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Histoire sexe Prise dans un cercle vicieux Chapitre 14

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Elle, toujours à genou par terre, attrape une part de pizza. Elle la plie en deux et approche le morceau de sa bouche ouverte, elle peut finalement se délecter de la tomate et le fromage fondant de la pizza.
Le tunisien s’adresse à Jacques.
– Tu sais, la Nicole ! C’est une sacrée pute tu sais ? Tu n’avais pas l’air de t’en être aperçu ?
– Non, mais bon, on va dire que je suis content de l’apprendre, je vais en profiter maintenant.
– Oui, si tu veux du moment que l’on reste ensemble. Dit-elle en bouffant sa pizza.
– Tiens d’ailleurs finis ta pizza et viens me sucer. T’es bonne qu’à ça, hein ? Sucer des bonnes queues, tu aimes ?
– Ou… OUI. Mon chéri.

Soumise et gourmande, elle enfourne le reste de son morceau de pizza, elle se lèche les doigts. Toujours à genoux, elle s’approche de son mari et se cale entre ses jambes. Elle le regarde avec un grand sourire en réajustant ses cheveux derrière son épaule d’une main, elle prend le sexe mou de l’autre. Elle le met en bouche pour l’humidifier légèrement puis le décalotte du bout des doigts avec douceur. Elle commence à branler son homme lentement, appliquant quelques baisers experts le long du membre qui durcit déjà légèrement. Encouragée par la nouvelle vigueur de son mari, la salope active sa branlette, ses bracelets s’entrechoquant en rythme.

Elle descend sa bouche et embrasse les testicules poilus goulûment.
-Oh putain, c’est bon ! Continue comme ça.
La femme obtempère et gobe les couilles sentant le sexe grossir et durcir entre ses doigts agiles. Jacques se délecte des performances de sa chienne de femme en savourant sa pizza. Terminant la dernière bouchée, il annonce :
-Allez sur le matelas, je vais te baiser.

Elle se place à quatre pattes sur le matelas et le regarde se lever. La bite dressée, il s’approche d’elle et la fait basculer sur le dos. Elle écarte les jambes pour l’accueillir alors qu’il s’agenouille. Sans un mot, il prend ses chevilles dans chaque main et la plie en deux, les jambes tendues, les talons au-dessus de la tête. Les jambes écartées, elle voit le sexe dur s’approcher de sa fente, elle écarte ses lèvres d’une main et guide la bite de l’autre. Jacques pénètre sans difficulté dans sa grotte gorgée de désir, chaude et humide à souhait.

Qu’est-ce qu’il aime sentir les chairs de sa femme autour de sa bite. Il adorerait profiter d’elle et de cette volupté, mais cette pute est bien trop bandante. D’un grand coup de reins, il la pénètre jusqu’à la garde. Elle, prise de plaisir, se cambre en sentant le gland taper contre son utérus à chaque nouveau coup de bite. Elle gémit :
-Je vais te démonter salope !

Histoire sexe Prise dans un cercle vicieux Chapitre 14
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Jacques resserre les chevilles de sa femme au-dessus de sa tête puis il place ses mains sur le dessous de ses cuisses musclées pour resserrer l’étreinte de la fente douce autour de son sexe et une fois son appui sécurisé, il s’accroupit au-dessus de sa femme pour se donner une meilleure amplitude. Sa position lui permet de la baiser en profondeur. Il touche le col de sa femme à chaque poussée. Elle sent le plaisir monter rapidement, des frissons commence à la parcourir
-OOHH. OUIIII ! Oui, prends-moi fort mon chéri ! FAIIIIT… Jouir ta salope !

Elle est sur le point de jouir, ses pieds tremblent au-dessus de la tête de son mari. Les bras en croix sur le matelas, elle l’agrippe de ses mains. Jacques cale les jambes flageolantes de sa salope contre son torse et passe ses bras de part et d’autre de ses cuisses pour enserrer les seins de sa poigne.
La burinant de toutes ses forces et de toute sa longueur, il accélère ses mouvements de bite dans la chatte gluante de mouille.
-Tiens ! Prends ça ! Espèce de salope. PUUUUTEEE !

Jacques sent le foutre, monter dans ses couilles. Voulant encore se faire plaisir avec sa femme, il se retire de son puits d’amour immédiatement.
-Au suivant les mecs sinon je vais juter et je veux pouvoir l’enculer tout à l’heure !
Max qui n’a pas pu sauter la Nicole au tour précédent se propose immédiatement, il se lève et se dirige vers le matelas sur lequel elle essaye de reprendre ses esprits. Il se présente devant elle, Nicole aperçoit l’africain qui la domine de toute sa masse. Elle reconnaît le sourire vicieux se dessiner sur son visage.
-Bon ! Je vais la prendre par le cul maintenant.

