Le lendemain.
Karim l’appelle pour lui dire qu’il l’emmène dîner. Il arrive à la maison, met sa voiture sur la pente du garage, ainsi on est certain que les voisins savent qu’elle reçoit quand mon mari est absent.
Il l’embrasse, fait l’inventaire des richesses cachées, il lui donne un petit paquet en lui disant. De la mettre ? Nicole ouvre ? Petite robe noire en stretch. Elle la met ? Elle est courte, pas moyen de mettre des bas. Le dos est nu et la matière moule étroitement ses tétons.
Il lui demande si elle a des bottes. Elle met celles qui montent quasi au-dessus du genou.
Elle veut mettre un manteau pour cacher le tout. Non, il veut une veste courte pour que l’on puisse voir ses cuisses. Elle a l’air d’une pute, c’est ce qu’il veut. Il lui demande quel restaurant où elle est trop connue et donc à éviter. Ils partent à pied. Elle sent les regards qui passent sur la peau nue des cuisses. Elle sent le vent sous la robe qui protège mal sa fente de ses caresses.
Merde. Il l’entraîne dans le restaurant qu’elle voulait éviter.
Ils s’installent dans un coin, assis à l’équerre. Sa robe trop courte est ainsi bien mise en valeur pour la salle.
Quand le garçon apporte les suggestions, elle a déjà une main sur le genoux. Quand il prend commande, la main est sur sa cuisse. Quand l’apéro arrive, elle doit cacher sous la nappe que la main a atteint son minou.
Le repas, pour le reste se passe calmement.
Ils rentrent. À cent mètres de la maison, il la colle contre un abribus et l’embrasse en pleine rue. Il fait calme et la nuit est tombée, mais c’est quand même son quartier. Comme elle le freine, il commence à remonter sa robe. Nicole tente d’échapper à l’étreinte. Sa robe est autour de la taille. Il lui dit d’obéir si elle ne veut pas rester le cul à l’air. Il redescend le bout de tissu qui la couvre.
Ils rentrent à la maison. Arrivés dans le séjour, elle va vers la fenêtre pour tirer les tentures. Il l’arrête. Le cauchemar continue. Le séjour est en façade en partie et est brillamment éclairé. Il lui ordonne de se déshabiller. Elle prie le ciel que le programme TV soit bon… Si un voisin regarde par la fenêtre, qu’il la voit nue, debout dans la salle à manger ? Elle se retrouve les pieds au sol, le dos sur la table, jambes écartées, sexe ouvert face à la fenêtre. Elle se caresse pendant qu’il commente la scène en lui disant d’imaginer un mec ou des mecs en face qui se branlent en la regardant. Elle finit par se faire jouir.
Ils sont montés dans la chambre. Ils ont fait l’amour, simplement. Il est parti au matin.
Son mari est rentré dans la soirée. Il ne saura pas…
Ce n’est pas peu dire que la soirée passée avec Karim, Max et Jacques a fait évoluer leurs relations de couple.
Jacques lui a pardonné de le trompé avec Karim, d’autant qu’à sa grande surprise, il a rarement été aussi excité, de cette soirée ou tous les trois l’ont copieusement baisés comme des forcenés, mais c’est en la voyant se faire saillir par Brutus, avec sa queue enfoncée dans sa gorge. Il bande encore en se rappelant ses cris de jouissance pendant la saillie de Brutus. Jacques sait maintenant qu’il peut aller plus loin avec son épouse dans la recherche du plaisir, car elle est demandeuse, c’est une évidence, l’expérience avec Karim et Max et son Brutus démontre qu’elle a de la ressource.
Jacques pense qu’il va en profiter pleinement…
Jacques et sa femme Nicole pour leurs cinquante ans, ont décidé de partir tous les deux en amoureux, destination la Guadeloupe et la Martinique pour une quinzaine de jours. Ils sont dans un hôtel très sympa dans lequel règne une bonne ambiance. Nicole plaît beaucoup aux antillais ; l’un d’eux dans l’hôtel n’arrête pas de la regarder et de lui faire des compliments, certes courtois, même devant lui. Aujourd’hui ils vont tous les deux à la plage et un antillais veut absolument venir avec eux.
