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Histoire sexe Prise dans un cercle vicieux Chapitre 8

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Nicole est une épouse dévouée qui s’occupe parfaitement de son foyer, avec son mari ils coulent une vie paisible.
Pourtant, depuis quelques mois Jacques a constaté une augmentation sensible des rendez-vous de son épouse avec ses copines.
Tantôt elle est invitée à manger chez l’une ou chez l’autre, tantôt c’est un film ou une expo qui bien sûr ne l’intéressent jamais.

Son comportement a changé peu à peu, devenant plus volontaire, jusqu’à sa façon de s’habiller qui lui parait plus soignée, plus féminine, presque sexy parfois.
Les jeans et cols roulés ont fait place à la jupe fendue et au corsage négligemment déboutonné jusqu’à la naissance de sa généreuse poitrine, ce qui va sans dire n’est pas pour lui déplaire, il s’amuse des regards plongeant des serveurs quand ils vont au restaurant.
Cela a commencé peu après son week-end avec Karim son collègue de travail.
Il a toujours en mémoire les jours qui ont suivi, Nicole manifestant une très bonne humeur, et lui parlant sans cesse de cet excellent week-end.

Un doute sérieux commence à le tenailler, même si sa confiance en elle est intacte, il veut bien en avoir le cœur net.
Ce soir, c’est la réunion d’une petite association qui l’a monopolise, ainsi qu’elle lui a annoncée au cours du déjeuner.
– Cela ne devrait pas durer trop longtemps ! Tu es sûr que cela ne te gêne pas ? Lui demande-t-elle, paraissant embarrassée.
– Non, pas du tout ! Répond t-il, j’en profiterai pour me faire un ciné !

Jacques décide de saisir cette occasion de mettre un terme à ses interrogations et de la suivre discrètement. Il aime sa femme et le doute qui le ronge devient insupportable, d’autant que ce soir elle a choisi une tenue qui ne lui parait pas de circonstance, une jupe noire fendue haut sur la cuisse et un corsage dont la transparence trahit un soutien-gorge noir lui aussi, aux bonnets imposants.

Une veste de tailleur cintrée complète l’ensemble, donnant à sa femme une allure très aguichante.
Jacques part un peu avant elle et se gare non loin de la maison, hors de sa vue quand elle sortira.
Dix minutes plus tard, la voiture de Nicole sort du parking et s’éloigne en direction de la périphérie de la ville.
Jacques lui laisse prendre un peu d’avance, puis s’engage à sa suite, essayant de ne pas la perdre de vue. Heureusement il n’y a pas trop de circulation ce soir et la tache claire de sa voiture se voit assez bien. Ils roulent ainsi un bon quart d’heure, jusqu’à un lotissement relativement récent qu’il ne connaît pas.

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Nicole s’engage dans une allée et s’arrête tout au bout, en face de la dernière maison un peu éloignée des autres et plus ancienne.
Par prudence, Jacques reste assez loin, mais il distingue néanmoins une grosse bâtisse aux murs de pierre, à un étage, ceinturée par une haie haute et épaisse qui masque la vue sur le rez-de-chaussée.
Nicole sort de la voiture et disparaît derrière la haie.

Jacques se gare et finit le chemin à pied jusqu’à la maison où sa femme est entrée.
Le quartier est calme, il n’y a pas âme qui vive et l’absence de voiture en stationnement un soir de réunion d’association ne fait qu’attiser la sourde inquiétude qui naît en lui.
À son tour, il s’engage dans la cour que protège la haie et s’approche de la maison.
Une pièce est éclairée en bas, en revanche un rapide coup d’œil lui permet d’identifier la cuisine qui est vide.
Jacques se sent un peu honteux en rôdant autour de cette habitation, au risque de me faire surprendre par le propriétaire des lieux. Heureusement qu’il n’y a pas de chien. Les abords de la maison sont dans l’obscurité, il décide de faire le tour, en essayant d’être le plus silencieux possible, bien aidé en cela par la pelouse présente de chaque côté de la maison.

À l’arrière, de la lumière filtre par une grande baie au niveau de la terrasse.
Le cœur battant, il gravit les trois marches et s’approche sur le côté de la fenêtre, silencieusement, en prenant garde de rester dans la pénombre de la terrasse qui, elle, n’est pas éclairée.
Il n’y a pas de rideaux, ou alors ils sont ouverts et en tendant le cou, il a une vue directe sur la pièce, assez spacieuse, meublée style campagnard, avec une grande cheminée ou crépitent des flammes soutenues.

