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Histoire taboue J’ai été Invitée dans une somptueuse suite…pour du sexe

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Histoire taboue

Il y a quelques jours, au cours du mois de juillet, Hervé et moi savourions une partie de nos vacances, visitant les deux Savoie, en quête d’un peu de tranquillité, si heureux de nous retrouver un peu, loin des turbulences de la vie quotidienne, loin des lieux de villégiatures encombrés.

Nous sommes passés d’hôtels en hôtels, jouissant de chaque instant, loin de toute contrainte.

Mon mari adore nos moments d’intimité, et ces périodes d’été lui sont propices à renouer avec ses passions de jeune homme. Hervé a toujours pris plaisir à faire des photos de moi, affectionnant me faire porter différentes tenues coquines et féminines pour m’inviter à prendre des poses sexy dans des lieux qui ne se prêtent généralement pas, comme des musées, des châteaux, des jardins, etc.

Ces instants presque volés et interdis l’excitent beaucoup, et je dois reconnaître que je me suis toujours prêtée au jeu assez volontiers.

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Même si nous n’en parlons pas forcément, même si tout cela n’est pas très préparé, je sais qu’Hervé aime que je sois bien disposée, prête, et aussi, que je l’inspire : Il m’aime sexy, désirable, et au fond, rien de plus simple en été.

Alors quand nous voyageons ou que nous visitons, je porte par exemple des robes entièrement boutonnées devant, ou portefeuille, ou un simple gilet de maille fine assez moulant, sur une jupe assez courte, une sandale à talon certes pas trop haute ou alors compensée pour marcher un peu quand c’est nécessaire.

Un soir, nous étions à l’hôtel dégustant un apéritif au bar près de la piscine. Nous étions légèrement las de notre journée de visite, encore éblouis par les panoramas tous plus étonnants. La lumière descendante encore chaude du soleil n’éclairait plus qu’une partie de cette eau turquoise, bordée de transats qui avaient été délaissés il y a peu.

Hervé avait un œil sur le journal de la veille avec un coureur du tour de France en couverture. Moi, une paille entre les lèvres, mon regard divaguait au loin.

« Excusez-moi », Madame, Monsieur, je me présente, …. »

À l’écoute de son nom que je ne connaissais pas, Hervé et moi avons tourné la tête, car c’était bien à nous que cette voix s’adressait. L’homme était très distingué, assez âgé, mais l’œil vif et intelligent.

« Je me permets de vous importuner parce que j’étais cet après-midi près du lac du Bourget. Quel endroit magnifique n’est ce pas…Et je crois vous y avoir également aperçu…Madame en tout cas, très joliment habillée avec cette  très belle robe à pois que vous avez là et qui vous va si bien… »

Nous nous sommes regardés interdits avec Hervé. Car, nous nous sommes arrêtés non loin de ce lac, ou nous avons fait quelques pas dans une nature superbe, non loin d’une magnifique demeure. Avec des points de vue magnifiques. Puis soudain je compris que nous avions aussi fait quelques photos, certaines assez intimes, même assez dénudées… J’en rougissais un peu à l’idée que peut être ce monsieur m’avais vue. Mais peut-être n’était-ce pas le cas..

Cette robe noire à pois blanc que je portais ce jour-là est très féminine, je l’aime beaucoup. Elle est entièrement boutonnée devant avec une ceinture à la taille, moulante au niveau du buste et de forme patineuse à partir des hanches. Fermée, la robe est très correcte, mais déboutonnée devant l’objectif de Hervé, c’était certainement moins décent.

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Qu’a-t-il vu, peut être rien, ou mal, ou…Peut être très bien.

« Vous savez, je voyage seul depuis le décès de ma femme… Et je ne voudrais pas vous importuner, et troubler votre tranquillité »…

« Mais non Monsieur, je vous en prie », dit Hervé poliment, j’acquiesçais par compassion, sachant cet homme seul et veuf…

Il  reprit « Voilà, je vais aller droit au but… »

Nous étions suspendus à ces lèvres. J’avais reposé mon verre de Sprite-Aperol.