Ils ont joué au ballon puis nagé dans d’énormes vagues. Nicole n’a jamais fantasmé sur les blacks, mais ce jour-là Jacques la sent troublée ; il est vrai que l’africain qui ce prénom Norbert, sous son maillot a l’air d’avoir une sacrée queue. Le soir alors que la plage est désertée Norbert leur proposent de se baigner nus. Jacques a ôté son maillot et elle après une longue réflexion a enlevé le sien. Jacques ne s’est pas trompé, Norbert a un sexe long et gros comme il n’en a jamais vu, bien plus conséquent que celui de Karim ou Ricky et il voit sa femme jetée des regards furtifs, mais nombreux sur ce sexe, ils ont joué dans l’eau ; parfois il se colle à Nicole qui n’est pas indifférente.
En allant sur le sable Jacques voit bien qu’il bande pour elle. Le soir, ils ont mangé dans un petit restaurant en bord de mer. En rentrant Nicole n’a fait aucun commentaire. Le lendemain Jacques prétexte une partie de pêche au gros qui lui est réservé, il doit donc y aller, mais c’est une ruse pour mieux observer sa femme. Caché dans divers endroits, il voit soudain Nicole aller vers une porte et frapper. Elle entre. Jacques fait le tour de l’hôtel, il ce met à la fenêtre puisque la chambre est au rez de chaussé. Il reste interloqué, Norbert est nu sur son lit.
Jacques voit tout et entend tout… Nicole lui dit :
– Je ne te dérange pas Jacques est parti à la pêche.
– Non pas du tout tu veux t’allonger ?
– Oui pourquoi pas !
– Tu ne déshabilles pas ?
– Si, si tu veux. Elle enlève sa jupe et ton tee-shirt.
– Que tes sein sont jolis ; tes fesses aussi d’ailleurs !
– Ton corps est magnifique, ton sexe me fait mouiller.
Elle s’allonge près de lui puis l’embrasse en caressant sa queue qui devient énorme.
– Tu es hyper monté, quelle bite je n’ai jamais vu une si grosse queue, j’ai envie la sucer depuis hier je ne pense qu’à ça.
– Fait toi plaisir !!
Elle attrape sa bite qu’elle branle à deux mains en le suçant comme une salope, le gland a du mal à rentrer dans sa bouche qu’elle ouvre en grand. Mais elle aime vraiment, lui il adore, c’est évident.
– Elle est bonne ta grosse bite meilleure que celle de mon mari ! Dit-elle en salivant et en passant sa langue autour du gland. Puis elle monte sur Norbert et s’empale sur la bite, sa moule est trempée alors qu’il ne lui avait rien fait.
– OOH !!! Oui ! Tu me défonces MMM….. Elle est bien grosse et longue ça me remplie bien !!!
Elle rentre la queue entière dans sa fente, elle fait des va-et-vient rapides et à fond, elle jouit comme jamais….. Elle se met à genoux.
– Vas y met moi ta queue…. Bourre moi comme une salope. Il la prend en levrette et lui fourre sa grosse bite dans la chatte qui est déjà bien ouverte.
– Elle est bonne ta chatte et bien mouillée ça glisse bien.
– Tu me fais jouir avec ta longue queue. MMMUUUH. Tu touches le fond, tu me remplis le vagin, mon clito est en feu.
– Prend la bien cochonne. T’aime ça les blacks toi ?
– OOH ! Oui. J’adore ta grosse bite noire, elle me fait jouir, va y encule-moi.
Il sort sa queue de sa moule, et il met son gland contre l’anus, mais ça a du mal à rentrer. Elle prend la queue la suce à nouveau, elle l’enduit de salive. Il essaie à nouveau, le gland puis la bite rentre progressivement dans ses reins.
– Elle est bonne ta queue dans mon cul ! Vas y putain ! Vas y, c’est bon !
– Je t’encule bien ma salope. Je suis bien au fond.
– Oui je sens tes couilles contre mon cul, tu me déchires le ventre, ça glisse, c’est bon, tu me ramones bien le conduit !
Il sort sa queue puis la rentre à nouveau le trou est dilaté, il est resté grand ouvert incroyable. Il la défonce à nouveau.
– OOORRRHH… OUI ! Doucement là, j’ai envie de me vider ! Sur ces mots Norbert la défonce de plus belle.
– HHUUUUMM !! C’est bon ça glisse bien…… Je contrôle plus mon trou du cul !
– OOH ! Oui, ça glisse bien, ma queue est pleine de ton cul. Il ressort sa queue souillée, Jacques voit le cul de sa femme ouvert et bien marron sur les bords.
– Donne. Moi, ta queue je vais te la sucer !! Elle n’essuie même pas la bite et la suce hardiment
– MMMM ! Elle est bonne en plus elle a le goût de mon cul, remplit moi dans la bouche.
