors de question mais Hervé lui pince le nez et quand elle est obligée d’ouvrir la bouche pour reprendre sa respiration, Mohamed force Sébastien à y engouffrer sa bite déjà dressée. Forçant sur la tête de Muriel, Hervé commence à entamer un va-et-vient autour de la colonne de chair de Sébastien. Petit à petit, Hervé n’a plus besoin de tenir la tête de Muriel et c’est même Sébastien qui lui prend la tête et qui la dirige.

Marie traîne Isabelle qui manque de tomber en titubant sur ses magnifiques talons aiguilles italiens. Elle la pousse vers la table du salon et lui relève sa jupe sur ses hanches. Elle ordonne à Albert de venir derrière sa femme. Il obéit la queue à l’air. Marie se tourne vers moi qui suis restée dans un coin du salon et elle me demande de venir. J’obéis, tremblante. Marie me demande de faire une pipe à Albert pour le mettre en forme. Je me mets à genoux et j’engloutis cette imposante matraque. Je le pompe en montant et descendant ma tête jusqu’à parfois toucher ses poils avec mes lèvres. Marie, pendant ce temps, continue de branler Isabelle qui pousse des couinements et des gémissements. Elle pousse un cri quand Marie lui enfonce un doigt dans le cul et s’amuse à le tourner. Elle m’ordonne d’arrêter de sucer Albert et le prenant par la bite elle le contraint à s’approcher des fesses de sa femme.

– Encule-la ! Lui ordonne-t-elle.

Isabelle veut dissuader son mari :

– Albert, mon ami, vous n’allez pas…

Albert hésite une fraction de seconde mais l’instinct est le plus fort. Prenant sa bite à pleine main, il la guide vers l’ouverture des reins de son épouse, qui ne doit pas être une adepte de ce sport, et s’enfonce brutalement dedans en poussant un cri. Isabelle pousse un hurlement de bête blessée. Albert s’agrippe aux hanches de sa femme et commence à la pilonner en lui donnant de violents coups de reins qui font sauter ses grosses fesses. Pendant ce temps, Sébastien accélère son mouvement de va-et-vient entre les lèvres de Muriel. Me tirant par les cheveux, Hervé me positionne à genoux devant lui.

– Ouvre la bouche, prépare-toi à accueillir son foutre dans ta belle gueule de bourgeoise.

Sébastien sort précipitamment sa queue de la bouche de Muriel et se masturbe un peu devant mon visage avant d’éjaculer, lâchant des giclées de sperme sur mon front, mon nez et ma bouche. On me force ensuite à nettoyer la bite de Sébastien avec ma langue. Mais le comble de l’horreur, c’est quand on oblige Muriel à me laver en me donnant des petits coups de langue sur ma figure pour lécher le sperme de Sébastien.

Albert est toujours en train d’enculer sa femme. Son ventre claque contre ses fesses, de plus en plus vite. Marie lui ordonne de se retirer avant qu’il n’éjacule. Elle a trouvé autre chose. Albert doit se finir devant elle. Il se masturbe d’abord doucement, gêné, puis de plus en plus vite, il s’active, sa bite entre ses mains et il éjacule en poussant un râle. Des jets de foutre vont s’écraser sur le carrelage du salon. Marie engueule Albert, le traitant de cochon et l’oblige à se mettre à quatre pattes et à nettoyer le sol avec sa langue. Elle exige qu’Isabelle, qui grimace en se massant le cul, fasse la même chose. Albert et Isabelle se retrouvent donc à genoux en train de nettoyer le sol avec leur langue pendant que Mohamed filme la scène.

La sonnette du portail me fait sursauter. Hervé s’exclame :

– C’est sûrement les autres.

Je dois ouvrir le portail et Hervé sort pour les accueillir. Je suis horrifiée de les voir débarquer chez moi. Il y a Sabrina suivie d’un homme que je ne connais pas. Il s’agit de Ahmed, son frère, qui travaille dans un sex-shop rue Saint-Denis et dont j’ai déjà entendu parler. Il y a aussi Gaston et son fils Manuel, les propriétaires du bar où toute cette aventure a commencé et je reconnais Benoît, le garagiste qui m’a réparé ma voiture.

