Histoire taboue
Nicole joue à la prostitué
Nicole, après une nuit seule dans son lit, Omar est venu la chercher le lendemain vers dix heures du matin pour l’emmener dans un sex-shop de St Pierre. Pour lui acheter une tenue d’abattage. Un body en dentelle transparente ouvert à l’entrejambe pour que son sexe soit accessible sans la moindre barrière textile, du gel pour la préparer à être enculée et des capotes pour ses clients. C’est sûr, la vendeuse va la cataloguer comme une vraie putain.
En galant homme, Omar l’invite ensuite à déjeuner, elle est toujours sous le charme.
Retour ensuite, à la maison, grosse sieste jusqu’à dix neuf heures, heure à laquelle Nicole commence à se préparer, longue douche, épilation, manucure, maquillage. Elle doit être la plus allumeuse possible, la plus douce, la plus parfumée pour les clients qui attendent de la grimper au club d’Omar. Elle prend une photo d’elle dans son body, elle l’envoie à son cocu qui est en déplacement dans les îles. Il s’agit de l’émoustiller, car lui aussi doit profiter de sa soirée. Par dessus, elle enfile une petite robe ultra courte, ras la moule, qui ne cache pas grand chose.
Un peu en retard, vers 21 heures, son amant arrive, pas le temps, de tergiverser, les voilà illico dans sa voiture, direction le club d’Omar. En parfait galant proxénète, il n’a pas essayé de lui peloter les cuisses et la chatte dans la voiture.

Arrivée au club, grosses bises à la patronne, ravie de la voir, car elle sait que Nicole présente, ses clients repartiront à coup sûr les couilles vides. Pour ça, elle a droit au bar ouvert avec consommation illimitée de champagne à l’œil. La passe au club est à cent euros, ce qui fait penser que si les hommes payent une telle somme pour faire l’amour. Ils vont en vouloir pour leur argent et que de ce fait, ils verront et traiteront la Nicole comme une vraie putain destinée à assouvir leurs pulsions sexuelles. Ça ne l’effraie pas bien, au contraire, être dans la peau d’une pute pour son amant, c’est son plus grand fantasme.
Un seul homme est au bar à leur arrivée, un membre du club à qui son amant l’avait vendu en lui promettant, qu’elle ferait tout ce qu’il lui demanderait et à qui il a demandé de ne pas hésiter à la peloter en public.
Voici l’annonce qu’Omar a affiché à l’entrée du club pour attirer le chaland :
( Elle sera à la disposition de tous ceux qui auront envie de la prendre au club, ce soir à partir de 21 heures. Si vous venez, ne soyez pas timides, abordez la, même au bar. Ayez, la discrétion et la délicatesse du parfait gentleman, laissez vos mains courir sur son corps devant tout le monde. Pelotez la discrètement, elle adore être une femme publique. Quand vous aurez envie de lui faire l’amour, prenez-la par la main et conduisez la avec beaucoup de délicatesse, à l’étage. Une chambre vous accueillera, elle vous suivra soumise et docile et vous pourrez lui faire l’amour autant de fois que vous le souhaiterez. )
Nicole s’est installée au bar, sur un haut tabouret, une coupe de champagne dans la main. Elle commence à discuter avec la patronne, assise de l’autre côté du comptoir et avec Omar. D’autres clients et des garçons, arrivent petit à petit. Ils sont sept à la regarder avec des regards concupiscents, se demandant s’ils vont pouvoir la sauter ou non. Pour ôter définitivement leurs doutes, au prétexte qu’il fait chaud, Nicole se lève pour aller soit disant se rafraîchir dans les toilettes, en fait son intention est d’enlever sa robe pour rester en body résille largement ouvert à l’entrejambe, sans string.
Quand elle revient au bar dans cette tenue, plus dévêtue qu’habillée. Puisqu’on peut voir ses seins et ses fesses sous la mince dentelle transparente, tous les regards se sont allumés de lubricité. Ça y est, elle a annoncé la couleur, les clients sont désormais assurés d’en avoir pour leurs cent euros et commencent à fantasmer sur ce qu’ils vont lui faire subir.
Nicole est assise sur son tabouret haut, les jambes croisées, l’air de rien. L’ambiance a radicalement changé, le climat est devenu plus lourd, plus tendu, électrique pour tout dire. Les sept garçons commencent à s’approcher d’elle comme des abeilles autour d’un pot de miel. L’acheteur se place debout derrière, elle entre son siège et le bar. Il commence à laisser glisser ses mains sur ses fesses au prétexte de tester la douceur de la dentelle de son body et sur ses seins, ses cuisses et ça devant tout le monde.
