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Histoire sexe Prise dans un cercle vicieux Chapitre 13

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Jacques le mari de Nicole, vient de descendre de son véhicule. La semaine en déplacement a été écourtée suite à un incident technique, il vient a l’adresse que lui a donné son copain qu’il a chargé de surveiller sa Nicole en son absence.
Ne sachant pas trop où trouver l’entrée de l’immeuble où se dévergonde sa femme, il entre directement dans un bar pour la localiser. Il se présente directement à l’homme qui tient la boutique en l’absence du patron. Ce dernier l’oriente vers l’arrière court un étrange sourire en coin.
-Vous trouverez la pu… Petite dame, au deuxième étage, Monsieur !

Pas certain d’avoir compris les allusions de l’homme, Jacques, longe le couloir adjacent à la cuisine, repère du coin de l’œil un vieux et son clébard, puis se dirige vers la cage d’escalier. Il aperçoit la lumière allumée du deuxième. Il sait qu’elle le trompe avec son collègue Karim.
– OOUUUUAAHH !. AAAARRRFFF ! OUIIIIII !
Jacques imagine bien sa Nicole en train de se faire prendre par son copain dans un appartement voisin ! Elle pourrait être plus discrète cette garce !

Sa déceptions et sa colère monte à mesure qu’il s’approche du second pallier. Les cris de jouissance se font plus fort et bien plus précis.
-HAN HAN, Oui prenez-moi comme une pute ! Qu’est-ce que c’est bon ! OUUIIIII ! Défoncez-moi bien le cul, je suis votre pute !
Il la reconnaît, il n’en revient pas, c’est sa femme qui braille comme une truie en chaleur ?

La mort dans l’âme, gagné par le désespoir de ce qu’il va découvrir en franchissant le seuil grand ouvert de cet appartement, il franchit le seuil. Et là, c’est le choc, son esprit semble flotter au-dessus de son corps inerte. Il s’arrête au niveau de la porte ouverte de la chambre, il observe incrédule, il y a deux hommes, en train de prendre en sandwich sa femme, avec les seins lestés, elle à l’air, secoués dans tous les sens sous les coups de bite.

Qu’est devenue son épouse ? Pour Jacques, c’est le choc de trop, il se laisse tomber au sol.
BOUM !
-AARRFFF…. (silence) JACQUES ?
Nicole, coincée entre ces deux amants, met un peu de temps à réaliser la présence de son mari. Les deux compères se retire de son anus dans un bruit de succion, Karim s’installe nonchalamment aux côtés de son cousin. Les deux montagnes de muscles se servent une nouvelle vodka et la sirotent la queue à l’air, et toujours bien dure.

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Pathétiquement, Nicole tente de se relever et se dirige douloureusement vers son mari, les seins à l’air dans son corset, les masselottes pendant nonchalamment au bout de ses seins, perchée sur ses aux talons aiguilles, la chatte et l’anus dégoulinant entre ses jambes gainées de résilles.
-Mais ?? Mon chéri……… Qu’est-ce que tu fais là………. Tu sais que Karim et moi ?

« VLAN » La gifle, surprend Nicole autant qu’elle lui fait mal. Mal physiquement parce que son mari, bien que moins baraqué que son amant, a une sacrée poigne, elle fait aussi mal psychologiquement de s’être fait surprendre dans cet état de débauche par le seul homme qu’elle a toujours aimée, le père de ses enfants.

Elle assume totalement son statut de femme en chaleur, surtout après les expériences de ces dernières semaines, mais elle aurait préféré qu’il n’en sache rien.                      – Tu es un salaud Karim !!! Me faire encore ça…. Moi qui te prenais pour un ami ???                                                                                                                                        – Ne me dit pas que tu ne savais pas !!…… Quand tu nous as espionné chez moi l’autre soir, tu as bien vu que je n’ai pas forcé ta femme à baiser avec mon père. Que veux-tu ??? Elle aime se faire défoncer par des grosses bites, il faut t’y faire !!!!!!!!

Blessée de s’être fait surprendre de la sorte, quasiment à poil, elle tente de prendre son mari dans ses bras sans aucune pudeur, naturellement comme une femme ferait un câlin à son mari. Mais le déclic a été plus profond que ne l’avait imaginé Jacques. Au contact de la poitrine nue de sa femme sur son torse, au travers de sa chemisette, il sent les effluves de cyprine et de sexe émaner de son épouse. Il laisse alors exprimer les désirs enfouis qu’il a pour sa femme. Il se rappelle quand ils ont fait l’amour avec Karim et Ricky, il bandait à mort et il a participé à la saillie. Elle lui avait promis quelle ne baiserait que rarement avec son Karim et qu’avec lui seulement. Là, il la découvre avec Karim et un autre homme ??