Sabrina et Marie font connaissance. Sabrina a un sourire méprisant en voyant ce couple de bourgeois à genoux en train de lécher le sol. Le cul de Isabelle remue à chaque fois qu’elle se déplace.

– Elle a un beau cul cette salope ! J’ai ce qu’il faut pour elle ! Dit-elle en désignant un sac que son frère porte.

– Mon frangin a ramené des jouets pour qu’on puisse s’amuser toute la nuit.

Et elle commence à sortir des godes, de toutes les tailles et de toutes les couleurs. Certains me paraissent énormes et un frisson me parcourt le dos. J’ai un tressaillement quand Sabrina sort de son sac un martinet qui peut faire double emploi puisque le manche peut servir de gode. Il y a également des colliers, en cuir, en acier, ainsi que des laisses et des menottes. Elle sortit également une espèce de boule en caoutchouc que l’on peut attacher par des lanières autour de la tête. Elle sort enfin des « tenues de putes » comme elle le dit elle-même. Il s’agit de robes en vinyle, une noire et une rouge ainsi que des cuissardes à hauts talons. Marie secoue la tête :

– Je les préfère dans leurs fringues de bourgeoises respectables, c’est plus excitant, je trouve.

Elle me met le collier en cuir noir autour du cou avec la laisse et fait de même avec Isabelle. Elle nous oblige à marcher à quatre pattes dans le salon, tenues en laisse pendant que Sabrina nous donne des coups de fouet sur le cul.

Nous entendons un gémissement sourd et Marie se retourne en tirant sur la laisse. Muriel est courbée en avant sur la table du salon, la jupe enroulée autour de sa taille, le collant déchiré pendant lamentablement. Hervé avec un sourire sadique a enfoncé son membre dans sa chatte. Muriel a poussé un gémissement. Hervé donne un grand coup de bassin pour s’enfoncer encore plus, il se met alors à la baiser avec fougue. Mohamed s’est mis devant le visage de ma fille qui grimace en ouvrant la bouche à chaque coup de boutoir. Mohamed en profite pour y introduire sa queue.

Marie nous ramène vers les hommes qui n’attendent que ça. Isabelle est aussitôt prise en main par Gaston et son fils Manuel. Gaston commence à déboutonner le chemisier en satin de Isabelle. Elle porte en dessous un élégant soutien-gorge également en satin de couleur noir. Gaston sort chaque sein des balconnets et commence à jouer avec, les malaxant sans douceur, faisant rouler les tétons entre ses doigts, les suçant. Manuel, pendant ce temps, enfonce ses doigts dans le vagin, la masturbant, lui titillant le clitoris. Isabelle, les joues rouges, commence à mouiller.

Pour ma part, c’est Ahmed qui s’occupe de mes seins. Il les soupèse, tire sur les bouts et suce alternativement les tétons.

Gaston force Isabelle à prendre sa bite dans sa main et elle doit le masturber pendant que son fils à genoux lui lèche sa vulve à grands coups de langue. On entend toujours les gémissements de Muriel. Isabelle est mise à genoux et Gaston pointe sa bite vers les lèvres serrées de la bourgeoise. Il force à peine et elle ouvre la bouche pour avaler sa queue ; Elle accepte le membre tout entier. Manuel, la bite à la main, lui tire la tête en arrière pour qu’elle le prenne en bouche également. Elle doit alterner entre Gaston et son fils. Elle prend la queue de Gaston, le suçant avec application, lui léchant le gland, lui caressant les couilles et ensuite faisant de même avec Manuel. Elle a plusieurs fois des haut-le-cœur et manque de vomir.

Ahmed me force à m’allonger sur le sol, il veut se branler entre mes gros seins. Je dois les serrer autour de son sexe et il commence à bouger me tenant les seins par les tétons pour imposer son rythme.

Isabelle a mal à la mâchoire à force de sucer Gaston et Manuel, leurs grosses queues déforment sa belle bouche de bourgeoise. Ses mains manucurées s’agitent autour des sexes en érection pour les faire éjaculer. Ils finirent par l’asperger d’un foutre copieux et épais. Elle a du sperme qui lui coule sur les seins, dans les cheveux et sur les joues.