Il se présente, la bite molle, et s’approche d’elle étendue sur le dos, frustrée de ne pas avoir pu jouir. Il s’assoit sur son ventre, prend ses seins entre les mains et crache un gros mollard entre les belles mamelles pour les lubrifier. Il cale ensuite son membre encore mollasson entre les seins de la femme et se met en mouvement. Elle redresse la tête, d’un geste gracieux elle repasse ses cheveux derrière les oreilles, ouvre la bouche en tendant sa langue comme si elle la lui offrait. Il n’en faut pas plus pour redonner de l’ardeur au cousin.

Après ce petit intermède pour reprendre un peu de vigueur, le balafré se relève puis tend sa main pour l’attraper par la cheville et la retourner. Elle ne peut lutter contre la poigne de fer de son nouvel amant, une fois à plat ventre, elle sent ses mains lui encadrer la taille pour la forcer à se mettre à quatre pattes.

Max observe sa proie, enfin plutôt les deux trous qui s’offrent à lui. Sa chatte luisante de mouille est très appétissante, mais c’est a petite porte qu’il choisit. D’une main, il écarte les deux globes fessiers et de l’autre il pointe son gland sur l’anus palpitant qui l’attire comme un aimant. Son sexe n’est pas complètement bandé et pour l’aider elle détend ses sphincters et attrape la bite molle de Max d’une main pour le guider au mieux.

La femme n’avait pas anticipé que la bite ne serait plus trop lubrifiée. Elle grimace un peu sentant le gland lui irriter la corolle. Elle pousse pour détendre ses sphincters et faire rentrer l’africain au plus vite dans son cul. Elle espère ainsi limiter la douleur. Malgré la précaution, elle sent la brûlure :
-Aïe ! AIIIEE !
-Hé, je la fais couiner la salope. Alors on a mal au cul ?
-ARRRFF ! La vache, c’est sec, ça brûle !
-Tu n’inquiètes pas, ça va pas brûler longtemps, tu vas plus le sentir du tout ton trou balle.
Max continue alors de pousser jusqu’à la garde se foutant des suppliques de la femme. Une fois au fond, il marque une pause, elle tombe sur les avants bras la tête dans les mains.
– Putain ! Arrête j’ai trop mal.
-Ta gueule pouffiasse.

Il lui claque alors les fesses violemment et se met à la pilonner sans ménagement. Elle a l’impression de se faire enculer par une bite en papier de verre. Elle tend ses pieds à chaque nouveau coup de queue et essaye de s’extraire de la poigne de son bourreau, mais rien n’y fait. La pauvre femme tend sa main droite derrière elle pour freiner la fougue du cousin, mais ce dernier en profite et lui attrape le poignet dans une clé de bras douloureuse. Il force ainsi la belle à se cambrer les obus pointés vers l’avant.

Il fait pause, Ouf….. Mais le soulagement de Nicole est de courte durée, Max jusqu’alors à genoux, s’accroupit derrière sa croupe, attrape un de ses seins de la main gauche et redouble de violence, la bite est maintenant dure comme une barre de fer. Il lime les entrailles de la femme en cadence avec les cris de douleur de cette dernière. Il abandonne le sein ferme et lui attrape le deuxième bras qu’il coince d’une main dans son dos avec le premier. Il lui attrape les cheveux et la monte comme une pouliche. Le pistonnage reprend de plus belle.
– AAAARRRRRCH ! Aïe, plaît, arrête AIE !! AIIEEE !!

Histoire sexe Prise dans un cercle vicieux Chapitre 14
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Elle se prend deux claques sur le cul et plus elle gémit plus Max accélère.
-Elle gueule trop fort ta femme !
-T’as qu’à la faire terre ! Et arrête de dire que c’est ma femme, c’est devenu juste un vide-couille.
Le tunisien se lève du canapé et se dirige vers Nicole qu’il attrape à son tour par les cheveux. Il s’accroupit légèrement devant elle.
-Ferme ta gueule la pute et bouffe ma bite !

