Depuis ces cinq jours, Nicole n’arrive pas à oublier ses instants passés en compagnie de Karim, le meilleur collègue de son mari, au cours desquels, il l’a copieusement baisée.
Pour la première fois, et sans trop savoir comment cela était arrivé, elle s’était donnée à cet homme, découvrant des sensations incomparables qui la font frémir rien qu’en y pensant.
Oubliant ses préjugés, elle s’était abandonnée à ses désirs, le laissant la prendre comme il l’entendait, acceptant la sodomie qu’elle avait toujours refusé à Jacques, son mari, ce qui fut une véritable révélation.
Elle c’est prendre par le cousin de son amant, elle a aussi découverte ce qu’était être prise en sandwich, elle avait beaucoup aimé cette expérience, ses amants d’un jour, en pleine forme et tout à fait à la hauteur, l’ont comblée comme rarement elle l’avait été.
En retour, elle avait révélé des capacités tout à fait intéressantes, notamment buccale, entretenant la vigueur de ses amants, pour son plus grand bénéfice.
Elle, qui ne connaissait que le goût de son époux, avait élargi d’un coup ses connaissances en dégustant spontanément le nectar onctueux et odorant délivré par Karim, ou son cousin discerné la subtile différence.
Cela avait finalement eu un effet bénéfique sur son couple, car des barrières sont tombées, l’amenant à se lâcher un peu plus pendant leurs rapports, à la grande satisfaction de Jacques.
Celui-ci ignore tout bien sûr, car elle l’adore et ne veut pas gâcher leur couple pour une aventure qu’elle considère comme sans lendemain.
Mais elle ignore que des changements s’opèrent au plus profond de son être, bousculant l’ordre établi, la menant à une nouvelle façon d’appréhender la vie.
Depuis Karim l’a contacté discrètement à plusieurs reprises, insistant, pour l’inviter à dîner, en toute amitié a-t-il promis.
Cette invitation, à laquelle Jacques n’est pas convié, sent le souffre de toute évidence, mais cela ne lui déplaît pas, le souvenir de ce collègue lui brûle encore le ventre
Longtemps hésitante, par peur des conséquences, elle finit par accepter l’invitation quand elle apprend le déplacement pour plusieurs jours de son mari.
Depuis qu’elle connaît Karim, elle apprécie son humour et sa gentillesse, toutefois lors de ces cinq jours, elle a découvert chez lui des qualités physiques qui l’émoustillent bien davantage, et ce seul souvenir l’emporte sur ses appréhensions.
Elle sent confusément qu’elle s’est en quelque sorte privée pendant toutes ces années, se consacrant entièrement à sa famille, considérant que c’est le devoir de chaque femme mariée.
Elle accepte maintenant l’idée de s’accorder une fantaisie, du moment que cela ne met pas son couple en danger, et sur ce point, elle est parfaitement déterminée à ne pas laisser les sentiments s’installer.
Son mari parti, Nicole, toute excitée à l’idée d’enfreindre à nouveau les « règles », se prépare pour la soirée, qu’elle espère tendre et coquine, se réjouissant à l’avance de retrouver son vigoureux amant.
La chaleur encore présente en cette fin d’été l’amène à opter pour la robe de satin blanc, plutôt coquine, achetée récemment dans le but de faire une surprise à Jacques.
Assez courte, plissée sur les épaules comme une toge romaine, elle est largement échancrée sous les bras, idem pour le décolleté qui ne cache que le strict nécessaire pour cela reste une robe.
Elle la porte sans soutien-gorge, bien évidemment, le but étant de mettre en appétit son amant en lui permettant d’apercevoir par moment les courbes affolantes de sa poitrine.
D’habitude elle porte des tenues plus classiques et surtout passe-partout, mais ce soir elle a envie de plaire, voire d’exciter son amant et cette robe est faite pour ça.
Debout devant son miroir, elle est plutôt contente de l’effet obtenu, ressentant malgré tout un petit trouble à se montrer aussi aguichante.