« Accepteriez-vous que je prenne quelques photos de Madame que je trouve particulièrement distinguée et belle…. Comme vous, je faisais des photos de ma femme, elle se prêtait volontiers au jeu, j’adorais cela. ..Cela fait des années, je n’ai renouvelé l’expérience avec une autre femme, même après son décès… »

J’étais stupéfaite de la question, emplie de sentiments contraires, gênée, par ce compliment inattendu, par ce qu’il a pu apercevoir, et vis-à-vis de Hervé, que je regardais, sans savoir quoi dire…. Puis, Hervé, se tourne vers moi, et me demande, « Véronique, qu’en penses-tu ? ».

Doublement stupéfaite, je comprenais alors que la réponse devait venir de moi.

Pensant à la solitude de cet homme, à ces moments heureux passés, je me suis entendue répondre.

« Oui, pourquoi pas… », Avec un œil interrogatif attendant d’en savoir davantage.

« Êtes-vous à l’hôtel ce soir ? Nous demanda-t-il ?

« Oui, nous partons demain. »

« Bien, pour ma part, je suis là encore quelques jours, j’occupe la chambre 601, une très belle suite avec un point de vue magnifique sur la vallée. Il y a une entrée, une très grande chambre avec une alcôve et une deuxième chambre bureau plus petite.

Je pense que ce serait un lieu parfait pour faire quelques photos de vous, Madame si vous en êtes d’accord.

Comme vous le voyez, à mon grand âge, je suis bien sûr retraité, je n’ai jamais été photographe professionnel, mais, amateur très éclairé, j’ai même gagné quelques prix. Vous photographiez, vous « shooter », comme on dit, serait pour moi un grand honneur, et un moment délicieux. Ma suite est très bien éclairée vous verrez, avec un éclairage totalement modulable. On peut faire de belles images. Qu’en pensez-vous ?

« Euh… oui, …Hervé, qu’en dis-tu ? »

« Cela me paraît très bien ! » dit-il,  « A quelle heure, Monsieur, souhaiteriez-vous faire cette séance photo ? »  demanda Hervé.

« Et bien, dînez tranquillement, je vous attendrai vers 22h30, cela vous conviendrait-il ? »

« Oui, je pense » répondis-je regardant Hervé qui acquiesçait.

Soudain réalisant plus sérieusement, je m’inquiétais de ce que je devais préparer ou prendre pour faire ces photos, maintenant que nous avions accepté.

« Avez-vous des préconisations particulières, souhaitez-vous différentes tenues ? M’adressant au monsieur qui avait l’air très heureux.

« Venez avec les tenues que vous aimez, dans lesquelles vous vous sentez bien, même un maillot de bain, une robe légère, cela ne me choquera pas, » dit-il avec humour, « bien au contraire ! » Puis il ajouta : « rien ne me ferait plus plaisir que vous photographiez en nuisette et porte-jarretelles, cela doit tellement bien vous aller, mais je ne me permettrais pas de vous demander cela. ».

Il ne se permettait pas de le demander, mais adroitement c’était ce qu’il venait de faire…

« D’accord, alors à tout à l’heure, je vous attendrai à partir de 22h30 en chambre 601 », Puis il prit congé avec un franc sourire .

 Nous sommes restés un peu stupéfaits, mais amusés. Je finis mon apéritif, le soleil s’était couché.

« Peut-être nous a-t-il vus cet après-midi ? «

« Peut-être », je répondis à Hervé.

« Mais tu es d’accord, cela te fait plaisir, on peut toujours annuler si tu préfères, » me proposa Hervé.