Elle, en plus de la douleur dans son cul, ses épaules et ses poignets doit maintenant supporter de se faire arracher les cheveux par l’autre amant. Les larmes aux yeux, elle ouvre les lèvres pour le sommer de lui lâcher les cheveux, mais n’a pas le temps d’en placer une que la queue lui emplit déjà la bouche.
-Une bonne pute, c’est une pute silencieuse. Suce salope !

Le tunisien lui lâche les cheveux et attrape sa tête entre les mains. Il s’engouffre dans sa bouche, qui subit toujours les assauts de Max dans le trou douloureux de son derrière. Les coups de bite dans son cul en feu ballottent douloureusement ses seins en cadence, et l’empale en gorge profonde sur le bite bandé de Karim. Chaque claquement du ventre contre son cul trouve écho dans les gargouillis bruyant de la fellation. Le Tunisien se régale à buriner ce visage tordu par la douleur et zébré du maquillage dégoulinant sous les larmes de sa petite pute.

Malgré la douleur et les pleurs, elle prend son pied à être traitée aussi brutalement. Elle sent ses tétons durs et sensibles comme du verre, sa fente se liquéfie comme jamais. Ravie, elle profite de l’instant, ils lui font mal, mais aussi tellement de bien. Être une soumise est sa vraie personnalité, c’est sûr !

Pleine de plaisir, elle essaie comme elle peut de s’empaler encore plus sur la queue qui lui lime la bouche allant jusqu’à s’étouffer. Elle essaie aussi de remuer son cul, même si elle est fermement entravée. Max est à bout de souffle, il sort de la belle et lui lâche les poignets. Libre, elle est au bord de l’asphyxie, elle repousse Karim et reprend son souffle en toussant, de longs filets de bave la liant encore à son amant. Celui ci l’enjambe et passe derrière elle.
-À mon tour de t’enculer !

Elle se retourne pour faire face à son bourreau, elle le supplie du regard :
-Attendez, il n’y a pas du lubrifiant dans la chambre. J’ai trop mal !
-Une chienne comme toi ça se prend à sec et puis je n’ai pas envie d’attendre.
Karim, à demi prosterner derrière elle, pose un genou au sol et de sa main gauche lui écarte la fesse droite. Magnanime, il enduit de salive le bout de son majeur droit et l’enfile d’un trait dans le trou de l’anus maintenant très ouvert.
-Eh bien tu vois ça rentre tout seul !

Il ressort son doigt de l’anus béant, attrape sa queue et lui ramone les boyaux qu’elle accepte son sort sachant qu’elle va encore douiller. Karim la tringle en lui assénant régulièrement une fessée magistrale, la brûlure soudaine de cette main sur son derrière prend la femme par surprise. Par réflexe, cette dernière ressert ses muqueuses pour le plus grand plaisir de son enculeur.
Afin d’atténuer l’impression douloureuse ancrée dans son cul, elle profite de ses mains libres pour se caresser la moule. Se malaxant le clito, elle trouve vite son rythme, et bientôt s’enfile deux doigts dans sa grotte. Elle s’active dans sa fente trempée de plaisir, en cadence avec son enculeur.

Karim est très endurant et se régale au fond de ses entrailles, mais il en veut plus. Alors qu’elle s’astique le minou avec vigueur, elle est de nouveau sur le point de jouir sous les coups de bites de son premier amant. Elle sent la jouissance, sournoisement mélangée à la douleur, monter au creux de ses reins tourmentés, la fièvre est en train de la tétaniser, les fourmis la gagne, elle va jouir comme jamais auparavant. – OUUUAAAH !! OUIIIII CAAAA…. Vient ! Elle se mord la lèvre inférieure, elle y est presque.

Mais c’était sans compter la perversité du tunisien. Ce dernier stoppe brusquement sa sodomie et, toujours empalé au fond de son petit cul, soulève brusquement la Nicole qui par réflexe libère sa fente pour s’agripper au cou musclé, la privant ainsi de son extase. Il lui écarte les cuisses, offrant en spectacle sa vulve luisante et ouverte à ses deux compères.

Jacques ne se fait pas prié, il se lève et vient baiser sa femme de nouveau. Il se délecte une nouvelle fois de sa moule douce et humide de son vide couille préférée. Mais ce n’est pas son objectif final, et avant que sa femme n’essaye de jouir de nouveau, il se retire prestement pour rejoindre le turc dans l’anus torturé de la belle.
-AAAAOUH! NOOOOOOONN ! Pas toi ……….

