Jean fait entrer un troisième homme, il est déjà en robe de chambre, il a une bite bien plus grosse que ses deux amants. Il la tient à la main. Mais d’où il vient ?? Nicole ne l’a pas vu venir. Il dit : – Bon ! Vous me l’a laissez, je vais la préparer ! Allez, dans le fauteuil ! Karim et Jean vous allez lui tenir les jambes bien écartées que je puisse la fouiller à fond ! Une fois les jambes de Nicole bien à l’équerre, il lui suce le clito puis la chatte et le trou du cul en s’abreuvant des sécrétions qui en sortent. Elle mouille très fort rien qu’à l’idée qu’un inconnu puisse l’a tripote ainsi. Elle ne sait plus où elle en est.
L’homme serre le poing et le fait entrer dans son puits d’amour baveux d’une seule poussée, puis il fait aller et venir sa main à toute vitesse, ce qui eu pour effet de l’a fait jouir en crachant des jets de mouille. Il ce met a gueulé : – Ça y est, elle vient, la petite pute ! Vous allez pouvoir la prendre à deux dans la chatte ! Karim vient vers elle, il l’embrasse tendrement en disant : – Ma chérie, si tu veux tout arrêter, tu ne me verras plus ! Nicole répond : – Oh !! Non, j’en ai trop envie ! Regarde un peu vos belles bites !!!
– OOH !! Oui !! Il faut essayer de me les mettre ensemble dans mon puits d’amour !!!!
Karim et Jean la soulèvent du fauteuil et le troisième hommes vient s’asseoir à sa place. Il se tient la bite bien en l’air, elle doit avouer que c’est un monstre, gros et beau à la fois. Si elle se décidait tout arrêté maintenant, elle ce dit qu’elle le regretterait très longtemps. Donc, Karim et Jean la font descendre sur la grosse bite, le gland entre très facilement. Jean dit : – Oh la pute, elle est si ouverte et si inondée qu’elle ne la sent même pas !
Puis Jean excité par le tableau, vient devant Nicole. Lui prenant la tête à deux mains, il se sert de sa bouche comme d’un vagin.
Quand il en a assez, il lui soulève les jambes et lèche sa moule autour de la bite de son ami. Il l’a regarde dans les yeux en lui disant : – Tu es prête ? Tu vas la sentir, passer ! D’un signe de tête, Nicole répond que oui. Karim écarte les lèvres de sa chatte, Jean pousse sa queue contre celle qui est déjà au fond, et d’un coup de reins, il entre bien au chaud à côté de l’autre, le restant de sperme a facilité l’intrusion.
Nicole jouit trois fois, avant qu’ils se retirent.
Pendant une bonne partie de la nuit Nicole se fait baiser par les trois compères qui affichent une endurance peu commune, pour la plus grande joie de la femme.
Ils la prennent dans de multiples positions, Nicole, est totalement soumise et assoiffée de sexe, acceptant toutes leurs demandes, elle ne ménage pas sa peine pour les maintenir en érection.
Après un sommeil réparateur suivit d’un copieux déjeuner, Karim et Nicole prennent congé de leur hôte. Le troisième homme a disparu pendant la nuit. Ce que Nicole et Karim ne savent pas. C’est que le troisième homme, est celui qui s’occupe de filmer l’orgie derrière le miroir sans tain. Mais avant de partir Jean et Karim sortent leurs sexes et lui demandent de leur faire une fellation : elle accède à leur demande, les suçant alternativement.
Elle les fait jouir au fond de sa bouche, avalant leur sperme afin de ne pas risquer d’en recevoir sur ses vêtements. – Tu l’as fait, tu es ma pute, tu as fait la pute !!! Triomphe Karim.
– Tu ne m’a pas laissé le choix !! As-tu pensé que je n’y arriverais pas ???? Elle lui chuchote. – Je suis à toi, je suis ta pute, j’accepterais tout pour te plaire, tu le sais maintenant ?
Depuis qu’elle a passée chez Jean, Nicole n’arrive pas à oublier la soirée passée en compagnie de Karim, le meilleur ami de son mari, au cours de laquelle, il l’a copieusement baisée, en compagnie de Jean et d’un autre copain de Jean.
Pour la première fois, et sans trop savoir comment cela était arrivé, elle s’est donnée à trois hommes le même jour, découvrant des sensations incomparables qui la font frémir rien qu’en y pensant.
