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Histoire sexe Prise dans un cercle vicieux Chapitre 17 Final

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Les voilà le lendemain, dans cet appartement qu’il connaît bien à présent, mais ou il doit de faire l’ignorant.
Ces dames se sont préparées en lui montrant toutes les tenues qu’elles ont emmenées. Il n’y en a pas qu’une seule. Elles ont décidé de changer de vêtements à chaque-fois qu’elles décident de changer de partenaire.
On sonne à la porte.
Ces dames lui laissent ouvrir la porte afin de les accueillir. Une fois à l’intérieur, ils se sont tous présentés ainsi que le fameux Léon, pas très grand il est vrai.

Ces dames sont déjà dans le salon un verre à la main, prêtes à accueillir les hôtes. Sa femme et sa copine de la plage sont vêtues d’une nuisette rose transparente, ultra courte et laissant apparaître poitrine et toison, le tout accompagné de chaussures à talon type salope… un vrai régal. Jacques tient son verre et il n’en croit pas ses yeux.
Sa Nicole accompagnée de sa copine se sont rapprochées de Léon, elle lui demanda de les prendre en photo souvenir. Léon est aux anges.

Arrive le moment ou ces dames ont décidé de se changer pour aller taquiner leurs hôtes.
Tout le monde est détendu enfin pour l’instant et le rhum n’arrête pas de couler.
Au bout de dix minutes, ces dames reviennent.

La Nicole se rapproche immédiatement de Léon et le prend par la main en l’invitant à prendre place sur le canapé. Ces dames font pareilles de leurs côtés. Il n’y a que Jacques, seul un verre à la main.
Le Léon, n’a pas perdu de temps, en deux temps trois mouvements, il se retrouve en caleçon au côté de la Nicole. Ayant déplacé une de ses jambes sur celle de Léon, elle donne l’impression d’être ouverte aux désirs, Léon y porte immédiatement ses doigts, écarte le minuscule string pour faire apparaître son sexe rosé.

Léon commence à lui titiller son petit bouton, elle aime cela de toute évidence. Pas à un seul moment Nicole ne pose un regard vers son mari. Elle a décidé de jouer avec lui. À croire qu’il a en face de lui une inconnue.
Elle laisse Léon jouer avec ses doigts magiques. Il l’embrasse fougueusement, Jacques voit comme sa langue cherche celle de sa femme, une langue forte, bien baveuse. En moins de deux, elle se retrouve toute nue à ses côtés, il lui tripote ses seins d’une force, elle en prend un réel plaisir, bref, il n’est pas tendre avec elle et montre sa virilité d’homme.
Léon n’est pas grand, mais il soulève sa femme d’une facilité déconcertante pour l’emmener dans la petite chambre.

Histoire sexe Prise dans un cercle vicieux Chapitre 17 Final
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Jacques les suivit et il se met dans un coin de la chambre accroupi pour ne pas les gêner.
De son côté, sa femme a bien posé ses mains sur le torse de Léon. Il l’a dépose sur le lit et lui demande de se mettre à quatre pattes le temps pour lui de faire tomber son caleçon.
Un monstre, il en sort un monstre.
Jacques n’en revient pas. Une matraque de bien vingt-six centimètres et un bon six centimètres de diamètre. Léon est un vicieux, il sait que Jacques est son mari et il veut lui montrer le joli cul de sa femme et le gourdin qu’il va lui donner.
Cette image lui restera gravée à vie. Sa femme de son côté n’a encore rien vu, normal, elle est de dos. Jacques est au comble de son excitation.

Léon joue avec sa femme et surtout avec lui. Il le sait. Il prend son temps pour bien lui montrer que s’est sa grosse bite qui va s’enfiler dans le puits d’amour de sa femme.
C’est un sentiment étrange, entre gros plaisir et appréhension. Jacques bande à lui en faire mal…
Léon se place derrière elle, commence à lui lécher son minou à gros coups de langues, il lui bouffe littéralement la fente et cela, sans retenue.

Des gémissements commencent à se faire entendre. Il joue à ce petit jeu bien six minutes, sa moule est luisante, un mélange de salive et certainement de jouissance féminine.
C’est à ce moment qu’il décide de se mettre en position afin de présenter son gros calibre qui ne pouvait attendre plus.