Dans un cri d’effroi, les yeux écarquillés de peur et au summum de sa douleur, elle subit une nouvelle double anale, et malgré la bite du tunisien déjà dans son cul, Jacques y rentre la sienne sans difficulté. La scène se fige et tout le monde est surpris de l’élasticité des sphincters de la femme, elle la première. Les sodomies à répétition ont complètement dilaté l’anus de Nicole.

Elle s’attendait à se faire déchirer, mais son mari l’a pénétrée aussi facilement que s’il était seul dans son fondement. Les nombreuses sollicitations lui ont épargné une douleur atroce, mais en contrepartie, c’est l’irritation de sa muqueuse anale et les frottements incessants provoqués par les longues et vigoureuses sodomies qui rendent son cul si douloureux.
Karim regarde Jacques et d’un grand sourire :
-Comme dans du beurre mon pote, c’est devenu un putain de garage à bite ta femme.
-Tu m’étonnes ! On la défonce encore un peu et je suis sûr qu’on rentre à trois.

Elle n’est même pas inquiète par la suggestion de son mari, elle sent les deux bites en elle la remplir profondément, elle n’en revient toujours pas de la facilité avec laquelle son cul a accepté ces deux calibres. Fière d’elle et excitée, elle en redemande :
-Cassez-moi le cul, bande de salauds ! Je veux sentir vos bites me ramoner bien profond !

Soutenue sous les cuisses par Karim et les bras autour du cou de son époux, elle se balance comme elle peut pour s’enculer sur les deux bites. Immédiatement, son corps en fusion se réactive, des frissons la parcourent, sa tête bourdonne. Enivrée elle gémit :
-OOOOOHHH… OUIIIII. Putain, c’est BONN… ON… ON !
Ses deux amants accompagnent ses mouvements de coups de hanches d’abord désorganisés puis en cadence. Les deux queues ne forment plus qu’une, poussant et se retirant en même temps. Elle, de plus en plus insatiable, les encourage :
-Je vais jouir ! Encore, encore, ça vient !

Karim, la bite à l’étroit dans l’anus de sa maîtresse, comprimé contre l’autre queue sent l’éjaculation inévitable. Il se recule tenant Nicole fermement par les cuisses l’arrachant à son mari, puis se désolidarise de son anus à son tour. Elle, surprise, sent son plaisir lui échapper une nouvelle fois.
-Avale la pute !
Elle, heureuse de la compensation, se jette à genoux et branle Karim énergiquement, la bouche grande ouverte.
-Vas-y je veux ton foutre, vide-toi les couilles !

Le sperme jaillit, elle avale goulûment la bite pour ne pas en perdre une goutte. Malgré sa deuxième éjaculation du soir, il donne une bonne dose à sa pute qui se délecte de son nectar. Elle aspire la queue pour en extraire tout ce qu’elle peut, puis ouvre la bouche laissant tombé le sexe mou et fatigué. Elle le regarde d’un œil complice, la bouche ouverte, la langue couverte du liquide blanchâtre, puis la referme pour avaler sa dose dans un engloutissement bruyant.
-J’adore votre foutre ! J’espère que vous en avez encore un peu pour ce soir.
-Ferme ta gueule et va sucer Max !

Elle se retourne. Son mari, un verre à la main, se branle à côté de Max tranquillement installé nu dans le canapé buvant de la vodka et grignotant une part de pizza. Courbaturée, les muscles tétanisés, il lui faut un peu de temps pour se relever. Son amant l’a quittée pour rejoindre les deux autres. Debout devant ses mâles, la belle s’observe dans le miroir du salon, ses bas ont sauté, sa guêpière est à moitié dégrafée.

Coquette, elle se réajuste avec soin malgré son corps souillé. Les trois mâles mâtent le spectacle de la femme ajustant ses bas. Le silence se fait. Elle les regarde surprise et pouffe de rire.
-Je vous plais ?
-Et comment ? La plus belle des salopes !
Elle s’avance vers eux les toisant du regard les mains sur les hanches faisant claquer ses talons aiguilles à chaque pas. Elle s’arrête devant Max les jambes écartées au-dessus de lui.
-Il parait que je dois te sucer…

Avec élégance, elle se passe les cheveux derrière les oreilles et s’agenouille entre les cuisses de Max. Sa grosse bite est encore bien en forme. En douceur, elle glisse ses mains fines le long de muscles adducteurs jusqu’à l’aine. De sa main gauche, elle lui soupèse les bourses, pendant que la main droite lui branle lentement la bite faisant apparaître et disparaître le gros gland sous la peau du prépuce. Elle adore ce gland difforme, elle voudrait le sentir en elle.