Finalement, c’est Karim qui aura la primeur de cette robe éminemment sexy.
Pour compléter sa préparation, elle a sorti ses escarpins, aux talons de huit centimètres, qui lui font des jambes de rêves, bien galbées et un dos cambré.
Sa chevelure libre, avec la frange sur le devant, lui donne un petit air d’écolière sur une silhouette franchement sexy.
La quarantaine épanouie, Nicole se sent au mieux de sa forme, désormais bien consciente de l’attrait que ses formes généreuses exercent sur la gent masculine.
C’est l’esprit enjoué qu’elle se rend au domicile de Karim.
Il habite maintenant un petit pavillon de l’autre côté de la ville qu’elle n’a aucune difficulté à trouver.
Celui-ci l’accueille avec un large sourire, visiblement heureux de la voir et l’invite à entrer.
Une première surprise attend Nicole dans le salon.
Un grand black, assez jeune, assis sur le canapé, se lève à son arrivée, et la salue avec un large sourire :
– Bonjour, je m’appelle Max !
– Enchanté, moi, c’est Nicole ! Répond-elle, une pointe d’étonnement dans la voix.
– Max est venu passer le week-end, c’est le fils d’un ami.
Elle croyait passer la soirée en tête-à-tête avec Karim et cela n’a pas l’air d’être le cas.
Devant son air interrogateur, il s’empresse de l’informer, pour la rassurer.
– Le dîner a lieu chez un copain antillais ! Il nous attend dans une heure !
– Tu ne me l’avais pas dit ! Ou bien je n’ai pas compris ? Interroge-t-elle.
– Je ne sais plus, mais ne t’inquiètes pas, c’est un super pote, et il cuisine très bien.
Nicole a du mal à cacher sa déception, malgré les efforts de Max pour alimenter la conversation.
Elle sent le regard du jeune homme se poser sur elle avec une telle insistance, qu’elle regrette maintenant d’avoir fait le choix de cette robe.
Elle n’ose plus bouger, en revanche malgré cela elle sait bien qu’il se rince l’œil à loisir, lorgnant sur son décolleté somme toute provocant, tout comme Karim qui s’est assis à côté d’elle en lui tendant un verre de punch.
– Tu es très belle ! Lui dit-il en souriant. Cette robe te va bien !
– Merci, tu es gentil !
Le rhum qui coule dans sa gorge lui fait du bien et la réchauffe, petit à petit elle se détend, se laissant aller dans les bras de Karim qui la serre doucement contre lui.
– tu es très sexy, tu sais… ! Lui souffle-t-il à l’oreille
– Oui, en revanche je ne pensais pas qu’il y aurait quelqu’un d’autre !
– Ne t’en fais pas… Max est un gentil garçon, il n’y aura pas de problème !
– Et chez ton ami antillais… ?
– Il sera seul, ne t’inquiète pas ! Dit-il d’un ton rassurant.
En s’asseyant sa robe s’est remontée jusqu’à mi-cuisses découvrant ses jambes légèrement bronzées, elle offre à Max, assis en face d’eux, une vue plongeante sur sa petite culotte de dentelle blanche.
Nicole, qui ne s’est rendu compte de rien, se laisse embrasser par Karim, répondant à son baiser avec une envie non feinte.
Elle a décidé d’ignorer la présence du grand black, elle s’abandonne aux caresses de son amant
qui a passé une main dans l’échancrure de la robe, retrouvant avec plaisir les seins fermes et volumineux dont il s’est tant régalé auparavant.
– Tu as bien fait de ne pas mettre de soutien-gorge ! Souffle-t-il à son oreille. J’adore ta poitrine tu sais, tu as vraiment de beaux nichons !
Il lui malaxe les seins longuement, les tétons sont maintenant gonflés de plaisir, il les roule entre ses doigts à la faire tressaillir de douleur.
Ne voulant pas priver son ami Max du spectacle, il fait glisser l’épaulette gauche de la robe, dévoilant ainsi un mamelon superbe, bien galbé.
