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Histoire taboue La déchéance sexuelle d’un couple Chapitre 11

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Histoire taboue

Nicole est piercée

Elle enfile ses chaussures, s’agenouille près de la porte d’entrée. Il la fait se pencher en avant avec ordre d’écarter ses fesses. Il enfonce un œuf vibrant loin, dans son trou balle. De sa télécommande, il peut contrôler les vibrations de l’œuf. Dans la voiture, elle n’est autorisée, qu’à monter à l’arrière dans l’habitacle. Sur les yeux de Nicole, Omar met un bandeau et ajoute un bâillon sur la bouche. Au volant, Omar roule comme à son habitude. Derrière, Nicole fait ce qu’elle peut, pour ne pas trop se cogner dans les virages.

En chemin, à un stop, elle se rend compte, sans le voir, que tous les autres usagers de la route peuvent la dévorer du regard. La gêne la gagne, elle se sent terriblement humiliée d’être ainsi exhibée, Omar prend même un malin plaisir à faire le détour par le centre-ville, roulant lentement, s’arrêtant dès qu’un feu passe à l’orange, prenant même son temps pour repartir.

Enfin, elle n’entend plus le bruit de la ville. Le crissement des pneus lui fait penser, qu’ils sont dans un garage souterrain. La voiture manœuvre et s’arrête, le moteur ne tourne plus, la porte arrière s’ouvre ?
– Voilà, ma belle. maintenant, je vais te menotter les mains dans le dos. Tu vas devoir traverser tout le centre commercial avant d’arriver chez mon copain le tatoueur.

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Nicole sent un frisson de peur qui envahit son corps. Elle n’a jamais été exhibée avant et encore moins en laisse et menottée. Omar la guide, elle peut déjà entendre les annonces publicitaires et la musique dans le centre. Très vite, c’est le bruit de la foule qui se pressent dans les différentes boutiques. Il prend son temps, elle ne voit pas comment, elle est vue par les clients du centre. Pour le moment, s’il fait quelques détours, il se dirige néanmoins vers la boutique de son ami de toujours. – Salut mon grand, comment tu vas ?
– Bien, très bien. Je vois que tu m’amènes du travail. Une cliente ?
– Elle ? Non, c’est ma nouvelle soumise, elle est très particulière. Tu vas vite comprendre.

Omar retire les menottes des poignets de Nicole.
– Elle, je la garde pour nos soirées. C’est de loin la meilleure femelle soumise que j’ai connue.
– Et t’en as vu des tonnes ?
– Et comment. Bon, les seins, le clito et la cloison nasale. Sur son pubis, ma marque tatouée, sur sa fesse gauche, toujours ma marque, mais au fer rouge.
– Tu ne crains pas qu’elle refuse ?
– Avec elle, non, elle me la souvent prouvé ces dernières semaines.
– OK ! On passe derrière.

Elle suit son maquereau d’amant, la peur au ventre. Le mot fer rouge ? la font frémir d’angoisse, elle s’attend même à hurler de douleur.
– Il te faut te mettre à poil, ma chère salope.

Omar, use d’un ton de voix très doux, il parvient à apaiser les craintes de Nicole. Sans lui retirer son bandeau, il la fait monter sur une chaise de gynécologue. Il lui sangle les chevilles, les poignets et le ventre, et enfin il lui retire le bandeau.
– Mousse est de loin le meilleur que je connaisse. Je lui fais une confiance absolue et nombre de mes clientes n’ont pas eu à se plaindre de ses services. Seulement, je ne veux pas qu’il t’endorme, là où je veux que tu sois annelée. Il va le faire à vif et c’est particulièrement douloureux. Mousse ? Elle est à toi. Je t’autorise même à en abuser ? si l’envie te prend, mon salaud.
– Je vais me gêner, tiens ! Donc, à vif. T’as bien fait de lui laisser son bâillon.

Sur ses mamelons, Mousse gicle un désinfectant puissant. Même l’odeur du produit est puissante. Puis, il se saisit d’une pince stérile, presse le mamelon de gauche. Une fois en place, il marque l’endroit d’un petit feutre spécial.
– Tu es prête à prouver que tu aimes ton Mâle ? C’est bien. Un conseil ? Quand, je te dirai, je perce, retiens ton souffle et serre les dents. Oui, exactement comme ça. Alors, on y va, je perce.

