Histoire taboue
Jacques passa à la casserole
Ils ressortent de la salle de bain et déjà, les quatre amis d’Omar sont là, nus, la queue a la main ? Jaques regarde, ces quatre queues, bien dures, avec le gland luisant. Jacques est là, debout entouré de quatre paires de mains, qui se collent à son corps. Il ferme les yeux et tremble. Jacques se met à genoux pour commencer à sucer les bites. À tour de rôle, il les pompe en leur massant les couilles. Un des hommes l’invite en le prenant par la main à se mettre à quatre pattes sur un matelas par terre
– Aller Rex ! tu es là, pour te faire mettre, te faire remplir le cul de sperme ! Dit Omar. – Jean-Marie à toi l’honneur.
Comme il ne se fait pas prier, il l’encule sans ménagement, un homme se place devant Jacques et il commence à le sucer
– On change ?
Son cul et sa bouche passent d’une à l’autre, pour enfin ravoir la grosse queue de la douche
– Tu fais une sacrée femelle.
Un homme se glisse sous lui pour lui sucer sa petite bite libérée et lui pincer les mamelons, il les mord avec une certaine violence. Jacques sent tomber des claques, qui lui réchauffent les fesses, des ongles lui griffent le dos. On lui fait mal et il aime tout ce qu’ils lui font. Jacques finit par jouir, ce que l’homme s’applique à tout avaler.
Un premier averti, qu’il va éjaculer dans les reins de la femelle, les quatre autres se masturbent plus fort, une fois vidé, il se retire. Un autre ne fait que faire pénétrer son gland et décharge à son tour dans ses entrailles. Les autres font pareils sauf, une grosse queue qui le baise longuement et éjacule dans sa bouche. Jacques reste là à reprendre ses esprits, pendant qu’Omar raccompagne ses amis. Nicole enfonce un plug dans le fion de Jacques, pour qu’il ne tache pas la maison et qu’il garde tout le sperme dans son ventre.
Elle lui remet sa cage de chasteté, le collier à chien, une laisse et le tire dans l’ancien cagibi transformé en niche avec un petit matelas par terre. D’un coup de cravache sur les fesses, elle fait rentrer son mari dans son nouveau domaine.
L’ouverture de la porte du cagibi réveille Jacques au matin et déjà une main ferme le tire par une oreille pour le sortir de sa cage. Jacques tente de résister et gémit. – Non, s’il vous plaît non. Mais la pression sur son oreille augmente. La chaîne de son collier se tend, il retrouve sa place de chien.
Sans un mot, Omar ouvre la porte d’un placard et prend à sa grande frayeur la cravache que Nicole avait utilisée. Jacques tremble de tout son corps sans pouvoir se contrôler et se recroqueviller contre le mur.
– Je vais t’apprendre à obéir, sale petite lopette.
Jacques se met en boule, lorsqu’il lève le bras et aussitôt la cravache s’abat sur son dos, ses cuisses, ses bras. Il réussit à ne pas hurler. Heureusement, sa punition est de courte durée, la cravache s’arrête au bout d’une dizaine de coups meurtriers.
Pendant qu’il pleurniche, roulé en boule, il entend Omar ranger la cravache et lui annoncer qu’une séance va avoir lieu.
– Aujourd’hui, tu ne travailles pas. Alors ce sera le jour de la défonce à la chaîne !
Jacques attend à quatre pattes, comme du bétail qu’on destine à l’abattoir. Il est trop abattu et déprimé pour analyser ce qui l’attend. Il profite en urgence d’un moment de repos, presque agréable pendant lequel, il peut redresser son dos, détendre ses membres et respirer un air sain.
Jacques entend des bruits de conversation derrière la porte.
La porte s’ouvre, il frissonne d’angoisse, sachant ce qu’il va subir désormais. Des sifflements, des claques sur les fesses, des commentaires salaces accompagnent l’entrée de plusieurs hommes. Une dizaine d’après le nombre de pieds qu’il peut voir, bloqué par son collier.
Déjà, ils se préparent pour la grand messe : certains à poils, d’autres uniquement le sexe a l’air, s’astiquent.
Nicole en grande prêtresse donne ses instructions. Ne pas passer devant la caméra, la prévenir avant chaque éjaculation de manière à resserrer le plan.
Jacques n’est là que pour les satisfaire et ils ont hâte de l’utiliser comme vide couille. Jacques entend leurs commentaires à savoir qui va passer le premier dans sa bouche ou dans son cul. Ils se rapprochent tous de lui en rigolant.