Oubliant ses préjugés, elle s’est abandonnée à leurs désirs, les laissant la prendre comme ils l’entendaient, acceptant la sodomie qu’elle avait toujours refusé à Jacques, son mari, et jusqu’à la double pénétration avec Sofiane qui fut une véritable révélation.
Elle a beaucoup aimé cette expérience, ses amants d’un soir, en pleine forme et tout à fait à la hauteur, l’ayant comblée comme rarement elle l’a été.
En retour, elle a révélé des capacités tout à fait intéressantes, notamment buccale, entretenant la vigueur de ses amants, pour son plus grand bénéfice.
Elle, qui ne connaissait que le goût de son époux, elle a élargi d’un coup ses connaissances en dégustant spontanément les nectars onctueux et odorants délivrés par Karim, et les autres en discerné leurs subtiles différences.
Cela a finalement eu un effet bénéfique sur son couple, car des barrières sont tombées, l’amenant à se lâcher un peu plus pendant leurs rapports, à la grande satisfaction de Jacques.
Celui-ci ignore tout bien sûr, car elle l’aime et ne veut pas gâcher leur couple pour une aventure qu’elle considère comme sans lendemain.
Mais elle ignore que des changements s’opèrent au plus profond de son être, bousculant l’ordre établi, la menant à une nouvelle façon d’appréhender la vie.
Il y a quelques jours Jacques travaille tard ce soir. Nicole est seule à la maison installée dans la cuisine. Elle en profite pour rattraper son ménage et préparer un bon dîner pour Jacques.
Nicole a récupéré le courrier, trié les factures, cependant une enveloppe A4 marquée (personnel et privé) attire son attention. Elle s’est assise avant de l’ouvrir et son cœur commence à battre plus vite lorsque les photos ont dégringolé, la montrant avec Karim et Jean, pratiquant des actes sexuels obscènes.
Alors qu’elle essaye de déterminer quand elles ont pu être prises, le téléphone sonne. En entendant la voix de Jean. Cherchant toujours à reprendre ses esprits, Nicole bégaye quand elle entend Jean lui susurrer :
-Je te parie que Jacques, ton chéri, aimerait voir ces photos de sa douce petite Nicole transformée en salope par son amant.
Nicole sent monter une boule d’angoisse en se demandant si cela va être une demande d’argent quand elle entend Jean dire : – Ne t’inquiète pas, tout ira bien si tu es une bonne petite salope !! Et raccroche le téléphone.
Paniquée, sidérée, Nicole ne sait quoi faire quand la sonnette de l’entrée retentit. Dissimulant les photos de son forfait dans un tiroir, qu’elle a ouvert. Debout dans l’entrée, un coursier lui remet un paquet. Elle le prend mais, voulant refermer la porte, le coursier précise : – On m’a dit d’attendre. Ouvrant la boîte, Nicole trouve un téléphone portable équipé d’un écouteur Bluetooth. Aussitôt, la sonnerie retentit.
Insérant l’écouteur dans son oreille, elle entend la voix de Jean comme s’il se tenait juste à côté d’elle.
– Montre-moi que tu es une bonne pute, suce le coursier ! La voix de Jean résonne, méprisante.
Nicole reste figée, incapable d’agir, quand retentit dans l’oreillette le son grave de la voix de Jean qui lui commande : – Maintenant, salope ou la copie des photos sera sur le bureau de Jacques dans l’heure.
Réalisant qu’elle n’a pas le choix, elle invite le coursier à entrer.
– Non ! Non ! Dit la voix de velours. – Suce-le sur le pas de la porte, comme la salope que tu es.
Nicole s’agenouille et débraguette le coursier pour sortir sa queue en semi-érection. Le prenant en bouche du bout des lèvres, Nicole commence à le branler de sa main.
– Profites-en, salope, pompe-le bien à fond, avale son jus, fais-toi plaisir, sale chienne !! Jean l’encourage et Nicole commence à sucer profondément.
Bientôt, sa bite est complètement dure et le coursier commence à gémir pendant qu’elle le suce. Nicole prie pour que les voisins ne s’aperçoivent pas de son étrange manège.
Soudain, l’homme la saisit par les cheveux pour lui tirer la tête en arrière, sortant de sa bouche accueillante pour se branler et faire jaillir son sperme sur les cheveux, le visage et le corsage de Nicole.
– Les salopes doivent gagner leur pain avec leur cul ou avec leur bouche !!
La voix de Jean se fait cruelle tandis qu’elle referme la porte.
