Histoire sexe vraie en trio avec mon meilleur ami, ma femme et moi même

Passion assouvie quatre (08/04/22)

Bonjour à tous chers membres, bonjour à Lucie et à Franck. Ayant une dette envers ce site, compte tenu de toutes les histoires taboues dont je me gave à chaque nouveau récit. Je me décide enfin à partager avec vous, une facette de ma vie, entre ma femme, mon meilleur ami et moi le mari.

Mon meilleur ami (Pat…) habite dans le village voisin à quelques kilomètres de chez nous. Nous sommes amis depuis plus de trente ans et ce n’est que, depuis l’âge de notre retraite, que tout a commencé entre nous. Nous avons découvert notre bisexualité en même temps que mon côté candaulisme que j’avais toujours ignoré jusqu’à ce jour. C’est là, où tout a commencé dans notre piscine, entre (Pat… notre ami), Nini (ma femme) et moi (le mari), voir mon récit (Passion assouvie 1).

Nous avons pris ma femme et moi pour habitude, d’inviter notre ami Pat… de temps à autre pour partager notre déjeuner et surtout mon amour de femme. Apéritif whisky-bisous, sans compter les deux pilules de Viagra, une pour moi et l’autre que j’offre à mon ami, afin de mieux honorer ma Nini pour notre dessert.

Déjeuner dans la véranda tout en discutant de choses et d’autres, café, et dessert comme il se doit au lit tous les trois, pour la cerise sur le gâteau.

Après notre succulent repas, que notre Nini nous avait préparé avec amour. Elle nous gratifia d’un petit baiser sur nos bouches et monta à l’étage, dans notre chambre, où elle nous attendait toute nue dans notre lit.

Pat… et moi, lui laissons un peu de son temps, afin qu’elle se repose pour mieux se faire désirer. Mais entre temps, nous ne perdons pas une miette de notre précieux temps. Nous quittons nos vêtements et c’est à poil que nous nous enlaçons tous les deux, sur le canapé du salon en se dévorant nos queues gonflées à mort, que notre Nini attend impatiemment toute nue à l’étage, dans notre chambre conjugale. Cette mise en bouche, fait partie de notre rituel où, nous y prenons énormément de plaisir et c’est dans un état de surexcitation que nous montons à l’étage pour rejoindre notre Nini d’amour.

Là, dans notre chambre, où les volets roulants sont baissés, pour ne laisser passer que très peu de lumière, mais suffisamment pour permettre à ma caméra, placée au-dessus de l’armoire, de filmer toute la scène de nos ébats amoureux, qui s’en suivra et qui permettra de me remémorer ce jour, sans oublier le moindre détail.

Nini somnolait toute nue sous la couette, au milieu de notre grand lit, et c’est mon ami Pat. qui l’a rejoint en premier, en soulevant la couette, pour s’y glisser à son côté gauche. Il entreprit des caresses sur son corps et vint prendre sa bouche, en prenant soin de la réveiller en douceur.

J’observais cette scène très jouissive, en regardant cette couette se mouvoir de tous sens, je pense qu’elle cajolait la grosse queue de mon ami Pat… tout en l’embrassant aussi tendrement.

J’en profitais pour les rejoindre, pour mieux comprendre ce qui s’y passait et effectivement, leurs deux bouches s’activaient, ainsi que la main de ma femme sur la queue de mon pote.

J’étais très excité et tout en poussant la couette au pied de notre grand lit, afin de laisser le champ libre à la caméra, je suis venu rompre leurs baiser, en insérant ma queue entre leurs bouches.

 C’est ma Nini qui me la prise en première dans sa bouche, tout en me fixant du regard, où ses yeux brillaient et scintillaient d’excitation. Elle rejeta ma queue en douceur pour la placer dans la bouche de mon pote, tout en maintenant son regard et vint fourrer sa langue dans ma bouche, pendant que mon pote me dévorait la bite.

La femme est le chef-d’œuvre de Dieu, surtout quand elle a le diable au corps. (Alphonse Allais)

 Mon pote était allongé sur le dos, ma bite en bouche, c’est alors qu’elle quitta ma langue, pour venir se mettre à califourchon sur lui, elle prit sa grosse queue de sa main gauche et l’introduit dans son antre de vie et se mit à monter descendre, toujours en soutenant son regard pétillant d’amour dans mes yeux.

Je retirais ma bite de la bouche de Pat… pour m’allonger à leurs côtés afin de mieux profiter de ce spectacle. J’observais ma Nini sur sa monture, monter, descendre sur cette belle queue. Elle avait saisi les deux poignets de Pat… et les maintenaient fermement à la tête du lit sur l’oreiller, comme si, c’était elle qui baisait mon pote, jusqu’à ce que le premier orgasme l’a submerge et c’est sans répit, que Pat… se mis à agiter son bassin en procurant un deuxième orgasme à ma chérie d’amour, qui sous ampleur de sa jouissance s’écroula comme une masse, sur la bouche de mon pote.

Après une courte récupération, elle changea de monture pour venir s’embrocher sur ma queue en s’activant comme auparavant, en maintenant mes poignets de la même façon, pour me baiser, comme elle avait fait avec mon pote.

Satisfaite de cette courte chevauchée, elle quitta ma bite, tout en me foudroyant de son regard rempli d’excitation et vint s’allonger sur le dos entre nous deux, jambes écartées, en suppliant mon pote Pat… de venir la prendre dans cette position.

Celui-ci ne se fit pas prier et vint se placer entre ses jambes, qu’il saisit en les remontant, pour les placer très hautes en appuis sur son torse. Il enfonça sa grosse queue dans ma chérie, et se mit à la besogner, pour la baiser, comme elle avait fait auparavant avec nous.

Moi pendant ce temps, je m’étais déplacé à la tête du lit et lui avait fourré ma bite dans sa bouche, pendant que mon pote la baisait. C’était notre façon de prendre notre revanche.

Malheureusement, mon pote ne résista pas longtemps à ce calvaire, je le vis se crisper par des spasmes, qui signifiait qu’il garnissait l’antre d’amour de mon cœur, de toute sa liqueur.

 Il retira sa bite de son vagin, et vint prendre ma place dans la bouche de ma chérie, pour y nettoyer sa bite. Moi, sans perdre de temps, je vins prendre sa place, dans le vagin de ma femme, rempli de son jus.

Une sensation indéfinissable, quand j’enfonçais ma bite dans cet océan de bonheur, rempli de liqueur séminale et de sperme chaud. C’est alors que Pat… retira sa grosse queue de la bouche de ma femme, et vint prendre sa bouche en mélangeant leurs langues, pendant que moi, je m’activais à baiser ma Nini d’amour dans leurs jus.

Il me fut difficile de tenir très longtemps à ce rythme d’enfer et c’est par des spasmes de plaisirs que je déchargeais toute la liqueur de mes couilles, dans l’antre d’amour de mon cœur, exactement comme l’avait fait mon ami Pat… auparavant.

Mon pote Pat… avait quitté mon amour en s’allongeant à contre sens de notre lit, et moi, j’avais retiré ma bite pleine de se mélange d’amour, de la chatte de mon cœur, pour venir l’enfoncer dans la bouche de mon pote, qui se fit un immense plaisir de nettoyer ce délicieux cocktail, de toute la fusion d’amour de nous à trois.

Un homme ne connaît réellement sa femme que lorsqu’il l’a vue faire l’amour avec un autre (Arthur Millier)

et moi le mari, j’aime voir ma femme prendre du plaisir et je l’aime plus que tout, pour tout le plaisir qu’elle me donne et que l’on partage ensemble.

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