Jacques a la haine. Elle le branle à deux mains à grande vitesse en ventant les mérites de sa grosse pine
– Je veux ton foutre, va y crache, donne-moi à boire !
– AAARRRHH. Je jouis, c’est bon !
– HUUMMMM! CHH. Est bon ! Elle avale tout et éponge le gland pendant cinq minutes jusqu’à la dernière goutte.
– Il est bon ton sperme, quelle quantité, j’ai avalé au moins trois dose de cheval, c’est normal avec une bite de cheval comme ça.
– Tu sais j’en ai eu des bites dans ma bouche, dans ma moule et dans mon cul, mais avec la tienne j’en frissonne encore.
Le pire reste à venir, ils ont passé toute la journée à baiser dans tous les sens. Le soir Jacques a fait mine de rentrer bredouille.
– Alors chérie tu ne t’es pas ennuyée.
– Si tu m’as beaucoup manqué. Le soir, elle c’est bien endormi ; Jacques aimerait qu’elle pratique devant lui plutôt qu’en cachette, au diable la jalousie pourvu que tout le monde s’amuse.
Mais tout a changé lorsque sa femme a tissé des relations avec deux bourgeoises venues en célibataire, divorcées depuis quelque temps, elles ont pour habitude de partir ensemble et profiter de la vie. Cela ne le dérange absolument pas, bien au contraire. Jacques a prévu de faire quelques activités nautiques, pas forcément du goût de sa femme et quelque part, elles lui tirent une épine du pied en ne la laissant pas seule pendant ses activités.
Elles ont de la culture, habitent Toulouse et disposent d’une bonne réussite sociale. Jacques a l’esprit tranquille.
Dès le lendemain, il décide de se lancer dans le catamaran petit modèle, quatre cours d’une demi-journée et laissant son épouse faire bronzette au bord de la piscine.
Ces deux nouvelles copines durent arriver une demi-heure plus tard et elles ont proposé à son épouse de les accompagner à une séance de massage dispensée par l’hôtel. Vous pensez bien que sa femme n’a pas dit non, bien au contraire, elle adore prendre soin de son corps et de sa peau. Voilà les trois copines en direction du complexe de relaxation et chacune son thème, la Nicole ayant pris les soins aux huiles essentielles. Il faut compter bien deux heures de soin, elles en ont pour l’après-midi entière.
Nicole n’a jamais fait autre chose que des soins du visage, il en est différent cette fois-ci. Une charmante fille de type de la Martinique se présente et lui explique le déroulement de cette séance. Compte-tenu des huiles, il est nécessaire pour Nicole de se dévêtir totalement ce qu’elle fait sans problème, c’est le besoin et rien d’autre.
L’endroit est mi-intérieur, mi-extérieur et donne sur une végétation appelant au calme et à la sérénité.
Nicole, lui a raconté le soir même, que lorsqu’elle a ressenti les mains sur son ventre et bas-ventre, une première excitation venait de naître. La deuxième excitation arriva juste après une légère réaction, la venue dans ce petit endroit d’un jeune homme en blouse blanche apportant un complément d’huiles. Le fait de se savoir nu dans une position ou rien ne pouvait lui échapper, lui avait donné une poussée d’adrénaline.
D’ailleurs le lendemain soir, ces dames ne parlent que de cela.
Elles sont devenues de grandes copines et il est vrai que c’est sa femme qui quelquefois lui dit qu’elle va à des activités de filles les après-midi… Tient ! Les rôles ont changé…
Tellement coquines que Jacques n’ai rien vu venir. Au bout de cinq jours, il ne reconnaît plus sa femme. Elle est très glamour avec lui, mais pas seulement. Elles partent dans de franches rigolades parlant du physique des serveurs, serveuses et autres vacanciers.
Une grande partie de ces rigolades tournent autour du sexe, avec quelques anecdotes croustillantes de chacune d’entre-elles, sa femme ne sent n’est pas laisser compter, mais rien ne mettant sa position d’homme dans l’embarras.
Un jour, en fin d’après-midi, il a retrouvé sa Nicole totalement nue à côté d’une d’entre-elles et elle lui demande de les prendre en photo souvenir, rien que cela. Jacques a pris la photo.
Il en ressent un certain malaise, mais d’un autre côté, il en profite largement, car rien n’a changé, ils font l’amour tous les soirs, c’est torride.
Au bout de cinq jours, sa copine de la plage est venu le voir en prétextant vouloir lui parler de plongée sous-marine. La discussion est allée bon train et au bout de quinze minutes, elle lui dit sans retenue qu’elle connaît son fantasme. Jacques est sur le cul, mais il ne montre rien. – Qu’est-ce qui te fait penser cela ? Lui dit-il.