Nicole se tient droite, hiératique, la croupe cambrée sur son siège. Il continue, l’air de rien, à faire la conversation. Nicole est devenue, le temps de faire tomber sa robe, une femme publique, ouverte à tous. Jeunes, vieux, beaux, laids, gros, minces, blancs, noirs, tout le monde peut la caresser, la peloter, la baiser sans rien lui demander. Elle s’est transformée en vraie putain de bordel, quasi nue au milieu d’hommes qui ont payé pour posséder son corps, le temps d’un coït.
L’acheteur et Omar s’enhardissent de plus en plus, elle a dénoué et légèrement écarté ses jambes. Elle sent la main de l’acheteur remonter le long de ses cuisses et effleurer sa fente tandis qu’Omar lui pelote les seins à pleines mains. Alors, qu’elle continue à converser, mine de rien avec la patronne et les clients.
Nicole est hyper excitée, elle sent sa chatte toute moite, sous les doigts de l’acheteur qui lui suggère à l’oreille de monter dans une chambre de l’étage, pour se faire prendre à la chaîne.
Nicole descend de son tabouret, elle se dirige sans un mot vers l’escalier, prenant au passage une serviette. Les sept mâles présents la suivent comme un seul homme. Certains profitant d’être derrière elle pour lui peloter les fesses, pour eux, elle est une putain. Nicole se dirige vers la plus grande chambre, qui a la particularité d’être aussi la mieux climatisée. Un couloir sombre délimité par un mur de bois percé. Il y a une sorte de palissade qui permet de mater le lit sans être vu. Elle sépare la pièce en deux. De l’autre côté un immense lit avec un matelas recouvert de plastique noir, le parfait matelas d’abattage, son lieu de travail pour l’heure à venir. Examiné à la lumière d’une lampe ultra violette, il révélerait sans aucun doute une myriade de taches de sperme.

Nicole reste debout devant le lit, attendant d’être sacrifiée et illico les gars se jettent sur elle. Elle sent leurs mains partout, ses seins, ses cuisses, sa moule. Des doigts qui appartiennent à on ne sait qui la pénètre sans douceur. Cette sensation unique d’avoir des dizaines de mains courant sur son corps, explorant sans pudeur ses moindres recoins intimes. Quelqu’un abaisse le haut de son body, elle sent deux bouches se coller sur ses seins telles des ventouses. Elle frissonne, ses tétons sont hypersensibles, elle adore cette sensation.
Derrière quelqu’un, qu’elle ne voit pas, se presse contre son corps. La queue raide incrustée dans la raie de ses fesses et essaye de la pénétrer. Nicole ferme les yeux, elle se laisse emporter par cette sensation d’être entre les bras d’une pieuvre humaine. Elle tend les mains dans le noir, elle saisit deux belles queues bien raides et longues, qu’elle branle, s’efforçant de passer de l’une à l’autre. Au bout d’un moment de ce pelotage forcené, elle se met à quatre pattes et commence à prendre en bouche une à une les queues dressées qui l’entourent. Un garçon s’agenouille à côté d’elle et plonge ses doigts dans son puits d’amour humide et ouvert. D’autres se penchent pour lui sucer goulûment les seins, des doigts caressent la moindre parcelle de peau accessible.
Nicole a envie d’une première queue au fond son ventre, elle a envie de sperme. Elle se lève donc et s’allonge au milieu du matelas, ses clients désormais nus se suivent et se placent autour d’elle. L’acheteur, impatient et à qui l’on avait promis d’être son premier amant de la soirée, s’allonge sur elle et la pénètre sans difficulté. Il racontera plus tard au bar que : C’était divin. Elle était humide, très humide en plus. Quand il a glissé sa main pour y guider sa queue. Il a senti que sa chatte était très mouillée. Il l’a ramonée dur. On l’a tous ramonée durement. Elle gémissait de plaisir. Les corps claquaient l’un contre l’autre.
Pendant que L’acheteur la prend dans la position du missionnaire, elle a une queue dans la bouche et elle branle deux queues avec chacune de ses mains. Les autres clients se branlent en regardant la scène et en attendant leur tour.
L’acheteur finit par se retirer, il jette sa capote, vient au niveau de ses seins et éjacule à gros jets sur sa poitrine.