« Non, on a dit oui, c’est un peu spécial, mais j’ai eu un petit pincement au cœur quand il a dit qu’il le faisait avec sa femme,… Et puis il me paraît si seul… cela va lui rappeler des bons souvenirs, et moi, ce n’est pas trop difficile ; La seule chose qui me pose question : quelles tenues… ? »

« Oui, tu as raison. Moi aussi je l’ai senti tellement heureux . Mais c’est vrai quelles tenues. Tu as amené quoi ? »

« En un peu chic, j’ai deux robes, la saharienne et celle-ci, après, …Il a parlé de nuisette, …J’ai ma nuisette baby doll mais elle est hypertransparente, et je n’ai pas de soutien-gorge suffisamment couvrant, j’en ai trois, ce sont des seins nus, …C’est ce que tu aimes. Mais je ne m’imagine pas dans cette tenue devant ce monsieur. Donc les deux robes et c’est tout. C’est déjà pas mal je trouve. »

« Oui, c’est vrai, tu as raison »

« J’ai aussi mon corset dentelle et satin noir, mais cela ne couvre pas la poitrine donc, non. »

« Ah tu l’as pris ? »

« Oui, et j’ai le maillot de bain que nous avons acheté l’autre jour, c’est un une pièce, certes le décolleté est profond, mais à la rigueur. Je l’ai bien mis à la piscine. »

« Bon, prends tes 2 robes et le maillot de bain, c’est bien comme ça. »

« Oui d’accord. »

Le dîner fut charmant, pour ma part léger ; nous n’avons pas reparlé de cela car nous avons été un peu accaparés au téléphone par la sœur de Hervé qui était certes détendu, il avait ce don d’influer sur mes humeurs, j’étais donc parfaitement détendue aussi.

Nous avons regagné notre chambre vers 22h. Dans l’ascenseur, sur le chemin de notre chambre, une légère émotion semblait nous gagner peu à peu.

J’ai pris la salle de bains, pour une petite toilette et pour me recoiffer et surtout me remaquiller. Hervé m’a conseillé d’accentuer mon maquillage. Je fis donc mes yeux charbonneux, soulignés d’ombre noire, j’apposais sur mes lèvres un rouge parfait de Guerlain avec mon pinceau pour dessiner minutieusement le contour de mes lèvres.

Je rajoutais un peu de lumière sous mes yeux, et voilà.

« Tu es superbe », me dit Hervé au sortir de la salle de bains.

L’effet était donc réussi. J’en étais satisfaite.

Je renfilais ma robe à pois, dépendais ma robe saharienne, prit mon nécessaire à maquillage, mon maillot de bain. Et mis tout cela dans un grand sac. J’avais apporté une paire de sandales vernies noire à hauts talons aiguilles. Hervé me recommanda de les enfiler car cela irait avec toutes les tenues.

Hervé était devant il frappa à la porte 601, moi, dans ma robe à pois et mon sac à la main.

La porte s’ouvrit, le visage radieux et avenant aux yeux très clairs de ce monsieur eut pour effet de dissoudre immédiatement la petite tension que nous ressentions Hervé et moi.

Il nous fit entrer. Cela sentait très bon, un parfum subtil.

La suite était effectivement superbe. Elle était merveilleusement bien meublée, dans un goût très sûr.

Il nous fit entrer dans la plus grande pièce, où il y avait une immense baie vitrée donnant sur un balcon terrasse. Un canapé faisait face à deux fauteuils et une table basse très jolie sur un tapis magnifique.

Un immense lit très large avec une très belle tête de lit, de très belles peintures directement réalisées sur le mur décoraient la somptueuse pièce.

L’alcôve discrètement éclairée abritait une méridienne et un petit meuble bibliothèque, du meilleur goût.

« Vous pouvez poser vos affaires dans le bureau. Ou dans la salle de bains ».

Il me fit entrer dans la salle de bains, j’y déposais mon sac, en sortit ma robe saharienne que je pendis immédiatement.

Hervé s’était assis sur le canapé. En sortant de la salle de bains, je fis quelques pas dans sa direction, je sentais le regard de l’homme sur moi, étudiant minutieusement chaque détail de mon corps. J’avoue que cela ne me déplaisait pas. Après tout, j’avais accepté, j’étais là, habillée, parée, en attente de la suite.

« Que puis-je vous offrir à boire ?… Il y a whisky, champagne, vodka, rhum…Madame, qu’est-ce que je vous sers ? »

« Un fond de whisky s’il vous plaît, sec, sans glace. »

« Et vous Monsieur ? »

« Un Rhum merci. » Répondit Hervé.