Nicole les devance, elle lui tripote les couilles étirées par sa cage. Elle tire sur la cage de métal qui ne l’a pas quittée depuis hier soir. Une douleur tiraille son sexe collé à son étui. Ensuite, il éprouve un soulagement intense d’être libéré. Nicole tient dans ses mains sa cage de chasteté.
Aussitôt Jacques sent son sexe grossir de retrouver son espace.
– Regardez le comme il est content, il frétille déjà de sa petite queue !
– Allez, faites lui sa fête ? Rex, le chien est là pour être fourré et rempli. Allez-y franco, il aime la douleur !
Tous ricanent et s’approchent, certains tapent de leur main son cul offert, d’autres frottent leur queue sur son front, ses joues.
Sans préambule, Jacques sent un sexe forcer son anus encore douloureux. Il le force sans ménagement et le pénètre d’un coup brutal. Une queue s’enfourne dans sa bouche, lorsqu’il pousse un cri de douleur. Son enculeur le travaille tellement fort, que la bite dans sa bouche va toujours plus profond dans sa gorge. Jacques tousse, s’étouffe, crache. Le rythme est donné. Nicole les a bien briffés. Ils se relayent sans discontinuer. Cinq attendent devant et cinq derrière. Nicole faisait des gros plans lorsque deux queues tentent d’entrer dans sa bouche déformée.
Bref, Jacques est bientôt couvert de sperme sur le visage, malgré les flots qu’il a dû avaler de force. Il tousse et crache lorsqu’ils eurent fini de le besogner, il sent son visage et son crâne englué de sperme. Son cul en feu coule d’un liquide visqueux qui lui coule sur les couilles et les cuisses.
Jacques croit en avoir terminé pour aujourd’hui.
Ses violeurs se rhabillent et d’une claque sur les fesses le félicitent et l’insultent.
Nicole compte les billets amassés.
– Hum ! tu as raison Omar ! Son cul commence à nous rapporter. A cinquante euro la passe, ça fait cinq cents euros de l’heure.
– Bon allez, le temps tourne et ta deuxième prestation approche. Tu vas voir, ça va te plaire. En tout cas, ça va être un tournant dans ta nouvelle carrière.
Omar se dirige vers le placard et sort une sorte de combinaison en latex. Il enlève son collier autour du cou et lui tend la combinaison marron avec un masque à Jacques. – Met ça. Jacques prend la combinaison et la regarde en tendant les bras. Cette combinaison est marron avec des taches noires. Elle a des pieds et gants collés et une queue juste au-dessus de la fermeture éclair dans le bas du dos. Il enfile son vêtement, non sans mal et voit les taches noires sur la combinaison. Il regarde le masque avant d’enfiler sa tête à l’intérieur. C’est une tête de chien avec des oreilles ?
Omar prend en main les opérations. Il tire sur le zip de la combinaison, le cul est libéré de l’étreinte du latex. Ensuite, il le tire jusqu’à un banc de musculation ?
Omar le lui passe sous le ventre de Jacques qui se retrouve les genoux au sol, ses bras de chaque côté du banc, avec sa tête libre ? Il serre une large ceinture en cuir sur sa taille et l’accroche au banc. Jacques se retrouve les fesses exposées en l’air, les cuisses écartées et bien sûr son cou relié au banc par la laisse.
La position est douloureuse ? Son ventre est plaqué sur le banc, qui s’arrête à son pubis. Sa tête est inclinée vers le bas et sa nuque lui fait mal, car son cou est tiré vers le bas par la laisse accroché. Sa bouche dirigée vers le sol laisse couler un peu de bave. Son anus entrouvert, rejette par des spasmes un peu de sperme. La tête vers le bas, il voit que ses mains sont recouvertes de moufles qui ressemble à des pattes de chien ?
– Voilà ! Il est prêt pour la saillie. Il va dérouiller le salaud.
– Tu te demandes bien pourquoi, on t’as mis là-dessus ?
– Bon ma chérie, je te laisse accueillir notre ami, j’y vais, j’ai à faire dehors.
Nicole virevolte, embrasse Omar et se prépare à accueillir le prochain visiteur.
Jacques fatigue déjà dans cette position instable. Le collier l’étouffe car, son sang afflue dans la tête. Il souffle par la bouche, la respiration haletante. La porte s’ouvre. Nicole parle avec un homme seul.
Non, pas seul ?
Le corps de Jacques se couvre de frissons ? Lorsqu’il entend des bruits de griffes marcher sur le carrelage. Un chien ? Au même instant, un homme fait irruption, il tient en laisse un dogue allemand, qu’il a du mal à retenir. Jacques vient de comprendre en voyant le chien derrière lui. Il hurle sous son masque.