Il glisse sa main droite le long du corset, et laisse sa main gauche descendre sur les chairs charnues de son cul, il attrape son sein gauche à pleine main et doucement, tendrement, l’embrasse sur ses lèvres pulpeuses.
– OH !! Mec, te gêne pas surtout mets-y la langue, elle baise comme une pro ta femme !!
Ne se faisant pas prié, il roule une pelle bien baveuse à sa femme tout en dirigeant son majeur droit entre les fesses encore luisantes des assauts de ses amants.

Il s’approche doucement de la petite porte qui est déjà en train de se refermer. Le contact de ce doigt fait réagir l’infidèle, c’est son mari qui approche son intimité, provoquant un vague de frissons sur tout son corps.
Ses tétons sensibilisés par le traitement des petites pinces, durcissent. Elle inspire un grand coup et se raidit au moment où d’un geste synchronisé, Jacques pénètre l’anus de son infidèle de femme et tire violemment sur la chaînette pinçant la pointe de sein gorgée de sang. Elle se détend instantanément se délectant de ce contact à la fois doux et brutal.

Elle se raidit de nouveau, une troisième main vient de lui asséner une énorme fessée, c’est Max qui s’est rhabillé et qui passe à proximité des deux conjoints, la queue encore à moitié durcie oscillant nonchalamment sous le tissu de son short.
– Je vais chercher des bières et des pizzas, grouille toi de la sauter, je n’ai pas fini avec elle !

– Au pied Brutus !

Le gros chien, qui est resté sagement dans la chambre, effleure la cuisse de Nicole de sa grosse truffe humide. D’instinct, il renifle la femelle en chaleur en train de se faire doigter par son mari.
-Ha ha ha, vas-y tourne là un peu vieux !
Jacques ne se fait pas prié, il a bien compris où voulait en venir ce connard. Il lâche le sein et la bouche pulpeuse de sa femme, il lui doigte l’anus à la verticale avec ardeur, se place sur le côté. Elle aime se faire doigter par son mari, elle ferme les yeux et ouvre la bouche de plaisir, elle s’appuie sur cet homme qui partage sa vie, la tête penchée en arrière en appui sur son épaule musclée, se laisse guider aveuglément croisant les mains derrière la nuque de son mari. Il glisse sa main libre sous la cuisse musclée de sa femme, descend jusqu’au derrière son genou et le soulève lentement pour en exposer son puits d’amour.

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Le chien plaque alors sa grosse truffe humide sur la grotte bien ouverte et luisante de mouille, il se met à la lécher de sa grosse langue rugueuse. Elle panique, son cœur s’emballe, ce chien l’effraye, elle en a peur. Elle tente de se libérer, mais Max maintient ses mains fermement derrière la nuque de son mari. Jacques lui aussi retient sa femme, il soulève encore plus sa cuisse pour l’empêcher de se débattre, et lui plante un deuxième puis un troisième doigt dans l’anus.
-Détend toi ma belle salope, laisse-toi faire, ne lutte pas ! Tu vas prendre ton pied !

Quelque chose de rassurant dans la voix de son mari l’empêche de paniquer. Comme tout ce qui lui arrive depuis ces derniers jours, elle prend malgré elle son pied à se faire fouiller l’anus par son mari, elle commence à ressentir les bienfaits de cette grosse langue chaude, humide et rugueuse qui lui lèche la moule et le clitoris comme aucun homme auparavant. Et au moment où elle commence à vraiment prendre son pied…
-Allez Brutus, assez ! On va chercher à bouffer !

La pression se relâche sur ses poignets, le museau canin lui libère le minou, elle se retrouve de nouveau sur sa faim, pantelante, dégoulinante de cyprine, flageolante en équilibre sur un talon, en appui sur son mari. Elle est sur le point de défaillir. C’est une vraie torture que lui infligent les deux hommes depuis le début de la soirée, elle n’a encore avalé aucune une goutte de sperme.
Jacques libère sa cuisse, il retire ses doigts de l’anus dilaté. Cherchant un peu de réconfort, elle tente de se blottir dans ses bras, mais ce dernier ne lui retourne pas la pareille.