En face se trouve un grand canapé à motif fleuri, sur lequel Nicole est assise, seule. Elle semble parler à quelqu’un que Jacques ne voit pas et le double vitrage de la fenêtre fermée ne laisse passer aucun son.
Où sont les autres participants ? Sa femme est-elle en avance ?
La réponse arrive bientôt et le coup de massue qui va avec.
Un homme vient d’entrer dans la pièce, deux verres à la main et ce n’est autre que Karim, son copain tunisien.

Jacques ne sait plus s’il doit être soulagé ou enragé. Qu’est-ce qu’il fait là ?
Ce n’est pas sa maison ????
Ainsi, c’est donc lui qu’elle voit régulièrement, depuis des semaines sans doute, et certainement pas pour parler couture.

Tapi dans l’ombre, il épie leurs gestes, essayant de comprendre ce qu’ils peuvent se dire, ce qui n’est d’ailleurs pas très utile puisqu’ils passent surtout leur temps à s’embrasser.
Ivre de colère, il reste tétanisé derrière la baie vitrée à regarder Karim dégrafer fébrilement le chemisier de son épouse, dévoilant le soutien-gorge de dentelle noire qui protège ses seins.
Pris au dépourvu par la découverte de son infortune, et surtout la trahison de son copain, il ne sait plus quoi faire.

Comme d’autres maris, il a souvent fantasmé sur la possibilité de voir sa femme se faire prendre par un autre homme, mais là ce n’est pas un rêve, c’est une réalité qui lui explose en pleine figure.
Jacques le regarde dégager les deux mamelons des bonnets, les prendre dans ses mains et refermer ses lèvres sur les pointes brunes et saillantes.

Elle s’est cambrée vers l’arrière, offrant ses appâts à la langue habile de son amant.
Remontés par le sous-vêtement, ses seins sont magnifiques et il en a la gorge qui se noue de voir Karim les presser à l’envie, se régalant de ces deux melons bien fermes.
Activement sollicités par la bouche insatiable, les tétons se dressent au milieu de l’aréole brune, gonflés par le plaisir.

Il lui enlève bientôt chemisier et soutien-gorge, prend à pleines mains les deux globes charnus, pour les pétrir voluptueusement.
Jacques enrage de le voir profiter aussi impunément de ces trésors dont il pensait qu’ils lui étaient réservés, d’autant qu’il connaît parfaitement l’exquise sensation que l’on a quand on malaxe ces rondeurs, lourdes et soyeuses.

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Elle semble apprécier particulièrement le traitement à en juger la façon dont elle se cambre sur le canapé projetant sa poitrine au devant des caresses.
Aucun son ne me parvient, mais la vue des doigts de mon collègue qui s’enfoncent dans la chair souple commence à le faire bander

Sa colère se dissipe un peu, faisant place à un étrange sentiment, mêlant excitation et fierté, jalousie et tristesse. Le doute n’est plus permis, la scène à laquelle il assiste démontre que ce n’est pas la première fois qu’ils couchent ensemble.
Et depuis quand ? Depuis la journée piscine ???
Jacques se sent vraiment couillon tout d’un coup.

Karim joue un long moment avec les seins généreux, se régalant de leurs pointes brunes qu’il tète allégrement puis descend vers la taille et fait glisser la jupe à terre, aidé par sa femme qui se tortille sur le canapé.
La petite culotte noire ne tarde pas à suivre le même chemin, lui laissant admirer, de loin, sa jolie toison soigneusement entretenue.
Nicole, complètement nue, s’abandonne à la main qui glisse sur sa grotte, lentement, en petits cercles concentriques, les doigts s’enfoncent toujours un peu plus entre les cuisses.

Une discussion s’est engagée entre eux, dont l’objet semble être le sexe de sa femme, car il n’arrête pas de le désigner du doigt comme s’il voulait montrer quelque chose.
Au bout de plusieurs minutes de palabres, elle finit par accepter d’un mouvement de tête et il le voit quitter la pièce.
Il revient, une serviette sous le bras et une petite bassine dans les mains qu’il dépose au pied du canapé. Sa femme se lève, déplie la serviette sur le canapé avant de se rasseoir, cuisses écartées, les jambes repliées.

