Minuit, pas de nouvelle de mon bel étalon, mais je me doute qu’il va bien réagir à un moment donné, car il sait que j’ai très envie de le revoir. Et miracle, je me réveille vers 3 h, et par curiosité je vais consulter mon téléphone et je vois une réponse de sa part à mon SMS en me disant qu’il m’attendait. Mon cœur s’est mis à battre très fort comme quand j’ai un message de sa part. Ça ne s’explique pas, il m’a tant transporté la semaine dernière, j’ai très envie de goutter à nouveau à son corps. Bon il s’était couché à 1 h 30, étant le soir chez des amis, donc je risquais de le réveiller en arrivant pour 8 h comme j’avais prévu. Et bon 3 h, ça faisait un peu tôt pour se lever déjà, donc je repars au lit, mais difficile de regagner le sommeil, étant déjà très excité. Bref, j’ai dû rêvasser à mon bel homme pour arriver à 5 h 30′ où je décidais de mettre le pied à terre. Petit déjeuner, entrecoupé par des réponses à divers contacts, puis je passais à la salle de bains pour un brin de toilette, mais je savais que chez Gilles, je pourrais prendre une douche pour faire un lavement anal d’usage pour un rapport agréable. 7 h 30 je démarre en voiture de chez moi après avoir enfilé au garage mon survêtement comme me l’avait demandé Gilles et lui envoyer un SMS comme convenu qu’il ne lira pas, il me le dira plus tard. Et à 8 h ou presque je me trouvais devant le domicile de Gilles.
Coup de sonnette, pas de réponse. Je devais le réveiller ! Donc je l’appelle au téléphone, pas de réponse, donc, je relançais l’appel. Et là, le portillon s’ouvre. L’homme magnifique ne devait pas être loin ! Et il m’accueille derrière la porte, car il n’est qu’en slip. Fermeture de la porte, et avec bonheur je lui offre un baiser délicieux pour lui prouver que j’étais heureux de le retrouver. Il m’invite à venir prendre un café que je ne refuse pas et pendant qu’il le prépare, je le câline par des baisers subtils sur tout son corps et sa bouche qu’il m’offre de temps en temps comme lors d’un baiser volé, sans oublier les caresses même à son sexe qui prend forme aussi. Il se réveille gentiment. Je suis vraiment dur de le réveiller si tôt, mais j’avais trop envie de ses caresses. Et oui, un homme peut avoir de telles pulsions. Il me quitte quelques minutes pour appeler sa femme pour voir avec elle à quelle heure il faudrait qu’il la récupère à l’aéroport, afin d’éviter qu’elle l’appelle en plein milieu de nos ébats qui seraient très certainement très chauds. Je lui précise que je n’ai pas pris de douche annale et il me donne le nécessaire pour que je le fasse dans de bonnes conditions. Mais c’est toujours compliqué pour moi. J’ai l’impression que je ne m’en sors pas. Gilles est allé dans l’autre salle de bains pour se rafraîchir un peu. Et une fois que je m’en suis sorti de ce lavement annal, je le retrouve nu, sous sa couette. Imaginez que je me faisais très vite petite chatte pour me blottir devant mon mâle qui voudra me réchauffer. Hummm, je dévore sa peau avec gourmandise par des baisers tendres comme il aime. Et je m’offre à sa bouche toujours aussi délicieuse. Tout en cherchant sa queue pour la caresser et l’unir à la mienne, car j’aime toujours autant, quand elles se réunissent pour les branler dans ma main. Elles commencent à se durcir au contact de ma main.
Et je prends le plus grand de mes plaisirs pour descendre avec ma bouche qui fera un arrêt buffet de tendresse à ses seins qui pointent, toujours gourmand. Gilles pousse des petits gémissements de plaisir. Il aime autant que moi, je crois. Et je quitte ses mamelons pour arriver à ce sexe si bien tendu qui s’offre à ma bouche comme un sucre d’orge qui fera le régal de ma gorge, car je n’arrive pas à tout engloutir tellement son sexe est gros. Mais je ne vais pas m’en plaindre. Et oui, mon Gilles est bien fourni. Quel bonheur de l’avoir dans la bouche. Ça me rend de plus en plus amoureux. La partie de plaisir ne fait que commencer. Et je sais qu’il sera très actif dans la tendresse qu’il allait m’offrir. Finie la couette, elle était de trop et il voulait me prendre sur le côté. Alors j’allais me mettre un peu de gel pour que la pénétration se fasse dans la plus grande douceur et la facilité. Ah sa chatte (l’animal) ronronnait autour de nous en poussant quelques grognements. À croire qu’elle se rendait compte qu’un acte charnel allait se faire. Donc Gilles descendit pour la mettre dehors, pendant que je me préparais. Et mon homme revenait près de moi, très vite pour me faire savourer sa queue tendue à souhait. Nos ébats chaleureux allaient commencer par des moments de plus en plus torrides. Son gland venait chatouiller ma chatte gentiment par des ronds de tendresse et l’extase commençait à me transporter. J’avais très envie de lui. Et son sexe parvenait à glisser tendrement dans mes entrailles. Je poussais un petit gémissement de plaisir. J’étais à lui et je me laissais aller. Il commençait à me pénétrer de plus en plus vite pour exciter nos sens. Que c’était bon. Il m’emmenait au paradis. Je le sentais de plus en plus jusqu’à ce qu’il fasse une pause pour me demander de prendre une autre position. Il voulait que je m’assoie sur sa queue comme il avait fait la semaine dernière. Il descend du lit pour rester coucher sur le dos avec ses jambes pendantes ; et ma chatte avale tendrement et sans peine sa queue que je me plais à pomper, lui accélérant par coup de reins sa pénétration. Ma jute coulait de mon sexe tant j’étais excité et qu’il actionnait ma prostate. Hummmm délicieux en ce moment. Seul regret que j’avais, c’est que j’avais envie de ses lèvres, tant le plaisir était total. Après ces instants de bonheur, je me remettais sur lui pour lui offrir mes baisers. J’en avais trop envie. Et une fois de plus, il allait me proposer une position que je savoure tout autant, en mettant mes jambes au-dessus de ses épaules. Il me glissait un oreiller en dessous de mes reins pour que j’aie une position plus confortable. Et sa queue comme un serpent entrait dans ma chair que je savourais tout autant. Et il commençait à s’activer de plus en plus. J’aimais voir son visage pendant qu’il me prenait. Mais très vite il fermait les yeux, savourant sa pénétration, et là de me dire, je vais jouir.
