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Histoire sexe Prise dans un cercle vicieux Chapitre 11

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Quelques instants plus tard, ils retrouvent autour de la table, Jacques sert un verre, afin de récupérer. Ils trinquent, nus comme des vers, reconnaissants de la prestation que vient de réaliser son épouse. Karim lève son verre.
– À ta santé, ma Nicole !
– Santé ! Répond-elle en souriant, avant de se lever et de partir vers la salle de bains, les cuisses ruisselantes du sperme qui s’écoule de ses orifices dilatés.

Profitant de son absence Karim exprime sa jubilation.
– Tu sais Jacques, je t’envie… Elle est super, elle a drôlement changé ! C’est une vraie bombe ! Je n’en reviens pas.
-Et moi donc ! Je sais ce qui s’est passé. Tu en as fait une baiseuse hors pair, tu as fait d’elle une pute !
– Il ne Faut pas dire ça Jacques ? Je t’ai cocufier ! Oui ! Mais ce n’est pas une pute Nicole ? – Ne me raconte pas de connerie !! Je sais que tu la fais baiser avec des mecs, que tu fais payer pour ça.
– Qui t’a dit ça ? – Pierre en à parler l’autre jour, c’est comme ça que je l’ai appris ! Salaud ! Je devrais te casser la gueule !! Mais de la voir jouir avec un autre ? Me met dans un état d’excitation indescriptible…
Karim le regarde avec un léger sourire, il ce ne dit qu’il a gagné.
Le calme est revenu dans la pièce, Jacques espère maintenant qu’ils vont prendre congé, car il veut finir la soirée avec un peu plus d’intimité.
À présent qu’ils se sont bien vidé les couilles, ils n’ont plus de raison de rester.
Ricky s’est installé dans un fauteuil, les yeux mi-clos, il semble somnoler, Karim est parti aux toilettes.
Quelques minutes passent, Jacques a fini son verre.
Nicole n’est toujours pas revenue de la salle de bain, cela l’étonne un peu, il décide d’aller voir ce qui se passe.
Au bout du couloir, la porte est légèrement entrebâillée, il lui semble entendre du bruit. Tendant l’oreille, il reconnaît la voix chuchotée de Karim :
– Putain… Nicole ! Tu es bonne ! Qu’est-ce que j’aime te baiser !
– OOOORRRFF… Karim… OUIII…OUIIII…

Son sang ne fait qu’un tour, ce qu’il découvre en ouvrant la porte le fait hurler :
Elle, penchée sur le lavabo, les mains accrochées à la vasque, jambes écartées, Karim, debout derrière elle, qui la tringle copieusement.
– NICOLE ! Ce n’est pas vrai ! C’est bon maintenant !
– Calme-toi ! Lui lance Karim sans se démonter. Regarde-la… Tu ne vois bien qu’elle aime ça ! Elle prend son pied !

Dans le miroir se reflète le visage de son épouse, il connaît bien cette expression qui la transfigure.
Le regard un peu vitreux, les yeux à demi révulsés, c’est bien la jouissance qui la transporte, ses gémissements ne sont pas feints.
Karim, que sa présence ne trouble pas le moins du monde, continue de la bourrer vigoureusement, s’enfouissant voluptueusement en elle, la faisant couiner à chaque plongée de sa longue grosse queue dure et gonflée.

La vision de ce pieu de chair qui lui écartèle le vagin, la fouillant au plus profond de ses chairs, lui laisse un goût amer tout en le faisant bander.
Jacques ne peut s’en prendre qu’à lui-même, car il a provoqué ce qui se passe, mais il a perdu le contrôle, Karim profite de la situation avec un cynisme absolu.
– Il faut te faire une raison mon vieux… Ta femme aime baiser ! Tu devrais être content qu’elle aime le cul, non ? Tiens, suce-le ! Dit-il à son épouse, très directif. – Cela va le calmer !

Histoire sexe Prise dans un cercle vicieux Chapitre 11
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Obéissante elle se penche vers son mari, elle s’empare de son sexe, lequel, en quelques secondes entre ses lèvres expertes retrouve une belle érection. Sa langue, vraiment extraordinaire, fait frémir son gland, le sang afflue dans sa verge qui durcit inexorablement.
Elle s’excite de plus en plus, bousculée par les coups de boutoir de son amant, elle le suce avec un bel appétit, enfournant son sexe jusqu’à la garde. Jacques est rapidement redevenu très dur, prêt à l’honorer une fois de plus, sous le regard hilare de son collègue.