La vulve largement exposée, de manière presque impudique, elle regarde Karim qui secoue une petite bombe qu’il reconnaît immédiatement. Il s’agit de mousse à raser et il s’apprête de toute évidence à lui raser la chatte !
Ça alors, Jacques n’en revient pas !
Il avait souvent demandé à sa femme de s’épiler, mais elle n’avait jamais accepté, préférant garder sa toison qui lui permettait de se sentir protégée.
Elle semble avoir changé d’avis et il se demande comment elle va lui expliquer tout ça.
En tout cas il est tellement envoûté par ce qu’il voit que l’envie d’intervenir l’a bel et bien quitté.
Il a dégagé son sexe de son pantalon et ce branle doucement en regardant son épouse se soumettre aux sollicitations de son copain.

Agenouillé devant Nicole, Karim lui enduit le sexe d’une épaisse couche de mousse, puis tirant de la bassine un petit rasoir mécanique, entreprend un rasage en bonne et due forme de la toison, gardienne du sanctuaire.
L’engin glisse doucement sur la peau, emmenant avec lui mousse et poils, laissant la place à une peau admirablement lisse.
Elle suit attentivement les gestes de son amant, lequel est précis et prudent dans ses mouvements, concentré sur son action. La lame, fréquemment rincée dans la bassine, suit parfaitement les courbes de la vulve, frôle les grandes lèvres que Karim tire délicatement du bout des doigts pour les dégager. Il doit prendre un grand plaisir à manipuler entre ses doigts les larges replis de peau qui ressemblent à deux petites ailes.

L’anus, à son tour, est dépouillé des poils qui l’entourent avec une grande efficacité, Karim vérifie plutôt deux fois qu’une en passant et repassant ses doigts sur la petite rosette plissée et ses abords.
Fasciné, Jacques regarde l’intimité de sa femme apparaître au grand jour, dans une nudité quasi virginale, dépouillée de sa touffe, à l’exception d’un petit rectangle au-dessus du cône qui couvre le clitoris.
Les grandes lèvres, légèrement foncées, superbes avec leurs multiples replis, sont extrêmement appétissantes. Il n’y a pas à dire, un sexe de femme est vraiment beau à regarder.

Elle semble apprécier le résultat qu’elle contemple dans la petite glace que son amant lui a tendu, et le remercie avec un grand sourire.
Après avoir rangé son matériel, Karim est revenu s’agenouiller devant sa partenaire, qui lui ouvre ses cuisses, offrant à sa gourmandise sa vulve fraîchement rasée.
Comme il aimerait être à sa place, faire glisser sa langue sur les chairs lisses et humides, l’infiltrer dans les moindres recoins de cette chatte délicieuse.
Jacques pense à tout à l’heure quand elle va rentrer, quand il va « découvrir » la nouveauté, et qu’après lui avoir donné une explication bidon, elle va lui laisser goûter à son trésor. Jacques saura hélas, que quelqu’un y aura déjà posé ses lèvres.

Pour l’heure, sa femme tient la tête de son amant plaquée contre son pubis, les yeux fermés, se laissant aller au plaisir de la langue qui fouille son intimité.
Le salaud s’y prend très bien, comme le montrent les soubresauts de Nicole qui se cambre de plus en plus sur le canapé, poussant son bassin vers l’avant pour faciliter l’accueil de la bouche inquisitrice.
Sa femme le fait cocu avec son meilleur copain, il en a un petit pincement au cœur.
Si c’était un fantasme, eh bien il se réalise et nom d’un chien, qu’est-ce que c’est bandant !

Le visage enfoui entre ses cuisses, il lui bouffe maintenant la chatte d’une façon presque vorace, encouragé par ses gémissements, que Jacques n’entend pas, mais qu’il devine, en voyant sa tête rouler de droite à gauche, les yeux clos, la bouche entrouverte.
Au sursaut qu’elle vient d’avoir, à ses mains qui se sont crispées sur la tête de son partenaire, il pense qu’elle vient de jouir, emportée par une immense vague de plaisir.

Karim se relève en souriant et l’embrasse amoureusement sur la bouche, tandis que sa main droite masse doucement la moule visiblement détrempée.
Il se lève et disparaît à nouveau quelques instants, tandis que Nicole s’allonge sur le canapé, reprenant son souffle. Immobile depuis un bon moment, peut-être une demi-heure, Jacques commence à avoir un peu froid, toutefois il n’ose pas bouger, de peur d’être repéré.
Très excité par ce qu’il a vu, il réalise qu’il aimerait la voir se faire prendre par Karim, voir sa grotte labourée par la verge de son copain, l’entendre hurler sa jouissance.