La Nicole n’ayant toujours pas vu le moindre centimètre de cette queue gigantesque.
Pour Léon elle est prête. Il avance son monstre vers l’entrée, joue avec les lèvres toutes humides afin de s’enduire le bout afin de lui faciliter le passage. Le voilà qui se présente… la femme penche son buste sur le lit par réflexe, Jacques voit les fesses de Léon qui se contractent, ses muscles fessiers poussent et voilà que la matraque se fait un chemin dans le sexe de sa femme.

Jacques voit les jambes de sa femme s’écarter, il pousse toujours, car la femme est certainement contractée, et d’un coup la totalité de son sexe rentre dans le puits d’amour de la femme….
Elle crie, elle râle, hurle, mais pas un hurlement de douleurs, plutôt roque, profond qui fait comprendre qu’elle vient de prendre en elle quelque-chose d’énorme.

Ce cochon se retourne vers Jacques et leurs regards se croisent. Il y a dans son regard un côté moqueur… il vient tout simplement de remplir le ventre de son épouse de son sexe énorme.
Ce vagin est logiquement que pour Jacques, mais depuis un certain temps, il est devenu celui d’autres visiteurs. Léon se met bien au fond dans le ventre de sa femme, il doit sentir sa chaleur. Jacques pense que comme elle est plutôt étroite il doit se sentir serré.

Pendant les dix premiers va et vient, Léon ne le quitte pas du regard. C’est à croire qu’il prend plus de plaisir à deviner son émotion, de voir son excitation, lui tout seul accroupi dans un coin de ce chambre.
Il prenait son temps, le salaud, une fois lentement, une fois rapidement, il jouet avec le sexe de sa femme, c’est une évidence. La plus belle image qui restera à Jacques, c’est la capacité de sa femme à engouffrer un sexe de cette taille, elle aime ça la salope.

Cela faisait bien dix bonnes minutes qu’il bourre Nicole, Jacques se déplace autour du lit pour voir le visage de sa femme ravagé par le plaisir, Léon le suit du regard.
À plusieurs reprises, il voit les yeux de sa femme se révulser, elle ne le voit pas, elle ne l’entend pas. Ses râles remplissent la pièce tout entière.
Après cette étreinte, il reste quelques instants bien au fond de son vagin, certainement pour calmer la femme, elle se remet sur ses avant-bras et là Jacques a compris qu’elle en voulait pour encore.

Léon n’attend pas plus longtemps. Il se lance dans un va-et-vient mélangeant force et douceur. Il ne faut pas plus de deux allers-retours pour entendre sortir de la bouche de la femme des râles de plaisirs. Jacques voit également les premières traces de liquides blanchâtres se positionner autour du sexe de Léon.
Ce sexe noir au départ est à présent recouvert d’une crème blanche tellement il l’a fait jouir. Et cela dure, dure.

Histoire sexe Prise dans un cercle vicieux Chapitre 17 Final
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Jacques prend son sexe dans sa main, il se met à se masturber au même rythme que Léon, mais il part en vrille alors que Léon continuait à labourer le cul de sa femme. Après une forte accélération, il se retire et plusieurs jets puissants sont allés directement sur le dos de sa femme, il aurait pu en remplir un demi-verre de moutarde.
Sa femme retombe de tout son poids sur le lit, épuisée, sa fleur d’amour est d’un rouge intense elle est grosse, très grosse.

Lorsque Léon quitte la chambre, sa copine de plage arrive et lui demande de continuer le jeu, il faut qu’elle change de vêtements, car un autre martiniquais veut également la prendre.
Elle ne met qu’un collant noir ouvert entre les jambes, elle n’a pas vraiment toute la force pour se lancer dans un relookage complet.
Un autre black avec une queue un peu bizarre, grosse, plus grosse que celle de Léon, mais difforme avec un penchant vers la droite. Il prend Nicole par l’épaule, il lui donne l’ordre de se coucher sur le dos.

