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Histoire sexe Véronique s’éclate dans une concession automobile

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Je cherchais l’inspiration, pour relever ton nouveau défi, et je me suis replongée dans nos vieux échanges. Tu te rappelles de ce que j’avais fait à Nantes, et sur l’autoroute au retour, pour te satisfaire, il y a 5 ans ?  Le tailleur que je portais, ce jour là ? Je te l’avais décrit…

…un tailleur rouge vif, que j’avais acheté pour le mariage d’une copine, il y a deux ans. Une veste, fermée très bas par un seul bouton (pour le mariage, je portais un débardeur en soie en dessous…), et une jupe portefeuille, assez courte (à mi-cuisses), fermée par des crochets à la taille. Normalement, une épingle fantaisie permet d’éviter que la jupe ne s’ouvre trop, mais j’ai « omis » de la mettre…Pour compléter ma tenue, j’ai mis des escarpins à hauts talons, et je me suis regardée dans mon miroir: j’étais raisonnablement sexy, et je pouvais quand même dévoiler facilement des parties intimes de mon anatomie. Car, en dessous du tailleur, il n’y avait rien pour cacher mes seins ou mon minou…

Ce tailleur, je ne l’avais pas mis depuis longtemps, mais je l’avais gardé dans ma penderie. Peut-être en raison du souvenir auquel il se rattachait? Restait à trouver un lieu, pour pouvoir m’exhiber.

Samedi, le temps n’était pas trop mauvais, le soleil jouait à cache cache avec les nuages, et la température n’était pas incompatible avec cette tenue – même si j’aurais aimé quelques degrés de plus! Retourner en ville ne me tentait pas. Trop « classique ». Et ce n’est pas un environnement qui permet d’aller très loin (comme je le fais à la plage ou sur ma terrasse).

L’idée m’est venue d’un seul coup. Un garage spécialisé dans les voitures de collection et les sportives, en bordure d’autoroute, à la sortie de la ville. J’en ai entendu parler par Loïc, qui y a acheté une vieille Mustang cabriolet. C’est aussi un lieu de rencontre pour les passionnés, qui viennent voir les autos récemment mises en vente, ou simplement discuter entre eux. Normalement, un samedi après-midi, il devrait y avoir quelques amateurs. Je suis certaine que ce seront principalement des hommes, mais je verrai peut-être quelques couples. Et puis, la femme du patron travaille aussi dans le garage.

En milieu d’après-midi, je me suis changée. Je n’ai pas oublié: un Rosebud, une jolie pierre rouge, bien calée entre mes fesses. Rien que de me voir dans la glace, j’ai senti mes petits nichons pointer. À chaque pas, ma jupe s’ouvrait très haut. J’ai fait un essai, devant le miroir, en me penchant  pour fixer la lanière de mes escarpins, et je me suis aperçue qu’on entrevoyait ma petite chatte… Un spectacle à faire bander un séminariste, et qui m’a fait mouiller.

J’ai fait le trajet en laissant bâiller ma veste, et avec ma jupe relevée et bien ouverte. Quelques conducteurs d’utilitaires se sont bien rincé l’œil, et je me suis rappelée des quelques kilomètres que j’avais parcouru, à poil, sur l’autoroute (il faudra que tu racontes ça à notre poupée salope, pour l’inspirer, qu’en dis-tu?).

Arrivée au garage, je suis descendue de ma voiture. Il y a un hall d’exposition, ouvert sur le parking extérieur. Deux hommes étaient là, et comparaient les mérites de leurs montures respectives. Un couple se baladait entre les voitures. J’ai reconnu le patron, que j’avais croisé alors que j’accompagnais Loïc, sur un rassemblement de véhicules de collection: un homme grand, à la chevelure grisonnante, âgé d’une cinquantaine d’années. Un beau mâle au physique sportif, en jean moulant et polo Lacoste. Mais il était occupé avec un client, qui était manifestement en train d’acheter une Porsche.

Alors que je m’attardais devant un cabriolet, la femme du patron m’a aperçue, et elle est sortie du bureau vitré pour s’enquérir de ce que je cherchais. Elle avait la moitié de l’âge de son mari, et je l’avais aperçue lors de ce fameux rassemblement. Une jolie blonde, fine, très sexy, et qui s’habillait toujours dans un style assez provocant. Samedi, elle portait un chemisier légèrement transparent (avec son prénom, Émilie, inscrit sur un badge), qui laissait deviner deux beaux seins pointus enfermés dans un soutien-gorge en fine dentelle blanche, et une jupe serrée très courte. Sa chute de reins et ses longues jambes nues lui permettaient ce genre de tenue.