Est-ce pervers de souhaiter voir sa femme se faire baiser par un autre, fut-il un ami, ou bien est-ce un sentiment partagé par de nombreux hommes ?
S’il n’est pas plus jaloux que ça, est-ce qu’il aime vraiment sa femme diront certains détracteurs.
Pourtant, oui, il l’aime, il veut avant tout son bonheur, et si cela exige qu’elle baise de temps en temps avec quelqu’un d’autre, pourquoi pas.
Jacques préférerait savoir avec qui, si possible, le connaître comme c’est le cas avec Karim.

IL en est là de ses réflexions quand ce dernier réapparaît, tenant à la main un gode de grande taille, de couleur noire, représentant vaguement un phallus, doté d’une embase plus large à sa base, pour le poser. L’engin, qui doit faire au moins trente centimètres de long, six ou sept de diamètre, soit l’équivalent d’une bouteille de bordeaux.
Jacques n’a jamais vu de gode aussi imposant, mais il est très souple, ainsi que Karim le montre à
Nicole, en le pliant dans tous les sens.
Une discussion vient de s’engager entre eux, sa femme ne semblant pas vouloir utiliser cet accessoire, visiblement

trop gros à son goût, avis qu’il partage également, car il a des dimensions tout à fait hors norme. Cela dure quelques minutes, en revanche finalement Karim a dû obtenir gain de cause, car il le voit enduire le gode de gel.
Karim s’assoit face à son épouse, il la caresse avec l’extrémité arrondie du gode en forme de gland, passant et repassant sur sa grotte humide, d’abord légèrement puis appuyant de plus en plus sur le vagin qui cède sous la pression.

Elle ne quitte pas des yeux l’objet qui force ses chairs, habilement manipulé par son amant.
Le gland en latex disparaît, enserré par les lèvres ourlées, tandis qu’elle s’adresse à Karim sans que Jacques puisse comprendre ce qu’elle lui dit.
Lentement il imprime un mouvement de va-et-vient, lui enfonçant peu à peu le gode dans sa fente, laquelle s’élargit et l’épouse parfaitement.

Pendant quelques minutes Karim se contente de le faire aller et venir superficiellement, jouant avec l’extrémité plus fine du gode, avant de le pousser un peu plus jusqu’au diamètre le plus important.
Maintenant enfoncé de moitié, les allers-retours de l’engin se font plus rapides, elle commence à montrer des signes de jouissance indubitables, yeux fermés, lèvres entrouvertes.
Karim manœuvre l’engin avec une grande dextérité, le faisant tourner dans un sens puis dans l’autre lorsqu’il pénètre son puits d’amour, comme s’il voulait l’agrandir un peu plus.
À chaque plongée, il l’enfonce un peu plus et Nicole, avec plus de vingt centimètres de latex dans le ventre, se cambre sur le canapé, soulevant ses reins, les mains crispées sur les coussins, le regard fixé sur l’engin luisant qui disparaît entre ses cuisses.

Pendant de longues minutes, il la besogne avec un mouvement ample et régulier pendant que de sa main libre, il titille le clitoris qu’elle tient dégagé en tirant vers le haut le petit capuchon de peau.
Jacques reste confondu en réalisant que sa femme adore visiblement le traitement.
D’abord inquiet compte tenu du volume de l’objet, il finit par se rappeler que leurs deux enfants sont sortis par là, et qu’ils étaient bien plus gros que ça. Mais c’est quand même impressionnant de voir l’imposant jouet coulisser ainsi dans le vagin de son épouse.

Sans pouvoir l’affirmer, il croit qu’elle a joui une nouvelle fois.
Karim se relève, et tandis qu’il se déshabille, il voit Nicole se saisir du gode et continuer de plus belle à se pénétrer avec, roulant des hanches et du bassin, dans une sorte de danse folle et sublime.
Le gode se plie du fait de l’angle de prise, cependant elle n’hésite pas à se l’enfoncer autant qu’elle le peut, le remuant dans tous les sens, ce qui doit lui procurer des sensations extraordinaires.
Jamais Jacques n’aurait pensé voir sa femme s’enfoncer un tel jouet dans le vagin, comme quoi il faut s’attendre à tout.