Nicole sent l’aiguille traverser lentement son mamelon. Elle a écouté le conseil, cela diminue la douleur d’autant. Pour le droit, elle s’y prend trop tard et la douleur et mille fois plus vive. Pourtant, elle ne pousse aucun gémissement, qui ne soit audible. Omar ne cesse d’être en admiration devant sa pute soumise, qui le fixe désormais. Les seins annelés d’un piercing provisoire, Mousse s’attaque à la cloison nasale.
– Tu sais, Omar, à ta place, je lui raserai le crâne complètement. Avec cette petite robe, les menottes et le reste, cela la rendrait encore plus soumise.
– Pas con, mais seulement quand tu auras terminé. Je vais vite faire une course. Si tu pouvais m’enregistrer la suite. Oh ? Pour la marque sur sa fesse gauche, attends mon retour.
– Ça marche vieux frère. OK ! Nous voilà seuls, toi et moi. Je vais retirer ce bâillon. Après quoi, tu me racontes tout de ta rencontre avec Omar et pourquoi tu es devenue sa chose, c’est clair ?
– Oui Mousse. Tout à commencé quand, nous étions en vacances sur la cote est de l’île, il y a bientôt trois ans, je me suis donné à lui.

Nicole ne cache rien à Mousse, elle lui dit tout, l’enlèvement de son mari pour la soustraire à son amant et son retour dans l’île, en forçant même sur les moindres petits détails. Pendant ce temps, Omar fait quelques achats, réserve une séance d’épilation totale dans la boutique esthétique tenue par une ancienne de ses soumises. Là, il insiste bien pour que Nicole soit épilée de manière définitive, de la tête aux pieds. Il ne lui laisse que les cils et sourcils et encore, en les taillant comme il le désire. La patronne de la boutique connaît bien les goûts de son ancien amant, elle n’aura aucune peine avec Nicole.

Dans la boutique Mousse écoute avec une attention soutenue le récit de Nicole, il en profite même pour lui percer le nez et le clitoris. Alors qu’il commence le tatouage, elle en termine avec sa vie. Omar revient à la boutique, Mousse s’excuse d’avoir oublié de mettre sa caméra en fonction. Cependant, il lui fait part de son long entretien Nicole.
– Oh ? Cette femme, je crois bien, qu’elle est très amoureuse de toi. quand elle parle de son amant, c’est comme si elle parlait de Dieu.
– T’inquiètes, je sais qu’elle m’aime, c’est pour ça qu’elle subit, tout ce que je n’ai pu faire avec une autre de mes femmes.
– Oh, là, tu m’inquiètes mon petit Omar ?
– Non, pas de souci, je vais continuer comme avant, sauf qu’elle sera intégrée dans des séances très harde. J’ai aussi son mari à féminiser.
– Oh ! Oh, je vois ça d’ici. Bien, il te faudra revenir pour que je termine le pubis.
– Il ne te reste que sa fesse ?
– Et oui. Pour le pubis, il ne reste que la couleur.
– Surtout pas, c’est une soumise, ma salope, c’est une esclave, alors pas de fioriture.
– Bon, comme tu veux ? Je fais chauffer le fer. Tu le veux bien rouge ou juste un peu ?
– Disons que cela guérisse en deux ou trois semaines ??
– Donc un peu rouge, ça roule ma poule !

Dans le cabinet, Omar profite de la position jambe écartée de Nicole pour la baiser sauvagement. Mousse revient pendant que le fer chauffe. Il place son sexe devant la bouche de Nicole qui ne fait pas de manière, elle le suce avec avidité.
– Tu vois, cette pute est prête à tout pour me faire plaisir. C’est pas la première fois qu’elle se retrouve entre deux hommes. Je compte bien lui faire découvrir nos longs week-ends.
– Je te reconnais bien là. En plus, elle suce comme une déesse.
– Si tu as envie de soulager ta vessie, elle se fera un plaisir de te boire.
– Oh ? C’est assez rare pour ne pas en profiter. Mais après le marquage.

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Mousse se retire, Nicole regrette déjà. Quand il revient, c’est pour dire qu’il faut la mettre à quatre pattes sur la table et bien la sangler pour qu’elle ne bouge pas. Avec l’aide de Mousse et la docilité de Nicole, Omar n’a aucun mal à mettre sa soumise en position et bien l’attacher.
– Ma chérie, il est encore temps de refuser le fer rouge.
– Mon chéri, je suis prête à tout pour toi !
– Mon cher Omar, voilà qui est envoyé !