Par jeu, Omar lui avait demandé de ne pas se masturber de toute la semaine de façon à l’inonder. Elle pense, qu’il l’a vraiment fait, car il lui en met du sperme chaud et épais sur toute la poitrine. Sans même prendre la peine de la nettoyer, Omar prend la place de l’acheteur dans son puits d’amour et assez vite. Il se retire pour jouir sur son ventre, à travers son body désormais maculé de sperme, qu’elle va devoir continuer à porter le reste de la soirée.
Après, emportée qu’elle est dans un tourbillon de sexe, des queues anonymes se succèdent dans sa grotte d’amour et sa bouche. Ensuite, elle s’est mise en levrette pour être sodomisée par un parfait inconnu, qui lui éjacule sur ses fesses, après s’être retiré. Omar a exigé en effet des clients qu’ils ne jouissent pas dans leur capote, mais sur la pute. Après chaque éjaculation, elle étale consciencieusement le sperme chaud et collant sur sa peau, comme si c’était une crème de beauté. Au bout d’un moment, elle est toute blanche, car elle ne s’essuie pas entre deux assauts, elle sent la saveur âcre de la semence mâle sur elle. Nicole se sent pleinement femme, faisant ce pourquoi une femme est sur Terre, donner du plaisir aux mâles, afin de faire jaillir leur semence et être fécondée.
Les sept garçons l’ont prise l’un après l’autre, plusieurs fois. Certains sont descendus après l’avoir baisée, d’autres sont resté pour mater en se masturbant. Avec le temps, le matelas s’est vidé et après avoir pris sa dernière douche de sperme. Elle s’est levée, dépenaillée, les cheveux en bataille, toute collante du sperme de ses clients. Elle est allée prendre une toute petite douche sous le regard égrillard de deux voyeurs, puisque la salle de bains n’est pas fermée. Peu importe, elle a abandonné toute pudeur.
Nicole a renfilé son body tout poisseux et après avoir regagné un semblant de dignité. Même si elle sent le sperme à plein nez, bien qu’elle ait découvert plus tard des gouttes de sperme séchées sur ses bras. Elle est allée, à moitié nue, fumer une cigarette dans le jardin. Après la pause, six autres mecs lui sont passés dessus.
De retour au bar le regard des garçons a encore changé. Ils ont découvert une authentique salope et quand quelqu’un passe à côté d’elle ? Il ne manque pas de laisser glisser sa main sur son cul ou sur ses seins, sans qu’elle réagisse.
Nicole s’est de nouveau assise au bar avec les garçons autour d’elle. Ils laissent leurs mains courir sur ses seins, ses fesses, ses jambes. Ils vont même jusqu’à glisser un petit doigt entre ses cuisses qu’elle a légèrement écartées pour laisser libre accès à sa grotte. Elle est assise toute droite, comme une reine, une coupe de champagne à la main, faisant semblant d’ignorer qu’elle est entrain de se faire peloter en public. Il y a deux nouveaux garçons qui viennent d’arriver. Le temps de fumer deux ou trois clopes et de siffler deux à trois coupes. Elle va remonter pour continuer à vider les couilles des clients d’Omar. Ils ont payé cent euros pour son paradis, ce ne serait pas charitable de ne pas leur en donner, pour leur argent en les laissant repartir les couilles pleines.
Arrive alors, un homme de quarante cinq ans à peu prés, plus âgé que les autres mâles présents, qui ont tous la trentaine. Le nouvel arrivant est allé très vite dans une petite salle rectangulaire récemment aménagée, pas loin du bar, pour se faire sucer par les deux travelos. Curieuse et émoustillée, elle se penche sur son tabouret pour mieux voir par l’encoignure de la porte. Elle mate tout en restant assise au bar.
Ni une ni deux, l’homme qu’elle a maté l’a rejointe au bar. Il entame la conversation pendant que deux autres garçons caressent ses seins et le bas de son dos. Après lui avoir expliqué que les deux travelos n’ont pas réussi à le faire jouir. Il lui demande de venir achever le travail, dans la même pièce où il s’est déjà fait astiquer. En bonne putain soumise, elle a immédiatement obtempéré. Il lui tient la main pour l’aider à descendre de son siège et la dirige main dans la main. Dans la petite pièce, il l’a fait asseoir sur l’un des canapés posés le long du mur. Il se met en face d’elle, descend son pantalon et son slip sur ses chevilles. Sans hésitation et le plus naturellement possible, elle le prend en bouche, elle suce longuement ses couilles et sa queue. Ils sont sept dans la petite pièce, braguette ouverte, entrain de se masturber en regardant la scène. Au bout d’un moment, le gars se retire de la bouche de la Nicole, enlève sa capote et éjacule sur ses seins.