Une fois chose faite, il enjambe le corps de la femme et se place assis au niveau de son ventre.
À ce moment précis, elle voit son membre. À son regard, Jacques comprend qu’elle est étonnée, presque effrayée. Même en rêve, on pense qu’elle ne s’imaginait pas cela.
Il présente immédiatement son sexe et la force pour qu’elle le prenne en bouche, ce qu’elle fait bien entendu. De l’autre main, il s’approche du puits d’amour de Nicole, joue avec quelques instants puis lui enfonça trois doigts dans le puits, elle est encore toute mouillée et il n’a aucun mal.

Il bouge activement sa main dans le puits de la femme, des gémissements commencent à se faire entendre. Il traite de blanche salope à blacks, qu’il va la faire gueuler et que tout le quartier va l’entendre.

Il récupère à côté de lui un flacon de lubrifiant, il en applique largement sur sa main et le sexe de la salope. Jacques ne voit pas bien ou il veut en venir, il l’excite avec sa main en lui appliquant de grandes secousses.
La copine de la plage rentre à nouveau dans la chambre, elle se rapprocha de Jacques. – Alors tu aimes voir ta femme se faire prendre par ces blacks ?
– Lui tu vois, il aime deux choses ; la sodomie et le fisting. Je crois que ta femme va goûter aux deux et en plus il sait faire les deux en même temps ! Regarde bien.

Jacques vient de comprendre son jeu.
Il n’arrête pas de lubrifier la fente avec ses doigts et de sa main, la femme semble plutôt apprécier.
Seul son pouce reste pour l’instant à l’extérieur de la fente de la femme, mais il là travaille au corps, il écarte ses doigts, bouge dans tous les sens et le voilà qui essaye au bout d’une bonne dizaine de minutes de rentrer son pouce ? Nicole se tend et voila, il est rentré sa main jusqu’au poignet. La femme est tendue, il y a de quoi, elle a accepté une main entière dans son puits d’amour.

À présent, il l’a ramone d’une main de fer, on est passé du gémissement au râle profond. Elle essaye de répondre son souffle, mais il maintient sa queue dans sa bouche.
C’est un barbare et il prend un sacré plaisir le dominateur. Jacques est stupéfait par la vigueur de sa femme. Il voit son puits d’amour totalement dilaté, l’autre fouille la femme comme s’il cherchait un trousseau de clé dans un sac, il en ressort sa main, joue avec son clitoris et replonge dans son vagin et à chaque fois, la femme se cambre de plaisir.

À bout d’un moment, il prend une autre position en se mettant cette fois ci entre les jambes de la femme, il l’a sent, l’a renifle. La femme est encore toute haletante.
Jacques voit ses grosses lèvres se rapprocher non pas du sexe de sa femme, mais de son anus. Il commence à lui couvrir son trou de balle avec sa langue bien baveuse.
Nicole prend ses jambes avec ses mains afin de bien écarter son entre-jambes. Encore une position qu’elle apprécie… Que Jacques découvre, car jamais il s’était lancé dans ce type d’exercice. Encore une leçon…

Sa langue de l’autre est puissante, il la lui fourre dans son petit jardin secret. De temps en temps, un petit, non un gros doigt vient également jouer avec sa fleur largement épanouie.
Jacques se dit sur le moment, que si ce morceau doit fouiller l’anus de sa femme, il va falloir que l’autre y mette de la patience et du doigté.

Nicole est vraiment devenue son objet, son jouet et elle se laisse totalement faire, la tête dans les coussins et pas un seul regard vers son mari. Il n’existe plus.
L’autre prend vraiment son temps, l’anus de la femme est reluisant, couvert d’un mélange de bave et de lubrifiant. Il colle ses grosses lèvres dessus et l’aspire très fortement.
À présent, il y plonge deux doigts, puis vient un troisième… Il la fouille, fait tourner ses doigts dans le jardin secret de la femme.

Il se place derrière la femme, elle, le cul bien en l’air, offert à de nouveaux jeux. Il approche sa queue tout doucement, jouant avec l’anus de Nicole, il joue avec, enduit son sexe avec le mélange salive et de lubrifiant qui est tout autour de la petite entrée de ses reins. Il approche son gland, l’applique sur l’entrée convoitée. Jacques voit sa femme descendre son buste sur les draps et serrer dans ses mains les draps du lit, elle doit se préparer psychologiquement.
La pression est de plus en plus importante, Jacques voit son anus se dilater et la première moitié du gland plonger dans l’inconnu.

