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Histoire taboue d’une Bourgeoise mais véritable pute !

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J’ai soixante deux ans. Je me prénomme Nicole. Malgré mon âge, j’ai conservé une très belle silhouette qui m’attire le regard concupiscent d’hommes de tous âges. J’ai toujours eu une forte attirance pour la chose sexuelle sous mes allures de petite bourgeoise très « comme il faut ».

Du coup, les hommes qui savent deviner mon tempérament de feu sous mon air très sage, ne sont pas déçus de m’avoir séduite.

Parfois, il m’arrive même de n’être point insensible au charme doux et discret d’une femme. Suçoter longuement le bouton d’amour d’une maîtresse jusqu’à lui donner un orgasme et un plaisir que je ne me refuse jamais. Et le comble du bonheur et d’exécuter un soixante neuf torride entre femmes, soixante neuf qui nous emporte dans une jouissance commune et simultanée.

Depuis quelques années, je fréquente un homme de mon âge qui accepte ma sexualité telle qu’elle est. Il est lui même bisexuel assumé et ne se prive pas de prendre son plaisir avec d’autres femmes, d’autres hommes, en ma présence où non.

Aujourd’hui, en cette belle journée d’hiver, je me promène, sagement, au bord de la Loire. La promenade au bord du fleuve est un lieu idéal pour faire des rencontres « intéressantes ». Je sens le regard appuyé de beaucoup d’hommes mais ma recherche du jour est bien spécifique. Vous découvrirez bientôt pourquoi.

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Un trans au tél rose !

Mon chemin croise celui d’un jeune homme qui semble avoir environ vingt-cinq ans. D’origine maghrébine il n’a rien d’une « racaille de quartier » mais a la classe dans son jogging de marque. Il m’interpelle sous un prétexte fallacieux, mais dans un langage choisi et respectueux.

« Excusez-moi ! Vous pensez qu’il faut combien de temps pour atteindre à pieds tel endroit ? »

« Beaucoup plus que vous n’imaginez ! »

« Dans ce cas, je reste lézarder au soleil ! »

Je poursuis mon chemin un certain temps puis je fais demi tour. Et sur le chemin du retour, je retrouve le jeune homme, assis sur un banc en plein soleil. Me voyant revenir, il se lève pour s’adresser de nouveau à moi.

« Vous marchez d’un bon pas, pas étonnant que ayez une telle silhouette ! »

« Merci ! Mais seriez vous en train d’essayer de me séduire ? »

Encouragé par ma remarque, il répond :

« Je dois dire qu’un câlin avec une aussi belle femme que vous ne serait pas pour me déplaire ! »

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« Flatteur ! Je pourrais être ta grand-mère ! ».

Je suis passée sciemment du vouvoiement au tutoiement afin de bien marquer la différence de génération.

« Une belle femme est une belle femme, quelque soit son âge. Et une belle femme est désirable ! »

Je suis scotchée par ses propos, scotchée mais flattée. Je pense qu’il n’en est pas à son coup d’essai auprès de femmes de ma génération.

Nous nous asseyons sur le banc afin de poursuivre cette conversation qui prend une tournure intéressante. Serait-il la rencontre particulière que je désire faire ?

Je dois dire que sa proposition à demi mot ne me laisse pas indifférente. Je m’approche doucement de lui. Je regarde si nous sommes seuls. Pour l’instant, oui. Je tends la main vers son entrejambe et déclare :

« Je peux vérifier l’importance de ton désir ? » et avant qu’il ne puisse répondre, j’empoigne son sexe par dessus son jogging.

« Intéressant ! », tel est mon commentaire. En effet, je me suis retrouvée avec un beau morceau en main et je pense qu’il n’est certainement pas au mieux de sa vigueur.

Le tenant toujours par le sexe, je lui dis :

« Je reconnais que ta vigueur n’est pas pour me déplaire. Cependant, sache que je n’ai jamais de relations sexuelles sans en informer mon compagnon. La plupart du temps, il est même présent ».

Je peux lire dans son regard l’indécision qui l’assaille. Me baiser, oui ! Mais en présence de mon mari. . . cela l’interroge !

Cependant, ma main toujours sur son sexe, est convaincante. Surtout que j’assortis mes propos de légères pressions.

Je suis prête à aller plus loin dans mes conditions quand des promeneurs surgissent, m’obligeant à lâcher son sexe. Pourtant, je suis bien convaincue que te lui tenir la bite me permettrais certainement d’arriver à mes fins.

