Seconde rencontre entre Edouard, le vicieux et une Véronique complice.
Scénario imaginé par Julie et rédigé par Véronique !
Histoire sexe Sur le chemin qui la ramenait à l’agence, Véronique avait les plus grandes peines à respecter les règles de la sécurité routière ; ce qui venait de se passer chez Monsieur Klein avait déstabilisé les certitudes de la directrice de l’agence « Bel Imm France ».
À un feu rouge, Véronique crispa ses mains sur le volant en repensant au vil manège des frères Klein ; il fallait qu’elle les verbalise pour apaiser sa colère.
Dans le parking souterrain, elle parqua sa voiture et attendit quelques minutes avant de couper le contact ; juste le temps à la climatisation de refroidir le sang qui brûlait ses joues.

Véronique ferma ses yeux et immobilisa sa tête en arrière… Elle revit ces images… La canne d’Edouard qui s’était presque permis de révéler ses dessous… Sa peau et son sein qu’elle avait offerts à ce vieillard…
Véronique sursauta et ouvrit les yeux, avant de serrer les cuisses sur son jus qui coulait au fond de sa culotte. Que lui arrivait-il ? Elle observa les proches alentour pour être certaine que personne ne voyait qu’elle était en manque…
Elle poussa la porte de l’agence. Elle balaya le silence de l’agence en marchant d’un pas autoritaire jusqu’à la machine à expresso où elle commença à se préparer un café.
Dans son bureau, elle déposa ses affaires et quand elle en ressortit, elle croisa Denis qui la fit sursauter. Véronique se surprit à lui esquisser un sourire comme s’ils étaient collègues, mais cela n’était définitivement pas le cas.
Le regard de Denis lutta pour ne pas voir ce qui était immanquable. Profondément, il inspira, avant de se confesser :
« Madame Durand, vous avez eu un appel de Monsieur Edouard Klein. Un dur à cuire celui-là ! Je lui ai répété que je n’avais pas votre agenda et que je ne pouvais pas lui donner un rendez-vous, mais il a insisté et il s’est invité pour demain matin neuf heures ».
Véronique resta stoïque et cela surprit l’employé habitué aux vexations.
La charismatique quinquagénaire prit son café et traversa le couloir pour aller s’enfermer dans son bureau. Elle régla les stores en position occultant. Elle sortait une pomme qu’elle déposa à côté de son expresso.
Bercée par le silence, elle se cala dans son fauteuil et posa ses pieds, ses escarpins sur le bureau. Elle esquissa un rictus, avant de saisir la pomme et la croquer. Elle croisa les chevilles.

Véronique leva les yeux vers la porte de son bureau, glissa sa main libre entre ses deux cuisses… Renversée, sa jupe descendit jusqu’à sa petite culotte en dentelle noire… Véronique effleura un instant son sexe à travers la broderie, avant de porter ses doigts à ses narines. Ses paupières papillonnèrent et elle esquissa un nouveau sourire.
Quelques quarts d’heure plus tard, elle décrocha son téléphone pour un échange houleux avec l’un dess frères Klein. Dans le couloir de l’agence, il semblait à Denis que les vitres frémissaient et pendant un court instant, les ruades de sa patronne l’excitèrent…
En fin d’après midi, Véronique confia la responsabilité à l’un de ses employés pour fermer l’agence.
Sur la route qui l’amenait chez elle, Véronique ne rêvait que d’un bon bain et d’un divan pour souffler et retrouver ses esprits. Le lourd portail de sa propriété s’ouvrit et la grosse voiture emprunta l’allée gravillonnée, avant de se garer devant le garage. Trop épuisée par une journée inhabituelle, la directrice de « Bel Imm France » abandonna sa voiture.
Véronique trouva interminable le temps qu’elle prenait pour ouvrir sa serrure et quand le salut vain, la chaleur la poussa dans les murs de sa luxueuse demeure climatisée.
Un court instant, elle ferma les yeux, souffla et apprécia la fraîcheur qui entoura son corps… Volontaire, elle abandonna tour à tour, ses escarpins, son chemisier et sa jupe pour ne rester qu’en soutien-gorge et petite culotte. Sa poitrine semblait plus impressionnante que ce matin chez Monsieur Klein !
Elle monta à l’étage pour se faire couler un bain… Pendant ce temps, elle ôta délicatement sa petite broderie encollée… Son pubis était lisse et bronzé. Pendant une fraction de seconde, elle médita sur Edouard, ses employés et les frères Klein : se damneraient-ils pour ce bout de tissu taché par sa mouille lubrique ?
Elle dégrafa enfin son soutien-gorge, sa lourde poitrine s’affaissa de quelque centimètre… Véronique attardait son regard sur son téton, celui même qu’Edouard avait sucé… Elle passa subtilement ses doigts sur son aréole, effleura son téton ; il lui semblait sentir cette odeur séculaire…
Véronique ferma le mitigeur et un silence envahit la petite pièce. Elle attacha ses cheveux et trempa ses pieds, ses jambes et son corps dans la mousse, avant de s’immerger jusqu’au cou.