Nicole hésite sur la conduite à tenir, entre protestation et acceptation, mais la convoitise qu’elle lit dans les yeux du jeune black l’excite, la poussant à laisser faire.
Karim enfonce ses doigts dans la chair souple, tout enjoué de ce contact si excitant, s’assurant que Max voit bien ce qu’il fait. Rapidement il baisse l’autre épaulette, Nicole se retrouve la poitrine à l’air, tandis que Max, qui s’est levé, se rapproche du couple.
Une main, puis deux, se posent sur ses seins pour les caresser, les pressent, lui tirent sur les tétons, les pincent en les tournant jusqu’à la faire crier de douleur et d’excitation.
Les pointes gonflent de plus en plus, devenant très dures et d’une taille très conséquente.
Karim l’embrasse fougueusement, l’empêchant ainsi de se plaindre, tandis que sa main droite descend vers la culotte de dentelle blanche, sous laquelle elle se faufile, pour venir caresser la petite toison de poils, taillée assez court, puis atteint les lèvres finement ourlées.
Il les effleure doucement, goûtant leur douceur, repère le corps plus ferme du clitoris qu’il masse délicatement du bout des doigts, en appuyant à peine, juste de quoi faire vibrer son amante, ce qu’il réussit à faire presque instantanément.
Il a remarqué la dernière fois que son petit bouton est extrêmement sensible, il grossit rapidement dès qu’il est sollicité, là c’est bien ce qui ce passe.
Il peut maintenant le serrer entre deux doigts et le branler, comme Nicole le fait avec sa queue.
Elle a ouvert sa braguette et s’est emparé de la bite de Karim, le branlant d’une façon assez sauvage qui le fait couiner par moment, lui rendant ce qu’ils font subir à ses seins et à son clito.
Elle se régale de la dureté de ce membre qui gonfle dans sa main, pressée de le sentir en elle, impatiente de se faire pénétrer une nouvelle fois par son amant.
Un délicieux duel se met en place, chacun s’évertue à branler son partenaire le mieux possible, dans une quête commune, le plaisir de l’un décuple le plaisir de l’autre.
Karim se rend compte qu’il a une trique d’enfer, comme rarement il a eu, sa bite ayant atteint une taille peu habituelle, avec un gland turgescent proche de l’éruption.
Son désir pour Nicole grimpe à toute vitesse, mais il veut profiter le plus possible de ce moment si intense de plaisir.
Il abandonne le petit bouton nacré pour caresser à nouveau la vulve suintante, la pressant plus fortement, jusqu’à ce que ses doigts glissent naturellement entre les lèvres brunes, et la pénètrent.
Il explore fébrilement la cavité humide et tiède, allant et venant de plus en plus profondément, déterminé à faire jouir Nicole.
Fouillée de fond en comble, Nicole se tord de plaisir sur le canapé, poussant son bassin en avant pour mieux s’offrir à l’investigation de son amant.
– On ne devait pas aller manger Karim ? Demande-t-elle, avec un petit sourire.
– Si, si…. Mais on a un peu de temps, non !
– Un peu de temps pour quoi faire ?….. Pour me faire l’amour ?
– Ah ça oui… ! Répondit-il, et pas qu’un peu tu peux me croire. J’ai tellement aimé les autres jours, que j’ai vraiment envie de recommencer. Et je crois que Max devrait te plaire… !
– Comment ça Max ? Interroge-t-elle, un soupçon d’inquiétude dans la voix.
– Ne t’affole pas, c’est un bel étalon tu sais ! Je pensais que cela te ferait plaisir… !
– Tu aurais pu m’en parler avant, non ?
– Je sais, mais comme avec Sofiane cela t’a plu. Alors ?
L’excitation et l’alcool aidant, Nicole ne ce rebelle pas.
Max vient de se déshabiller, il la regarde en se caressant doucement le sexe.
Il est effectivement superbement bien membré avec une grosse verge, bien longue et veinée, couleur chocolat, comme Nicole n’en a jamais vue.
Épaisse, légèrement arquée, elle est véritablement impressionnante, dressée tel un dard magnifique.