Tout cela fait du bruit et finit par alerter Ricky qui débarque à son tour dans la salle de bain.
Sans état d’âme, il se plante à ses côtés devant Nicole, le membre hérissé, il le lui enfourne dans la bouche sans trop de ménagement.
Le volume de son engin est important pour la bouche de l’épouse qui se déforme les mâchoires pour parvenir à l’engloutir.
Il faut vraiment qu’elle soit affamée pour réussir à l’absorber, mais elle y arrive et commence à le pomper, tout en lui pressant les grosses testicules qui pendent sous le membre.

On dirait vraiment des couilles de taureau, signe de la puissance qui se dégage de cet individu.
– Ouais… C’est ça ! Tu suces bien, toi ! L’encourage-t-il d’une voix rauque.
– Elle suce comme une reine, tu veux dire ! Corrige Karim. N’est-ce pas ? Interroge-t-il en se tournant vers son mari. – Tu as vraiment de la chance ! Je comprends que tu veuilles garder ça pour toi, hein !
Jacques confirme d’un signe de tête, admiratif de son épouse qui avale le membre massif avec une avidité étonnante, tandis que Ricky souffle bruyamment en la regardant faire.
Son sexe paraît énorme, avec ses grosses veines saillantes, elle manque de s’étouffer à plusieurs reprises quand il cherche à s’enfoncer plus loin dans sa gorge.

Salivant énormément, elle va-et-vient sur la bite durcie, ses deux mains accrochées aux fesses musclées de Ricky.
– Oui… Vas-y ma belle… Suce-moi bien ! L’encourage-t-il.
– C’est bon ma chérie ce que tu nous fais…

Elle les suce à tour de rôle, enfournant leurs attributs avec une envie qui fait plaisir à voir, les amenant petit à petit à la jouissance. Elle aime ça, il n’y a pas de doute.
Le spectacle qui se reflète dans le grand miroir de la salle de bains lui parait incroyable, et pourtant tout à fait réel. Dans ce petit espace son épouse, courbée en deux, les suce en alternance, tandis que son amant la baise fiévreusement par derrière.
Jamais Jacques n’aurait cru cela possible.

Passablement excité par tout ça, brûlant de désir pour elle qui comme tout à l’heure a enfoncée pas un mais deux doigts dans l’anus de Jacques qui ne tarde pas à l’honorer, l’abreuvant abondamment de son nectar brûlant, sa verge enfouie dans sa gorge.
Karim finit par jouir également, planté au creux de ses reins, lui noyant le vagin sous des torrents de foutre, en meuglant son plaisir comme une bête.
– OUUUURRR… PRRFFF… Je jouis… Tu es vraiment bonne…!

Il fait quelques allers-retours puis se retire à regret, aussitôt remplacé par son pote qui, sans la laisser souffler, saisit Nicole par la taille, la tourne vers la baignoire, plus basse, sur laquelle il la fait se pencher. La croupe maintenant bien relevée, la femme se fait littéralement saillir par Ricky qui la pénètre d’un coup de rein puissant, en lâchant un râle de satisfaction.
– Ouais… Voilà ! Ça, c’est bon nom d’un chien ! S’exclame-t-il en les regardant.

Il la pilonne avec une énergie féroce, soufflant comme un animal, lui ravageant le ventre à coups de reins puissants. La sueur perle sur sa peau, sous laquelle se dessine une musculature impressionnante. Solidement campé sur ses jambes musclées, le fessier contracté, il révèle une virilité vigoureuse, presque sauvage.

Ses mains accrochées fermement aux hanches pulpeuses, il embroche littéralement la femme sur son dard, la faisant hurler de plaisir.
– Qu’est-ce que j’avais envie de baiser ! Nom d’un chien…. J’en veux encore !
– OOOUUCCHHH…MOUIII ! FIIIOUUU…AAARRHH….. C’est bon !
– T’es bonne toi… Tu la sens bien ma queue, hein ?
– FFOOUUII… OOOOHH ….. OUIIIII !
– Elle aime ma queue, ta femme… Dit-il en regardant Jacques dans les yeux. – Elle aime les grosses queues !