Elle tente de le comprendre, mais note une nouvelle froideur dans son regard devenu sombre.
– OH !! Jacques, viens me rejoindre ! Et ramène ta femme pour qu’elle s’occupe un peu de nous !
Jacques se détourne de sa femme, il attrape les petites chaînes pincées sur les tétons de son épouse. Il se dirige vers le salon, tirant d’un coup sec sur les chaînes, signifiant à l’infidèle de le suivre. Leur relation est en train d’évoluer et prend une tournure qu’elle n’avait pas anticipée. Un peu perdue, et encore flageolante des derniers traitements qu’elle vient de subir, elle le suit sans résistance.

Jacques, le mari de notre Nicole, pensait trouver sa femme entrain de copuler avec son collègue Karim, mais il la découvre en train de se faire sauter par les deux cousins. Sa femme est prise en sandwich par les deux hommes qui ont fourrés ensemble leur bite dans son anus. Elle est devenue une vraie salope. Alors, lorsqu’il la sentit contre lui, un déclic se fait en lui et il ne voit plus sa petite Nicole chérie, mais une salope de chienne juste bonne à le sucer et se faire défoncer par des grosses bites bien dures.

Il se dirige vers le canapé où Karim les attend un verre à la main. Il tire sa femme par les petites masselottes, mais les pinces glissent sur les tétons, déjà endoloris de la femme. Lorsqu’il arrive au niveau de son amant, les deux objets de tortures ne tiennent plus que sur la pointe des tétons de la belle.
-Aïe, chéri, ça fait trop mal là ! S’il te plaît retire les !

Étonne, Jacques n’éprouve aucune émotion envers sa femme. À ce moment précis, elle n’est plus qu’objet de plaisir à ses yeux. Et pour couronner le tout, il éprouve un immense plaisir à la voir ainsi, démunie, fragile, quasi-nue, offerte avec ses seins prisonniers de leurs petites pinces. Un clin d’œil complice en direction de son collègue, il tire d’un coup brusque sur les deux masselottes.
-Aïe ! Putain ! Mais ça ne va pas! Elle hurle de douleur.

VLAN ?? Jacques délivre une nouvelle gifle à sa femme. Le regard froid, il la force à s’agenouiller à ses pieds, puis descend son visage au niveau de la belle.
– Ma salope, tu vas être bien gentille avec moi ! Ça fait des semaines que je t’ai vu te faire baiser avec Karim et son père et aussi Ricky à la maison. Maintenant que je sais à quel point tu aimes la bite dans n’importe lequel de tes trous, je vais bien m’occuper de toi, je te trouverais aussi des chiens s’il t’en faut plus !!! Tu vas tout faire pour nous satisfaire, moi et tes amants, compris ???

Nicole voudrait pleurer, se cacher, s’enfuir, mais non, tout ce que son cerveau envisage, c’est la possibilité d’avoir trois belles bites pour elle toute seule. Résignée et heureuse en même temps, elle caresse le visage ravagé de colère de son marie et l’embrasse tendrement sur la bouche. Jacques lui retourne son baiser, puis se redresse et lui ordonne de s’occuper de sa bite.
Docile elle défroque son mari en prenant tout son temps afin de savourer le moment où elle dévoilera ce morceau de chair. La bite bien dure de son mari bondit sous le nez de Nicole.
– Fait voir ce que tu sais faire, ma belle !

Elle continue de descendre le caleçon de son mari, elle se met à masturber lentement l’engin, appréciant le volume et la masse de chair qu’elle a entre les doigts. De sa main libre, elle caresse avec douceur les bourses qui se contractent à son contact doux et chaleureux.
Jacques regarde sa femme de haut et d’un grand sourire l’encourage à reprendre. Elle décalotte le gland rougeâtre de son mari, elle continue la masturbation du morceau de chair, embrasse la belle fraise gorgée de sang et lui titille le frein du bout de la langue. Elle prend les couilles en main et lui caresse le périnée du bout des doigts. Jacques se cambre et grogne de plaisir sous les attouchements de sa femme. La belle aspire et joue avec le gland, accélérant le mouvement de sa main sur le vit dur comme une barre de fer.