– Bonjour, cette voiture vous intéresse? m’a-t-elle demandé.
– Oui… Enfin, je cherche un petit cabriolet, pour l’été.
– Comme cette Mazda MX5 ?
– Oui, j’aime bien.
– Sinon, nous avons aussi une Audi TT, dans le hall d’exposition.

La conversation était lancée. Émilie argumentait sur les deux voitures, non sans lorgner mes seins et mes cuisses. D’autant plus que je me penchais régulièrement, pour examiner l’intérieur des voitures, et que ma jupe s’ouvrait complètement à chaque fois que je m’asseyais. Elle ne pouvait pas ignorer que je n’avais rien sous mon tailleur. Ni elle, ni les deux hommes que j’avais vus en arrivant, et qui, attirés par ma tenue, s’étaient rapprochés et faisaient mine de s’intéresser aux mêmes voitures que moi.

J’étais follement excitée. Je mouillais, et je sentais des filets de cyprine couler entre mes cuisses. Et j’en rajoutais, en m’intéressant au coffre de l’Audi, dans lequel je me penchais, en retournant m’asseoir plusieurs fois dans chacune des deux voitures, sans me soucier de mon minou lisse et humide offert à la vue de tous.

Émilie me proposa ensuite d’aller dans son bureau, pour discuter du prix des voitures, et de la reprise de la mienne. Elle prit soin de refermer la porte, avant de me poser une question.

– Il me semble vous connaître. Vous ne seriez pas la compagne d’Loïc P…. ?
– Oui… On s’est vues?
– Je vous ai aperçue dans un rassemblement. Loïc a acheté sa Mustang chez nous, et nous avons….sympathisé (elle a prononcé de mot avec un sourire coquin, et un petit clin d’œil). Il nous a beaucoup parlé de vous.

J’ai réalisé que Loïc avait du sauter Émilie, et surement même partouzer avec le couple. Mais je n’ai pas voulu paraitre n’en rien savoir.

– Ah oui, effectivement, il m’a aussi parlé de vous.
– J’avais bien compris que vous étiez très libres, tous les deux, m’a dit Émilie, comme Patrick et moi. J’aimerais vous emmener dans un endroit plus… tranquille, vous venez?

Sans attendre ma réponse, elle s’est levée, et a ouvert une porte, au fond du bureau. C’était un petit local, dans lequel le couple et le personnel devaient prendre ses repas ou faire des pauses. Il y avait juste un meuble bas avec un évier et des plaques électriques, une table, quatre chaises, un frigo, un lavabo, et une autre porte donnant accès au WC.

Émilie a refermé la porte à clé derrière moi, et m’a enlacée. Sans un mot, elle m’a embrassée à pleine bouche, elle a ouvert ma veste, et a commencé à pétrir mes petits seins. Cette fille me plaisait, et j’avais vraiment envie qu’on fasse l’amour toutes les deux. Elle m’a aidée pour que je lui enlève son chemisier et son soutien-gorge. Elle avait le feu au cul, autant que moi…

J’ai caressé ses seins en poires, fermes, avec des pointes qui se redressaient au moindre contact. Je me suis baissée pour les embrasser et les mordiller, pendant qu’elle dégrafait ma jupe, qui tomba sur le carrelage. J’étais entièrement nue. Elle me fit tourner sur moi-même, pour dévorer des yeux tout mon corps, et c’est à ce moment là qu’elle a aperçu mon Rosebud.

Elle a émis un petit sifflet admiratif, un peu comme un mec, et elle s’est mise à caresser mes fesses, à faire tourner le plug dans mon petit trou. J’ai adoré…

À mon tour, je lui ai ôté sa jupe, avec difficulté tant elle était serré, puis son tanga assorti à son soutif. Elle aussi était maintenant à poil. Un sacré canon…

Elle m’a poussée vers la table, m’a saisie par les hanches et, avec une force surprenante pour une femme, elle m’a soulevée et assise sur la table. J’ai pris appui sur mes coudes, pour faire saillir mes seins, j’ai ouvert grand mes jambes repliées, et je l’ai fixée dans les yeux, pour la provoquer.

– Loïc a raison, t’es une sacrée chaudasse, m’a-t-elle dit, en plongeant sa tête entre mes cuisses.

