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Histoire taboue d’une Bourgeoise mais véritable pute ! Chapitre 2

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Après avoir repris nos sens et nous être un peu nettoyés, nous affinons le futur rendez-vous., Oui, Farid veut bien essayer avec un homme. Même qu’il veut bien essayer le baiser sur la bouche entre hommes. Oui, Farid veut bien être mon cadeau offert à Jean Oui, il veut bien être sucé, branlé et réciproquement. Oui, il veut bien me baiser devant Jean. Non, il ne souhaite pas essayer la sodomie pour l’instant.

Avant de nous quitter, nous échangeons nos téléphones.

Fière de moi et de la surprise que je réserve à Jean, je rentre rejoindre ce dernier, bien décidée à me faire baiser comme une salope que je suis.

La date de l’anniversaire approchant, j’entretiens le contact avec Farid, histoire de bien le motiver. Je vais lui rendre visite chez lui et livre mon corps à son désir. Je dois avouer que j’y trouve largement mon compte. Il a une très belle bite, extrêmement vigoureuse . Son désir est insatiable. Et lorsqu’il m’encule, je deviens folle de jouissance. J’ai testé la sensibilité de son trou du cul avec ma langue et en glissant un doigt. Il est loin d’être opposé au plaisir anal.

Bien entendu, je n’ai rien dit à Jean afin de lui faire la surprise. Je me contente de l’exciter au maximum en fantasmant avec lui sur tout ce que nous pourrions faire à trois avec un jeune homme.

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Enfin, le grand jour est arrivé. Comme convenu, Farid doit se présenter à notre domicile à quatorze heure, ayant pris soin de bien prendre une douche juste avant. Car Jean, ainsi que moi, sommes très strictes sur l’hygiène. Une hygiène irréprochable ouvre la porte à toutes les fantaisies sexuelles.

Quatorze heures pétantes, on sonne à la porte. J’ai informé Jean que je dois être livrée de son cadeau , donc, qu’il ne bouge pas du salon, le temps que j’installe le dit cadeau. Je fais entrer en silence Farid dans notre domicile, l’emmène dans la chambre à coucher, le fait mettre nu. Puis je lui demande de s’allonger sur le lit. J’entreprends de le sucer afin de le faire bander, ce qui m’est très facile.

« Entretiens ta bandaison en te branlant le temps que je vais chercher Jean ! »

Il s’exécute en se branlant furieusement pendant que je vais appeler Jean. Ce dernier arrive, ne sachant pas quel est l’objet de ma surprise.

Lorsqu’il franchit la porte de la chambre et voit un jeune homme bandé sur le lit, il s’écrie :

« Magnifique ! Merci mon amour ! Je peux consommer de suite ? »

« Bien entendu, Farid est à ton entière disposition ! »

Pas besoin de répéter deux fois la même chose. En un tour de main, Jean quitte son pantalon et se retrouve à genoux sur le lit, à côté de l’objet du désir. Il se penche d’abord sur le ventre du jeune homme qu’il lèche doucement, tournant sa langue autour du nombril. Il procède à la fois par geste doux mais affirmés, selon son habitude.

Après avoir glissé sa langue dans le nombril de Farid, il remonte lentement jusqu’aux tétons. Force m’est de constater que de telles caresses ne sont pas pour déplaire au jeune homme.

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Après avoir longuement sucés et mordillés chaque téton, la bouche de Jean redescend vers le bas ventre.

Ne pouvant rester indifférente au spectacle hautement érotique qui m’est offert, je m’assieds sur la chaise au pied du lit, glisse ma main dans ma culotte après avoir relevé ma jupe et entame, sur mon clitoris, une douce caresse .

Pendant ce temps, la bouche de Jean s’est approché du gland turgescent et suintant de precum de Farid. Du petit bout de langue, il lape le méat et aspire le liquide translucide qui s’en échappe. Puis, brusquement, il embouche la totalité du sexe bandé. Farid pousse alors un petit couinement de plaisir. Jean pompe vigoureusement la queue offerte comme pour en extraire le maximum de jus d’homme. Les coups de reins de Farid confirment le plaisir éprouvé et que la jouissance ne saurait tarder.

Quelques coups de reins violents plus tard, je vois déglutir Jean qui, manifestement, est en train d’avaler le sperme de son jeune amant.

Cette image est suffisante pour m’emporter dans un orgasme violent et libérateur.

Bien que venant de jouir dans la bouche de Jean, Farid laisse ce dernier continuer de lui sucer goulûment la bite afin qu’il n’en perde pas une goutte. En plus, je sais qu’il est capable de ne pas débander entre deux jouissances.

Je me joins au couple en caressant les couilles de Farid et essaye de lui toucher l’anus. Mon doigt inquisiteur qui lui caresse le petit trou est accepté sans problème, en revanche, quand je tente de le faire pénétrer, un coup de cul me fais comprendre son refus. Pas grave, ce sera pour plus tard !

Farid est de nouveau en pleine érection, érection bien appétissante. Appétissante au point que je souhaite l’avoir dans mon ventre. Je grimpe donc sur lui, repoussant Jean et m’empale brutalement sur lui. Que je suis bien remplie par cette superbe queue! Je commence des mouvements de va et vient, d’abord langoureux, puis de plus en plus rapides en proportion du plaisir qui monte.

Jean s’allonge tête bêche à côté de Farid. Il porte toujours son slip, cependant gonflé par une magnifique bandaison. Son bas ventre est face au visage de Farid qui, timidement porte la main en direction du paquet. Il empoigne, sur le slip, à pleine main, le sexe de Jean. Je suis témoin du geste car, empalée comme je suis sur la bite du jeune homme, mon visage est proche de l’entrecuisse de mon mari. Sans hésiter, je lui abaisse son slip faisant ainsi jaillir son membre turgescent.

Je le prends à pleine main et l’approche de la bouche de Farid. Ce dernier, après une courte hésitation, sors sa langue et lèche le gland offert à sa gourmandise. Jean gémit de plaisir. Alors, encouragé, il absorbe entièrement la queue et pompe comme un malade. On dirait qu’il a toujours fait cela.

Jean, qui jusqu’à maintenant n’avait pas éjaculé, pousse un grognement de plaisir et se répand dans la bouche accueillante. Moi, enfin saillie comme une vieille salope que je suis, part dans un orgasme géant. Enfin Farid, une fois de plus, se vide totalement les couilles au fond de ma matrice, augmentant ainsi ma jouissance.

« Très joyeux anniversaire, mon amour ! »

Si vous souhaitez connaître la suite, écrivez moi à :

moc.liamgobfsctd@095ruomaotot

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