Il emprisonne la tête de sa femme entre ses mains et commence à lui baiser la bouche par petits à-coups pour qu’elle apprécie le traitement, elle lui aspire la bite goulûment, on entend le bruit humide ponctué de temps à autre de bruits de succions.
-Jacques, tu peux y aller franchement. Cette pute s’est déjà farcie des bites plus grosses bien au fond de la gorge.
-Mais t’es vraiment une traînée ! Tiens bouffe ça putain de salope !!! Lui lâchant ces mots cruels, il l’attrape par ses cheveux et d’un coup de reins violent se cale bien au fond de la gorge de sa femme.

Elle est surprise par la violence soudaine de son mari, elle a bien du mal à avaler sa bite. La bouche toujours pleine, elle crache de gros filets de baves à la base de la verge et sur les boules. Jacques sent l’œsophage de sa femme se resserrer autour de son gland, il jubile, jamais elle ne l’avait encore pris en gorge profonde. Mais elle n’en est pas à son coup d’essai, elle détend ses muqueuses et aspire cette nouvelle bite bien à fond.

Son mari passe ses deux mains derrière le crâne de son épouse, il s’aventure toujours plus profondément au fond de cette gorge ouverte. Elle sent le gland descendre dans son œsophage, ça ne lui déplaît pas, elle aime maintenant qu’on l’utilise comme un vulgaire jouet sexuel, mais cette fois, c’est la bite de son mari qu’elle aspire, elle sent sa chatte s’ouvrir comme une fleur. Elle se pince la pointe des seins encore endoloris et descend son autre main fouiller son intimité.

Elle caresse son petit bouton, à présent bien gonflé de sang et tout sensible sous ses caresses de plus en plus pressantes. Elle relâche la pression sur ses tétons et commence à se fouiller la chatte. Son mari commence à lui baiser la gorge, lentement d’abord afin de bien sentir chaque coup de queue, elle accélère sensiblement les mouvements de rotation sur son clitoris et caresse ses lèvres ouvertes et dégoulinantes de cyprine. Il accélère la cadence et à présent qu’il lui baise bien la bouche, elle se fourre deux doigts dans la chatte et se masturbe en rythme avec les coups de queue dont la gratifie son époux.
-AAARRFF! Putain ! Vas-y pouffiasse avale-moi bien !

Alors que son mari lui fouille la bouche, elle synchronise sa respiration pour mieux contrôler ses envies de vomir. Sa bave couvre la bite de Jacques, elle lui dégouline sur les couilles se mélangea à ses poils. Elle lâche son bouton et attrape la base de la verge qu’elle extrait presque intégralement de sa bouche, un long filet de salive lui dégouline sur le menton. Elle peut admirer le morceau de chair luisant et en reprend la masturbation dans un bruit bien baveux en rythme avec sa fellation.

Jacques n’en revient pas, sa femme, si douce, si gentille est en train de lui administrer la meilleure pipe de toute sa vie. Il sent la sève monter il aurait envie de se vider au fond de cette bouche pulpeuse, mais il veut la monter, la sauter, l’enculer, la baiser. Il se retire brusquement de la bouche douce et chaude, laissant sa femme pantelante à ses pieds. Elle, toujours bien chauffée par les attentions de son mari, ferme les yeux, prend appui au sol d’une main, et, bien cambrée en arrière, la poitrine gonflée, se doigte la chatte avec frénésie en se mordillant la lèvre inférieure de plaisir sous le regard ravi des deux compères.

Karim heureux d’en avoir fait une soumise, sourire vicieux, un verre plein à la main, observe la belle soumise se donner en spectacle sous le regard gourmand de son mari. Sa grosse bite reprend de la vigueur devant la promesse de l’orgie qui se prépare. Il interpelle son nouveau collègue de travail et de baise.
-Alors vieux, tu veux la monter cette pute ?
– Pas qu’un peu, tu en as fait une salope de ma femme et je compte bien en profiter !

Dans son extase, elle extrait ses doigts trempés et frotte ses grandes lèvres gorgées de sang de droite à gauche avec frénésie. Le désir monte et enfle au creux de ses reins et dans son ventre. Une chaleur sourde l’envahit par vagues, elle tend son bassin vers l’avant et c’est l’explosion, elle vient de se faire jouir comme jamais au pied de son mari et de son amant. Ses cuisses ne la soutiennent plus et sont prises de convulsions incontrôlables. La soumise s’effondre au pied de ses mâles.