Il reste à ce moment là sept mecs uniquement pour elle. Omar la propose à tous. Elle les suce et les branle les uns après les autres, sans négliger personne. A un moment, elle se lève, sans rien dire et se met à quatre pattes en travers sur le canapé. Les fesses cambrées, offertes, demandant à l’évidence à être pénétrée. Un grand gaillard ne me fait pas prier, il la prend longuement en levrette pendant qu’elle continue à sucer les bites, qui se présentent à sa bouche.
La position étant assez inconfortable et la petite pièce bondée et surchauffée. La Nicole décide alors de remonter à l’étage pour qu’ils la prennent et surtout, surtout qu’on lui jouisse dessus. Elle se lève et baisse le haut du body, laissant ses beaux seins gonflés, ses tétons turgescents et durcis par l’excitation, à l’air libre. Elle court presque vers l’escalier, suivie par ses prétendants, la bite à la main, comme par une meute de chiens en rut. Dans l’escalier, on se place derrière elle et on profite pour lui caresser les fesses.
Ils se retrouvent à l’étage à cinq. Ils se mettent debout autour d’elle et ils la pelotent comme la première fois, pendant qu’elle les branle à tour de rôle. Elle finit par s’allonger sur le lit, elle écarte les jambes et ils lui sucent la chatte. Ils la caressent, lui mettent des doigts dans son sexe pendant qu’elle les suce et les masturbe.
A un moment donné, Omar vient pour la doigter longuement pendant qu’elle suce. Il masse son point G, il est sur le point de lui faire connaître pour la première fois une éjaculation féminine, quand elle clame. – STOP ! Sinon je vais jouir ? Alors qu’ils veulent tous la voir jouir.
Mais, elle lui dit, qu’elle ne veut pas partir tout de suite, pour continuer à avoir des sensations et envie de se faire pénétrer.
Comme elle commence à sentir les prémisses de l’éjaculation féminine, une irrépressible envie d’uriner, elle les laisse en plan sur le matelas pour courir aux toilettes. Elle revient très vite et ils recommencent à lui ramoner la moule pour leur plaisir.
Après avoir vidé les couilles de ses clients d’un soir, elle descend pour une rapide toilette. Elle enfile un jean et un chemisier, fait la bise à la patronne et Omar la raccompagne. Il est très sage et n’a pas essayé de lui mettre un dernier petit coup pour la route sur le parking de la boite. Grosse douche arrivée dans sa chambre, pour se débarrasser de tout le sperme dont elle est couverte, puis un formidable gros dodo. Nicole est complètement épuisée. Messieurs, vous ne pouvez pas imaginer combien, c’est crevant pour une femme de se faire baiser une vingtaine de fois dans une seule soirée.
Au petit jour, Nicole prépare le déjeuner, et l’emporte dans la chambre. Elle le pose près du lit, elle grimpe sur le lit. Soulève le drap, elle découvre l’érection d’Omar et suce son membre délicatement. Il s’extasie devant l’adresse de sa maîtresse. Elle peut maintenant se donner à fond sur ce gourdin fièrement dressé. Avant de jouir, il la couche sur le ventre et la possède ainsi. Nicole est une bombe prête à exploser de plaisir dès que son amant la baise. Omar peut le constater, elle jouit très vite. Il continue à lui ramoner sa chatte en chaleur. Peu après, elle repart et de plus belle manière encore. Il ne tarde plus à jouir dans cette moule détrempée de cyprine. Nicole lui emboîte le pas en poussant un long râle de bonheur.
Sous la douche, elle lave son amant de sa seule bouche, le léchant bien partout, des pieds à la tête. Elle se met à la disposition de son amour d’amant, il est ce qu’elle a de plus précieux à ses yeux. Enfin, Omar lui jette un sac, Nicole en sort une fine robe et l’enfile sans ne rien mettre d’autre. Il lui met un collier et la regarde longuement avant de le fermer. Un clic et voilà le collier définitivement fermé au cou de Nicole.
– Tu ne pourras plus le retirer sans le couper, tu le sais ça ?
– Je le sais, mon amour, tu le fermes définitivement à mon cou, parce que je t’appartiens, je suis à toi toute entière.
Sam Botte
Ajouter un commentaire