Dans sa main qui l’enserre, sa queue est devenue dure comme la pierre, à lui faire mal !
Jacques se masturbe, essayant de garder le contrôle pour ne pas éjaculer trop vite, ce serait dommage.
Son copain, maintenant nu comme un ver, revient vers elle, lui permettant de découvrir, effaré, sa virilité. La nature a fait un joli cadeau à Karim, au regard de sa morphologie plutôt mince et pas très athlétique, en le dotant d’une bite imposante, droite et épaisse, d’au moins vingt centimètres de long, terminée par un gland large et lisse. Le moins que l’on puisse dire c’est qu’il bande pour sa femme, à en juger la superbe érection qui gonfle et hérisse sa verge brune.

Il s’approche de Nicole, lui retire le gode qu’il pose au sol, bien dressé sur sa ventouse qui l’immobilise et l’invite à s’asseoir dessus.
Jacques la voit s’accroupir au-dessus du pieu de plastique noir, le buste bien droit, puis se frotter la moule langoureusement avant de s’empaler lentement sur lui.

Debout devant elle, son amant la regarde faire en souriant, tandis qu’elle s’active sur le phallus géant, les yeux brillants de convoitise pour la verge brune.
Il finit par lui présenter son sexe dont elle s’empare aussitôt, et l’avale goulûment, savourant la dureté et la chaleur du pieu de chair dans sa bouche.

L’énergie qu’elle déploie pour sucer et lécher le superbe membre est sans équivoque.
Ce sexe, à l’exception d’un petit carré de toison pubienne soigneusement coupée, est complètement épilé, ce qui met en valeur ses dimensions conséquentes et permet d’apprécier des bourses bien remplies.

Jacques rit jaune en pensant aux sensations que son copain doit ressentir quand les lèvres se referment sur lui serrant le gland dans une aspiration intense avant de repousser la peau vers la base en l’avalant jusqu’au fond de la gorge, puis de recommencer, en remontant lentement le long de la hampe palpitante, la langue s’enroulant autour du bourrelet, déclenchant une jouissance exquise.
Karim, les mains sur les hanches, le dos cambré, s’abandonne au savoir-faire indéniable de Nicole, puis, lui saisissant la tête dans ses mains, il se met à lui baiser frénétiquement la bouche, plongeant son membre quasiment jusqu’à la garde.

Jacques espère qu’il ne va pas lui faire mal, car son sexe est quand même conséquent, mais elle semble s’en accommoder, malgré quelques signes d’étouffement par moment.
Du gode sur lequel elle s’est plantée, il n’en voit plus aucuns centimètres, ce qui le laisse imaginer la place occupée par le pieu de latex dans son intimité et les sensations que cela doit lui procurer.
Comment peut-elle accueillir un tel engin ?
Jacques est admiratif des qualités qu’il découvre ce soir chez son épouse, lesquelles compensent en partie l’amertume de ce savoir cocu.

D’ailleurs l’évidence se fait jour que depuis quelque temps Nicole se lâche de plus en plus souvent au lit, pimentant leurs rapports de positions moins convenues et surtout se montrant volontiers demandeuse à d’autres moments que le soir. Jacques c’était plu à penser que cela était le fruit de ses efforts et de sa persévérance, mais non.

Elle s’est accrochée aux cuisses de son amant, elle s’évertue à le pomper si avidement, les lèvres bien serrées sur la verge gonflée, que Jacques ne sait plus trop qui baise l’autre.
Elle montre une envie folle de cette bite, de l’avoir presque tout entière dans sa bouche, à sa merci, lui procure manifestement un plaisir immense. Le rythme s’accélère.

Brusquement Karim se fige et il comprend au sursaut de sa femme qu’il vient de jouir, éjaculant sa semence dans sa bouche.
Elle ne cherche pas à se dégager, le laissant se vider les couilles, s’abreuvant de l’abondant nectar qui se déverse en elle.
L’image des jets de foutre qui fusent dans la gorge de son épouse envahit son esprit, le faisant jouir à son tour, il éjacule sur la terrasse, en silence, sa bite gonflée et dure dans la main.
Un peu de liquide blanc et épais perle aux commissures de ses lèvres, signe qu’elle en a plein la bouche, et qu’elle se délecte du précieux liquide avant de l’avaler.

