Histoires taboues Récit érotique

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Histoire taboue Je pensais que le temps avait passé. J’avoue que je l’espérais un peu, comme lorsque l’on est embarrassé par quelque chose, à quoi l’on ne trouve pas vraiment d’explication, sans pour autant que cela soit douloureux, peut être même au contraire.

C’était la mi-septembre, je devais aller fermer la maison que nous avions louée quelques jours à un couple de vacanciers Anglais. Je voulais m’assurer que tout était propre afin de fermer la maison au moins jusqu’aux vacances prochaines ou un de ce week-end prolongé.

Ce n’est pas que les trois cents kilomètres m’ennuyaient, j’avais quelques jours avant la reprise des cours, aussi je prendrais le temps de rendre le voyage le moins contraignant possible. J’avais parlé de ce voyage nécessaire à mes deux hommes qui semblaient totalement impassibles devant ce projet, le jugeant peut être sans grand intérêt, il faut bien l’avouer. Mais enfin, qui le ferrait, si je ne le faisais pas.

À la veille de partir, alors que je m’étais préparée à ce périple en solitaire, Jonathan se manifesta tout d’un coup me témoignant un soudain intérêt pour m’accompagner, ce que j’acceptai bien évidemment tant je voyais quelques soutiens logistiques bien pratiques.

Nous prîmes la route un matin, après que je dus secouer mon copilote qui visiblement, malgré sa majorité bien révolue, eut encore des problèmes pour ouvrir les yeux. D’ailleurs, je ne fus pas vraiment dérangée par ses conversations, tant il dormit tout le long.

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Nous passâmes cinq jours agréables, lui renouant avec quelques connaissances locales perdues de vue depuis des années, moi-même affairée dans le jardin, au grenier, dans les machines, le ménage, le repassage et le rangement.

Alors que je comptais un peu sur lui pour m’aider à quelques menus travaux, il disparaissait la journée, s’éclipsant après le petit-déjeuner. Il partait avec son sac à dos, je ne sais trop où.

Ma chambre était tout en haut, je l’avais décorée comme j’adore, d’un lit de fer forgé avec des tissus très vaporeux suspendus, au plafond, des tonalités de rose et de blanc, quelques meubles anciens, dans leur jus, que j’avais poncés, et reteint en écru.

Il y avait un appentis au fond du jardin, où Jonathan séjournait plutôt l’été, arguant de sa tranquillité. Chacun avait donc sa place, sa tranquillité.  Celle à laquelle on aspire pour des temps de vacance.

J’avais prévenu Jonathan que je devais aller faire des courses à la ville voisine, où il y a une grande surface de bricolage et où j’en profiterai pour rendre visite à une amie de ma mère qui était âgée. Je fis tout ce que j’avais à faire et rentrai à la maison en milieu d’après-midi, il faisait une douce chaleur. J’aspirais à me doucher et profiter de la fin de la journée.

Arrivée en haut de l’escalier, je remarquais la porte de ma chambre entre-ouverte. Je n’y prêtai pas attention. Poussant la porte de ma main je ressentis une atmosphère très étrange, indéfinissable.  Jonathan était là dans ma chambre.

Sitôt je dis, presque machinalement, « tiens ! Tu es là ! » ,  sans prêter davantage attention et je déposais mes affaires. C’est vrai que Jonathan n’avait pas pour habitude d’aller dans ma chambre, mais sans plus.

C’est alors que prenant une minute de plus, je compris que quelque chose n’allait pas.  Je le regardais alors visiblement emprunté, mais je dus constater que Jonathan était là, oui dans ma chambre, mais qu’en plus, il portait une de mes nuisettes ; celle en forme baby doll que j’aime bien l’été car elle est légère et ne me colle pas.

Il était là, un peu déconfit ne disant rien. Moi non plus.

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Regardant d’un peu plus près, je vis  qu’il avait les lèvres très rouges et même un collier de perle à son cou. Je reconnaissais ce collier, c’est celui que je portais la veille.

Quelle réaction m’a prise, je ne sais pas encore aujourd’hui. Je fis comme si tout cela était fort naturel. Probablement parce que je ne savais pas faire autrement. J’étais totalement prise de court. En même temps, je n’étais pas choquée. Rien ne me heurtait. Je ne voyais pas d’erreur dans le tableau, même si avec le recul, un homme ne s’habille pas d’une nuisette baby doll, sauf pour être ridicule le temps d’un carnaval. Sauf que là, Jonathan n’avait rien de ridicule, cela lui allait même assez bien.

« Gardes là si tu veux. Elle est très légère et très agréable. Tu ne trouves pas ?

« mmmoui. Je trouve aussi »

« Alors parfait. As-tu besoin d’autre chose ? «

« Non, ça va »

« Bon, je me change » à tout de suite.

Quand je ressortis de la salle de bains, il n’était plus là. Moi-même douchée, je me sentais mieux. Je remarquais le rouge à lèvres qu’il avait utilisé. Il ne l’avait pas abîmé.

J’aspirais à enfiler mon peignoir en coton léger agréable. Mes mules aux pieds, je me rendis à la cuisine en bas pour ranger mes courses et préparer doucement le repas.

J’étais bien affairée, la tête dans une émission de radio qui m’intéressait.

« Je nous sers quelque chose ? »

« Oui, ce que tu veux », ai-je répondu, l’oreille un peu prise dans le poste.

Il nous avait installés sur la petite terrasse que nous avons abritée derrière une haie de canisses en bambous assez hauts.

Il faisait bon, pourtant la soirée s’annonçait, 20 heures sonnaient à la radio.