Mousse revient avec le fer, il rougeoie légèrement, quand elle découvre ce fer. Omar désinfecte la fesse gauche, elle se crispe. Omar tente de la détendre et le fer vient se coller à la peau de Nicole. Elle ne hurle pas, serrant les dents, c’est un long cri étouffé que les deux hommes peuvent entendre. Le fer est vite retiré. Omar et Mousse contrôlent la fesse.
– J’attends un moment avant de mettre un pansement. Nicole ? La preuve d’endurance, que tu viens de nous offrir est digne de ton amour. Je ne peux pas en dire autant des autres femmes d’Omar, ses payants. S’il y avait une comparaison à faire, je dirais que tu es la crème de la crème et eux, des larves. Reste encore comme ça un moment. Je viens panser cette marque.

Mousse étale une crème qui calme immédiatement la douleur. Omar essuie les larmes de sa Nicole. Il l’en profite pour l’embrasser et faire l’éloge de sa soumission. Sur sa fesse, elle sent que Mousse panse sa chair. Il se montre excessivement doux avec elle. Une fois le travail terminé, on la délivre de la table. Devant Mousse, elle s’agenouille, sort sa bite et le suce. Mousse, pourtant habitué, voit cette femme avec une certaine jalousie envers son ami Omar.
– Omar ? Il m’en faut une comme ta Nicole. J’en crève d’envie depuis qu’elle m’a tout dit de vous deux.

– OK ! Je vais voir ça. Viens dans la semaine, chez Nicole, j’y crèche, c’est chez moi maintenant.
– OK ! Je t’apporterai ma petite note.
– Pas de souci. aussi, tu pourras vérifier qu’aucune infection ne se propage sur elle.
– C’est clair. Bon, ce n’est pas que je ne ? Oh punaise, je vais juter ma salope.
Omar
est tout sourire en voyant son copain jouir dans la bouche et au fond de la gorge de Nicole.
– Mousse est-il satisfait de la soumise d’Omar ?
– Plus que jamais. Je n’ai qu’une hâte, c’est de te revoir au plus vite.
– Merci Mousse ! Votre compliment touche la soumise que je suis.
– Dit moi ? Qu’il n’y a pas que de l’amour dans sa soumission ? – Ouais ! D’accord. Il y a une dose quotidienne de Clopixol.

Omar salue son ami, direction l’esthéticienne pour la tonte totale. Nicole, une fois de plus, se sent visée par tous les regards qui se tournent dans sa direction. Omar tire sur la laisse.
– Ça va ta fesse, tu n’as pas trop mal ?
– Oh ! Non, mon amour rassure toi, je vais bien. Il me faudra remercier Mousse comme il se doit ?
– Effectivement, quand il passera chez nous, mon chéri ! – Bon ? Voilà, on y est. Quand tu en ressortiras, tu n’auras plus aucun poil sur le corps, comme sur ton crâne. Cela fera de toi définitivement ma propriété.

Dès qu’ils sont rentrés dans la boutique. La patronne ferme la porte à double tour et pose une affichette qui avertit les éventuels clients que la boutique est fermée pour cause exceptionnelle. Une fois la chose faite, la patronne retire sa blouse, elle est nue, elle entraîne Nicole derrière, dans l’un des petits salons.
– Omar exige, que je vous retire tous vos poils de manière définitive.
– Êtes-vous aussi une de ses ?
– Une ancienne, tout au plus. couche-toi sur cette ? OOH ! Le fer rouge OK ! Bon, je vais devoir procéder autrement. Mets-toi sur le ventre alors et mets tes bras bien en avant.
– Dis, la vieille, si tu te loupes, qu’un seul poil repousse, c’est l’âne espagnol pour une nuit.
– Bien sûr Monsieur Omar ! Voulez-vous prendre place pour me regarder faire ? Une boisson vous serait agréable ?
– Un double de ton merveilleux CHIVAS 36 ans d’âge sans rien.

Buvant son verre, Omar a tout loisir d’observer son ancienne, opéré sur le corps de Nicole qui, soi-dit en passant, prend plaisir à se laisser faire. Les mains de cette femme aiguisent la curiosité de Nicole, qui se demande si cette femme est bi ou pas. Très vite, elle a la réponse, les mains de cette femme glissent entre ses fesses. Elle sent le majeur qui s’appuie sur son anus. Elle se détend davantage. Omar semble même encourager cette ancienne à bien s’occuper de sa propriété. Soudain, il se lève, va ouvrir une armoire et en sort une longue cravache.