Je sentais sa semence envahir mon corps comme un élixir que seule ma chatte savourait le plus. Dieu, j’étais devenu fou de lui de m’être fait monter au paroxysme. Et il s’écroulait, épuisé à côté de moi. Et il se couchait près de moi pour mon plus grand plaisir en me disant qu’il était épuisé. Alors j’allais le cajoler comme il aime que je lui fasse, le bisant sur les endroits multiples de son visage. Trop beau cet homme près de moi. Trop envie de le croquer. Toutes les parties de son visage seront câlinées et embrassées comme j’aime tant lui faire. Il est à moi, encore quelque temps, et je désire tant en profiter comme un homme qui vient de faire l’amour. Et nous avons papoté sur diverses choses entre autres il allait me révéler qu’il avait un ami de 69 actif et passif à Muret. Je lui proposais de le faire venir une prochaine fois. Mais j’avais envie de manger sa chatte. Il hésitait, car il n’avait pas fait de lavement anal. Pas grave, je lui dis. J’ai trop envie de toi. Et je le savoure avec grand plaisir. Puis je lui câline aussi les autres parties de son corps. Puis une envie d’uriner me prend et je le quitte quelques instants pour le retrouver sous la couette. Alors je me glisse à nouveau près de lui comme un homme transi devant son être cher et mes embrassades reprennent et lui de me dire, vient te réchauffer près de moi. Il a toujours peur que j’ai froid, que je ne ressens jamais tellement je suis sous son charme.
Alors je lui propose de réveiller son érection et je m’active à déclencher l’envie chez lui par des baisers tendres sur tout son corps, sur ses mamelons, sur son ventre et bien sûr sa queue, que je savoure à nouveau, tout comme ses couilles et l’envie lui revient. Et de lui demander s’il veut revenir. Il acquiesce sans peine et me demande dans quelle position je veux qu’il me prenne. Alors je lui demande en levrette pour bien le sentir contre moi. Hummm le délice va vite arriver, car il rentre facilement ayant bien graissé mes entrailles précédemment. J’ai envie de le caresser en même temps, tant c’est fort. Et je touche ses mains, ses cuisses. J’ai trop envie de sentir son corps. Et le coquin va filmer notre étreinte quelque temps qu’il m’offrira en signe de remerciement quand je serai parti par SMS. Et sur la bande, mes gémissements de plaisir seront bien là. Et j’avais oublié de préciser qu’il avait mis lors de nos ébats une musique très douce. Et je me trémoussais sur sa queue. Il m’aura vraiment rendu heureux pendant tout ce temps. Fin des ébats sexuels, car il me faut rentrer et lui de retrouver ses esprits avant un travail sérieux pour l’après-midi. Et lui de m’inviter de prendre une douche ensemble et je n’allais pas refuser tant j’avais envie de le sentir pleinement contre mon corps sous l’eau. Il montait le premier sous la douche et je me collais à lui qui était de dos. Et il se retournait une fois qui avait fait couler l’eau pour passer les jets sur mon dos, m’excitant un peu plus surtout que nos lèvres se rejoignaient pour un bonheur total. Imaginez toutes les caresses offertes sous une douche. Je ne voulais pas m’en priver. Il se mouillait la tête et il voulait m’en faire autant., ce que je refusais malgré qu’il m’ait dit qu’il avait un séchoir. Trop bon ce moment. On se sèche et on va se rhabiller chacun de notre côté et lui de me demander ce que je veux boire. Un café serait bien pour reprendre mes esprits. On ira le boire au rez-de-chaussée.

Et pendant qu’il le préparait, je continuais à le câliner et à l’embrasser. Pas envie de le quitter pourtant il le faut. Il me dit que je suis très sensuel et que j’ai les fesses fermes. Je pense qu’il aime sans oser me l’avouer. Il me raccompagne à la voiture. Dernier baiser avant de franchir la porte, car je sais que dehors ce sera fini. Eh oui, les voisins ! Et je lui tends la main par-derrière comme pour un signe d’un au revoir qu’il me rend. Il me montre sa belle voiture qu’il vient d’acheter. Des au revoir tranquilles et je lui dis : je sais, je ne peux plus te toucher. Peut-être à la semaine prochaine, s’il réussit à être disponible, car il a un programme chargé. Mais trop envie de lui, vous vous doutez. Quel gigantesque bonheur, il m’a offert. Merci, Gilles, de me permettre de faire aussi bien l’amour avec toi. Je pars transi encore plus que l’autre fois. Ça a été encore plus fort. Et en rentrant, je reçois son message de remerciement avec sa vidéo, le coquin. Et bien sûr, dans mon garage, j’enlève mon survêtement ! Et je rentre tranquillement chez moi comme si je venais de faire quelques kilomètres en vélo ! Le coquin que je suis.
Vivement la semaine si tout est possible.
Bonplan1
Ajouter un commentaire