– Est-ce que c’était bien, ma belle salope ? Roucoule Jean. Nicole se sent dégradée, et en même temps elle sent l’humidité envahir sa culotte.
-Enlève ta culotte de pute !! Ordonne Jean. – Je veux t’entendre encore jouir.
Nicole retire sa culotte et s’allonge sur le tapis en écartant les jambes.
Jean, de sa voix grave, lui décrit les photos d’elle et demande à Nicole de jouer avec sa moule, ce qu’elle n’a plus fait depuis l’école.
La combinaison du sperme sur son visage et des commentaires salaces de Jean chuchotant dans l’oreillette l’excite, Nicole commence à se caresser.
Au début, elle est hésitante, mais Jean lui ordonne d’enfoncer un doigt, puis deux, puis trois profondément à l’intérieur, elle sent l’orgasme gronder. Elle se cambre, les épaules sur le sol, les pieds plantés fermement, son cul levé bien haut. Nicole crie au téléphone lorsque son orgasme l’a traverse.
– Bonne petite salope, nous verrons ce que demain te réserve ? Avant de raccrocher le téléphone.
Le lendemain, après que Jacques est parti travailler, Nicole s’assoit et regarde le téléphone qui est posé sur la table de la cuisine. La veille au soir, ils ont profité d’une soirée de sexe endiablée alors que ses pensées de salope occupent son esprit. Elle rêvasse, se demandant ce qui lui arrive, quand la sonnerie du téléphone la fait sursauter.
Positionnant l’oreillette, elle entend Jean dire : – Salut, ma salope !!
– Qu’est-ce que tu me fais ? Je vais en informer Karim ………….
Nicole sent un froid glacial courir le long de sa colonne vertébrale lorsque Jean répond. – Premièrement, tu vas m’appeler Maître. Deuxièmement, si tu ne veux pas que tout le monde sache que tu es une salope qui trompe son mari avec son copain et ses amis, tu vas être ma propriété pendant l’absence de Karim. Tu seras mon jouet, ma poupée, tu feras tout, TOUT ce que je voudrais. J’ai simplement pris l’avantage sur Karim qui voulais faire de toi sa pute, crois-tu que cette soirée était improvisée ? Il avait tout organisé ! Je savais que l’on te prendrait par tous les trous. Mais tu as dépassé nos espérances en te donnant sans vergogne et en déchaînant comme une salope.
Le clou, c’est quand tu t’es laissé prendre en double dans chacun de tes trous, en jouissant comme une salope. Tu es à moi !! Compris, pouffiasse ???? Après cette dernière déclaration, Nicole entend sonner à la porte, elle est toujours connectée elle se dirige vers la porte pour y répondre.
Dehors, il y a deux ouvriers et Nicole se souvint du rendez-vous pour installer le câble aujourd’hui.
– Bonjou » Ma’mm !! Le plus grand des deux noirs a dit : –
Nous venons pour brancher le câble.
Nicole réalise qu’elle est encore en robe de chambre et nuisette, elle peut sentir les deux hommes détailler son corps sous les vêtements.
– Qui est-ce ??? Siffle Jean dans l’oreillette et elle dit à haute voix.
– Alors c’est vous les deux gars pour brancher le câble, c’est dans le salon, entrez.
– Vas-y, ma pute, fait toi baiser par tous les deux.
– Mais !! Bégaye Nicole dans le téléphone et les deux gars s’arrêtent et regardent Nicole d’un air interrogateur.
– Baise avec les deux, salope ou les photos sont sur le bureau de Jacques !!! Siffle Jean.
Soupirant avec résignation, elle se débarrasse de son peignoir et de sa chemise de nuit tandis que les deux blacks ont les yeux comme des soucoupes.
– Dis-leur que tu veux être baisée par ces deux mâles. Ordonna Jean. Nicole répond : – Oui, Maître! Avant de s’adresser aux deux gars en se léchant les lèvres.
-Vous n’êtes pas pressés de brancher le câble. J’aimerais tant être baisée par deux grosses queues. Vous avez bien un moment pour me niquer, tous les deux ????
Les deux hommes n’ont pas hésité et se sont dépouillés de leur combinaison rapidement, révélant leurs corps musclés. Elle regarde leurs queues et ne peut s’empêcher de comparer avec celle de son mari, nettement plus petite.
Tandis qu’ils s’approchent d’elle, elle sent son puits d’amour s’humidifier.
– Alors, salope, tu mouilles ? Demande la voix de Jean dans l’oreille de Nicole.