Je ne sais pas ce que cette nana vaut au lit, avec les hommes, mais elle sait s’y prendre avec les femmes. Elle a bouffé ma chatte, sucer mon clito, elle m’a doigtée. Mes mains crispées guidaient sa tête, en fonction de mon désir, pour qu’elle écrase mon petit abricot juteux. Elle m’a fait jouir, deux fois, et je n’ai pas pu retenir mes cris.

– Tu n’es pas du genre discret, quand tu prends ton pied, m’a-t-elle dit après que je me sois calmée. Tout le garage a du en profiter. Mais maintenant, c’est à mon tour. Fais-moi jouir, ma petite salope!

Elle n’a pas eu à me le dire deux fois. Je l’ai allongée sur la table, je lui ai fait lever haut ses jambes repliées, et je me suis ruée sur elle. J’étais presque plus affamée qu’elle. Elle a eu droit à un long cunni, puis ma langue est descendue entre ses fesses, pour titiller avec la pointe de ma langue son petit trou. Elle feulait comme une chatte en chaleur, et elle s’est mise à crier aussi, quand je me suis mise à la doigter. Sa fente dégoulinante de mouille, son cul cambré, je les ai fouillés, dilatés, jusqu’à pouvoir presque y introduire ma main.

Je n’ai pas compté ses orgasmes, mais au bout d’un moment, elle a réalisé qu’on frappait à la porte. Elle s’est remise debout, et elle a entrouvert la porte, nue. C’était Patrick, son mari.

– Vous avez l’air de bien vous amuser, dit-il, goguenard. J’ai droit aussi à mon petit moment de plaisir?
– Oui, rentre, lui a répondu Émilie. Je vais me rhabiller et retourner au bureau, pendant que tu la baises.

Personne ne m’a demandé mon avis… En même temps, mon attitude pendant une heure, dans le garage, avait été un appel au viol!

– Profites-en, a ajouté Émilie. Tu vas voir, c’est un sacré coup.

Debout, nue, j’ai regardé Patrick qui s’est déshabillé en me matant et en savourant par avance ce que nous allions faire. Il n’était vraiment pas mal, et j’ai senti ma chatte s’humidifier un peu plus, en constatant la taille de son sexe. Long, épais. Il bandait déjà.

Je me suis agenouillée, et il a empoigné mes cheveux pour que je le suce. Il aurait pu s’en passer, car je n’avais plus qu’une envie. Sucer sa bite,le rendre fou, pour qu’il me prenne ensuite, sauvagement. J’avais physiquement besoin d’une baise brutale, de jouir comme une pute sous les coups de boutoir d’un mâle en rut. Et j’ai été servie…

Il m’a pénétrée debout, penchée en avant, mes mains en appui sur le meuble. Il s’est enfoncé d’un seul coup entre mes petites lèvres, mais sans la moindre difficulté, tant j’étais ouverte et inondée. J’ai du me cramponner pour ne pas tomber, tant ses coups de reins étaient violents. Il se retirait presque entièrement, pour mieux planter son dard dans ma grotte. Je geignais, je poussais des petits cris, qui l’excitaient encore plus.

Puis il m’a fait m’allonger sur la table, et il m’a baisée de plus belle. J’ai joui, et en empoignant mes cuisses, il m’a soulevée, il a enlevé mon plug, et il a placé son gland lubrifié par ma mouille contre mon petit œillet. Il lui a fallu plusieurs tentatives, avant que ma rosette s’ouvre, et accueille cette énorme queue. Mais lorsqu’elle a trouvé sa place, dans mon petit cul étroit, quel festival! Il semblait inépuisable. J’ai joui deux fois encore, avant qu’il éjacule sur mes fesses….

Ce que nous n’avions pas remarqué, c’est qu’Émilie avait entrouvert la porte, et nous regardait, une main sous sa jupe.

– Tu as l’air de l’apprécier aussi, notre petite Véronique, a-t-elle dit à son mari.
– Oui, a-t-il répondu, encore essoufflé. Il faudra qu’elle vienne chez nous, un soir, avec Loïc. Qu’est-ce que tu en dis, Véronique?
– Pourquoi pas… Mais ma voix était à peine audible, tant ils m’avaient épuisée, tous les deux.

Je me suis relevée, rhabillée à regret. c’est si bon d’être nue. Émilie m’a demandé ce que j’avais décidé, pour l’achat de la voiture, mais je lui ai dit que je devais réfléchir.

– Reviens quand tu veux, m’a-t-elle dit.

Je les ai embrassés tous les deux, et je suis remontée dans ma voiture. Loïc m’attendait chez moi, et nous avions un sujet de conversation…

Véronique

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