Jacques ne sait pas quel goût peut avoir le sperme de Karim, mais il semble plaire à son épouse de toute évidence.
Envahi par l’émotion que suscite en lui leur jouissance, imaginant le plaisir que prend Karim en se vidant en elle, une insondable envie de la prendre à son tour le gagne, il ne peut refouler les larmes qui coulent le long de ses joues.
Il sait maintenant qu’il ne sera plus jamais son seul repère en matière de plaisir, que le goût de Karim sera pour toujours ancrer dans ses papilles.

Jacques ce dit qu’elle ne perd rien pour attendre, que tout à l’heure, il saura lui faire goûter son sexe, lui aussi, et l’abreuver copieusement de sa semence.
Pour l’heure, il s’agit de rentrer.

Elle, libérée du gode, s’est assise sur le canapé, pendant que son amant remet un peu d’ordre dans la pièce, nu comme un ver.

Au moment où Jacques va quitter la terrasse une silhouette s’inscrit dans l’encadrement de la porte du salon, surprenant les deux occupants. Curieux de cette intrusion, il reprend son poste d’observation, l’attention portée sur le nouvel arrivant.
Elle se lève rapidement, comme prise en faute, enfilant maladroitement son chemisier sans arriver à le boutonner, ce qui finalement la rend très bandante, avec ses mamelons à moitié découverts, et sans pouvoir remettre sa culotte pour cacher son sexe fraîchement rasé.
Jacques n’a aucune difficulté à reconnaître l’homme qui vient d’entrer, petit et sec, la peau ridée par des années de labeur, mais au regard vif et déterminé, il doit afficher dans les soixante-dix ans aujourd’hui.

Il s’agit de Slimane, le père de Karim, qu’il a rencontré quelques fois, il peut comprendre la gêne de sa femme de se trouver devant lui ainsi en pareille tenue.
Karim ne semble guère plus à l’aise, d’autant que son père ne semble pas très content de les trouver là. Il devait dormir à l’étage si on juge au pyjama qu’il porte, le batifolage des deux amants a dû le réveiller.

Néanmoins, il embrasse son fils, puis Nicole, les yeux rivés sur la poitrine qu’elle tente de lui cacher, une conversation s’engage avec Karim.
L’homme écoute son fils, non sans jeter de fréquents regards en direction de l’épouse qui a réussi à enfiler rapidement sa culotte.
Jacques réalise brusquement que son pyjama s’est orné d’une belle bosse au niveau du bas-ventre.
Putain, le vieux est en train de bander !

Cela ne l’étonne pas vu le spectacle alléchant offert par son épouse quasiment nue qui peine à masquer ses généreux attributs.
Jacques a l’impression qu’une négociation est engagée entre le père et le fils et que sa femme en est l’objet. Le vieux aurait envie d’elle que cela ne l’étonnerait pas.       À plusieurs reprises Karim se tourne vers elle pour lui demander quelque chose qu’elle finit par accepter, visiblement résignée.
Le père de Karim prend place sur le canapé, baisse son pyjama, arborant effectivement une belle érection, dont il parait assez fier.

Cela doit être génétique, car lui aussi est membré comme un âne, tout est relatif, au regard de sa morphologie. Entre ses cuisses dégarnies se dresse un sexe mince et long, parcouru de grosses veines, avec un gland énorme.
Assis, les jambes écartées il regarde Nicole, restée debout, se pencher sur lui et s’emparer de son sexe effectivement déjà bien bandé.
Décidément elle le fait cocu dans les grandes largeurs.
Il va faire profiter toute sa famille des bonnes dispositions de son épouse si cela continue.

Pour l’instant, c’est le père qui jubile, en regardant Nicole s’occuper de son membre visiblement encore bien vigoureux. Elle le branle méthodiquement tout en lui suçant le gland lisse et violacé qui prend du volume, répondant parfaitement aux sollicitations de la bouche gourmande.
Elle aura sucé deux bites dans la soirée ce qui ne finit pas de l’étonner.
Comment a-t-il pu être aveugle à ce point ?
Comment a-t-il pu ignorer les changements qui s’opéraient en elle ?
Mais il n’est pas au bout de ses surprises.

La position de Nicole met en évidence sa jolie croupe bien charnue, ce qui ne manque pas d’attiser la convoitise de son amant qui s’approche d’elle, l’œil brillant, très intéressé par les rondeurs alléchantes offertes à son appétit.
Jacques est un peu loin pour voir en détail tout ce qui se passe, il en est donc réduit à faire des suppositions sur ce qu’il va faire, cependant il a bien l’impression qu’il a un faible pour son cul, superbe et disponible. On doit reconnaître qu’il a bien raison !