Histoire sexe Prise dans un cercle vicieux Chapitre 11
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Jacques reste impressionné par le volumineux braquemart qui la défonce, lui écartelant son puits d’amour, s’enfonçant elle jusqu’à la garde, les couilles venant frapper ses fesses nues avec un claquement sonore.
Elle doit ressentir des choses qu’elle ne ressent pas avec lui, c’est sûr, ses cris résonnent dans la salle de bains, comme autant de louanges pour une jouissance inégalée.

Ricky ne ménage pas sa peine, baisant l’épouse avec une détermination farouche, presque violente, en mâle puissant déterminé à couvrir sa femelle. Il y a quelque chose d’animal en lui, à la fois inquiétant et excitant.
– Tu aimes ça, hein ? Demande-t-il dans un rugissement de bête fauve. – Tu aimes que je te baise avec ma grosse queue !
– MMOUUIII… OOOORRR… MMMOUIIII ! Crie-t-elle, le corps secoué par les assauts de son partenaire. – J’aime ta grosse bite….
– AANNN H ! Qu’est-ce que tu es bonne toi ! C’est bon de te baiser….

Son orgasme le submerge bientôt, dans un cri de jouissance absolue, il explose en elle, ajoutant sa semence à celle de Karim.
La femme accueille cette nouvelle offrande qui déferle au fond de son ventre en gémissant longuement, son regard planté dans celui de son mari qui peut lire dans ses yeux tout le bonheur que cela lui donne.
– OOOOORRR… AAAARRRFF…. Mon amour … C’est trop bon ce qu’il me fait … Lâche-t-elle dans un râle essoufflé, prise de violents tremblements qui parcourent son corps tout entier.
Jacques sait à cet instant qu’elle jouit à une fois de plus, comblée par cette queue massive et énergique qui remplit si bien son puits d’amour…

Ricky, tous muscles bandés, la bourre profondément, se vidant les couilles à son tour, le regard qu’il échange avec Karim en dit long sur sa satisfaction.
Il reste un moment immobile, couché sur l’épouse, intimement soudé à elle, reprenant son souffle, lui caressant les seins, s’imprégnant une dernière fois de la douceur de sa peau, de ses formes généreuses. Redressé, il lui flatte la croupe, en la félicitant d’une voix admirative.
– T’es vraiment un bon coup toi… Il a de la chance ton mari !

Du bout des doigts, il recueille le foutre crémeux qui s’échappe de la chatte dévastée et les fait lécher à Nicole, qui semble apprécier.
– Tu aimes, hein ? Questionne-t-il. Tu dois être contente, on t’a bien remplie, tu sais…
– Qu’est-ce qu’elle est bonne… Putain ! Dit-il en regardant son mari d’un œil envieux.

Jacques ne sait pas s’il doit se réjouir de son sentiment, ou au contraire s’il doit se méfier, d’autant qu’elle a pris un super pied, c’est évident, le retour à la réalité risque de ne pas être en sa faveur.
Mais il ce dit que les sentiments qu’ils ont l’un pour l’autre compenseront certainement les différences physiques.
De retour au salon, ils trinquent à nouveau, histoire de se rafraîchir, échangeant quelques plaisanteries et vantant surtout les mérites de Nicole.

Jacques a hâte que leurs visiteurs prennent congé, qu’il puisse retrouver leur intimité et montrer à sa femme tout l’amour qu’il a pour elle.
Il règne toujours dans la pièce une atmosphère particulière, une sensation un peu sauvage faite d’excitation et de désir auxquels se mêle le sentiment d’une situation peu banale, comme un tabou brisé. Jacques se rend compte qu’ils arborent tous encore une belle érection, attisée certainement par la plastique alléchante qu’elle leur dévoile.
Ses formes plantureuses, pleines de promesses, le font fantasmer, tout comme elles doivent faire fantasmer les deux autres qui ne la quittent pas des yeux, le regard brillant de convoitise.

Karim murmure quelques mots à l’oreille de Nicole ? Sans mot dire elle s’allonge sur la table basse du salon, elle les regarde à tour de rôle, les yeux inondés de désir. Les cuisses écartées, elle leur laisse contempler sa fente trempée et dilatée, tandis qu’elle se caresse les seins, roulant les grosses pointes brunes entre ses doigts.
Jacques ne peut que constater qu’elle est vraiment bandante dans sa nudité offerte à leurs regards, sans gêne, mais sans vulgarité non plus.
Elle ne dit rien, mais ils sentent tous qu’elle n’est pas totalement rassasiée et attend d’être prise une nouvelle fois, d’être remplie de leurs sexes sur lesquels son regard s’attarde, les jaugeant l’un après l’autre.