Prétextant s’envelopper de mousse, elle se surprit à se caresser. Elle prit ses gros seins lourds à pleines mains, les malaxa plusieurs secondes, avant de les relâcher. La belle quinqua les secoua de gauche à droite dans un esprit de liberté pour abandonner une journée de joug.
Après cinq minutes, elle s’immobilisa et sa main gauche dans le bain resta plantée entre ses cuisses… Elle aventura un doigt sur ses grandes lèvres cramoisies, dans son con, avant de revenir sur son clitoris et de lui faire subir un aparté gagnant d’une demi-heure…
Hors du bain, elle se sécha longuement, avant de gagner sa chambre, elle étala son lait hydratant sur sa poitrine et la massa longuement. Ses doigts enduisaient ce centre d’intérêt jusqu’à ses tétines perpétuellement excitées.
Elle s’essuya les doigts dans une serviette-éponge, puis caressa son sexe lisse avec une nouvelle dose de ce lait pour le corps. Le dos légèrement courbé, ses seins tanguaient au rythme de ses attentions et ses grosses tétines semblaient enfler de plus en plus.
Elle reprit du lait et l’étala sur ses fesses… Deux miches qu’elle trouvait banales, mais qui tourmentaient tellement les mâles… Véronique glissa plusieurs doigts dans la raie lisse en rêvant d’un homme qu’elle ferait grossir dans sa bouche, jusqu’à le rendre fou entre ses obus…
Le lendemain matin… À la terrasse d’un café, un jeune homme en maillot de football et pantacourt tirait sur une cigarette. On pouvait s’étonner qu’il soit plus accaparé par ce qui se passait de l’autre côté de la rue que, par les clientes de l’institut de beauté qui défilaient devant lui…
Sur le trottoir d’en face, une femme en tailleur rose poudre et lunettes noires attirait le regard. Son sac à main ballottait tout comme cette poitrine irréelle ; elle entra dans l’agence immobilière.
Hervé tira une dernière fois sur sa cigarette, avant d’être interrompu par une personne à l’abri de la chaleur :
« Hervé ; tu vas voir si elle est là ! »
« Oui, grand-père. Mais je crois que cette Véronique vient d’arriver à l’instant ».
Édouard regarda son petit-fils et comprit qu’il pouvait être un concurrent. Édouard n’en revenait pas, il était jaloux de son petit-fils ! Le presque octogénaire avaient deviné dans la voix de ce jeune étalon, les signes d’une excitation qui était décidément contagieuse.
Hervé traversa la rue et entra dans l’agence.
Dans son bureau, Véronique accueillait prétentieusement ce jeune homme aux allures de bourse vide. Elle avait abandonné sa veste et révélait un chemisier blanc, ainsi qu’un décolleté mit en valeur par un collier de perles blanches.
Ils échangèrent quelques politesses, mais Véronique ne portait pas trop d’intérêt à ce jeune laquais. Hervé ne dérogea pas à la règle du décolleté, cette poitrine captiva son regard et il se mit à envier les perles de culture…
« Mon grand-père a de la chance de vous avoir ! »
« Je suis un peu sa conseillère… »
Ce « va-nu-pieds » était il, au courant de son étrange relation ?
« Pour votre projet, Edouard a enfin accepté de consulter son médecin. Cela faisait trois mois qu’il avait renoncé à se faire aider ! »
Véronique leva les yeux sur Hervé et fronça les sourcils, avant d’immobiliser sa gestuelle.
« Monsieur Klein est-il malade ? »
Hervé baissa les yeux.
« Non… Diabète, cholestérol et son cœur. Si vous ne l’aviez pas remarqué, il est vieux ! »
« J’ai des bons yeux, merci ! »
La suffisance naturelle de Véronique la poussa à détailler la tenue touristique de Hervé ; ce dernier n’apprécia pas.
« Peu importe ce que vous faites avec lui, mais… Ne le décevez pas ! Grand-père a eu une vie intense et depuis qu’il vous connaît… Je dois dire qu’il revit ; je voudrais qu’il termine sur une bonne impression.
Véronique hésita à le reprendre.
« Je suis une professionnelle (Hervé la détailla de bas en haut), mais je crois bien que vous n’êtes que son émissaire n’est ce pas ? »
Hervé posa une dernière fois un regard sur la prison du collier de perles.
« Un jour, j’aimerais bien faire affaire avec vous ! »
Véronique hésita…
« Trouvez déjà du travail ! »
Hervé poussa un petit rire… Avant de quitter le bureau.
Un quart d’heure plus tard, Edouard arriva dans le bureau de Véronique ; il se tenait dur une seule canne. Avant toute parole, ils conjuguèrent leurs regards, avant de se serrer la main.
Difficilement il s’asseyait sur la chaise devant le bureau, tandis que Véronique préférait rester debout au fond de la pièce.
«Alors ! Vous les avez matés ces petits cons ? »
« Leur connerie va leur coûter 500 €, Monsieur ».