Elle me répond que c’est sa femme qui lui a raconté la veille au soir sans tabou avec il est vrai quelques verres de Rhum local dans l’estomac. Cela délit les langues. – Mais comment pouvait-elle te raconter une histoire pareille ? – Ton ordinateur mon ami. Mais elle m’a fait promettre de ne rien dire…
– Bon est après ? Lui dit-il.
– Et bien je vais exaucer ton fantasme. Un fantasme ne doit pas rester uniquement dans tes pensées. – Rassure-toi, elle ne sait pas que je suis venu te voir et encore moins notre souhait en commun.
– Penses à ta femme et à ton plaisir caché, tu auras tout le loisir de faire du voyeurisme, rien ne t’échapperas mais ce n’est pas toi qui piloteras, c’est ma copine et moi. Tu en auras pour ton argent mon cochon.
Et elle s’en va. Jacques est cloué sur place… Dans une situation ambiguë ou il y a son plaisir inavoué et à présent l’assouvissement de son fantasme, mais dont il perd le contrôle.
Ils ont passé une nouvelle soirée ensemble, mangeant et dansant tous ensembles jusque tard dans la nuit.
Nouvelle journée, les femmes vont faire du shopping en ville et cerise sur le gâteau, il peut les accompagner. Jacques est lessivé, il ne peut imaginer le nombre de boutiques passé en revue. Par-contre il n’a pas le droit de voir leurs achats. Une fois rentré, préparation pour le dîner et soirée de gala, comme tous les soirs. Pas de câlins ce soir-là, ils sont trop fatigués.
Le lendemain, sa copine de la plage est venue lui dire qu’elle l’attend vers quinze heures dans un petit appartement et merci de ne rien dire à sa femme.
Jacques est totalement impatient. Quinze heures tapante, il y est.
Un jeune homme est venu lui ouvrir et sans plus en dire, lui demande de rentrer dans une espèce de débarras et lui demande d’attendre ici, puis s’en va.
Son attente dure à peine dix minutes et la porte s’ouvre.
Jacques reconnaît la voix des deux copines, mais également une voix d’homme avec un accent local.
Depuis son petit local, il a une vue imprenable sur la pièce principale.
Sa femme est présente, assise dans un canapé blanc dans une robe qui ne lui dit absolument rien, sans doute un achat de la veille. L’homme n’est pas black, mais avec un accent très local. Ces deux copines parlent énormément laissant comprendre à sa femme qu’il s’agit d’un ami de longue date. Nicole est à l’aise et pourquoi ne doit-elle pas l’être, elle n’est pas seule dans cet appartement. La discussion a rapidement déviée sur lui comme par hasard. En effet, sa copine de la plage a ouvertement parlé de lui et de sa passion pour la pêche au gros en pleine mer.
L’homme a très gentiment proposé à sa femme de lui offrir cette sortie à la date qu’il lui convient.
Elle est totalement ravie pour lui, il peut le ressentir dans sa voix.
Il propose à sa femme et ses deux copines de se retrouver demain à la même heure afin de lui présenter ses amis et définir les modalités pour ma sortie en mer.
En rentrant, elle ne laisse rien paraître. Sa femme est égale à elle-même, tout va pour le mieux. Et lui, il sent à présent cette excitation profonde qui peut le faire bander rien qu’à y penser.
Le lendemain même petit appartement.
– Tu sais ma grande, nous connaissons les cocos qui vont venir ici tout à l’heure. Nous avons déjà fait une nouba avec eux l’année dernière, ils sont rigolos et pour ne rien te cacher très coquins.
Sa femme à ce moment précis réagit et pense que sa présence n’est pas nécessaire et qu’elle ferait mieux d’aller le retrouver.
Sa copine réagit à la seconde même.
– Ma belle, tu es super sympa, de plus ces gars vont venir pour nous deux, ils ne te connaissent pas. – N’oublies pas, ton mari va avoir une superbe journée en mer, ce sont ces cocos qui vont l’emmener en mer… Alors… qu’en dis-tu ?
Elle accepte compte-tenu de l’ensemble de ces remarques, mais uniquement en tant que spectatrice.
– Très bien ma Grande, par-contre la seule chose que l’on te demande, c’est de te changer avec nous.
Nous avons quelques fringues sympa et tu vas voir cela va les émoustiller.