Lorsque son gland est totalement absorbé, la femme eu un geste vers l’avant, Jacques pense que ses muscles viennent de se détendre, car la queue s’enfile tout naturellement sans rencontrer la moindre résistance. Le chemin est à présent fait. Toute sa queue est à présent rentrée jusqu’à la garde.
Les mains de la femme serrent fortement les draps, car l’autre part dans un va-et-vient énergique. Jacques n’entend pas le même type de râle que précédemment. Cela ne doit pas être le même type de jouissance. En s’approchant du lit, il peut voir le visage de sa femme, les yeux fermés, la bouche grande ouverte avec un large filet de bave mouillant le drap.

L’autre n’arrête pas de la pilonner. Il se penche sur le dos de la femme et commence à toucher sa fleur avec ses mains. La femme lâche immédiatement les draps de ses mains pour les porter sur les mains de son baiseur. Certainement pour calmer son amant ou peut-être protéger son puits déjà largement rougi par ses précédents assauts.

D’ailleurs il ne va pas plus loin dans son délire. Jacques pense à une sodomie plus un fisting mais il a compris que sa femme a repris le sens de son plaisir, elle n’est pas prête là à cet instant à accepter une main entière en plus dans son puits d’amour. Elle veut reprendre les commandes tout en se faisant pilonner l’arrière-train.

L’autre remarque son refus. Il soulève la femme en la prenant par les épaules, sans sortir son sexe, bascule avec elle sur son dos. Il veut à présent voir son cul monter et descendre sur son calibre.
C’est à ce moment que Jacques voit le sexe de la femme bien rouge et enflé, il comprend son précédent refus. Son sexe doit être très très sensible.
C’est à présent elle qui s’active sur ce bâton de berger et elle aime cela profondément.
Après quelques mouvements, il l’a renverse sur le côté et la prend à nouveau profondément.

Comme Jacques est de dos, une main inconnue se pose sur son épaule. C’est un autre black qui vient de rentrer dans la chambre.
Il lui fait signe de venir vers lui apparemment il a quelque chose à lui dire. Il approche sa bouche de son oreille et lui dit :

– Alors ! Elle est bonne cette blanche ? Jacques a du mal à le comprendre d’ailleurs il empeste le rhum à plein nez.
Celui qui baise sa femme se retourne et lui dit qu’il faut qu’il lubrifie sa queue, car sa femme est du type cul serré.

Jacques vient de comprendre que c’est lui qui va se faire la femme dans un second temps. L’autre hoche de la tête et sans aucun tabou, il lui présente son sexe devant sa bouche tout en lui tenant la tête. Jacques ne comprend pas tout de suite son intention ? Cela ne dure pas longtemps. Il veut qu’il le suce.

Jacques n’a jamais sucé une queue de sa vie et franchement il n’est pas prêt pour le faire. C’est dégoûtant. Jacques va pour se lever et sortir de la pièce lorsque sa femme tourne sa tête et lui dit entre deux râles…
– Suce-le ! Je te dis de le sucer. Considère cela comme une preuve de ton amour. Allez vas-y !
Jacques est entre dégoût et ? Il ne sait quoi. Sa femme a remis sa tête sur le lit tout en se faisant pilonner, elle lui fait comprendre qu’il faut qu’il le fasse. Elle ne le quitte pas du regard.

L’autre n’ait pas bougé son sexe de sa joue, Jacques est dans le doute. En plus, sa queue sent… Une odeur âcre, du style, je ne me suis pas lavé depuis trois jours.
Les trois le regardent. Jacques prend la décision d’y aller en pensant que cette queue va ensuite ramoner la moule de sa femme.

Jacques tourne légèrement la tête et le gland énorme se présente devant sa bouche. Jamais il ne va pouvoir sucer une queue pareille.
Jacques ouvre la bouche, ferme les yeux et l’autre le prend par les cheveux et enfonce son gland au fond de sa gorge. Le goût âcre de son sexe n’est pas bon. Jacques a un haut de cœur.

Puis l’autre fait des va-et-vient avec sa tête… Après quelques instants, Jacques fait rouler sa langue sur son gland, il prend le sexe dans sa main pour bien le tenir.