« Veux-tu que l’on aille chez toi ? »

Bien que ne sachant pas vraiment ce qu’il peut espérer, il est d’accord. Nous voilà partis. En chemin, il me dit se prénommer Farid, avoir vingt six ans et être coiffeur pour dames. Je comprends mieux l’espèce de « classe » qu’il affiche !

Arrivés au pied de son immeuble, je peux constater de visu qu’il est toujours très excité. La bosse dans son jogging ne laisse planer aucun doute. Nous prenons l’ascenseur pour atteindre le troisième étage. Nous prenons l’ascenseur en même temps qu’une brave femme de mon âge à laquelle l’érection de Farid n’échappe point. Elle ne fait aucun commentaire mais le regard qu’elle me lance en dit long sur ce qu’elle imagine. Reproches, envie, un mélange des deux ?

Nous entrons dans son studio, studio très bien rangé, très propre. Nous nous asseyons sur son canapé, côte à côte. Je reprends le fil interrompue de la conversation, je reprends en main son sexe érigé. Ainsi, je peux poursuivre mon idée.

« Quand je dis qu’il est présent la plupart du temps, pour être honnête, je dois avouer que souvent il participe. Il a un goût prononcé pour les jeunes hommes comme toi ! »

La bombe est lâchée, j’attends maintenant sa réaction. Je sens au creux de ma main qu’il continue de bander. C’est bon signe.

Devant son silence, je poursuis :

« Tu ne t’es jamais imaginé dans les bras d’un homme en train de vous faire des câlins appuyés ? »

Long silence . . .

« Si, mais je ne suis jamais passé à l’acte ! »

« Ce serait l’occasion d’essayer ».

Mine de rien, pendant cette conversation, je précise mon geste masturbatoire. Il est dans un tel état d’excitation qu’il est prêt à accepter beaucoup de choses.

« Et pense qu’ainsi tu as la certitude d’avoir accès à mon corps ! »

En disant ces mots, je glisse ma main dans son boxer et lui empoigne la bite que je fais jaillir de son jogging. Maintenant je le branle franchement. Il se laisse faire, savourant pleinement l’instant. Puis il essaie de me toucher.

« Tututt ! Ne précipitons rien ! »

Pourtant, j’ai le sexe en feu et aimerait être caressée.

« Enfin, pour être tout à fait franche je suis à la recherche d’un cadeau pour l’anniversaire de Jean. . . et ce cadeau est un jeune homme de ton âge ! »

Je lui tiens ces propos quand je sens qu’il est au bord de l’éjaculation. Manifester son désaccord serait prendre le risque que je cesse mes caresses. Il tient tellement à ce que je poursuive, que d’un signe de tête, il me donne son acceptation. Fin de compte, sous mon air très sage, quelle pute je fais. Lorsque l’on tient un homme par la queue, rien ne nous résiste !

« Je vais t’offrir un avant goût de ce qui te sera offert en contrepartie de ta participation au cadeau d’anniversaire de Jean ! »

Je lui lâche la queue, m’éloigne légèrement de lui. Je soulève ma jupe, baisse ma culotte, écarte les cuisses et avec beaucoup de plaisir me titille le bouton.

« Fais toi juter, branle toi, crache ton sperme ! »

Il ne faut pas longtemps avant qu’il ne jouisse, foutant du sperme partout, sur lui, sur moi, sur le canapé. Assistant à une telle jouissance, je pars moi même dans un orgasme fulgurant.

« Non de dieu ! Que tu jouis bien ! Que tu jutes fort ! Jean va se régaler !

Dans l’action, lorsque je jouis, je deviens grossière, cela m’excite.

Après avoir repris nos sens et nous être un peu nettoyés, nous affinons le futur rendez-vous., Oui, Farid veut bien essayer avec un homme. Même qu’il veut bien essayer le baiser sur la bouche entre hommes. Oui, Farid veut bien être mon cadeau offert à Jean Oui, il veut bien être sucé, branlé et réciproquement. Oui, il veut bien me baiser devant Jean. Non, il ne souhaite pas essayer la sodomie pour l’instant.

Avant de nous quitter, nous échangeons nos téléphone.

Fière de moi et de la surprise que je réserve à Jean, je rentre rejoindre ce dernier, bien décidée à me faire baiser comme une salope que je suis.

 

Si vous souhaitez connaître la suite, écrivez moi à :

totoamour590@gmail.com

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  • Merci pour ce récit très excitant et la suite m’intéresse beaucoup conte tenu que j’adore partager ma femme.

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