Son mari l’interpelle :
-Qu’est-ce que tu es bandante comme ça ma femme !
Il lui caresse le dos, puis descend sa main pour lui soupeser le sein. Elle est encore très sensible des mamelons et les frissons déclenchés par la douce caresse de son mari ne passe pas inaperçue. Lui et Karim attrape chacun un téton pour les titiller entre leurs doigts.
– OUCHCH! Elle commence à gémir et à se tortiller sous leurs caresses.
Le cousin l’attrape violemment par les cheveux :
-Ta gueule pouffiasse ! Suce !
Il attrape sa bite et la force à l’avaler.

Elle essaye de prendre appui sur les cuisses pour se redresser, mais son mari et Karim ont tôt fait de lui attraper les mains pour les diriger vers leurs bites respectives. Elle essaye de se calmer pour accepter la queue de Max au fond de sa gorge sans vomir, et dans un ch…. lurp baveux, elle aspire un grand coût et détend sa gorge autour du gros gland. Il lui encadre le visage pour lui donner le tempo de sa fellation.
-OUIIII …C’est ça ! Bien à fond salope ! Tu es bonne qu’à ça !

De sa main gauche, elle prend en charge la bite bien dure de son mari, elle glisse son index sur son gland et s’amuse à le badigeonner du liquide séminal sortant de l’urètre. La douceur du lubrifiant naturel fait son effet et permet à la salope de donner beaucoup de plaisir à son homme.
– Putain ! Salope ! Qu’est-ce que c’est bon ! Continue, oui !
Elle a moins de succès à sa droite, il faut un peu plus qu’une simple branlette pour faire rebander ce vicelard de turc, qui ne prend apparemment son pied qu’en la faisant souffrir. Qu’à cela ne tienne, elle continue de jouer avec sa bite et ses couilles, elle adore leur contact dans sa main, et, sait-on jamais, ses caresses vont peut-être lui faire produire une nouvelle dose de foutre.

Tout à coup, Max l’attrape par les cheveux pour lui tirer la tête en arrière, se débranchant de sa bouche baveuse par la même occasion. Il la soulève et lui roule une grosse pelle, lui fouillant la bouche de la langue.
-Maintenant empale-toi salope !
Elle n’attend que ça, sentir un beau morceau de chair dans sa chatte. Elle reprend son souffle, elle lui sourit, gourmande, amante. Elle se redresse dans toute sa grâce, pose une première jambe sur le canapé, puis la deuxième, elle le domine de sa beauté.

Elle s’agenouille à califourchon face à Max vautré sur le canapé, les cuisses écartées au-dessus de sa bite. D’un geste gracieux de la main, elle remet ses cheveux derrière ses épaules alors qu’il lui attrape les fesses à pleines mains.
De sa main gauche, elle prend appui sur son torse, et de l’autre guide son braquemart dans sa vulve ouverte, elle pointe le gland contre sa chatte trempée. Elle regarde Max dans les yeux et s’empale doucement, mais jusqu’à la garde dans un long gémissement de plaisir.
-OOOHH!!! OUIII ! Qu’est-ce que j’aime sentir ta bite en moi !

Max plonge la tête dans son décolleté et lui embrasse la poitrine avec gourmandise alors qu’elle commence s’activer sur sa bite. Mais elle ne bouge pas assez vite à son goût, il se vautre alors dans le canapé pour faire ressortir son bassin, soutient la belle de ses deux mains sous son cul, il se met en mouvement dans sa moule. Elle se délecte de cette pénétration en profondeur, elle adore ce gros gland qui lui dilate les muqueuses et tape contre son col.

Elle ressort ses seins des balconnets pour permettre à Max de s’amuser avec. Ses seins oscillent au-dessus du visage défiguré. Le Max profite de sa position pour lui lécher les seins et parvient à attraper son téton gauche pour le mordiller.
-Oh, c’est bon ça. Continue.
Alors qu’il lui bouffe le sein et qu’elle se défonce sur sa queue, elle se retourne vers son mari lui tendant la main vers son sexe alors qu’il se branle lentement contemplant le spectacle.
-Je n’ai pas encore eu deux bites dans la chatte ; tu veux essayer ?

