Yvette et moi avons la quarantaine. C’est une belle femme, avoir eu nos deux filles n’a pas alourdi son corps, bien au contraire, peut-être ses seins sont-ils plus avantageux… Elle a les cheveux châtains, de taille moyenne, ce qui m’excite toujours chez elle se sont ses fesses, elle les a rieuses belles et rebondies, ne parlons pas de son pubis complément épilé, objet de ses soins et de sa fierté. Nous adorons faire l’amour. Sauf lorsqu’elle est un peu fatiguée et que serrée dans la position de la cuillère je la prends au chaud dans notre lit conjugal, le plus souvent c’est elle qui organise nos ébats. Parfois il lui prend une envie de me faire une fellation qui me laisse parfois sur ma faim de la baiser, car elle veut toujours aller au bout pour que jouisse dans sa bouche, elle aime avaler le sperme. De la même façon j’hésite de lui brouter le minou, car là aussi elle veut s’éclater par une jouissance clitoridienne qui la met finalement hors d’elle, ma pénétration ne la faisant par la suite pas plus jouir que cela.
À un moment elle a accepté de passer des soirées coquines dans des saunas ou boites échangistes. Son accord était subordonné à la condition de nous rendre qu’à des soirées réservées aux couples. Elle avait compris que j’étais très sensible à ces moments d’érotisme, mais elle ne voulait pas que nous participions, pour elle l’excitation de regarder les scènes érotiques était déjà grande. Le voyeurisme lui faisait l’effet de préliminaires… Et moi échauffé par tous les fantasmes que la vue provoque je n’avais qu’une envie, baiser, baiser, baiser… ces soirs-là il n’était plus question ni pour l’un ni pour l’autre, de se faire sucer le sexe.
Pour elle comme pour moi, l’envie de pénétration profonde, puissante et bruyante devenait impérieuse. Elle jouissait alors d’autant plus fort qu’elle se sentait regardée et que nos ébats fabuleux faisaient bander tous les voyeurs attirés par un spectacle aussi superbement violent. Notre excitation était communicative, les autres couples s’allongeaient à côté de nous et à leur tour se sautaient comme des lapins, cette activité sexuelle généralisée autour de nous rendait Yvette encore désireuse de recevoir mes coups de boutoir, avec des « encore » « encore », « continue, plus fort, plus fort », son corps était agité de violents spammes lorsqu’enfin j’éjaculais dans son sexe bouillant.
Souvent je lui demandais si se faire baiser par un autre que moi ne faisait jamais partie de ses phantasmes. Ses réponses ambiguës m’ont permis de comprendre que cette éventualité n’était pas totalement exclue, mais que cela interviendrait que le jour où elle aurait l’envie d’un mâle qui vraiment la ferait mouiller rien qu’à le sentir près d’elle !
Nos filles étaient en vacances chez mes beaux-parents. Notre piscine est abritée des regards indiscrets par une haie touffue nous permettait de nous baigner nus, c’est si agréable. Ce jour-là il faisait très chaud. Après le bain, allongé à l’ombre de la haie, elle se reposait sur sa serviette, et moi à côté je caressais son dos et ses fesses, j’adore cela et elle aussi. Cela commence comme cela et puis le désir monte doucement, mais sûrement pour finir dans les extases qui font tant de bien…
Mais ce jour-là, nos caresses furent interrompues par la cloche du portail qui se mit à tinter. Je me levais en entourant mes hanches d’une serviette de bain. C’était Bruno, un ami d’enfance de Yvette, je le fis entrer et l’accompagnais au bord de la piscine. Yvette ne prit pas le soin de cacher sa nudité. J’ai toujours pensé que plus jeunes ils avaient été amoureux sans aller plus loin, car Yvette était vierge lors de notre mariage, j’ai eu le privilège d’être le premier à l’initier aux feux de la pénétration, qu’elle a toujours appréciée par la suite.
Bruno pour ne pas être en reste se mit nu et plongea directement dans la piscine. Il nous invita à le rejoindre. C’est ce que nous fîmes.
Nous avons joué dans l’eau à nous asperger et à essayer de faire boire la « tasse » à l’autre. Épuisé de m’accoudais sur le rebord de la piscine et Yvette vint s’agripper à moi et Bruno s’agrippa à mon épouse. C’est à ce moment que j’ai senti que quelque chose se passait. Je réalisais que la queue de Bruno était plaquée contre les fesses de Yvette alors que celle-ci me prodiguait un langoureux et très long baiser. J’ai tout de suite compris que l’excitation de mes caresses interrompues par l’arrivée de Bruno reprenait de plus belle au moment où elle sentait ce sexe se raidir et caresser la raie de son cul.
