Jean, qui jusqu’à maintenant n’avait pas éjaculé, pousse un grognement de plaisir et se répand dans la bouche accueillante. Moi, enfin saillie comme une vieille salope que je suis, part dans un orgasme géant. Enfin Farid, une fois de plus, se vide totalement les couilles au fond de ma matrice, augmentant ainsi ma jouissance.
« Très joyeux anniversaire, mon amour ! »
Après cette mémorable partie de cul nous avons assez souvent renouvelé de telle rencontres. A chaque fois, j’essaie d’être un peu plus entreprenante avec le petit trou de Farid mais je fais régulièrement fasse au même refus.
Se faire toucher ou lécher le cul, oui ! Se faire pénétrer, même par un doigt, non ! Mais je pense qu’un jour il sera prêt !
En attendant, je lui parle de nos amis, un couple un peu plus âgé que nous. Bien qu’ayant dépassé les soixante dix ans, ils restent extrêmement demandeurs sexuellement. Lui est bedonnant mais bien monté. Elle est rondelette et a un sexe bien proéminent, bien bombé couvert de poils poivre et sel. Malgré son âge, elle mouille encore beaucoup. De ce fait, en lui bouffant la chatte on a l’impression de mordre dans un abricot bien mûr. Je peux, par expérience, lui affirmer qu’elle est délicieuse à sucer. Et elle suce elle même à merveille, homme ou femme. Il ne fait aucun doute qu’elle adore cela !
J’ai également parlé de Farid à nos amis, n’hésitant pas à raconter, avec force détails, nos parties de cul à deux ou à trois. Rien de tel pour faire bander Raymond et auréoler de mouille la culotte de Colette.
« Tu nous le présentes quand, ton petit jeune ? L’idée que je pourrais être sa grand-mère me fais mouiller la culotte ! Tu veux voir ? »
« Oui, je veux voir et même toucher ! »
Et nous voilà parties dans une séance de lesbianisme. Pendant ce temps, Raymond, se tripote la bite. Il finit par nous jouir dessus pendant que nous nous suçons en soixante neuf.
Raymond et Colette souhaitent rencontrer Farid. Farid souhaite rencontrer le couple. Et quand je dis rencontrer, j’imagine comment cela va finir. Farid m’avoue qu’il n’a jamais baisé une femme de cet âge mais que le côté « vieille peau » lui convient bien, même l’excite. Il ne reste qu’à déterminer une date convenant à Jean, Farid, Colette Raymond et à moi, Nicole.
Le jour venu, Jean, Farid et moi nous rendons chez nos amis. Ceux-ci nous reçoivent en peignoir à la stupéfaction de Farid. Nos amis nous embrassent sur la bouche pour nous dire bonjour. Même Jean et Robert en font autant ! Puis ils nous emmènent dans une chambre et nous disent :
« Mettez-vous à l’aise ! » en nous montrant des peignoirs sur le lit. Sans hésiter, Jean et moi-même commençons à nous déshabiller, connaissant les habitudes de nos hôtes. Farid, lui hésite ! Puis il se met en boxer et revêt un peignoir. Jean et moi nous mettons nus avant de revêtir un peignoir.
« Tu vas rester habillé toute la soirée ? » lui dis-je, moqueuse, en faisant allusion au port du boxer. Il comprend ce que l’on attend de lui et quitte son boxer sans attendre.
Une fois ce petit détail vestimentaire résolu, nous rejoignons nos hôtes qui nous invitent à prendre place autour d’une table ronde. Sur la table ronde sont disposés des mets qui semblent savoureux. Farid trouve place entre Colette et moi. Jean côtoie Colette, Raymond est à côté de moi.
Bien entendu, toute notre attention, à Colette et à moi, se porte sur Farid. Nous n’avons pas tardé à ouvrir son peignoir afin, que de la main ou de la bouche, l’amener proche de la jouissance. Et arrive ce qui devait arriver. Alors que son sexe est dans la bouche de Colette, Farid se tend tout soudain, envahi par une jouissance irrépressible. Il inonde la bouche de Colette qui s’applique à en avaler le plus possible, avec gourmandise.
« Putain, maintenant j’ai l’abricot en feu ! »
Alors que Farid vient de se vider les couilles dans la bouche accueillante, celui-ci ne perd pas de temps pour entre-ouvrir largement les cuisses de la salope suceuse. A genoux, il lape la cyprine de la grand-mère et lui bouffe la chatte. J’interviens en prenant Colette par la main et en l’emmenant dans la chambre. Bien entendu, Farid nous suit,la queue tendue comme s’il n’avait pas encore joui. Je fais allonger Colette sur le dos, les jambes pendantes hors du lit. J’installe un oreiller à ses pieds. Farid comprend de suite ce que j’attends de lui. Avec délices, il replonge entre les cuisses ouvertes et dévore véritablement le sexe offert.
Jean et Raymond, pour l’instant, n’ont pas cherchés à nous suivre. Ils ont bien compris que nous sommes attirés par la bite de Farid. De plus, ils ont rapproché leurs chaises et se touchent mutuellement la queue avec un plaisir évident.
Pendant que Farid lui bouffe la chatte, je grimpe sur le lit, me penche sur le visage de Colette et lui roule une pelle magistrale. Elle gémit de plaisir, se contracte et obtient un orgasme ravageur entre une bouche qui lui dévore le sexe et une bouche collée à la sienne. La jouissance de Colette n’a pas échappé à son suceur. Il s’applique avec sa langue à nettoyer toute la cyprine produite par la vieille salope. Quand il estime avoir tout nettoyé, il se redresse, présente sa queue bandée face à la grotte accueillante et sans barguigner, s’immisce entièrement en elle. Elle pousse un petit gémissement de surprise mais absorbe la belle bite dans son intégralité.
« Alors, mamy, tu la sens bien ma grosse queue ? »
Et le voilà parti à limer sauvagement le sexe offert. Pendant ce temps, je continu d’embrasser Colette. Je sens la cyprine couler entre mes cuisses. J’ai le sexe qui aimerait être rempli , peu importe par qui ! En attendant, Farid devient de plus en plus brutal avec Colette. Il s’amuse à lui gifler les cuisses, les seins. Il l’insulte en la traitant de grand-mère lubrique. Et plus il est grossier et violent, plus elle aime.
« Je jouis ! » gueule-t-il en se crispant au plus profond de sa chatte dans laquelle il doit cracher tout son foutre. C’est le moment qu’ont choisi Jean et Raymond pour nous rejoindre. Dès que Farid se retire du sexe de Colette, Jean, sans hésiter, prend sa place. En même temps, Raymond grimpe sur le lit et m’enfile en levrette. Et nous voilà partis pour une folle chevauchée. Il faut peu de temps à nos deux hommes pour atteindre la jouissance. Moi aussi ! Pendant ce temps, Farid se branle comme un ado. Il est vraiment insatiable, ce petit ! Et lorsque Jean et Raymond éjaculent au fond de nos vagins, lui m’inonde de son plaisir.
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