– Oui Maître, je vais me prendre deux belles bites !!!
Quatre mains caressent Nicole dans ses endroits les plus intimes et son émoi se transforme en excitation. Se jetant à genoux, elle commence à sucer une bite tout en caressant l’autre, puis échange les rôles.
Alors qu’elle suce une bite, l’autre gars derrière elle la soulève pour qu’elle soit debout sur ses jambes, mais courbée à la taille. À coups de pieds dans les chevilles, il lui écarte les jambes, avant de planter sa bite dans sa moule consentante. Elle ne peut plus s’arrêter de gémir de plaisir.
– Tu aimes ce qu’ils te font, salope ? Demanda Jean. Elle ne peut pas répondre la bouche pleine.
– Je t’ai dit tous les deux, salope, ça veut dire les deux à la fois, donc tu ferais mieux de t’en occuper. Ordonna Jean à l’oreille de Nicole.
Les deux types ne peuvent pas croire leur chance quand ils entendent Nicole leur demander:
– Je veux deux bites en même temps, l’une dans ma chatte et l’autre dans mon cul.
Le premier mec s’allonge sur le dos au milieu du salon, agrippant la base de son sexe pour le tenir droit. Nicole l’enjambe, puis se baisse pour le chevaucher en s’enfonçant sur sa queue. – Ça me fait tellement de bien, Maître !! Dit-elle à voix haute, mais aucun des deux ne réalise qu’elle parle au téléphone.
Profitant des sensations, Nicole coulisse de haut en bas sur la bite dressée. Puis elle sent une main sur son cou la saisir fermement et quelque chose de gros pousser contre son cul.
Elle n’est plus vierge de ce côté-là, néanmoins elle tente d’arrêter la pénétration quand le gland traverse son rectum, provoquant un éclair blanc dans son cerveau.
Gémissante et geignante, elle entend Jean demander : – Est-ce qu’il est dans ton cul maintenant, salope ? Qu’est-ce que ça te fait, deux bites en toi, pouffiasse ? Nicole ne peut que gémir quand le deuxième gars pénètre de plus en plus profondément.
Bientôt, elle sent son pubis contre ses fesses et comprend qu’il est profondément enterré dans ses reins. Elle l’entend parler à son pote : – Es-tu au fond de sa chatte ? Moi, je suis planté jusqu’à la garde au fond de son cul.
– Ouais !! Le gars sous elle grogne : – Je suis au fond de sa chatte alors on peut baiser cette chienne.
Alors les deux hommes commence à baiser Nicole avec des poussées conjuguées. Le premier entre pendant que l’autre sort. Ensuite, ils la baisent ensemble. Malgré le manque de lubrifiant dans son cul, elle adore les sensations et la brûlure a augmenté son plaisir. Le mec sous elle éjacule en premier, inondant sa grotte de sperme, l’autre dans son cul ne résiste pas longtemps et décharge son sperme dans ses entrailles.
Nicole s’extirpe de l’enchevêtrement des corps et part à la recherche de ses vêtements.
– C’était bien, ma petite pute !! T’es-tu régalée, salope ?? Murmure Jean à son oreille.
– OOH !! Oui Maître ! Réplique Nicole tandis que le sperme dégouline de son cul et de sa chatte le long de ses cuisses.
– Bien, je suis fière de toi, alors je vais te récompenser. Jean lui dit : – Ce soir, tu auras des relations anales avec ton chéri, désormais tu n’auras plus que du sexe anal avec Jacques, tous les soirs, jusqu’à ce que je t’appelle à nouveau !! Puis, il a coupé la communication.
Nicole n’est pas sûre de savoir comment Jacques acceptera sa demande de sexe anal. C’est toujours un sujet tabou entre eux, mais en montant les escaliers, les picotements agréables de son cul la rende déterminée à avoir sa queue là-dedans ce soir.
Nicole attend auprès du téléphone. Son cul cuit de la baise anale dont elle a joui au cours des derniers jours. Au début, Jacques étonné hésite, toutefois devant l’insistance de sa femme, Jacques lui a pris le cul avec passion et ils ont joui comme des forcenés. Elle est reconnaissante que Jacques soit absent ce soir-là pour se reposer. Elle voudrait que Karim soit de retour de son voyage, il lui manque.
Nicole attrape et répond presque en un seul mouvement quand le téléphone sonne.
– Salut, salope !!! Jean susurre.