Jacques n’en croit pas ses yeux… Recevoir le sexe d’un homme dans sa bouche… L’excite ? Ce n’est pas tant l’acte, mais ce qu’il fait… Il suce le sexe d’un homme… Et il aime ça ! Jacques pense qu’inconsciemment, il a toujours aimé être dominant et dominé… Jacques est en train du sucer un HOMME, lui, un mâle.

Sa femme est excitée de voir son mari sucer l’homme noir.
Au même moment, il saisit sa bite avec sa main ? À lui ? Il bande, putain ce n’est pas possible. Jacques bande en suçant un mec ?

Soudain le black qu’il suce, se penche, retire sa queue de sa bouche, l’attrape sous les aisselles, il le couche le haut du corps à plat ventre sur le bord du lit ?
Le black qui est sous sa femme lui plaque la tête sur le lit d’une main ferme. L’autre passe derrière

Jacques et en un éclaire, il lui retire son pantalon avec son slip ? Paniqué Jacques vient de comprendre que l’autre veut le sodomiser. L’autre lui écarte les fesses et crache sur sa rondelle vierge. Il positionne sa belle grosse bite bien raide sur sa rondelle. Il croche les hanches de Jacques de ses puissantes mains. Il force, sa queue pénètre petit à petit dans les reins de Jacques qui cri de douleur la tête enfoncé dans le lit. Il a beau se débattre, il ne fait pas le poids. Son anus se dilate comme un vagin miniature.

Une fois logé au fond de ses reins, l’autre agrippé à ses hanches ce met en mouvement, il remue d’avant en arrière. Jacques se cambre sous les coups de boutoirs de son amant. L’autre régulièrement crache sur sa queue à moitié sortie, avant de la replonger dans les entrailles de Jacques.

Jacques sa tête maintenant libérée, c’est redressé sur ses coudes. Il ferme les yeux pour ne pas voir sa femme et les autres le regarder ce faire enculer. Cette chose vivante, dure, chaude, qui lui écarte l’anus et les entrailles lui fait monter une certaine chaleur agréable entre ses cuisses.

Mentalement Jacques se sent femelle, il prend pour son plus grand plaisir l’initiative de pousser ses fesses vers ce dard bien tendu, ouille que ça fait mal !

Mais Jacques le sent qui entre encore un peu, nouvelle pose, phase de décontraction, puis bien que la douleur encore très présente, il pousse encore un peu plus fort son cul sur sa bite, mais cette fois tout en faisant comme s’il voulait avec mon anus rejeter cette queue, (comme quand on va au toilettes) ça fait moins mal et d’un coup plus de la moitié de la queue est en lui. Oups, Jacques respire un bon coup, il a mal, il hésite, entre pas bouger et arrêter, il commence par pas bouger.

là l’autre commence à la ressortir un peu puis la pousser plus à fond, par des petits vas et viens courts et très lents. Jacques ressent un mélange de douleur et de plaisir lui envahir les entrailles. Jacques se laisse faire et progressivement l’autre l’a enfilé jusqu’à la garde. Jacques est là pris pour la première fois par un homme, il est à sa merci, ça queue planté à fond en lui. Il y reste immobile encore un bon moment, Jacques a encore mal. Son amant reprend les vas et viens courts et lents d’abord, puis alors qu’il sent que Jacques se laisse aller, les vas et viens se font plus longs et rapides.

Jacques commence à ressentir les spasme de la queue de son amant, sa respiration s’accélère, Jacques tremble sur ses jambes, il a envie de gémir, mais il s’abstient sa femme le regarde. Les vas et viens se font encore plus rapides.

La bouche ouverte, il retient des râles de plaisir, car c’est du plaisir qu’il ressent depuis que l’autre lubrifie le passage en crachant régulièrement sur sa queue. Ce n’est plus une brûlure qu’il ressent, mais une volupté insoupçonnée.

L’autre n’en finit pas de cracher sur sa queue, il sodomise Jacques encore et encore. Celui ci, la queue plaquée sur le bord du lit, bande comme un taureau. C’est au bout d’un long quart d’heure de sodomisation, quand il sent une chaleur lui envahir les entrailles, l’autre jouit dans son ventre ?  La chaleur de son sperme se répandant dans son ventre et la pensée qu’un être jouisse dans son corps, lui fait décharger son trop plein de sperme contre le bord du lit. Ils jouissent ensemble, lui sur le bord du lit, l’autre jouit aussi, mais dans son ventre d’enculé.