Alors qu’il nous servait. Il reprit la conversation là où elle s’était arrêtée tout à l’heure.

« Comme je vous le disais, j’ai fait beaucoup de photo, et notamment de ma femme, nous étions plus jeunes bien sûr, un peu fous…Comme vous, la nature nous inspirait beaucoup, Charlotte était très belle, très sexy… Elle jouait le jeu.

Il poursuivit : « Je vous remercie d’avoir accepté, car cela n’a rien d’évident. Je sais que c’est assez particulier. Mais vous pouvez avoir confiance en moi ; et je pense que vous avez confiance car vous êtes là. »

« Oui, en effet c’est assez particulier » ; répondis-je, en trempant le bout des lèvres dans le verre de whisky sec ; « J’ai accepté sans trop réfléchir, un peu à l’instinct. Et puis, mon mari est là. Tout cela est un peu hors du temps…Comment voulez-vous que nous fassions ? Lui demandai-je.

Eh bien commençons ainsi, vous êtes superbes dans cette robe. Mettez-vous là, debout près de la table.

Je laissais mon verre et vins prendre appui sur la table tout en restant debout.

J’entendis l’appareil se déclencher.

« Regardez-moi …Oui très bien …Tournez-vous un peu »…

L’appareil se déclencha ainsi une vingtaine de fois.

« Venez vous asseoir sur le fauteuil… Voilà étalez bien le tissu de votre robe. C’est parfait…Regardez-moi…Excellent ! »

Il fit encore une bonne dizaine de clichés, au gré de chaque variation d’attitude de ma part.

« Pourriez-vous faire quelques pas, je vois que vous avez des sandales superbes. ».

Faisant quelques allers et retour, il tenait son appareil à trente centimètres du sol, j’ai l’impression qu’il filmait mes jambes et mes pieds.

« C’est parfait ! Bon, nous pourrions changer de tenue ; J’ai vu que vous aviez une autre robe, pourriez-vous la passer ? »

« Oui, si vous voulez ». Mais je n’ai que celle-ci.

« Mais c’est très bien ».

Je partis m’enfermer dans la salle de bains. Je défis ma robe à pois et échangeai le cintre avec la robe saharienne impeccablement repassée, ce à quoi je tenais absolument.

C’est une robe couleur beige sable, légèrement irisée, droite assez près du corps, avec un boutonnage par-devant, deux poches sur la poitrine, une ceinture du même tissu à la taille avec une grande boucle couleur écaille. Elle m’arrivait bien au-dessus du genou, donc assez courte. Le premier bouton m’arrivait assez haut sur la cuisse. Elle s’ouvrait et découvrait mes jambes donc assez facilement. Avec les sandales hautes vernies noires, c’était parfait.

Je sortis de la salle de bains, et je vis le regard de mon photographe particulièrement scintillant. Celui de Hervé ne l’était pas moins : « Oui, elle te va très bien cette robe ! ».

« Madame, venez à nouveau vous tenir appuyée sur la table…Oui, comme cela… »

Je suivais ses directives, ses conseils. Il était assez précis ; me laissant penser qu’il était assez expérimenté, notamment avec les modèles féminins, bien qu’il ait dit ne pas avoir photographié d’autres femmes que son épouse…

Même si tout cela était peut-être un peu surjoué de sa part, cela avait bien fonctionné, il avait su toucher la corde sensible, j’avais accepté sa proposition, et j’étais venue jusque devant son objectif…Il avait réussi.

Appuyé sur ce bureau, avec cette robe, le moindre mouvement découvrait largement mes jambes, il me semblait qu’il en tirait une grande satisfaction.

« Madame, puis-je me permettre de vous demander de décolleter un peu plus votre robe ? »

« Si vous voulez »

Je défis donc un bouton au col de ma robe. J’ai senti immédiatement un desserrement de ma poitrine qui restait bien maintenue malgré mon simple soutien-gorge sein nu. Baissant les yeux, je vis que mes seins étaient de fait découverts jusqu’à la limite de l’aréole ; c’était certainement beaucoup plus sexy. Je n’eus pas de remarque particulière, sauf un sourire perceptible de mon photographe septuagénaire.