– Bonsoir Jean ……… Balbutie Nicole.
– Comment va ton cul, SALOPE ? Demande Jean.
– Un petit peu endolori, mon puits d’amour est négligé !! Pleurniche Nicole.
– Nous allons bientôt arranger cela……….. Jean raccroche en riant.
Nicole peut sentir l’humidité envahir sa grotte. Cela a été provoqué par le bref contact qu’elle vient d’avoir avec Jean. Perdue dans sa rêverie sentimentale, elle commence à caresser sa grotte quand la sonnette retentit.
Quand elle ouvre, il n’y a qu’un colis sur le pas de la porte. Elle a ouvert le colis, à l’intérieur se trouve des vêtements et une note disant (Ne porte que ce qui est dedans ce colis et sois prête à vingt-et-une heures)
Nicole se regarde dans le miroir en attendant 21 h. La jupette couvre à peine son cul et le haut moulant est presque transparent. On voit ses tétons dardés en transparence. Le plus gênant pour Nicole est imprimée sur le devant de son haut: (Cette salope blanche a besoin de grosses bites noires)
La sonnette retentit et en ouvrant la porte, elle sent un courant d’air froid caresser sa chatte, agitant les poils follets de son pubis. Levant les yeux, elle recule d’un pas en dévisageant un colosse noir souriant.
– Moi, c’est Thomas. Je suis là pour te transporter là où tu dois aller.
Nicole suit Thomas jusqu’à la voiture en priant silencieusement qu’aucun des voisins ne la voit accoutrée dans un tel équipage.
Elle ouvre la porte arrière de la limousine sombre quand elle a entend la voix de Thomas gronder:
– Sur le siège avant, la salope !!!
Nicole s’assoit sur le siège avant et sent le contact froid du cuir contre ses fesses nues. Thomas entre en dégrafant son pantalon et sort sa queue noire. – Suce-moi-ça, petite pute !! Gronde-t-il et il démarre le moteur.
Elle caresse doucement l’énorme bite et reçoit un choc en la voyant s’agiter à son contact. Bien qu’elle soit à demi-molle, elle est encore plus grosse que n’importe quelle queue qu’elle ait vu complètement érigée.
Empoignant sa tignasse d’une main, Thomas appuie sur sa tête jusqu’à ce que sa bouche entre en contact avec sa bite. Nicole n’a pas d’autre choix que d’ouvrir la bouche et elle commence à lui sucer le gland. Comme il durcit et gonfle rapidement, elle ouvre en grand sa bouche pour gober la queue et la sent se développer encore plus fort. Bientôt, il utilise la bouche de cette femme pour se faire une branlette, les doigts crochés dans ses cheveux, conduisant d’une main.
Nicole étouffe sur son bâillon qui cherche à pénétrer sa gorge. Elle essaye de le repousser, mais Thomas est plus fort qu’elle. Il arrête la voiture et applique ses deux mains pour franchir le barrage de sa gorge, poussant sa tête vers le bas, étouffant Nicole. En dépit de son étouffement, Thomas continue à lui baiser la bouche jusqu’à ce que finalement, sans un cri, il tire un jet épais de sperme dans sa gorge. Il y en a une telle quantité qu’elle ne peut pas tout contenir et que le trop plein coule sur son menton.
Se redressant, Nicole se rend compte que la voiture s’est arrêtée devant un bar de la basse-ville et que la foule de racailles qui traînent devant l’établissement ont été témoin de toute la scène. Elle rougit fortement et essuie les gouttes de sperme de son menton, tandis que les noirs dehors rient et se moquent.
Thomas fait le tour de la voiture, l’a chope par un bras et l’a traîne dans le bar enfumé pour la planter au milieu de la pièce. Debout au milieu d’un cercle de mecs à la mine patibulaire, Nicole se sent très seule, elle regarde autour d’elle, et se rend compte qu’elle est la seule femme et la seule blanche dans ce bar.
Thomas se dirige vers le bar, commande une bière, se retourne et crie:
– Cette bourge blanche veut de la bite noire, elle est toute à vous. Faites-en ce que bon vous semble !!!
Nicole déglutit en regardant, ne voyant autour d’elle que des hommes debout masturbent leurs bites. Certaines d’entre elles sont d’une taille normale, mais beaucoup ont comme de longs serpents noirs. Elle s’attarde sur un homme dont le sexe semble irréel, si grand, long et épais comme son propre bras. Nicole pense que ça ne rentrera jamais quand elle est ramenée à la réalité par des mains baladeuses qui lui ôtent ses vêtements.