Il commence par lui retirer sa culotte qu’elle vient tout juste de remettre, puis lui claque les fesses, l’une après l’autre, d’une main souple, mais énergique qui les fait rapidement rougir, s’insinue lentement le long de la raie, lui masse l’anus, en faisant des petits ronds concentriques, puis la pénètre de son index tendu.
Il le fait aller et venir de plus en plus vite, tout en la fessant de sa main libre, administrant des claques qui font trembler la chair généreuse.
Deux puis trois doigts sont bientôt introduits dans le petit orifice qui se dilate sous la pression, sans que cela ne perturbe pas  sa femme, comme si elle était habituée à ce genre de pénétration, ce qui, à sa connaissance, n’est pas le cas. Il faut croire qu’elle s’habitue vite.

Il la doigte un moment puis estimant sans doute qu’elle est prête, il appuie son sexe contre l’orifice dilaté, et d’une poussée lente du bassin, s’enfonce en elle, doucement, jusqu’au fond.
Elle a relevé la tête, accusant l’introduction du membre, elle s’est tournée vers son amant qui semble lui dire quelque chose.
Les yeux fermés, elle se laisse sodomiser, ne laissant paraître qu’une légère grimace chaque fois que la verge bien dure plonge en elle.
Karim discute avec son père, sans doute pour lui vanter les qualités de sa partenaire dont il laboure le cul allègrement. Jusqu’à ce que Slimane réclame son dû à son tour.

Karim libère Nicole qui se relève pour venir enjamber Slimane et s’empaler sur sa verge érigée et dure, à la grande satisfaction du vieil homme qui s’est emparé de la majestueuse poitrine qui s’agite au-dessus de lui.
Les mains rivées aux deux gros mamelons, gorgés de désir, Slimane lui dit quelque chose en la regardant monter et descendre sur sa verge, ce à quoi elle répond avec un large sourire.

Elle est visiblement très contente de le chevaucher, s’activant sur sa queue avec une ardeur non feinte, sachant qu’il pourrait largement être son père.
Karim qui s’est rapproché d’eux la fait se pencher vers l’avant, il guide son sexe contre l’anus encore dilaté, il la pénètre à nouveau, très facilement, il la sodomise en lui claquant la croupe en cadence.
Jacques reste admiratif de l’aisance avec laquelle l’imposante bite plonge profondément dans le cul de sa femme, labourant ses chairs intimes pour son plus grand bonheur.

En se baissant elle a mis sa poitrine à la portée de la bouche de Slimane qui s’empresse d’en aspirer les pointes brunes, l’une après l’autre, comme un affamé qui n’aurait rien mangé depuis des semaines, leur faisant prendre une taille inhabituelle.
La Nicole doit être particulièrement contente ce soir, car elle adore se faire sucer les tétons et Slimane semble être très doué pour ça. Jacques n’a jamais réussi à les faire gonfler à ce point-là.
Le dos cambré, la poitrine saillante, elle lui fait penser à une figure de proue, fière et volontaire, se livrant aux désirs de mâles en rut.

Malgré la fraîcheur de la nuit qui commence à l’engourdir, mais il ne peut se résoudre à quitter les lieux, persistant obstinément à espionner le trio qui se déchaîne dans le salon.
Le cœur déchiré, pourtant avec une trique d’enfer, il regarde Karim et son père s’en donner à cœur joie avec sa femme, la baisant copieusement en lui donnant un plaisir bien réel.

Sa tête rejetée en arrière, roule d’un côté et de l’autre, sa croupe ondule à la rencontre des deux gourdins qui la besognent, montrant son désir d’être possédée ainsi, totalement.
Jacques doit se rendre à l’évidence, elle aime vraiment ça, ce qui ne laisse pas de l’inquiéter pour l’avenir, toutefois en même temps il doit admettre qu’il adore la regarder se faire baiser.
Les deux hommes s’en donnent à cœur joie, enfouissant leurs membres respectifs au fond de ses entrailles, dans un ballet vigoureux qui la fait défaillir, avant que leurs orgasmes respectifs n’éclatent, libérant leur foutre au cœur de ses orifices.
Ils jouissent intensément, éjaculant sans doute abondamment, déclenchant au même moment l’orgasme de la femme, qui se met à trembler follement, dévastée par une onde choc qui la traverse de part en part.