Sur le cul de l’esthéticienne, il frappe par petit coup, à un rythme soutenu. Elle ne crie pas, voûte son dos pour mieux offrir son postérieur à ce Mâle qu’elle considère comme le meilleur. Cette femme en a connu des hommes, mais comme Omar, jamais. Dans son for intérieur, elle regrette tout ce temps perdu avec ces soi-disant as de la queue. Nicole relève ses fesses, le majeur de la femme s’enfonce encore plus loin. Omar ne cesse de flatter l’ancienne avec la cravache.

Puis, il ordonne, exige. La femme se plie en deux, en guise de soumission et commence la longue et totale épilation du corps de la soumise.
– Prends tout ton temps, Lise. Là où il y a des poils, tu les arraches un par un.
– Bien monsieur Omar.
– Nicole, si j’ai demandé ça à cette brave Lise, c’est parce que c’est la dernière fois que tu seras épilée. Elle fera la même chose à tes cheveux. Aussi, comme je veux que tu te sentes encore plus soumise. Elle le fera aux yeux et à la vue de tous, derrière la vitrine. Ainsi, tous les gens qui passeront devant cette boutique verront ton crâne devenir nu et doux comme tes belles fesses.

Nicole lui adresse un sourire qui en dit long, sur son désir d’affirmer sa soumission. Omar s’approche de sa maîtresse, lui donne sa queue, qu’elle se met à lécher, à sucer, toujours avec cette vigueur qui la caractérise. Lise commence à retirer les poils l’un après l’autre. Elle devient sadique, le temps de l’épilation intégrale. Nicole subit de plein fouet, cette mise à nu de son corps, surtout quand c’est autour de son anus. Omar sent que sa pute est un peu plus tendue. Il en profite pour lui caresser sa longue chevelure appelée à disparaître, elle aussi. Ne voulant laisse aucun moment de répit à sa maîtresse, Omar frappe les seins de Lise en lui ordonnant d’aller plus vite. Poil après poil, le corps de Nicole se dénude lentement, mais sûrement.

Après près de deux heures et quelques éjaculations, Omar exige le rasage intégral du crâne de Nicole. Pour parfaire cette humiliation et cette exhibition, elle est solidement sanglée sur un fauteuil de coiffeur, le corps presque dénudé. Derrière la vitrine, elle peut voir les clients aller et venir. Déjà, certains s’arrêtent, intrigués par ce qui passe derrière la vitrine. Une tondeuse à la main, la réponse saute aux yeux des passants. Très vite, d’une petite dizaine de personnes, c’est près d’une cinquantaine qui s’agglutinent devant la vitrine. La tondeuse passe et repasse sur la tête d’Alice. Elle voit ses longs cheveux tomber sur le sol, sur ses cuisses ou sa poitrine. Son visage est rougi par la honte, qu’elle a d’être ainsi donnée en spectacle.

Quand Lise étale la mousse à raser, la populace a encore doublé. Nicole découvre l’humiliation. Omar, quant à lui, est ravi par le comportement de sa soumise qui prend une nouvelle leçon. La lame du rasoir fait son office, Nicole peut voir dans le reflet de la vitre que son crâne est mis à nu. Lise semble même prendre beaucoup de plaisir à humilier cette salope de bourge qui lui prend son ancienne place. Omar ne perd rien et rappelle à l’ordre Lise. Le crâne nu, on passe cet appareil bizarre sur toute la surface. Cet appareil détruit sans douleur les racines des cheveux de Nicole.

Maintenant, la tête et le corps de Nicole ne verront plus aucun poil pousser. Le temps de prendre une douche et de laisser les spectateurs s’en aller. Elle est prête à affronter ces inconnus qui vont la regarder comme une curiosité. C’est revêtue de la simple robe et tenue en laisse, les mains menottées sur son ventre. Que Nicole suit son Maître. Il profite de la gêne palpable de sa maîtresse pour l’asseoir sur un banc. Nicole rougit encore plus en fixant son Maître. Il lui sourit.
– Cela fait partie de ton éducation, de soumise.
– Rassure toi mon amour, je ne vais pas reculer.
– J’y compte bien. Aller, on y va et pose bien ton pied sur le rebord du banc.
– Cela me gêne un peu, en public ?
– Pas de discussion, exécution !

La voix à changer, Omar n’a plus sa douce voix, mais celle du Mâle autoritaire. Derrière sa vitrine, Lise ne manque rien du spectacle ? qu’offre Nicole au client du centre. Seulement, cela ne dure pas, des voyeurs s’agglutinent et se rapprochent d’un peu trop. Omar donne le signal du départ, il connaît ce centre comme sa poche, cela lui est facile de semer les voyeurs.

Sam Botte

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