Aucun homme ne peut résister à une telle invitation, Jacques ne se fait pas prier, il se lève et se place derrière le cul offert de sa femme. La belle prend appui sur le torse du Max et tous stoppent leur baise pour permettre à Jacques de s’installer. Le Max écarte les lobes fessiers de la salope, elle se cambre au maximum contre le ventre en dessous d’elle, et notre Jacques tente une première approche la queue à la main. La première tentative est infructueuse, elle doit utiliser sa main gauche pour guider la bite son homme vers sa fente affamée de sexes mâles. Le mari empoigne les lobes fessiers de sa femme à pleine main, fléchit les genoux et se plie en deux pour enfin avoir accès à sa pute.

Le membre entre l’index et le majeur, elle perçoit la présence du gland de son mari contre son périnée. Elle le guide alors vers l’entrée de sa grotte déjà pleine. Jacques sent la douceur des muqueuses contre le bout de sa bite, il pousse alors, toujours guidée par la douce petite main et ça y est, les lèvres de sa femme s’écartent autour de sa bite. Elle sent la deuxième bite lui écarter les parois vaginales, elle gémit de plaisir, alors que son mari la pénètre en douceur :
-HUUUUUUUN ! OUIIII ! RRRRRRRR ! Comme ça, bien à fond mon chéri !

La chatte de sa femme est tellement lubrifiée par l’excitation que la double pénétration est un pur bonheur pour les trois acteurs. Une fois au fond de son puits d’amour dilaté, Jacques attrape sa Nicole par les cuisses et lui fait perdre ses appuis. Il la force ainsi à se coller au torse de Max. Les deux hommes la prennent maintenant en sandwich, s’activant ensemble dans la moule distendue comme un seul homme. Elle glisse sur la sueur de l’amant, elle sent son époux s’activer sur elle son torse plaqué sur son dos à moitié dénudé. Le souffle rauque de son Jacques, alors qu’il la besogne, chauffe sur son oreille et la déstabilise un peu. Elle a des vertiges accompagnés de vague de chaleur alors qu’elle est sur le point de jouir.

Max en dessous d’elle lui roule à présent une pelle baveuse, leurs langues se mêlent, leurs souffles chauds se mélangent, il lui attrape les deux tétons et les maltraitent, elle aime ça. Jacques lui tire les cheveux, lui mordille le lobe de l’oreille, elle adore ça ! Le bassin de Max cogne contre le sien à chaque coup de rein, elle n’a même pas besoin de se toucher, elle va jouir, oui ça y est !
-AAARRRR …. FFFOUUIIIII ! AAAAAAHHHGGGGUU….

Elle va exploser ! Elle détourne sa bouche de celle de Max prête à jouir. Jacques contemple son visage, les yeux fermés se mordant la lèvre.
-T’aimes ça grosse pute. Hein ? HAN ! HAN !
-OOOOHH…. OUIIII ! Encore ! Murmure-t-elle.
Son Mari redouble d’ardeur. Sa femme sent sa bite gonfler encore un peu plus dans son vagin déjà distendu. C’en est trop, elle explose de bonheur.
-OUUUAAAAH ! AAARRGGG ! AAAAAH ! OUIIII !
Nicole est comme électrocutée, son dos se tend comme un arc sous la jouissance, la femme infidèle est prise de convulsions. Les deux hommes sentent son corps arquer, trembler contre eux. Fiers du résultat, ils ne faiblissent pas, alors qu’elle est toujours en plein orgasme la tête bourdonnante les yeux dans le vague.

Les chairs de Nicole se contractent autour des membres gonflés de sang. Les deux hommes ne tiennent plus, ils sentent la sève monter dans leur bite, leur prostate ne demande qu’à se contracter pour vider le contenu de leurs bourses dans la femelle. Ils ne tiennent plus et éjaculent ensemble une belle dose de foutre chaud dans le vagin en convulsion. Essoufflé par son éjaculation, il s’adresse alors à Karim.
-C’est bon mec, je crois qu’elle a son compte pour le moment, on n’en tirera plus rien.

Ils se retirent, leurs queues luisantes, dégoulinantes de résidus de sperme mélangé de cyprine, et à moitié débandées entre les jambes. Max repousse la pute nonchalamment sur le côté, comme un vulgaire bout de viande. Jacques, quant à lui est frustré de ne pas avoir pu se vider dans sa bouche charnue, il soulève sa salope de femme et la présente, désarticulée et les jambes écartées au-dessus d’un verre vide. La moule de Nicole est tellement ouverte par la double pénétration, que le mélange des deux spermes ne tarde pas à s’y écouler en un gros agglomérat visqueux et blanchâtre.
Ça ne remplit pas le verre bien sûr, mais l’équivalent de deux bonnes cuillers à soupe ça ne se gâche pas.

A suivre

Sam Botte

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