Hervé, les mains accrochées aux hanches de ma fille lui claque les fesses tout en la besognant. Mohamed, lui, lâche tout son sperme sur ses lunettes, l’aveuglant. Hervé lui donne encore plusieurs coups de reins violents et, sortant précipitamment, il éjacule sur son dos. Une giclée plus violente atteint même son épaule.

Ahmed s’active de plus en plus entre mes seins qu’il maltraite, les serrant comme un fou autour de sa bite. Il s’arrête brutalement et se masturbe au-dessus de mon visage. Il se libère en poussant un cri, lâchant plusieurs jets de sperme qui tombent sur mon menton et ma bouche.

On nous laisse un peu respirer mais c’est de courte durée. Marie et Sabrina, nous tirant toujours par notre laisse, nous amènent devant le sac contenant les godes. On nous positionne, Isabelle et moi, à quatre pattes. Je sens que Sabrina m’enfonce un gode dans le cul et je pousse un gémissement de douleur tant il est gros. Marie fait de même avec Isabelle qui proteste tant bien que mal.

– J’en ai marre de l’entendre gueuler cette salope de bourge. S’écrie Sabrina.

Marie ne dit rien mais elle s’empare de la boule avec les lanières et l’enfonce dans la bouche de Isabelle l’attachant derrière la tête. Sa bouche est déformée par la boule et elle ne plus articuler aucun son, ce ne sont plus que des plaintes étouffées qui sortent de sa bouche. Du coup, Sabrina fait de même avec moi. Je sens des poils qui me caressent le cul et, ne comprenant pas, je regarde le derrière de Isabelle. Le gode est en réalité une réplique d’une queue-de-cheval. Nous ressemblons donc à des juments ainsi attifées. D’ailleurs, Marie et Sabrina nous tannent le cul avec leur fouet, nous ordonnant de nous promener dans le salon. Nous devons nous relever et courir sur nos talons aiguilles, le gode dans le cul, nos seins à l’air ballottant dans tous les sens, le visage déformé par cette boule qui nous empêche d’émettre le moindre son.

– Eh les gars ! Regardez nos « pony-girls ». Dit Marie.

Nous sommes le point de mire de ces pervers qui viennent nous flatter la croupe et faire coulisser dans notre cul nos queues factices. Nous nous arrêtons devant mon mari qui doit nous inspecter le vagin à moi et Isabelle. Il enfonce ses doigts, me caressant la fente et fait de même avec Isabelle. Nous faisons ainsi le tour du salon. Même Sébastien, le fils de Isabelle, est contraint de masturber sa mère. Cela donna une idée à Marie. On oblige Sébastien à se mettre à genoux et à lécher la vulve dégoulinante de sa mère. Il hésite mais s’exécute, peut être excité par la situation. Il donne des coups de langue d’abord maladroits puis de plus en plus précis. Isabelle donne de petits coups de reins vers son fils comme pour l’encourager à continuer.

Je suis trempée en regardant cette scène d’une perversité absolue et Sabrina s’en aperçoit. Elle m’emmène sur une des chaises du salon où elle m’ordonne de m’asseoir, les jambes largement ouvertes dévoilant ma fente humide et c’est au tour de Muriel de venir me sucer la chatte. Ma fille promène sa langue sur ma fente, m’agaçant le clitoris. Elle a vite le visage barbouillé de mouille. Je ne peux plus résister, je jouis en poussant un cri étouffé par le bâillon.

Marie ordonne à Sébastien d’arrêter de lécher la fente de sa mère. Elle oblige Isabelle à se mettre à genoux sur un grand fauteuil, ses seins écrasés sur le dossier. Mon mari, Henri, doit faire le tour et se masturber en attendant. Sébastien, lui, suivant les instructions de Marie, enfonce sa bite dans la chatte de sa mère et commence à la limer avec brutalité. Marie retire le bâillon à Isabelle pour qu’elle puisse sucer Henri qui s’enfonce dans cette bouche accueillante sans hésiter.