C’est là que pour la première fois Jacques se sent réellement une femelle, prise par un mâle. Cet homme est la bien planté en lui, ils ne font qu’un, il l’a saillie, fécondé avec son sperme, c’est bon. Douloureux certes mais mentalement très bon.
L’autre, c’est retiré du ventre de Jacques qui lui reste là, la moitié du corps affalée sur le lit, les genoux a terre, les jambes écartées, il sent son anus rejeter par saccade le trop plein de sperme qui coule sur ses couilles.
Là vient le troisième larron, un peu plus maigre que les deux premiers. Il passe devant Jacques sans le regarder d’un air de d’égout, il va se placer sur le lit, enjambe sa femme pour lui fourrer immédiatement son sexe dans sa bouche.

Jacques reprend quelques couleurs, le sexe du nouveau est d’une taille plus raisonnable. Jacques en oublie que sa femme est toujours sous les coups de butoir d’un méga membré.
Avec cette bite dans la bouche, ses râles sont beaucoup plus étouffés, mais elle le suce avec ardeur.
Son baiseur a repris la position de l’homme couché sur le dos, il prend la femme par la taille. Il a à présent devant lui son dos et ses fesses en bonne vision, elle accueille jusqu’à la garde son mandrin.

Il a réussi à faire son chemin et bien profond.
Il prend à présent la femme par les épaules pour la faire coucher sur son torse tout en laissant son sexe dans son cul. Une fois cette position faite, il met ses mains sous les cuisses de la femme afin de bien faire remonter ses jambes, là le troisième larron se placer devant le couple, il place sa bite devant la fente de la femme.

Elle ne veut pas de fisting, mais là elle va subir une double pénétration.
Jacques voit le sexe de la femme totalement rouge et enflé, le nouveau venu enfonce sa bite sans retenu et elle rentre sans difficulté. Le chemin est fait depuis bien longtemps.
La Nicole penche sa tête en arrière dans le coup de son sodomite après cette rentrée rapide. Les deux la baisent à présent comme des chiens et au bout de quelques minutes ils se vident dans son ventre.

Ils sont partis, Nicole vient de prendre une bonne douche après avoir rincé ses deux puits d’amour.

Sa copine de plage lui a donné un pot de crème pour qu’elle s’en badigeonne sur ses lèvres intimes et sur son anus.

Elle sort de la salle de bain quand soudain ?

La sonnette retentit, la copine ouvre la porte, c’est Léon avec trois autres hommes de couleur.
– On ne sera pas trop de quatre pour faire une petite tournante avec vous deux ! Dit Léon en entrant.
– Je vous présente mes trois potes Jules, Nico et Max. Vous allez voir, ils sont montés comme des ânes, je suis sûr que vous allez apprécier et le mari aussi.
Il s’adresse à Nicole.

– Viens t’asseoir sur le canapé entre mes deux potes ma jolie et toi le cocu sers nous à boire.

Déjà, Nicole n’est plus là, sa tête est penchée en arrière, ses yeux dans le vague et sa bouche entrouverte laisse entendre de petits halètements.
– Viens te mettre à genou devant moi pour me sucer.
Ordonne Léon a Jacques, qui aussitôt demandé, aussitôt fait. Jacques se retrouve à genou devant Léon. Il défait le bouton du pantalon descend la braguette de Léon, et après avoir baissé son caleçon ressort sa queue raide avant de la prendre en bouche. – Vas y, pompe bien salope ! Lui dit Léon pendant qu’il le tient par les cheveux et imprime à sa tête les vas et vient qu’il désire.

Sa queue est dure et longue comme celle que Jacques a toujours rêvé d’avoir. Il la fait par moment entièrement rentrer dans sa gorge et le tient coincé comme ça en lui disant.
– Tu vois, c’est ça une vraie bite d’homme, profite en sale pute. Pendant ce temps les choses évoluent sur le canapé. Les deux mecs ont baissé leurs pantalon sur leurs chevilles et sorti leur bites encore plus grosses que celle de Léon. La copine de plage est dans une chambre avec Jules.