Quelques secondes plus tard, elle est nue au milieu du groupe, elle est soulevée et portée vers un noir assis sur une chaise. Elle se sent comme une poupée dans leurs mains et comme elle est présentée à califourchon devant l’homme assis, elle baisse les yeux pour le voir tenir sa queue dressée. Elle sent qu’on la descend sur lui et quand son gland l’a pénètre, elle en a le souffle coupé. De plus en plus profond, elle glisse sur le membre érigé sans effort. Elle finit sa course embrochée sur un mât énorme et elle ne peut parler, car elle se sent plus pleine qu’elle ne l’a jamais été.
– La queue noire te plaît, blanche neige ??? Marmonne l’homme, elle ne peut que hocher la tête en réponse.
– Eh bien, chevauche-moi, salope, comme l’ordonne ton Maître !!
Nicole commence à monter et descendre lentement. Rapidement, elle s’adapte à la taille du membre en elle.
Elle est empoignée par les cheveux, sa tête tourne d’un côté et une bite lui est introduite dans la bouche. Sans ralentir son mouvement, elle avale goulûment la queue et continue de sauter et sucer en même temps.
– Bonne petite chienne blanche. Suceuse, salope et pute en même temps !! L’homme rit en se plantant au fond la bouche de Nicole, quand l’homme sous elle se soulève pour répondre aux coups de Nicole.
Elle sent le premier orgasme arriver quand des doigts sondent son anus. Gémissante, les doigts entrent et commence à élargir son anus. Les doigts dans son cul et la bite dans sa grotte lui font éclater son orgasme et comme elle jouit, l’homme se retire de sa bouche en lui éjaculant son sperme sur le visage et les cheveux.
Ensuite, les doigts abandonnent son cul et une bite énorme prend leur place. Sa bouche libérée lui permet de s’exprimer. – Fourre-moi cette grosse bite noire dans mon cul !! Baise-moi fort !! Salaud !!
L’homme n’a pas besoin d’un carton d’invitation, il introduit sa bite dans le cul de Nicole. Elle n’est pas préparée pour la taille, l’autre bite encore dans sa grotte lui serre le cul. Elle ouvre la bouche pour crier, mais elle est bâillonnée par une autre bite plantée dans sa bouche éclaboussée de sperme.
Les hommes noirs se succèdent pour décharger leur sperme dans chacun de ses trous. Nicole se tient au centre de la pièce, ruisselante de sperme sur tout le corps avec une expression sauvage sur son visage.
Telle une femelle en rut, le cerveau de Nicole est enflammé par la convoitise, elle tournoie pour faire face à l’homme avec la queue monstrueuse qu’elle désire. – Je veux ça en moi !! Allongée sur le sol, ouvrant ses jambes largement elle redit : – Baise-moi avec ce monstre noir ! Je suis prête, bien graissée !
L’homme s’agenouille entre les jambes de Nicole et commence à introduire son sexe dans son puits d’amour.
Elle ne peut que miauler comme un animal alors que des éclairs blancs brillent dans sa tête, l’homme progresse profondément en elle. Il s’arrête, elle pense qu’il doit être au bout.
En la regardant, il sourit, d’une voix grave, dit: – Tu aimes ma grosse bite ? Nicole râle, dans un grognement dit :
– J’aime ta grosse bite noire dans mon petit nid d’amour de blanche. Sa main atteint sa chatte et elle est choquée de constater qu’il n’est qu’à moitié en elle. Elle est tellement excitée qu’elle enroule ses jambes autour de sa taille, elle le tire en elle. Un hurlement et un goût de sang explosent dans la bouche de Nicole alors qu’il la pénètre encore un peu.
L’orgasme qui la traverse lui fait perdre conscience, elle reste dans un état semi-conscient pendant qu’on la baise pendant des heures.
Nicole est assise à l’arrière du taxi, ignorant les regards lubriques du chauffeur dans le rétroviseur. Ses cheveux sont collés de sperme et elle sent des jus s’échapper de sa grotte et de son cul. Quand elle a quitté le bar, elle n’a pas retrouvé ses vêtements et on lui a donné un t-shirt assez grand pour se faire une mini-robe. Elle souffre de tous ses orifices, elle est engourdie de la tête aux pieds après la baise qu’elle a reçue.