La bite dure comme l’acier de voir sa femme se donner en spectacle de la sorte, Jacques s’approche de Nicole. Elle s’allonge sur le sol et caresse sa chatte dégoulinante de mouille. Gourmande et souriante, elle regarde son mari s’accroupir vers elle, il remonte un doigt trempé à la bouche. Elle attrape la grosse bite entre ses jambes fléchies et le masturbe avec douceur.
-Allez ma pute, il est temps que je m’occupe de ton cul moi aussi ! Il embrasse sa femme puis se redresse pour se rendre dans la chambre.

Quelques instants plus tard, il revient portant le matelas pour le déposer au milieu du salon. Il se dirige ensuite vers l’infidèle pour s’accroupir de nouveau et la soulever. Il l’allonge ensuite et sans autre forme de procès, lui écarte les cuisses, aligne sa queue bandée avec les petites lèvres encore luisantes et l’embroche d’un grand coup de reins jusqu’à la garde.
– Prends ça salope !
– OOOOOH OUIII! Mon chéri !!! Baise ta salope de femme bien profond !!!

Et c’est ainsi que le mari prend enfin possession de la chatte de sa femme infidèle. Il se redresse pour admirer la grotte de sa femme écartelée autour de son membre, il se retire en douceur. Il a toujours aimé observer les lèvres luisantes de sa vulve autour de son pieu. Il se régale à sentir les muqueuses tendres, chaudes et lubrifiées, glisser sur son gros gland. Lorsque enfin il ressort de son puits d’amour, il la pénètre de nouveau d’un coup et entreprend de la baiser violemment. Il se délecte de l’entendre gémir à chaque coup de queue.

Alors qu’il sent sa femme sur le point de jouir une nouvelle fois, il se retire brusquement, mais ne laisse lui pas le temps de réagir, il la retourne, lui soulève la croupe et d’une main, écarte les deux lobes fessiers pour exposer l’anus de sa chérie. De sa main libre, il attrape son membre dur et lubrifié de mouille et présente son gland à l’orée de la pastille striée. À l’instar de Karim il y a quelques instants, il presse sa queue sur l’orifice et sent les muqueuses s’écarter et épouser la forme de sa bite.

Une fois le gland bien au chaud dans le cul ouvert de la femme, il se redresse et lui encercle la taille pour bien lui cambrer les reins. La femme, qui n’en est pourtant pas à son coup d’essai à bien du mal à accepter cette nouvelle queue. Elle se détend un max, elle pousse de son mieux pour ouvrir l’entrée de ses reins. Elle retrouve enfin cette douce sensation de plaisir et de douleur mélangés.
– OOHH !! Oui vas-y mon chéri ! Encule-moi à fond ! Je suis toujours à toi !

Inexorablement, Jacques s’enfonce dans les entrailles de sa femme. – Cette traînée est aussi bonne à prendre par devant que par derrière ! Il entreprend alors une sodomie douce et profonde. Il veut savourer ce cul bien serré. Elle n’en revient pas, son mari s’applique à l’enculer en douceur pour la faire jouir. Ça n’avait rien à voir avec la brutalité des deux cousins.

Elle sent ses sphincters épouser les formes généreuses de la bite de son époux. Elle le sent progresser lentement, inexorablement dans ses entrailles pour son plus grand plaisir.
Une fois bien au fond de sa femme, il se délecte quelques instants de l’étroitesse du canal qui enserre sa queue. Il s’active ensuite avec douceur dans ce trou bien chaud. Il relâche la pression sur les reins creusés de sa femme, puis lui écarte les lobes fessiers afin de contempler les sphincters enserrant sa queue.

De nouvelles vagues de chaleur envahissent le ventre de Nicole, elles l’accompagnent dans sa fièvre alors que son conjoint s’active dans ses boyaux. Elle sent monter une jouissance sourde au creux de ses reins, mais cela ne lui suffit pas. Elle en veut plus, de sa main droite, elle se masturbe le clitoris avec vigueur.
-HUUMMM ! Qu’est-ce que c’est bon mon chéri. AAGGNN !! Bourre-moi bien ! Vas-y ! Oui, c’est ça! Puni ta salope de femme !!! OOUIIII !!! Ça vient OUIIIIIIII !