Sabrina s’est emparée d’un gode et me l’a brutalement enfoncé dans le vagin et elle s’amuse à me masturber sans me permettre de jouir. Elle observe mon visage et chaque fois qu’elle « sent » que je vais avoir un orgasme, elle s’arrête, me laissant frustrée.

Mohamed et Hervé se sont emparés de ma fille et la poussent vers un fauteuil où elle est immobilisée. On attache ses poignets sur ses chevilles, ce qui fait qu’elle est dans une position qui dévoile sa fente. Ainsi, ils peuvent la lécher à tour de rôle et lui enfoncer des godes. Elle se retrouve un moment avec 3 godes : Un dans sa bouche, un dans sa chatte et le dernier dans son cul. On la laisse comme ça un bon moment. Gaston et Manuel prennent des photos de toutes ces femmes humiliées. On entend soudain un hurlement étouffé. Tout le monde se retourne vers Isabelle, Sébastien en train d’enculer sa mère.

Albert, lui, est puni. Il est assis sur une chaise et doit se masturber sans interruption. Il y a déjà des traces de sperme un peu partout sur ses jambes et le sol. Mais dès qu’il fait mine de s’arrêter pour se reposer, on lui ordonne de continuer le menaçant d’un gode dans le cul. Sa bite est déjà toute rouge a force d’être masturbée. Il a un regard de fou, les yeux exorbités en voyant sa femme se faire baiser par son fils. Mais il bande.

Je suis amenée au milieu du salon, la chatte en feu puisque je n’ai pas eu le droit de jouir. Ahmed s’allonge sur le sol et je dois m’empaler sur sa bite dressée. Hervé fait le tour et m’encule sauvagement après avoir retiré ma « fausse queue-de-cheval ». Ils me baisent à tour de rôle alternant leur mouvement.

– On est en train de baiser notre pouliche. S’exclame Hervé en rigolant.

Sabrina s’est mise derrière Sébastien et lui fouette le cul en le traitant de fils indigne.

– Regardez le vilain garçon qui encule sa mère.

Sébastien sort sa bite et éjacule, lâchant un torrent de sperme sur le cul de sa mère. Henri fait de même, lui envoyant plusieurs giclées de foutre sur son visage déformé par le plaisir.

Muriel a été détachée et mise sur le canapé par Mohamed qui, lui ayant relevé les jambes à la verticale, s’est enfoncé dans son vagin et la bourre avec frénésie. Autour d’eux, Manuel et Gaston lui enfoncent dans sa bouche leur bite à tour de rôle et ma fille, visiblement enchantée, tend son visage vers ces queues dressées pour les aspirer, les sucer, les pomper comme la dernière des putes.

Les barrières de la moralité sont tombées. Isabelle a été reprise en main par Benoît qui lui demande une fellation. Isabelle s’exécute, plus du tout choquée. Elle essuie le sperme qui s’étale sur son visage distingué très « XVIe » et se met à la tâche. Elle enfourne la bite de Benoît, lui léchant le gland et lui malaxant les couilles. A ce rythme Benoît ne peut se contenir très longtemps et il éjacule très vite sur le visage de Isabelle.

Manuel et Gaston éjaculent à leur tour sur le visage de ma fille lui souillant ses lunettes de leur sperme. Mohamed ne tarde pas non plus à jouir sur le ventre de Muriel en râlant de plaisir.

Hervé et Ahmed se dégagent et m’obligent à me mettre à genoux. Je dois les masturber moi-même, une bite dans chaque main. Ils éjaculent quasi simultanément, m’envoyant des longues traînées de foutre sur mon visage. J’en ai partout, dans mes cheveux et sur mes lèvres. Ça coule jusque dans mon cou.

Nous restons tous sans voix maintenant, cette frénésie sexuelle semble terminée. Certains s’endorment, il est plus de minuit. Je me dis que nous allons enfin être tranquilles mais Ahmed lance cette proposition qui me fait frémir. Ils nous désignent moi et Isabelle et lance :

– Et si on allait dans mon sex-shop avec ces deux putes ? J’ai du boulot pour elles

Marie et Sabrina nous regardent, Isabelle et moi. Elles ont leurs regards lubriques que je connais si bien. Cette nuit de vice n’est pas près d’être terminée.

À suivre…

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