Glissant dans un demi-sommeil, elle essaye de compter combien de bites elle a prises dans sa grotte, dans sa bouche et dans son cul. En oubliant volontairement celles qu’elle a juste branlées, mais ne parvient pas à en faire le compte. Dans l’espoir d’un bain chaud et d’un bon sommeil, Nicole se précipite chez elle.
– Salut, ma petite salope !! La voix rauque de Jean surgit de l’obscurité, Nicole s’immobilise.
Soudain, la pièce est inondée de lumière, assise sur une chaise, Jean la regarde.
– La salope est de retour !! Jean l’a taquine. – Baisée par un troupeau de queues noires et tu les as toutes aimées. Maintenant tu es une salope de concours.
Nicole tombe à genoux et supplie: – Oui Maître, je suis une salope, prête à faire tout ce que tu commanderas.
– Prête à tout, même à faire la pute ? Es-tu sûre ? Ronronne Jean.
Nicole regarde Jean et le voit se lever, ôter son long manteau de cuir noir sans rien dessous, juste une paire de bottes en cuir. Sa bite est dressée, tout son corps est musclé. Jean se rassoit, les jambes écartées, Nicole le trouve magnifique avec sa queue dressée sur ses couilles bien pleines de jus. – Suce-moi la bite, salope !! Ordonne Jean, elle rampe à travers la pièce pour s’agenouiller entre les jambes de son Maître.
Nicole s’enivre de l’odeur capiteuse du mâle en léchant les perles luisantes de son jus sur le gland. La langue de Nicole lèche son braquemart, le faisant gonfler encore plus. Nicole flotte dans un brouillard de luxure lorsque Jean empoigne ses cheveux pour l’écarter et la fixer les yeux dans les yeux.
– Prête à tout, à faire la salope, la pute ?? Es-tu sûre ?? Dit Jean, la défiant du regard.
– Oui Maître ! Nicole acquiesce…. – Je suis une salope, prête même à faire la pute…. Tant que mon mari n’en saura rien ! Je suis prête obéir à tous vos ordres………..
Jean laisse échapper un sifflement bas, du couloir, apparaît Karim.
Il est revenu et se tient maintenant à la porte, la surprenant dans la position la plus servile possible. Nicole, rouge de honte, ferme les yeux en attendant la tirade des reproches à suivre.
Comme rien ne vient. Elle ouvre les yeux et découvre avec surprise Karim se déshabiller et tendre une liasse de billets à Jean.
– Merci Jean !! Karim rit en remettant une épaisse liasse d’argent à son pote.
– Je te remercie d’avoir en mon absence transformée ma maîtresse en une salope chevronnée, prête à en faire une pute.
– Quand tu m’as assuré que c’était possible avec n’importe quelle femme, je ne te croyais pas. Mais
j’aime le résultat…
Ensuite, Karim saisit Nicole par les cheveux et lui plante sa bite dans la bouche.
– Suce-moi ça, salope, ma pute chérie !! Murmure Karim alors qu’il baise la bouche de Nicole.
– Et quand tu m’auras bien sucé, je vais te prendre par le cul, puis j’organiserai des tournantes avec mes potes et ils te baiseront dans tous tes orifices.
Nicole ne peut pas répondre la bouche pleine, toutefois elle trouve la tirade de son amant très érotique et a hâte de faire encore la salope. Karim grogne en libérant sa semence dans la bouche de Nicole, Jean sourit alors qu’il atteint la porte en sachant qu’elle va profiter de sa nouvelle vie de salope.
– Rappelle-toi ma chérie, tu es ma pute, à bientôt ! Lui dit Karim, il s’en va sans rien dire d’autre.
Le lendemain, elle rentre des courses. Une petite boite devant la porte avec « pour Nicole » comme inscription. Elle rentre, curieuse, elle l’ouvre. Une paire de menottes, un masque genre celui donné dans les avions, un bâillon boule, deux pinces du modèle tarabiscoté qui serre selon la tension que l’on exerce en tirant, reliées par une chaîne. Elle cache tout ça dans sa table de nuit. Qui lui a offert ça ? Jean ou Karim ?
Deux jours passent. Jacques part à Madrid pour trois jours. Nicole est honteuse, mais elle attend le retour de Karim, inquiète, mais excitée.
Il est dix-neuf heures, le téléphone sonne. Elle reconnaît la voix, c’est lui. Sans rien lui demander il donne ses ordres.