Nous sommes sortis de l’eau pour nous étendre, Yvette était au milieu de nous deux. En sortant de la piscine, Bruno ne bandait pas, mais presque, son sexe déjà pas mal gonflé était de belle taille bien lisse avec un gland charnu bien formé.
Connaissant bien Yvette, j’ai compris que ce jour-là tout pouvait arriver…
Au prétexte de continuer les jeux soi-disant anodins commencés dans la piscine, je proposais à Bruno de sucer le téton droit de Yvette pendant que je sucerai le téton gauche, en précisant en riant que sensible comme elle l’était, il serait surpris de les voir s’allonger démesurément…
C’est ainsi que tout commença. Yvette ne fit aucune objection et ne repoussa pas ces attaques gourmandes, bien au contraire, un sourire aux lèvres elle ferma les paupières, signe qu’elle appréciait. Ce jeu commençait vraiment à m’exciter. Je délaissais le téton pour caresser avec des petits bisous son ventre puis ses cuisses pour arriver à me placer entre ses jambes pour lui sucer le clito. Bruno s’acharnait sur le téton durci. Ma caresse buccale produisait ses effets, le ventre de Yvette, se crispait de plaisir. Je levais les yeux, Bruno avait délaissé le téton pour embrasser Yvette dans le cou, et d’un coup ses lèvres se plaquèrent contre celles souriantes et entrouvertes de ma belle épouse. Je bandais comme un fou, et la queue de Bruno comme la mienne était raide prête à l’action… tout en continuant à sucer une fente humide de plaisir et de salive et qui ne demandait que cela, je pris la main de Yvette pour la poser sur la belle queue toute droite de Bruno. Elle commença à le branler doucement, et lui accentua son baiser fougueux en fourrageant sa langue dans la bouche ouverte de Yvette. Celle-ci était au comble de l’échauffement, mais j’ai arrêté mes caresses de peur que l’excitation prenne fin par sa jouissance avant le dénouement que j’attendais depuis si longtemps.
Je remontais vers le visage de Yvette, Bruno lui au contraire comme un ballet bien organisé descendit son visage vers son ventre prêt à prendre ma place entre les jambes de ma belle. Je décrochais alors un baiser à ma belle qui me semblait dans tous ses états, elle dégageait cette odeur du rut, cette odeur qui excite encore plus les mâles. Bruno avait atteint la fente de son abricot pour y engloutir avidement sa langue. Il devait savoir y faire, car Yvette serra énergiquement mon bras, cette crispation témoignait de son désir de se faire empaler fort et profond comme elle aime, lorsque nos soirées coquines l’excitent au plus haut point.
Doucement à l’oreille je lui demandais si elle voulait que Bruno la baise, pour réponse sa langue dans ma bouche fit des tourbillons sensuels… je m’écartais du couple qui s’entrelaçait, lui entre ses jambes et elle s’agrippant maintenant aux épaules de celui qui allait devenir son amant. Elle le tira vers elle pour qu’il la monte. Elle n’en pouvait plus. Et puis ce fut l’apothéose. Bruno avait mis les jambes de Yvette sur ses épaules et la pénétra d’un grand coup, comme elle aime. Voir ce cul dans cette position, cette chatte se faire pénétrer par cette grosse bite, voire ma femme jouir comme une folle poussant ces cris qui étaient les siens dans nos soirées coquines à deux, était un spectacle pour lequel j’aurais voué mon âme au diable : il la pilonnait bruyamment et sans relâche avec la conviction de celui qui se rattrape d’un amour de jeunesse inassouvi. Ils jouirent tous le deux ensemble en feulant comme des bêtes.
Au moment où ils se séparèrent avant que l’excitation laisse la place au repos mérité, je pris la place de l’étalon, j’avais trop envie de la baiser, trop envie de fourrer ma queue dans sa chatte dégoulinante du sperme de l’autre… elle était trop excitée pour qu’une jouissance puisse la satisfaire. J’ai compris qu’elle avait atteint ce jour-là ce point ou tous les phantasmes accumulés à l’occasion nos sorties, se libèrent. J’ai ressenti qu’elle ne considérait plus celui qui la baisait comme son mari, mais comme l’instrument d’un plaisir interdit auquel Bruno l’avait initié. Sa jouissance dans mes bras, ce jour-là me fit comprendre que le sexe pour elle devenait l’univers d’un plaisir sans interdit dans lequel elle se fixait des bornes, mais un univers où la recherche de la plus grande jouissance n’aurait plus de limites…
Couple anonyme
Hum j’ai adoré
Moi aussi, j’ai adoré
Excellent, j’en bande encore. Merci à l’auteur, ♂️♀️♂️