«  Prenez place sur le canapé  à présent, si monsieur veut bien vous laisser sa place »

« Mais certainement » répondit Hervé

Je pris donc place sur le canapé, jambes croisées, accoudée, je souriais en regardant l’objectif comme cela m’était demandé. L’ouverture de ma robe dévoilait mes jambes jusqu’à mi-cuisse.

« Peut-on défaire le bouton de la robe sur votre cuisse ? » demanda mon photographe.

« Je ne sais pas…N’est ce pas un peu trop…Ouvert ? » M’adressant également à Hervé.

« Mais non chérie, tu peux, essayes, on va voir »…Répondit mon mari, intéressé par la situation un peu étrange.

Sans discuter davantage, je défis le bouton qui maintenait les deux pans de ma robe sur la cuisse, immédiatement, la robe s’est ouverte découvrant totalement mes cuisses.

Sans autres commentaires, il déclencha une dizaine de fois son appareil.

« Magnifique » s’écriait-il.

« Puis-je vous demander de vous lever à présent, approchez-vous du lit s’il vous plaît ».

En me levant, je prenais gare à ma robe très ouverte qui ne tenait plus que par 3 boutons et la ceinture à la taille. Je dus faire quelques pas en direction de l’immense lit dont les pieds étaient recouverts d’un très beau tissu d’ornement soyeux. Plusieurs voluptueux oreillers et coussins étaient très luxueusement disposés à la tête.

« Bien, asseyez vous maintenant s’il vous plaît. …Oui, ainsi…Je voudrais faire une photo, où vous êtes de retour d’un dîner ou d’une soirée, vous vous apprêtez à vous coucher…Vous êtes, assises sur votre lit, votre robe ouverte, vous vous apprêtez à l’enlever… ».

« Hum, cela m’ennuie un peu, …Comprenez-moi, je n’ai pas de soutien-gorge… » Répondis-je sans donner davantage de détail.

«  Ah, je comprends, donc cela vous gêne, mais rassurez-vous, on ne verra pas votre poitrine ».

« Oui, mais… » et Hervé m’interrompit : « Véronique, pas de souci, on ne verra rien, …Laisse faire Monsieur …».

« Bon très bien » répondis-je.

Je défis donc le dernier bouton de mon décolleté, la ceinture de ma robe, le bouton de la taille et le troisième bouton encore en place. Toujours assise, ma robe s’ouvrit totalement libérant ma poitrine maintenue entre les fragiles liens de mon soutien-gorge. Mes seins étaient désormais à nu.

Le photographe déclencha encore et encore son appareil, une bonne dizaine de fois, tournant autour de moi, alors que je ne bougeais plus. J’avais l’appréhension de me redresser et d’offrir ma poitrine dénudée à cet homme que je ne connaissais pas, certes à qui j’avais simplement cédé, de faire quelques photos agréables en souvenir de sa femme…Pour autant, je ne voulais pas montrer de gêne.

« Madame, pourriez-vous vous appuyer sur un bras ou un coude incliné sur le lit, le regard vers le sol… »

Je m’exécutais, ma robe était complètement ouverte, ma poitrine entièrement dévoilée, j’aurais voulu qu’elle soit toute petite, je la trouvais alors particulièrement énorme et lourde ce soir.  J’avais l’impression que l’on ne voyait que cela.

Le silence régnait, légèrement perturbé par le déclenchement de l’appareil, et les quelques mots que prononçait l’homme qui dirigeait la séance.

 Hervé était muet, ne me quittant pas des yeux. Il me semblait qu’il prenait du plaisir, je sais qu’il percevait ma gêne, pour autant il ne disait rien.

« Pourriez-vous vous allonger ? » me demanda-t-il ?

Je savais alors qu’allongée, j’étais à la merci totale de son objectif et surtout de son regard.

Prenant un peu de recul sur mes coudes, je hissais mes deux jambes sur le lit pour m’allonger.