Il était là, élégamment, les fines bretelles de cette nuisette bleu ciel en tulle reposaient sur ses jolies épaules. Je réalisais la transparence de sa lingerie, j’aperçus les bouts sombres de ses seins sans relief, que je n’avais alors jamais vraiment regardé. Son rouge à lèvres était vraiment parfait. Je remarquais un soupçon de non-achevé. Il avait une peau parfaite, aucune pilosité visible, il avait dû se raser impeccablement.

Ses yeux manquaient alors de couleur, de volume. Je n’osai d’abord pas en parler, me délectant de le regarder. Puis, nous avons trinqué, je remarquais alors son rouge aux ongles.  L’avait-il tout à l’heure… ?

« Tu ne fais pas tes yeux… ? »

«  Je ne sais pas trop … »

« Bon, voudrais-tu que je t’aide … ? »

« Oui »

Redescendant avec mon nécessaire, j’entrepris de lui poser fard à paupières, eye-liner et mascara. Il devint superbe. Son regard glamour était l’exact reflet de son rouge à lèvres et du rouge de ses ongles.

Je me suis surprise à parler technique de maquillage comme avec une bonne copine, c’était pourtant mon propre fils.

Alors que nous finissions notre verre de vin, je lui demandais d’aller chercher la bouteille. Il mit un temps à réagir puis s’exécuta.

Revenant sur la terrasse, je compris l’origine de son temps d’hésitation. Je comprenais qu’il était évidemment totalement nu sous sa nuisette. Je vis que son sexe était dans une sorte de semi-érection visible à travers le tulle de sa nuisette.

Je trouvais cela très touchant, il était très discret, très digne et pourtant nu joliment orné de cette nuisette.

« Tu t’es épilé »

« Oui, je trouve cela plus joli »

«  Je suis d’accord »

« Toutes les jambes ? »

« Oui. »

« Comment ? »

« Au rasoir »

« C’est la première fois ? »

Il eut une hésitation.

« Non. »

«  Et…Au niveau du pubis… » demandais-je.

« Non . »

« Non ? …Pourquoi ? Le contraste n’est pas bizarre ? »

« Si un peu …. »

« Pourquoi ne le fais-tu pas, cela t’ennuie ? »

« Je n’ose pas »

« Je ne vois pas pourquoi ? » dis-je avec une certaine logique.

« Et je ne sais pas trop comment… »

« Et bien, ça dépend…, montre . »

Il resta interdit quelques instants, puis se leva.

Il était devant moi, et je constatais alors ce dont il parlait. Il y avait une toison très dense noire étendue, non maîtrisée, autour de son sexe détendu, semi-érigé.

« Moi, je taillerais dans tout cela » , dis-je avec un aplomb de paysagiste.

Il disparut.

Je continuais seule avec mon verre, et les derniers rayons de la journée.

Je rentrais notre apéritif, refermais la terrasse, et m’installais au salon, allumant deux grandes lampes à abat-jour.

« Je te ressers un verre ? »

« Oh, j’ai peur que cela fasse beaucoup » lui répondis-je

Il était si délicatement présent, le bleu de sa nuisette ressortait encore plus fort le soir s’installant.

Je détaillais alors sa nudité parfaite sous ce tulle transparent. Je regardais alors qu’il était chaussé de mules à talon jolies blanches vernies.

«  Tu les as depuis longtemps ? »

«  Non pas très longtemps ».

Je sentais bien qu’il ne voulait pas préciser.

Puis il prit place dans le canapé en face de moi. Je le trouvais si délicat, si féminin, si beau. Devrais-je dire « belle », certainement.

Je sentais danse ce silence qu’il avait, une question, comme une attente.

« Que veux-tu ? »

Surpris de ma question, il me répondit

«  Rien pourquoi… »

« Si, aller, dis-moi, tu peux me parler…. »

Après un temps, il me lâcha : « tu ferais une photo de moi.. ?… »

« Bien sûr, si tu veux, que veux-tu en faire de cette photo ?… »

« Rien…comme ça,… L’appareil est là, si tu veux ».

Je me saisis de l’appareil, le sien qui était sur la commode. Je hottais le capuchon, j’allumais l’appareil. Puis, je me plaçais en face de lui et le visais.

Je déclenchai pour faire une première photo.

Il avait pris un air détaché, regardant au loin. Il y avait comme une poésie renforcée par l’atmosphère de la pièce.

Je répétais les clichés, pendant un long moment. Il ne bougeait pas. C’était moi qui me déplaçais sous différents angles.

« Tu ne changerais pas de pose ? »

« Comment… ? »

« Et bien, tu peux décroiser les jambes »…

Il était là, assis, les jambes décroisées. Je fis une série de clichés. Constatant sa raideur bien compréhensible, il ne me semblait pas très à l’aise.

« Détends-toi, essaye d’être plus à l’aise, … Décolle un peu les genoux…

Puis, après un moment,

« Oui c’est cela, encore un peu… »

Puis je ne dis plus rien. Je continuais de le photographier.  Il ouvrait ses jambes progressivement de plus en plus largement.

Il mit une jambe sur l’accoudoir, il était largement ouvert offert à l’objectif.

Je remarquais alors qu’il avait rasé son pubis, à la façon d’un ticket de métro, un peu comme moi. C’était très beau, très féminin.

Il souleva sa nuisette.  Comme pour libérer son érection qui était devenue parfaite. En silence je continuais de déclencher. Puis, soudain il approcha la main de son sexe tendu et il commença un va-et-vient délicat et lent.

Je ne voulus rien dire, je le sentais parti ailleurs.

Puis accélérant progressivement, au bout de quelques minutes, il finit par râler et faire jaillir un jet puissant blanc qui vint couler sur la nuisette retroussée et sur son ventre…

C’est alors que je terminai de déclencher.

Il se leva sans mot dire, parti se coucher.

Je savais que nous en reparlerions plus tard.

Véronique

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