– Dans le hall, nue, à genoux, porte de la rue entrebâillée, masque sur les yeux, bâillonnée, pinces sur les tétons, mains derrière le dos, menottées, menottes attachées au radiateur !! Il lui dit qu’il passera, elle n’aura qu’à l’attendre.
Soumise, elle va dans le hall, attache les menottes comme demandé. Elle ouvre la porte, ce met à genoux, met le masque sur son front, met le bâillon, place les pinces sur les tétons. Ça fait un mal de chien. Elle n’a pas le choix. Elle met le premier bracelet des menottes, baisse le masque et se tortille pour fermer le deuxième bracelet. Elle y arrive enfin. Tout à coup, la panique la prend : s’il ne vient pas, elle est là attachée sans moyen de se libérer. Les seins lui font mal, très mal.
Le temps passe, elle a mal aux genoux, mal au dos, elle est trop penchée en arrière et commence à avoir froid, elle sent le vent venir de la porte (pourvu qu’elle soit restée dans la même position). La chaîne qui relie les pinces est plus lourde qu’elle ne le croyait.
Elle entend du bruit, des pas. Le vent devient plus fort. Quelqu’un entre. C’est Karim qui parle, ouf.
– Tu vois qu’elle obéit !! Il n’est pas seul. Elle sent qu’il prend la chaîne, il tire, elle gémit de douleur. Il lui enlève les pinces. Le sang revient dans les tétons, c’est horrible.
Il lui passe un collier autour du cou. Il détache les menottes du radiateur.
– Debout !! Elle a les jambes ankylosées, mais comme il tire fort sur le collier, il l’étrangle à moitié, elle arrive à se mettre debout.
– Qu’en penses-tu ? Demande-t-il à l’autre. Grognement approbateur. Il lui enlève le bâillon.
Sa salive a coulé jusque sur son ventre. « On dirait qu’elle a des marques » fait-il remarquer.
On l’entraîne vers la chambre. Ils ont forcément tout le temps, à peine dans la chambre, elle se retrouve à genoux, le ventre sur le lit, les fesses bien exposées. Elle entend farfouiller, un sexe la pénètre. On lui relève la tête en tirant sur le collier, c’est désagréable. Le deuxième s’enfonce entre ses lèvres. Ils changent de place. Nicole sent cette queue gluante de sa mouille entrer dans sa bouche. Il gicle, elle avale. L’autre se vide dans son puits d’amour. On l’entraîne vers la salle de bain, toujours menottée.
On la pousse dans la douche. L’eau froide lui cingle tout le corps. Ils s’amusent de la voir grelotter. Ça dure une éternité. Elle dégouline de partout. L’envie d’uriner devient pressante. Elle le dit. Il lui fait plier les genoux et lui ordonne de le faire. Elle est honteuse, cependant le jet coule, manifestement dans un récipient. Nicole est là à genoux dans cette douche, attendant la suite qui arrive rapidement. Il lui tire les cheveux en arrière et verse sur son visage le contenu du verre. Sa pisse coule sur son visage et sa poitrine.
On lui enlève le bandeau. Elle n’a pas le temps de réagir qu’un jet l’arrose. En pleine figure. Elle reconnaît le type. Elle l’a déjà vu lors d’un cocktail de la boite de Jacques. Karim rigole de cette bonne blague. Il se soulage avant de la rincer à l’eau enfin tiède.
Elle se retrouve sur le lit, les poignets sont maintenant menottés à chaque extrémité d’une barre, elle se retrouve les bras écartés. L’autre, la pénètre. C’est dur à avouer, mais elle aime sa manière de la baiser.
Il se retire. Soudain elle a une idée. Elle demande à Karim de se coucher pour qu’elle le chevauche. Il se couche, la queue bien raide. Elle se contorsionne pour arriver à se mettre à cheval sur lui, les poignets meurtris elle passe la barre sous la tête de Karim.
Elle descend lentement sur sa belle grosse bite. Il glisse dans son puits d’amour. L’autre se met derrière et lui torture les tétons. Elle jouit avant lui, très fort, elle se penche en avant. Leurs bouches se collent, les langues se mélangent.
Avant qu’il ait pu jouir, l’autre a repris forme elle sent sa queue chercher son petit puits d’amour. Elle est prise en sandwich, c’est ce qu’elle désirait. Ses amants d’un soir jouissent de concert dans leur puits respectif.
Repus, ils finissent par partir. Karim promet de revenir le lendemain.
Nicole ce dit qu’elle est vraiment une …Elle a aimé cette soirée.
A suivre
Sam Botte
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