Karim s’approche d’elle, le membre érigé, lui replie les jambes sur le ventre la forçant ainsi à basculer le bassin, dégageant largement son intimité, frotte un instant son gland contre sa fente humide puis glisse vers son petit œillet, qu’il force lentement, mais sûrement.
La longue grosse bite disparaît peu à peu dans l’anus de la femme ne laisse pas indifférent son mari, il a bien du mal à réprimer le sentiment de jalousie qui monte en lui.

Le membre de Karim s’enfonce en elle très facilement, regardant son époux du coin de l’œil, avec un léger sourire sur les lèvres, il la sodomise, lui arrachant quelques plaintes étouffées.
– Tu aimes ça, ma salope… Hein ? Demande-t-il doucement

Elle ne répond pas, se contentant de le fixer avec un regard qui en dit long sur le plaisir qu’elle ressent en se faisant pénétrer par la belle queue bien dure de son amant, mais Jacques a bien vu un léger mouvement de tête qui veut dire oui.
Jacques se plaît à imaginer les sensations prodiguées par le pieu de chair qui lui laboure les entrailles, la fouillant profondément dans un va-et-vient régulier et continu.
Sa longueur doit lui permettre d’atteindre des zones qu’il n’atteint pas, et par là, provoquer de nouvelles sensations pour son épouse qui pousse des petits cris chaque fois qu’il est au fond.

Ses gémissements l’électrisent, Jacques a, à nouveau une trique d’enfer qui lui fait presque mal, il n’a bientôt qu’une envie, la prendre à son tour.
Jacques se lève, et vient l’enjamber, face à son collègue, et guidant son sexe d’une main, il prend possession de son puits d’amour dans lequel il glisse quasiment à la verticale, plongeant dans les profondeurs chaudes et humides.
Jacques sent contre sa bite le frottement de celle de Karim, retrouvant cette sensation nouvelle pour lui, le contact d’une autre queue, bien dure contre la sienne de l’autre côté de la fine membrane qui sépare les deux orifices.

Leur corps est à se toucher, ils se sourient, heureux de partager des sensations exceptionnelles, conscient du plaisir qu’ils donnent à sa femme en la baisant ainsi, sa jouissance démultipliée par l’action vigoureuse des deux bites. Son plaisir monte inexorablement, ses râles se font plus bruyants, tandis qu’elle s’accroche à mes jambes avec force. Jamais Jacques n’aurait pensé la baiser ainsi, c’est un pur bonheur !

Leurs bites la pénètrent en alternance, sans lui laisser le moindre répit, tels deux increvables pistons qui lui fourragent le ventre et les reins de fond en comble.
Jacques a l’impression que sa bite est énorme, formidablement gonflé d’une envie de la baiser comme jamais il l’a baisée, il s’enfonce en elle, profondément, intensément, galvanisé par la situation et le plaisir qu’elle manifeste.

Ricky enjambe à son tour son épouse, en leurs tournant le dos, l’oblige à avaler sa grosse queue, et se met à lui baiser la bouche, bien calé sur ses cuisses repliées.
Le membre épais et gonflé, avec ses grosses veines saillantes, plonge à la verticale dans la gorge distendue, dans un flot de salive qui s’étire en longs filets blanchâtres à chaque fois qu’il ressort.

Elle a lâché ses cuisses, jetant son dévolu sur les bourses pendantes pour en malaxer les gros testicules. Ricky n’est pas insensible au traitement, et l’exprime bruyamment.
– OURRAIS…. C’est ça ! C’est bien comme ça……Tu sais y faire toi….. Il n’y a pas de doute ! S’exclame-t-il.
Il ne la laisse presque pas respirer, tout à sa jouissance de lui ramoner la gorge, ses mains lui maintenant la tête pour mieux la posséder.
Pendant un long moment, ils baisent l’épouse, lui ramonant tous ses orifices, sans qu’elle cherche à se libérer de leurs étreintes, étourdie par la jouissance donnée par les trois bites qui la fouillent passionnément.