« Non,… Laissez votre pied gauche au sol, allongez-vous et fermez vos yeux… »

La consigne était très claire, sauf que ma robe était ouverte, je n’avais plus que ma mini-culotte string en dentelle pour cacher la dernière petite partie de mon intimité.

Je fis comme si de rien n’était. Je m’offrais donc à l’objectif de cet homme qui devait en être fort satisfait. Il était certainement parvenu à ses fins. C’était assez habile de sa part, pensai-je.

Il fit une nouvelle série de clichés, je ne bougeais pas.

« Bien, c’est parfait. Vous êtes magnifiques. ». Dit-il.

 « Redressez-vous, …Est-ce que je peux me permettre de vous demander d’enlever votre robe… ? »

Comme tout à l’heure, il s’adressait à moi, mais également à Hervé, comme s’il avait compris qu’il pouvait obtenir ainsi davantage.

Au point où j’en étais, regardant d’un coup d’œil rapide mon mari, j’enlevai ma robe qui n’était plus qu’une veste ouverte. Après l’avoir soigneusement déposée sur le dossier du fauteuil, Je me repositionnai aussitôt sur le lit.

Après quelques clichés, « Pourriez-vous vous tenir à genoux sur le lit , nous en avons presque terminé ».

Comme la fin était visiblement proche, je me suis mise à genoux sur le lit. Il était placé dernière moi. Je me doute qu’il avait vu sur mes fesses que laissait entièrement dégager mon mini-string.

J’entendis à nouveau crépiter son appareil.

« Vous êtes magnifiques, un grand merci à vous. C’est merveilleux. Redressez-vous, reprenez votre robe, je vous propose de boire un dernier verre… » dit-il tout en dégageant la sangle de son appareil qu’il posa sur le bureau.

« Excellente idée » fit Hervé, « je fais le service ! …Qu’est-ce que je vous sers ? Pour ma chérie, je sais que ce sera un fond de whisky…Cela te convient ?

« Euh…Oui très bien ».

Et vous Monsieur, oui la même chose, un whisky également, mais avec un glaçon.

« OK, je m’occupe de cela. » Répondit Hervé.

 J’avais renfilé ma robe, nous étions installés tous les 3 coté salon, moi dans le canapé, eux, chacun dans un fauteuil.

« C’est très réussi, vous êtes très belles c’est certain. Et, vous semblez avoir une bonne expérience de modèle photo. »

« Oui, quelques expériences, mais très occasionnellement ».

« Et vous avez exploré différents styles ?, qu’est ce qui vous plaît le plus ? »

« Oh c’est difficile à dire, j’ai posé comme cela, pour mon mari et très occasionnellement pour quelques photographes ».

« Avez-vous déjà fait du nu artistique ? »

J’étais quelque peu ennuyée par la question, mais après tout, pourquoi ne pas dire la vérité…

« Oui, c’est arrivé, en effet. »

« Vous avez apprécié ? ».

« Oui, il y a eu quelques photos qui ont été assez réussies il me semble. Mais je n’aime pas beaucoup me regarder ».

« Je comprends,…C’est assez humain comme réaction, on n’aime pas trop se voir. En tout cas, celles que nous avons faites ce soir sont superbes. Je vous les transmettrai. »

« J’espère que cela restera confidentiel, vous m’aviez promis… ».

« Oui, vous pouvez me faire confiance, je vous les donnerai toutes, et de toute façon, je ne diffuse jamais rien. Je n’en vois pas l’intérêt. » Me répondit-il.

 « Mais, vous Madame, accepteriez-vous un jour de refaire du nu artistique ? »

 « Eux, je ne sais pas, pourquoi pas,…Cela dépend des conditions… »

« Et là, accepteriez-vous ce soir ? Les conditions ne sont-elles pas parfaites ? » me demanda-t-il.

En me fixant de son regard bleu qui ne cherchait plus l’assentiment de Hervé.  J’étais bien ennuyée. Je devais répondre. Et je ne me sentais pas mal du tout. Le whisky était délicieux et m’avait comme plongée dans une certaine plénitude.

Hervé ne disait rien. D’ailleurs, je ne le regardais pas.