Jacques ne se fait pas prier, il laboure littéralement les reins de sa femme, son ventre tendu, le ventre en avant, claque sur ses fesses rebondies à chaque coup de reins. Sa femme tremble de jouissance sous son poids. Malheureusement il n’a pas l’endurance du tunisien, il doit mettre fin à son pilonnage s’il ne veut pas se vider dans les entrailles douces et chaudes de sa Nicole.
-AAAAAHH………OOOOOOOHH………..CHERIIIIIIIIIII !!!!!
La voix de Nicole, comme son corps, tremble encore sous l’effet de la jouissance, les vagues de fièvre allant et venant au creux de ses reins alors que son mari se retire de son cul dans un bruit de ventouse.

Il admire sa femme, allongée le cul en l’air, l’anus ouvert, s’astiquant la chatte dans un floc floc humide. Il se penche à l’oreille de sa femme qui continue de se branler, tentant frénétiquement de jouir de nouveau.
-Allez salope, si tu t’occupais un peu de notre ami !
Il la porte contre lui et se dirige vers Karim. Ce dernier se redresse, il a compris où veut en venir son collègue, il crache dans sa main et se lubrifie la bite. Elle aperçoit le membre dur et luisant apparaître puis disparaître dans la main de son amant.
-C’est parti pour un deuxième round ma pute. Le rictus de Karim s’élargit lorsque que Jacques dépose sa femme sur son ventre.

Elle se retrouve assise sur le ventre du tunisien, lui tournant le dos, les jambes toujours prisonnières de ses résilles et de ses talons aiguilles, de part et d’autre de ses cuisses. La femme fait face à sa grosse bite et en bonne gourmande, écarte sa main pour prendre le contrôle. Elle astique le barreau de chair entre ses doigts encore humides de sa mouille.

Elle écarte bien les cuisses, la pointe de ses chaussures en appui sur le bord du canapé, ouvrant ainsi sa grotte. De sa main gauche, elle attrape la main du tunisien et la dirige vers sa moule. Elle s’allonge à plat dos sur son invité et lui susurre :
-Vas-y mon mac, branle-moi bien ! Fais-moi mouiller !
Ne se faisant pas prier, il lui plante deux doigts dans la chatte et la branle frénétiquement. Il ne fait pas vraiment jouir la belle, mais elle mouille abondamment. Il ressort ses doigts aussi brusquement qu’il les a plantés et les dirige vers la petite porte encore ouverte.

Elle s’appuie d’une main sur son torse et de l’autre dirige le gland à l’orée de son petit trou. Le tunisien retire ses doigts de l’anus distendu, et elle soulève son bassin pour aligner la porte de ses reins sur la queue tendue. Elle est prête, elle s’empale d’elle-même sur le membre massif.
-OUUUCHH! Oui ! RROUU…. Quelle est bonne !! Vas-y encule-moi bien !
Le Karim l’attrape par la taille, s’affaisse sur le canapé pour dégager ses reins et avoir une meilleure amplitude. Les pieds de Nicole étant toujours sur le canapé, ce mouvement augmente encore l’écartement des cuisses de la belle. Il a maintenant la liberté de la baiser à sa guise et se lâche sur l’anus qu’il ravage sans ménagement.
-OUOUOUH! Oui, RRROOOO !!! Baise-moi fort !

Elle a oublié à quel point son amant est sodomite, mais grâce au travail préparatoire de son mari, elle peut encaisser les coups de bites. Elle a envie de cette queue et anticipe chaque coup de bite. Des décharges électriques lui parcours l’épine dorsale chaque fois qu’elle s’empale sur lui. Elle hurle une nouvelle fois de jouissance.
– OOOOHH !!! Vas-y ma pute, empale-toi bien à fond !

Jacques se plante devant les deux amants et fourre sans ménagement deux doigts dans la chatte dégoulinante de sa femme. Il attrape les cuisses de sa femme, la privant de ses appuis. Elle s’empale sur le pieu de chair et se cambre de jouissance. Son mari lui écarte les cuisses et s’offre un accès direct à son puits d’amour. Il serre sa prostate pour durcir sa bite au maximum et présente son gland à l’orée du minou de son infidèle

Accroupi devant sa femme, la bite bien alignée il presse l’entrée de sa grotte aux délices. Son gland écarte lentement les grandes lèvres de sa femme et pénètre l’entrée humide de sa moule.
– Putain quel pied ! T’est vraiment une sacrée salope !
– J’en avais envie depuis que je t’ai vu prise en double par Karim et son père.
Elle se retrouve en appui, les mains sur le torse de son amant, sa grosse bite au fond des intestins dilatés. Il attrape ses seins à pleine main joue de ses tétons durcis alors qu’elle s’encule d’elle-même au rythme des coups de bites de son mari.