Elle le regarde s’approcher, les yeux rivés sur la queue brune du jeune black, se demandant s’il existe beaucoup d’hommes doté d’un tel organe, à part Karim.
Sans plus de préliminaire Max lui écarte les cuisses, il frotte son gland contre son puits d’amour déjà bien préparée par Karim, visiblement pressé de lui faire découvrir son engin. Elle cherche Karim du regard pour obtenir son approbation, son corps entier réclame une étreinte bestiale et fougueuse. C’est dans un hochement de tête que Karim donne son accord.
Quand Max la pénètre, elle ressent une vive douleur, pareille à une brûlure, elle a l’impression qu’on lui déchire le vagin.
Puis le pieu glisse en elle, pressant formidablement ses chairs, s’enfonçant peu à peu totalement.
Jamais elle n’a connu la sensation d’un corps étranger si gros en elle.
C’est dur et doux à la fois, diffusant une chaleur bienfaitrice qui estompe assez vite la douleur, faisant place à cette volupté inédite d’être parfaitement remplie.
Le jeune homme reste un instant immobile, laissant sa partenaire s’adapter aux dimensions remarquables de sa verge, puis se retire très lentement, observant en souriant les réactions de Nicole.
Il la pénètre à nouveau, s’enfonçant cette fois-ci d’un seul coup jusqu’au fond de son vagin.
Le va-et-vient qui s’ensuit, d’abord lent, provoque des ondes de jouissance incomparables, qui la font vibrer de tout son être.
– Qu’est-ce qu’elle est bonne ta chatte… ! La félicite Max. Je me sens à l’aise en toi ! Tu me sens bien ?
– OUIII…. Répond Nicole dans un souffle, bouleversée par les sensations que lui procure son jeune partenaire.
– Tu aimes ma grosse queue. ? Parce que souvent les femmes ont peur de sa taille, tu sais !
– OOOH !! Non…. C’est bon Max ! J’aime te sentir bien gros, bien dur… !
– Je crois qu’elle adore bien les grosses queues, tu sais ! Confirme Karim en riant.
– Je te l’avais dit. C’est une sacrée bonne baiseuse, bien meilleure que ce que son mari pense !
– Alors on va bien te baiser … !
– OOOHHH… OUIII … Vas-y Max…. Fait moi l’amour… !
Le jeune black se déchaîne, bourrant Nicole comme elle le veut, vigoureusement, profondément, enfouissant son fabuleux engin au cœur de son intimité, lui défonçant son puits d’amour maintenant totalement détrempé, tirant à sa partenaire des plaintes de plus en plus fortes.
– AHH…. OOUUJJ… ! OUUIII…. ! AARRHH ! C’est bon… !
– Tu aimes ça, hein…. Tu aimes que je te bourre… !
– OUUIII… OOUUUIIII…! Vas-y… ! Bourre-moi bien… !
– Il sait ou tu es ton mari ? La questionna Max.
– Non, bien sûr…. Il est en déplacement pour son travail !
– Il doit être loin de se douter que tu te fais baiser par un black, hein ?
Nicole ne répond pas, pensant à Jacques qui la pense à la maison, mais elle n’a pas ce remord, concentré uniquement sur le plaisir qu’elle prend, sachant que quand elle retrouvera son mari, elle lui donnera tout son amour.
Karim, pendant ce temps, se défoule sur la poitrine de Nicole, malaxant sans vergogne la fabuleuse paire de seins, pressant les mamelons dont les pointes gonflées se dressent fièrement, gorgées de désir.
Il prend entre ses lèvres les tétons devenus énormes et les tirent, puis les relâche d’un coup sec, les mordille entre ses dents, les suce avec une voracité étonnante, pour le plus grand plaisir de leur propriétaire.
Il a toujours eu un faible pour les poitrines bien fournies, comme celle de Nicole celle de Martine, d’abord parce qu’elle est mariée, ensuite parce qu’elle ne semblait pas disposée à en faire profiter quelqu’un d’autre.
A suivre
Sam Botte
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