– Non ! Non ! Je t’en supplie ? NON ! Pas ça ! Je ne suis pas une chienne ? Il se débat, mais les sangles du banc sont bien serrées.
Le dogue allemand, énorme le renifle, ses pattes sont plus hautes que son corps attaché sur le banc. Un énorme collier clouté ajoute à sa corpulence. Sa langue pend de sa gueule, il commence à lécher les flaques de sperme que l’anus Jacques fait tomber au sol. Maintenant, il le renifle, tourne autour de lui. Jacques comprend à présent pourquoi Omar l’a couché sur ce banc de musculation, c’est pour placer son cul à son niveau ! Aussitôt, il sent une langue chaude et humide, remonter de ses couilles à son anus. Jacques est secoué de tremblement. La panique s’empare de lui.
– Comment s’appelle ton chien ?
– Rex !
– Rex ? C’est amusant ça ! Le mien s’appelle Jax !
– AH !AH ! Oui ! C’est amusant ! Et Jax aime déjà Rex t’a vu ?
Un homme d’origine cubaine tient la laisse du monstre. Ses tatouages et ses cicatrices le catégorisent comme un dur. Sa carrure et ses mains robustes signifient danger. Il rit devant la position de Jacques, ses liens et ses coulées de sperme fraîches. Jax tire sur la laisse, car l’appel de la nature dirige maintenant la bête. Il recolle son museau contre le cul de Jacques. Il remue la queue pour montrer son contentement. Il recommence à lécher le trou qu’on lui offre.
Nicole se penche à son oreille.
– Comme tu as de la chance mon Rex ? Un joli mâle pour toi tout seul ! Roberto, son maître, l’a éduqué pour corriger ses putes, qui ne filent pas droit. Il parait qu’une fois, qu’il les a sodomisées avec sa grosse queue de trente centimètres, c’est radical. Bon. On vous regarde vous accoupler, bonne bourre mon Rex !
Elle attire, elle se colle à Roberto et l’embrasse à pleine bouche. Sa femme, se conduit comme la salope qu’elle est juste devant lui. Le chien reste à tourner autour de Jacques et le lèche de sa grosse langue.
– Allez viens là Roberto, laissons Jax faire connaissance de sa chienne.
– Tu as envie de me baiser ? Oui ? Alors viens ! L’homme pointe le doigt vers Jacques.
– Allez, Jax, va enculer cette pute de Rex. Elle t’attend ?
Nicole prend Robreto par la main et l’amène dans le canapé.
Le dogue vient faire sautiller ses quatre vingt dix kilos autour de Jacques. Sa gueule est à quelques centimètres de lui, sa langue pend. Jacques le sent autour de ses fesses. Il lèche les dégoulinades sur celles-ci. Jacques ne peut réprimer un hoquet de terreur. Il sent sa truffe à quelques centimètres de son cul. Sa langue se remet à lécher ses fesses. Sa langue râpeuse lèche son anus, elle remonte son anus vers le haut, pour bien humecter son cul. Il sent le monstre s’animer de plus en plus. Sa truffe flaire son cul. Jacques râle de peur, mais cela n’a l’air que de l’exciter encore plus.
Jacques entend Nicole et son amant au fond sur le canapé se donner du plaisir. L’homme est entrain de la baiser. Sa Nicole râle son plaisir et l’homme y prend du plaisir.
Sidéré jacques entend sa femme lui crier. – Vas y, baises moi à fond, défonces moi, comme Jax défonce Rex.
Jacques reconnaît le bruit caractéristique du canapé qui tape dans le mur.
– Allez, vas-y baises moi ? Il entend le rythme du canapé s’accélère.
– T’aimes la queue toi hein ? T’aimes te faire baiser à quatre pattes hein !
Puis Jacques sent que le dogue pose ses pattes avant sur son dos. Il crie et remue du bassin pour le dissuader de faire ça ! Jacques sent sa verge pointue forcer sur ses couilles. Ses pattes l’agrippent de ses griffes sous les aisselles. Il crie et bave de douleur. Nouvelle tentative du dard sur son périnée. Jacques serre son anus au maximum, ce qui ne fait que couler un filet de sperme. Des flots de sa salive de Jax coulent sur son dos, ses griffes se contractent. Jacques a à présent tout le poids du dogue sur son dos.
Une nouvelle tentative lui indique, qu’il a trouvé son bonheur, la pointe de la verge se frotte à sa rondelle distendue et gluante. Aussitôt, il lui laboure le dos pour assurer sa prise et lui plante ses griffes dans la combinaison, sentant que sa chienne n’est pas consentante. La douleur est vite oubliée, quand d’un coup vigoureux du bassin, sa queue démesurée le pénètre brutalement.