Nicole est penchée, la tête sur les genoux de ses nouveaux amants et passe d’une bite à l’autre goulûment. La grosseur de leurs queues déforme les joues de Nicole qui ne sait plus où donner de la langue. À un moment, Nico fait placer Nicole à quatre pattes devant Max et lui fait reprendre sa queue en bouche pendant que lui, écarte sa raie des fesses et introduit sa grosse bite dans la grotte de Nicole. Celle ci se met à gémir sans lâcher la bite de sa bouche et Nico commence à la limer sans ménagement.

Il faut savoir que la crème de la copine de plage est bourrée d’aphrodisiaque. Notre pauvre Nicole a maintenant le feu à ses deux puits d’amour.
– Regarde ta pute ? Tu vois comme elle aime ça, se prendre deux vraies bites en même temps. C’est sûr que ça la change de ta petite bite d’éjaculateur précoce. Elle adore nos bites de noir et je peux te dire qu’elle va te faire une vie d’enfer, elle ne pourra plus s’en passer, petite bite ! Lui dit Léon.

Ses mots crus et humiliants redoublent l’excitation de Jacques et sa bite se heurte contre les montants du canapé.
– Continuez de la baiser pendant que son cocu regarde ! Dit Léon à ses copains. Alors ils changent de stratégie. Max s’allonge sur le long canapé et fait asseoir Nicole sur sa bite. Une fois celle ci bien au fond de son puits d’amour, Nico se fait d’abord sucer par Nicole en lui demandant de mettre beaucoup de salive autour de son pieu, puis il passe par derrière, allonge entièrement Nicole sur le ventre de Max avant de présenter doucement le gland de son énorme sexe devant la rondelle de Nicole.

Léon fait approcher Jacques au plus prêt du cul de sa femme et lui ordonne de lécher tout autour de l’anus et le long du sexe de Nico. Une fois bien lubrifié, par la langue de Jacques, Nico commence à s’introduire dans le cul de Nicole. Il ne rentre le gland de son braquemart, puis, il le ressort et le place dans la bouche de Jacques pour mieux le lubrifier.

Sa queue sent le cul de sa femme, mais il l’avale entièrement et y mets beaucoup de salive. Alors Nico se représente devant l’anus de Nicole qui cette fois ci avale entièrement cette longue tige. Ainsi la Nicole est encore remplie par les deux bites de Max et Nico.
Max ne bouge pas, mais Nico, lui, commence les aller-retour dans l’anus bien dilaté de la femme. Visiblement la crème a fait son effet, on entend Nicole dans la montée du plaisir s’exprimer de façon crue par des :

– Oui vas y défonce moi bien ! C’est trop bon vos deux grosses bites en même temps.

Ces mots donnent de la fougue aux assaillants de la femme et Léon en profite pour approcher sa bite du visage de Nicole en disant :

– Jamais deux sans trois ma jolie ! Elle ouvre alors la bouche et est remplie par la troisième queue.

Ils jouirent pratiquement ensemble dans le corps de la Nicole. Léon oblige Nicole à montrer à Jacques, le sperme qu’elle a dans la bouche avant de l’avaler, puis les deux autres amants de sa femme sortent d’elle laissant ses deux orifices béants et dégoulinants de leurs propres spermes.
– Vas nettoyer les trous de ta femme. Lui ordonne Léon en faisant placer Nicole sur le dos.

Alors la langue de Jacques fouille les recoins de la grotte de sa femme, aspire tout le sperme qui en ressort, puis Léon relève les cuisses de Nicole pour que sa langue soit à portée de son cul.
– Ne laisse rien cocu ? Lèche bien autour de son anus, et avale tout ce sperme qui coule dans sa raie ? Très bien le cocu, maintenant pénètre l’anus de ta femme avec ta langue et vas bien chercher dans son cul le sperme qui y reste.

Jacques s’exécute sans broncher et nettoie entièrement les parties intimes de sa femme du jus de ses amants.
Après un petit casse-croûte bien arrosé, Léon et ses amis conviennent que c’est au tour du cocu de les satisfaire. Nicole qui est crevée va dans la salle de bain puis se reposer dans la chambre avec sa copine de plage.