Je m’adressai à l’homme directement : « D’accord, si vous voulez …Je suis prête, …De toute façon, il me semble que j’étais déjà nue tout à l’heure »

Il me répondit : « Oui, c’est vrai…Mais pourrait-on aller un tout petit peu plus loin, je veux dire, une photo ou deux légèrement érotique… ? »

Au fond, je me dis qu’au point où nous en étions, je ne voyais pas vraiment de différence.

« Comme vous voudrez, puis nous irons nous coucher, car demain nous repartons… »

« Oui, bien sûr, je comprends très bien cela ne sera pas long ».

Reposant mon verre vide sur la table basse : « Que souhaitez-vous que je fasse, où dois-je me mettre ? »

« On va repartir, comme tout à l’heure :  prenez place près du bureau, tenez-vous debout légèrement appuyée ».

Je me mis debout, me plaçai comme il m’indiqua.

«C’est cela, …Maintenant déboutonnez entièrement votre robe ».

Je me retrouvais comme tout à l’heure la robe ouverte, presque totalement nue, la poitrine totalement offerte, juchée sur mes sandales vernies noire à hauts talons.

« Bien, …Parfait. Magnifique. Maintenant, Madame, puis-je vous demander de retirer votre culotte… ».

M’exécutant, je fis glisser mon string le long de mes jambes. Soulevant une jambe puis l’autre, je le jetais un peu plus loin près de mon sac à main. Il n’avait cessé de déclencher son appareil pendant toute la petite manœuvre…

« Vous êtes magnifiques, magnifique. Quel bonheur de vous regarder et de vous photographier ». Ses compliments ne me dérangeaient pas. Mais je n’y prêtai guère attention.

« Pouvez-vous vous tenir debout appuyée presque assise sur le bureau, les jambes… Assez écartées, si je puis me permettre ? … ».

« Comme cela ? ». Répondis-je.

« Oui exactement, maintenant redressez bien votre poitrine, et regardez-moi… »

 Il fit toute une série de clichés.

Puis il lâcha : « Magnifique, vous êtes sublimes …Maintenant, venez vous placer sur le lit…Et gardez votre robe, c’est bien. ».

Il me fit m’allonger sur le lit, cette fois adossé sur la collection de magnifiques oreillers et cousins soyeux. Ma robe était ouverte, disposée de part et d’autre de mon corps étendu ; un genou légèrement replié à côté de l’autre jambe allongée.

« Parfait, regardez-moi …Vous êtes divines ».

Bien maintenant, et ce sera la dernière… :  Écartez votre jambe repliée. Oui, c’est cela … Bien ouverte.  Oui, écartez…Offrez-vous ».

J’étais on ne peut plus offerte, mes lèvres totalement épilées étaient totalement exposées. La petite toison noire triangulaire au-dessus, sur mon pubis, ne dissimulait rien de mon intimité.

« Madame, ….ne bougez plus, c’est parfait, .à présent fermez vos yeux …».

Soudain, je sentis un appui sur le lit, puis une bouche se posant sur mon sexe et une langue douce et précise me fouiller. L’homme qui avait lâché son appareil photo ; Je ne dis rien, Hervé non plus.

L’homme me lécha en profondeur avec beaucoup de dextérité. Il me fit jouir.

Puis, je me suis relevée, j’ai refermé ma robe, ramassé mon string, le plaça dans mon sac à main.

Je demandais à Hervé d’aller dans la salle de bains pour reprendre ma robe et mon sac.

C’est alors que l’homme vint vers moi, me tendit un billet roulé, tout en me regardant profondément dans les yeux.

Sans réfléchir, je le pris et le mis rapidement dans mon sac, sans dire mot. Hervé n’avait rien vu. Pourquoi l’avais-je accepté ? Je ne sais pas. C’est la première fois que j’acceptais un pareil geste, j’avoue avec un certain plaisir.

Nous avons quitté l’hôtel à 10h le lendemain après une nuit parfaite, totalement reposée.

J’avais dans mon sac cinq billets de cent euros.

Nous attendons les photos.

 Véronique

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