Édouard fit la moue. Véronique s’avança près de son, bureau et se pencha pour regrouper quelques feuilles volantes.
Sans le regarder, elle esquissa un nouveau sourire.
« 500 € chacun, Edouard ! »
Édouard lui renvoya son sourire, avant de savourer ce nouveau décolleté.
« Eh bien, Edouard ? De quoi vouliez-vous m’entretenir ? »
Debout derrière son bureau,Véronique croisa les bras sous sa poitrine.
« Véronique ! J’ai pris conscience que je n’avais plus trente ans, mais qu’il restait de la sève dans ce vieux bout de bois que vous avez devant vos yeux ! » « Bref ! J’ai contacté une maison de retraite, je devrais avoir une place pour la fin de l’année. Cela devrait être suffisant pour que vous vendiez ma maison ! »
« À la bonne heure, Edouard ! »
Véronique décroisa les bras et afficha un large sourire…
« Véronique, vous vous partagerez le pèze avec le petit ! »
Elle resta sans voix. Elle avait déjà fait les comptes. Elle détourna la conversation, voulue lui offrir un café, un verre d’eau, mais il refusa. Édouard s’enivrait du bouleversement de sa conseillère de charme…
Les émotions de Véronique étaient partagées ; une sensation de légèreté l’envahit et lui revint en mémoire le souvenir d’une autre joie dans le présent bureau : cette fois où l’ancien directeur de l’agence « Bel Imm France » l’avait culbuté juste avant de lui annoncer qu’elle était la nouvelle directrice.
« Mais… Monsieur Klein… »
« Édouard ! »
« Édouard ! Pourquoi tant de générosité ? »
Il bougonna, ce n’était pas la réplique qu’il attendait.
« Je viens de vous dire que vous allez être riches et vous n’exultez pas ? »
« Monsieur Klein, je suis déjà riche ! »
Édouard la détailla comme il l’avait déjà appréciée la veille.
« Si vous voulez Véronique, je peux tout donner aux pauvres ! »
« Non ! Non ! Ne dites pas de bêtise ».
« Qu’est ce qui vous gêne ? »
« Je mérite ma paie ! »
À l’abri de mon alter ego, le vieil homme grimaça, avant de poser sa main sur son cœur… Il la retira instantanément.
« Je vous garantis que vous mériterez votre salaire ! Dans quinze jours, je pars en croisière pour… Trois semaines et à mon retour, je tiens à ce que vous respectiez votre part du contrat ! »
Véronique ouvrit de grands yeux.
« Quel est le contrat ? »
« Votre héritage ! »
La directrice de l’’agence marcha de long en large agacée, avant de s’asseoir sur le bord de son bureau juste en face d’Edouard. Une nouvelle fois, elle croisa les bras sous sa poitrine et ajusta son fessier sur le plan saillant.
« Vous m’agacez, Edouard ! »
Le papy posa ses yeux sur les cuisses nues et serrées.
« C’est quoi la condition ? »
« Dîner avec moi, Véronique ! Juste parce que vous aimez m’exciter et que vous avez le vice dans la peau ! »
Véronique le toisa de haut. Elle hésita…
« Allez ! Un simple dîner, chez moi ; vous ne pouvez pas refuser cela à un vieillard au seuil de la maison de retraite ! Ce sera probablement mon dernier dîner avec une femme aussi magnifique que vous ! »
« Même pour votre argent, je ne coucherai pas avec vous ! »
« Je n’ai pas parlé de coucher ! (il esquissa un sourire) Mais je n’ai pas parlé du dessert ».
« Vous êtes un pervers ! »
« Et vous êtes le tenant féminin ! »
Véronique croisait les bras et regardait le plafond. Un large sourire, s’afficha sur la bouche d’Edouard.
« Je ne vous demande plus la réponse, je l’ai : votre poitrine parle pour vous ! »
Édouard détailla mes gros tétons qui déformaient les bonnets du chemisier. Trahie par son corps, Véronique poussa un soupir et se dressa devant lui ; un fard s’empara de ses joues.
Édouard tendit la main vers les cuisses et Véronique fronça les sourcils.
« Pourriez-vous me donner votre culotte ? »
Ils croisèrent leurs regards et c’est Edouard qui s’exécuta : ses deux mains remontèrent la jupe et il baissa sa culotte le long de ses jambes bronzées. Il prit dans sa main la fine broderie, avant de la porter aux narines.
« Un double « oui » ! Comme je les aime ! Je vous la rendrai à notre dîner, venez sans ! »
Des bouffées de chaleur montaient aux joues de Véronique. Édouard se hissa sur sa canne il s’approcha d’elle. Irrespectueux, il détailla le décolleté et tendit le nez dans le cou de Véronique avant de humer son eau de toilette.
La directrice ferma les yeux, sa poitrine à peine effleurée par l’excitation d’Edouard.
« Rendez-vous dans un peu plus d’un mois ! »
Véronique acquiesça du menton et ils se serrent la main.
À Suivre…
Véronique et Julie
Ajouter un commentaire