Jacques découvre en elle des ressources incroyables, il en tire une certaine fierté vis-à-vis des deux autres, lesquels se souviendront longtemps de cette soirée, il en est sûr.
Jacques sait qu’il vit un moment très particulier qui lui procure une jouissance incomparable et il sait qu’il en est de même pour son épouse.
Il pense que oui, à en juger les râles de plaisir qui fusent de sa gorge encombrée et des frissons qui parcourent son corps de plus en plus intensément.

Elle me semble carrément en transe, bousculée, dévastée, s’abandonnant sans réserve aux assauts de trois mâles déchaînés, ivres de désir, déterminés à la posséder une fois de plus.
Leurs jouissances éclatent presque en même temps, ils l’inondent une fois de plus de leur semence, indispensable offrande pour le plaisir qu’elle leurs donne.
Jacques regarde avec émotion ses orifices saturés dégorger le trop plein de foutre qui s’écoule lentement en long filet crémeux entre ses fesses, formant une petite flaque sur la table.

Qu’est-ce qu’on lui a mis, pense Jacques, elle a vraiment reçu une sacrée ration ce soir.
Ricky lui a déversé dans la gorge son nectar brûlant, la faisant presque suffoquer, mais elle n’en laisse rien perdre, elle avale la totalité du précieux liquide, léchant le membre gluant de foutre avec une avidité presque folle, jusqu’à la dernière goutte.
Jacques découvre avec étonnement à quel point elle aime le sperme, ce qui n’est pas pour lui déplaire, loin de là. Il l’aide à se relever, elle l’enlace et l’embrasse. La bouche de Nicole est chaude, leur langue se mélangent en mélangeant les restant de sperme de Ricky additionné de salive. Cela dure un bon moment, a aucun instant, Jacques ne sait soustrait à ce baisé charger de mélange.

Les AMANTS sont enfin partis, ils finissent la soirée intimement.                                                        – Alors mon chéri !! Ça te plaît de savoir que ta femme, c’est faite baiser par d’autres. Ta jolie femme toute douce, comme une vraie salope ? Me demande Nicole.
Jacques en peignoir hoche la tête. Elle s’agenouille devant son mari, elle prend en bouche sa queue devenue flasque. Mais après dix minute de labeur, la verge, c’est enfin raidie.
– Encule-moi mon chéri !!!

Elle se met à quatre pattes. Jacques se présente derrière sa femme qui se retourne et l’embrasse. Il sent encore le sperme dans sa bouche. Le sperme d’autres hommes !
– Allez va y mon chéri ! Je te veux en moi….

Il rentre sans peine sa bite dans son cul et sent le sperme de ses derniers visiteurs. Unis, l’épouse se déchaîne encore, l’emmenant vers des sommets de plaisir. La copulation dure très longtemps, car les bourses de Jacques sont presque vides.

Après une bonne douche, ils vont ce coucher. – Alors ! Depuis quand tu sais que je te trompe avec Karim ? – Depuis que tu t’es fait sauter par lui et son père. – Comment tu as su ? – Ça faisait un bon bout de temps que je trouvais tes sorties avec soi-disant tes copines un peu louches. Toi qui avant, que j’invite Karim à la maison, ne sortait jamais sans moi. Ce soir-là tu avais une réunion de copines, j’avais dit que j’allais faire un ciné.

Mais je t’ai suivi. Je t’ai vu rentrée dans une maison, que j’ai espionné, là je t’ai vu avec Karim et avec son père, surtout quand ils t’ont prise en sandwich. – Tu m’en a jamais parlé ? – Non ! J’espérais que c’était un égarement passager. Mais quelque jours plus tard, ici même c’est avec l’ami Pierre je t’ai vu et que j’ai entendu que tu faisait ça régulièrement avec d’autres pour le compte de Karim et que tu aime ça !

– Oui !! C’est vrai mon chéri, c’est Karim qui m’a entraînée dans cette débauche de sexe dont je ne puis me passer. Mais sache que c’est toi que j’aime plus que tout. Je veux finir ma vie avec toi, es ce que tu me gardes malgré tout ça ?? Après quelques minutes de réflexion …

– Je suis un cocu certes ! Je t’aime toujours, tu peux rester avec moi si tu m’aimes encore ?

– OH !! Oui. Je t’aime encore et toujours ? Mon Jacques que j’aime….Ils se sont endormis sur ses belles promesses.

A suivre

Sam Botte

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