Les deux bites lui raclent ses parois internes en alternance. Elle se laisse malmener comme une poupée de chiffon désarticulée entre les mains de ses deux amants. La fièvre la gagne de nouveau, sa peau brille de transpiration, les yeux fermés, elle halète comme une chienne en chaleur, quand tout à coup …
-Voilà ! Les pizzas pour la nuit. Faites place !

Max s’installe derrière Jacques dans une contorsion improbable à cause de son ventre, puis extrait son sexe déjà dur de son short. Il le présente à l’orée de l’anus plein de la femme. Il lui insère un index dans la bouche de Nicole.
– Lubrifie-moi ça salope !
La femme l’aspire et salive abondamment sur le doigt, puis dans un floc humide, Max plante ensuite son doigt bien lubrifié dans l’anus de la Nicole afin de l’élargir autour de la bite de son cousin. Elle panique, elle ne peut pas prendre une deuxième bite dans le cul, pendant que son mari lui lime la chatte.
-MMMMFFF…….AAARRFFFF! Non pas à trois ! Vous êtes trop gros ! Chéri NON ! AAAAAH!

Le cousin tente tout de même une double anale, mais sans succès, les chairs de Nicole ne sont pas encore assez souples.
-NON ! NON ! AILLE ! Vous êtes trop gros ! AOUH!
Il se retire de dépit.
-Tu ne perds rien pour attendre salope, mais t’inquiètes avant fin de la soirée, tu accepteras nous trois…
Il attrape ensuite une part de pizza, contourne le canapé et présente sa bite tendue à la bouche ouverte de la femme.
– Allez salope suce !

Il lui enfourne sa bite, et de sa main libre il lui attrape les cheveux. Il lui baise alors la bouche, une main dans les cheveux et bouffant sa pizza de l’autre. Jacques, excité par le tableau redouble de puissance alors qu’il sent le plaisir monter en lui. Karim relâche la pression sur ses tétons traumatisés, s’affale sur le canapé pour faire ressortir son fessier et se met lui aussi à la besogner à pleine force. Elle est alors secouée sous les coups de queues, ses seins libres malmenées dans tous les sens.

Jacques est au bord de l’explosion, il accélère, il sent la sève monter, il va jouir. Le tunisien de son côté est, lui aussi, sur le point de jouir, il soulève les cuisses de Nicole et les écarte au maximum accélérant le pistonnage de l’anus dilaté. Le cousin n’est pas en reste non plus. Ils sont tous les deux sous tension depuis le début de cette journée torride.

Elle sent les trois bites la pistonner de plus en plus vite, de plus en plus fort. La queue de Max s’engouffre au plus profond de sa gorge, elle la sent gonfler par intermittence dans sa bouche, signe de son imminente éjaculation, elle va enfin pouvoir savourer ce sperme tant attendu toute cette journée. Dans un long râle de plaisir il se vide les couilles sa bouche !
Le tunisien n’y tient plus et d’un coup de reins, il se vide les bourses dans le fond de ses entrailles.

Dans son mouvement brusque, le tunisien a désarçonné l’épouse de la bite de son époux. Elle se retrouve à genou, les cheveux ébouriffés, pantelante, hébétée. Jacques, la bite libre, saisit sa femme par les cheveux et force sa queue entre les lèvres pulpeuses de sa bouche. Sans ménagement, il baise la bouche de sa femme. Elle encaisse la bite aux relents de cyprine, les boules de son mari s’écrasent sur son menton à chaque coup de reins.
-OOOH! VAAACHE… Salope ! Prends ça ! HAN ! Et ça ! HAN ! HAN ! HAN !
Elle avale et avale encore, elle n’en revient pas. Comment peu t-il éjaculer autant de foutre ???
– À table tout le monde pendant que c’est chaud, crie Max en rejoignant son cousin sur le divan.
Ils s’assoient côte à côte la queue déjà ramollissante. Jacques attrape une chaise et s’assoit face à eux, essoufflé, mais satisfait. Tous trois se servent leur part et commencent à manger, et commencent à plaisanter sur leur maîtresse et ses grandes capacités de baiseuse.
-Allez salope, bouffe, toi besoin énergie, on n’en a pas fini avec ton cul !

A suivre

Sam Botte

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