C’est autour de Jacques de servir de vides couilles une partie de la soirée. Nico, Léon, Jules et Max le baisent par tous ses trous les uns après les autres, le traitant de sous homme. À un moment, après que Léon lui a bien défoncé le cul et joui dedans, Max lui fait subir avec Nico une double pénétration. Jacques doit s’asseoir sur Nico pour qu’il le pénètre. Ce n’est pas compliqué, car son cul est rempli du sperme de Léon.

Alors, Max passe par derrière lui et introduit sa queue au-dessus de celle de Nico déjà dans son anus en me disant
– On va te l’écarter ton cul de cocu.
La douleur de cette double pénétration est énorme avant de se dissiper par une pause bien venue de son assaillant. Alors il le chevauche comme un femelle, ressort parfois entièrement avant de le reprendre d’un coup en le traitant de salle pute. Jacques sent sa bite glisser au-dessus de celle de Nico et a un moment, dans des spasmes et un cri de jouissance, Max dit :
– Prend ça salope.

Alors, il se vide dans les reins de Jacques. Léon qui rebande de nouveau en voyant Jacques baisé comme cela lui fait tourner la tête vers lui et ouvrir la bouche grande en tirant la langue. Il se branle dans celle ci en lui disant : – Ouvre ta gueule que je me vide dedans et avale tout salope ? Alors des jets de sperme inondent la gorge d Jacques qui avale tout le sperme. C’en est trop pour lui, il sent la jouissance arriver et des flots de sperme sortent de sa bite. Nico ressent ce sperme qui s’étale sur son ventre ?

– Il m’a joui dessus cette pute ? Dit Nico en retirant avec ses doigts le sperme avant de l’introduire dans la bouche de Jacques et de lui faire avaler.
Les deux sortent leurs braquemarts en même temps.

Jacques reste allongé sur le ventre, les deux genoux à terre. Son anus rejette par spasmes le sperme de ses deux visiteurs. Il ne voit pas Jules se mettre à genoux derrière lui avec à la main sa bite de cheval.
Jules attrape Jacques par les hanches et sans crier gare, il enfonce sa bite de cheval dans le cul ouvert de Jacques qui pousse un cri de douleur. Il veut se soustraire à cette horrible sodomie non consentie.

Léon et Max viennent tenir Jacques sur le canapé pour qu’il subisse la sodomie.
– Ah ! Ça y est ! Tu l’as sent au fond de ton cul ? Merci Léon, pour une fois que je peux mettre ma queue dans un cul aussi accueillant.
– Avec sa queue de cheval, les femmes ne veulent pas que Jules les sodomise. Alors pour une fois qu’il peut le faire, laisse lui cette joie.
Lui dit Léon. Les deux gars le regardent d’un œil complaisant et l’un d’entre eux lui souffle entre deux coups de butoir :
– Heureusement que l’ont t’as fait un double anal si non tu aurais dégusté grave.

Jules ne le ménage pas. La délivrance arrive enfin. Il a encore sa bite de Jules bien au fond de ses entrailles quand tout à coup elle sent un flot de chaleur l’envahir. Jacques essaie de se dégager, mais Jules le tient plus serrée que dans un étau, comme soudé à lui.
Tout à coup il sent un flot de chaleur l’envahir. Il urine encore dans son ventre.
Jules urine dans son ventre ? La sensation de chaleur que l’urine répand dans ses boyaux est très agréable. Sous l’effet de cette chaleur envahissant son ventre Jacques jouit pour la deuxième fois en très peu de temps.

Après avoir rempli ses intestins d’un peu plus de sperme et d’urine Jules se retire du ventre de Jacques qui reste là affalé sur le canapé.
(Putain ? Il m’a pissé dans le ventre ? Je ne suis pas un urinoir tout de même ?)
C’est un étrange cocktail odorant qui sort de cul de Jacques en souillant ses cuisses et le sol.

Cette expérience a beaucoup changé leur façon de vivre. Nicole est vraiment devenue une accro des bites Noires ou autres du moment qu’elles sont plus grosses que celle de son mari.

Fin !

Sam botte

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