Jacques prend une grande inspiration et faillit s’évanouir. Ses jambes et ses bras tremblent. Le dogue le sodomise par des coups de reins, rapides et puissants. Jacques entend la respiration haletante de Jax dans ses oreilles. Sa gueule ouverte laisse prendre sa langue. Son bassin vient s’écraser sur son dos. Jax tient Jacques en tenaille, il n’est qu’une source de plaisir pour lui. Puis, il s’arrête, son dard a pénétré au fond de son cul. Jacques sent une boule grossir à la base de sa bite.
Elle grossit encore et encore. Il sent ses intestins se dilater, ils sont obstrués, il est enculé, possédé par ce monstre. Il reprend ses soubresauts encore plus violemment, la boule lui ruine l’intérieur, Jacques serre les dents.
Soudain un flot impressionnant de sperme gicle de sa queue démoniaque, lui remplissant encore plus le ventre.
Son gémissement derrière son dos déclenche ce qu’il sentait venir, incrédule, depuis qu’il le laboure comme sa chienne. Jacques explose de plaisir les yeux hagards, tous ses membres contractés.
Son sexe éjacule des flots de sperme, une jouissance inédite le submerge. Jacques met du temps à comprendre, qu’il prend un immense plaisir, avec Jax, qui l’a tout naturellement traité comme sa chienne en l’enculant et en y prenant du plaisir. Sa boule l’emplit encore et ne dégonfle pas. Sa femme crie et jouit bruyamment pendant que l’homme la bourre à grands coups de rein. Jacques enrage de l’entendre jouir, ça l’excite comme un fou, car lui aussi jouit.
Mais ce n’est pas fini.
Il entend sa femme reprendre son souffle. Le bruit lui indique un changement de position.
– Tu vas voir, comme on les baise les putes dans ton genre.
Sa femme pousse un cri de surprise. L’homme ahane et a accéléré la cadence. Elle râle fort à présent, ensuite, l’homme jouit bruyamment en la traitant de pute. Jax et Rex sont collés l’un à l’autre. C’est l’incroyable pour Jacques, après avoir joui intensément. Il sent sa bite se tendre et durcir, à cause de la situation. Nicole et son amant sont en pleine baise. La situation l’excite d’autant plus.
Enfin, le dogue peut se dégager et le libérer. Jacques se retrouve le cul exposé à reprendre son souffle et ses esprits. Le dogue se nettoie soigneusement la bite, assis par terre à côté de lui. Il attend que son maître ait lui aussi, tiré son coup avec cette femelle qui râle de plaisir.
Jacques attend lui aussi honteusement sa maîtresse tortionnaire.
Elle finit par venir vers lui, elle le libère de ses liens, sans un mot. Jacques retrouve sa position habituelle. Elle s’accroupit alors, à côté de son visage. De la voir avec ses cheveux en sueur et avec des traces de spermes sur ses lèvres tuméfiées l’excitent terriblement. Elle lui caresse le dessus de la tête, passant sur les griffures laissées par Jax.
– EH ! bien ? Dis donc, c’était chaud bouillant vous deux ? A voir ton cul fontaine, Jax a pris son pied. Hou ? Mais qu’est ce que je vois, toi aussi, on dirait.
Elle montre faussement innocemment les jets de sperme au sol.
– Non ? Tu as joui ? Jax, tu entends ça ? Rex adore ta queue !
– Roberto, tu entends ça ? On a trouvé une véritable pute à chien !
– Tu sais que Roberto a tout un chenil ? Nous avons hâte de te voir au milieu de sa meute te faire saillir
Nicole s’allonge sur le dos devant Jacques et écarte les cuisses. – Nettoie-moi la moule et le cul avec ta gueule ! Avale la semence du maître de Jax ? Après, tu nettoieras les traces de ta saillie par terre ! Roberto et Jax partent en laissant Rex à son nettoyage.
Nicole est devenue une experte de l’humiliation et la sentir nue se frotter à lui, ça le fait bander à nouveau. Ses propos qui lui rappellent sa honte d’avoir joui, l’excitent encore plus.
Elle le sait bien. Elle prend alors, sa queue dressée sous son ventre et d’une main experte, elle lui serre la queue de plus en plus fort et tire en arrière au maximum.
– Alors ? Ma chienne ! Nous le savions que tu prendrais goût à te faire monter à la chaîne !
Il n’en faut pas plus, pour Jacques jouisse à nouveau instantanément devant Nicole.
C’est là, qu’elle lui annonce, qu’il mérite d’être traité comme un animal qu’il faut dresser et c’est pour ça qu’ils vont faire un tour dehors pour qu’il fasse ses besoins.
Sam Botte
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