Tous les trois restent ainsi un moment, intimement soudés, récupérant de leurs efforts, le père et le fils embrassent leur partenaire, caressant son corps plantureux qu’ils viennent de posséder, la remercient du plaisir qu’elle leur a permis de prendre en se livrant à leur appétit.
Karim se retire le premier, lui permettant ainsi de voir sa semence s’écouler de l’anus qu’il vient de besogner. Elle se dégage enfin de Slimane, les cuisses couvertes de sperme, preuve que le père, comme son fils, se sont bien vidé les couilles en elle.

La soirée aura été prolifique et ce n’est pas fini, car Jacques a bien l’intention d’y ajouter sa part quand elle sera de retour à la maison.
Karim lui tend une serviette avec laquelle elle s’essuie, presque à regret.
Quand elle se relève, il voit une femme fourbue, mais heureuse d’avoir pris tant de plaisir.
Elle se rhabille sous les regards attentifs de son amant et de son père, Jacques se dépêche de regagner son véhicule afin d’être à la maison avant elle.

Il espère qu’elle aura gardé un peu d’énergie, car il est diablement excité, et désireux de prendre sa revanche, en la baisant copieusement à son tour, pour tenter de lui faire oublier un peu le plaisir qu’elle vient de prendre avec Karim et son père.

Jacques n’arrive pas à lui en vouloir, bien que son ego en ait pris un coup, il se dit que c’est peut-être bon pour eux qu’il y a de la concurrence.
Cela l’oblige à être innovateur et performant, il apprécie finalement qu’elle ait pris goût au sexe.
Reste à gérer la situation et à garder un minimum de contrôle. Jacques est honteux d’avoir autant sous-estimé Nicole, son épouse, qui l’a vraiment bluffé en révélant ses capacités à satisfaire deux hommes, démontrant qui plus est un appétit hors du commun.

Enfin le commun qu’il connaît.
Jacques repense avec regret à toutes ces occasions perdues avec elle parce que, venant d’un milieu qu’il jugeait austère, il la croyait coincée, inhibée, incapable de se lâcher au lit. C’est tout simplement lui qui n’a pas su y faire. Il se serait giflé.
Le détail qui le chagrine encore, c’est la possibilité qu’elle est d’autres amants. Bien sûr il eu l’autre soir le père de Karim, elle a aussi accepté qu’il participe a leurs ébats.

En réfléchissant aux changements de comportements qu’il a pu noter, il se dit que la clé est très certainement quelque part.
Nicole en est devenue radieuse, manifestant une joie communicative qui agrémente beaucoup nos rapports dans les jours qui suivent ce dont il s’en félicite.
Jacques a mis ça sur le compte de son comportement à accepter son infidélité avec Karim alors que les causes sont certainement tout autres.

Son collègue aurait-il pu profiter de cette opportunité pour lui faire des extravagances sexuelles ?
Cela n’est pas impossible, car elle a bien accepté de se donner à Slimane et elle y a pris du plaisir.
L’idée qu’elle puisse se faire baiser par d’autres ne l’amuse pas.
En tout cas il faut qu’il en a le cœur net, reste à savoir comment faire ?
Jacques décide de passer un coup de fil à Pierre un ami.

– Pierre… C’est Jacques.
– J’ai besoin d’un service que je ne peux demander qu’à un ami, car cela concerne Nicole. En effet j’ai encore des doutes sur son infidélité, outre celle d’avec Karim, je voudrais la tester pour me prouver que j’ai tort.
– L’idée, c’est que tu viennes à la maison, pendant mon absence et que tu lui fasses des avances.
– Débrouille-toi pour que cela ait l’air sincère, je veux la vérité sur sa réaction.
– Dis donc, c’est encore un sacré service que tu me demandes là !
– Je sais, mais il n’y a qu’à toi que je peux le demander. Il faut vraiment que je sache !
– Bon d’accord, tu peux compter sur moi !

Ils décident qu’il ira la voir le jeudi soir suivant.
Ce que Jacques n’a pas dit à Pierre, c’est qu’il a bien l’intention d’assister à la rencontre, à leur insu.
Le jeudi suivant Jacques quitte son épouse en lui disant qu’il doit aller sur Paris pour son travail et ne rentrerai que le lendemain. En début de soirée, il est de retour, en revanche se gare à distance afin de ne pas être repéré.

A suivre

Sam Botte

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