Elles ont passé plus de trente minute dans la chambre voisine, Jacques ne peut voir ce qui si passe. Excitant, mais avec un soupçon d’appréhension. Il ne maîtrise rien sur le moment et il ne peut bouger de place.
Il est seize heures trente et on sonne à la porte.
Une des deux copines va ouvrir et les voila en présence d’une bande de quatre copains, trois blacks et l’ami blanc de la veille, ils paraissent bien les connaître.
Ambiance détendue et dialogue plutôt provocateur avec celle qui les a accueillies.
C’est à ce moment que sont apparues sa femme et sa deuxième copine, Jacques comprend mieux pourquoi elles ont mise autant de temps dans la chambre.
Sa femme est vêtue d’une robe blanche, courte, laissant apparaître la courbe de ses seins à travers un voile transparent. Elle est belle, il n’en revient pas.
Jamais elle ne se serait habillée de la sorte avant cela. Ces nanas ont un don pour la faire aller dans le sens ou elles veulent.
Jacques est sous le charme.
Ses copines ont des robes courtes et provocantes. Il est vrai que cet après midi est placé sous le signe de la rencontre, rien de spéciale, des attouchements entre ses copines et les amis black, de franches rigolades, quelques verres de Rhum et les langues se délient.
Jacques voit sa femme beaucoup plus à l’aise.
Elle discute de vive voix avec un des trois blacks, il est le plus petit des trois mais bon, cela ne veut rien dire… Jacques l’a même vu proposer un verre à son interlocuteur en lui posant gentiment sa main sur la cuisse, relation chaleureuse sans plus, mais chaleureuse tout de même.
Au bout d’une heure, ils ont remercié ces dames, se sont gentiment embrassés sur les joues et se sont retirés.
Honnêtement, il est arrivé avec une excitation importante et il en est reparti presque déçu.
Mais ses copines n’en ont pas terminés. Elles se sont resservi une petite collation en invitant son épouse à boire avec elles. Sa copine de la plage prit la parole. – Alors ma Grande, ils sont sympa tu ne trouves pas ? Et bien éduqués.
– Oui, rien à redire et de plus ils ont de la conversation. Répond Nicole.
– Ils ont, ils ont… Tu veux dire il a …. On t’a vu avec Léon, tu as passé presque une heure à discuter de tout et de rien. Je crois que le courant est bien passé entre vous ??
– Oui, il est agréable avec beaucoup de culture.
Répond sa femme.
– Et bien justement, nous nos vacances se terminent dans deux jours, et nous n’avons pas pour habitude de repartir sans donner de notre personne, tu vois ce que je veux dire ?
– Tout et organisé pour demain ici même avec cette joyeuse bande et tu peux nous croire, ils ne vont pas venir que pour de la figuration. Ton Léon, il a peut-être la langue pendue pour les belles paroles, mais lorsqu’il te pose sa langue sur ton sexe, c’est une autre histoire qu’il va te raconter.
– Alors veux-tu te joindre à nous ? Léon m’a justement demandé si tu étais présente demain et je lui ai fait comprendre que peut-être que oui… Ne me déçois-pas, ne te déçois-pas !
Nicole ne prend pas beaucoup de temps à répondre et sa réponse lui donne le frisson.
– Écoutez les filles, j’ai pris beaucoup de plaisir à vous côtoyer ces derniers jours, je vous ai accompagné dans vos délires et c’est vrai que je ne connaissais pas tout cela, cette façon de vivre le plaisir en temps réel sans se poser des tonnes de questions.
Et il est vrai aussi, que Léon est très attirant et que des idées cochonnes ont traversé mon esprit.
– Alors je dis OUI… mais à une condition !!! Que mon mari soit au courant et soit présent.
Jacques est scotché par sa réponse. Il est vraiment touché et fou de joie à la fois d’avoir une femme aussi Top. Il n’a qu’une seule hâte, qu’elle lui en parle ce soir.
La soirée s’est passée avec ses copines, un bon repas et une sortie en boite de nuits et pour finir une soirée torride dans leur lit tous les deux, lui tout excité par ce qu’il avait vu et entendu.
Elle prend la parole à la fin de leur petite culbute en lui précisant, que cette rencontre avec ces deux femmes l’a changée et à présent elle a l’opportunité de goûtée autre chose…. Lui dit-elle.
Jacques fait l’étonné, ne voulant pas épiloguer sur les rencontres qu’elle a fait pendant ce séjour et dont il n’est logiquement pas au courant…
Jacques lui dit que pour lui tout est OK, mais en insistant qu’il veut être présent. Elle donne grâce à sa demande….
A suivre
Sam botte
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