La vengeance s’enclenche
Les ennuis de Julie commence Aujourd’hui, vers dix heures, lorsque Ivan, le responsable de l’atelier, se pointe dans son bureau.
– Julie, tu nous as caché des choses, petite coquine !
– Bonjour Ivan, que veux-tu dire ?
– Laisse moi ta place deux minutes. Il s’assoie derrière son bureau, se saisie de son clavier et ouvre internet sur une adresse d’un site X pour adultes, à sa grande surprise.
– Ivan ! qu’est-ce que tu fais, tu n’es pas bien ?
– Laisse-moi faire, tu vas voir ?
Il clique sur, oui, à la réponse demandant de confirmer qu’il a plus de dix huit ans et là elle croit qu’elle va avoir une crise cardiaque. Julie se reconnaît tout de suite sur les photos qui sont à l’écran, c’est elle.
Elle se fige immédiatement, une photo prise dans sa salle à manger. Elle la présente allongée sur la table, la robe relevée sur ses reins. Les jambes écartées et entre elles, un homme entrain de la baiser, le visage est remplacé par une tête de chien.
Elle comprend immédiatement que cette femme ainsi à demi dénudée et en pleine copulation, c’est bien elle.
Ivan, de son poste jubile en contemplant la belle Julie pâle comme une morte, il sait déjà que la proie est ferrée, rien ne sert maintenant de la bousculer, elle a déjà subi un chantage, elle y a répondu par une veule soumission, il pressent qu’elle se soumettra au chantage que tôt ou tard, elle suivra la voie de la vengeance de Sam.
Ivan regarde l’écran et les autres photos avec elle, Julie voudrait disparaître. Il n’y a pas que les photos, les internautes ont laissé des commentaires sous les photos, c’est ignoble. – Cette pute est à baiser a plusieurs ? Une vraie salope, on voit qu’elle aime ça ? Il faut lui donner des bites à sucer à cette pute ? Ma préféré est celle avec le grand balaise dans son derrière. Tout à fait d’accord, avec ce qui lui arrive dans les fesses, elle me fait bander. Moi c’est la dernière photo avec ses deux trous ouvert coulant de sperme, une vrai pute cette salope !
Le visage enfoui entre ses deux mains, Julie cherche à adopter une contenance impassible alors qu’en elle bouillonne en asseyant de se souvenir. Sur les photos, ce sont deux hommes différents qui la baisent et la sodomisent ainsi, même sur le lit conjugal. Bien sûr les visage sont remplacés pa r une tête de chen, mais l’on peut bien voir qu’elle en jouit aisément. Comment prouvé que cela s’apparente à un viol.
Tous se qu’elle peut se rappeler, c’est qu’après son anniversaire, elle avait la vulve et l’anus irrités pendant au moins trois jours. Elle avait pensé qu’André son mari, avait abusé d’elle cette nuit là, alors qu’elle devait être un peu saoule. Elle ne lui en avait pas parlé, préférant le silence aux reproches. Le plus gênant pour elle est de voir que l’homme qui la baise a une tête de chien, lui fair naître une démangéson dans sa chatte et ça la trouble énormément
Julie émerge enfin de la stupeur dans laquelle elle est plongée, d’un œil discret elle s’assure que personne ne remarque son trouble, tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes, peut penser un observateur neutre. Ivan, la fixe narquois, bien qu’elle cherche à l’éviter, elle doit pourtant affronter son regard, elle n’y parvient pas détournant les yeux devant son aplomb. Toute son attitude indique sa certitude de la dominer, il la dévisage tel un aigle toisant sa proie, ce qui ravive encore ses craintes. Comment dispose t-il de ses photos ? Que va t-il faire ? Tout ça ne présage de rien de bon.
– Très joli ? Tu as un beau cul et de très beaux seins ?
– C’est horrible, il faut supprimer tout ça.
Il lui explique que seule la personne qui a mis les photos peut les enlever. C’est horrible. Ivan trouve au contraire ces photos très bien, elle ne sait pas si cela la rassure. Julie le supplie de ne pas en parler, il ne faut pas que le patron et son mari le sachent. Il lui explique que lui aussi a un site érotique, sur lequel il met des histoires qu’il a vécu. Son site n’a pas de photos, il cherche justement un modèle.
Elle est complètement chamboulée par la découverte de ses photos, elle n’ose même pas envisager qu’il lui propose de faire des photos pour son site.
– Tu me réponds ? Peut-être préfères-tu que je transfère ces images sur les autres postes de travail ?
Immédiatement cette menace la secoue, paniquée à l’idée de voir ses exploits connus des autres employés, elle répond rapidement.
– Non ! Ne fait pas cela ? Je t’en prise. Que veut tu ? On peut discuter.
La réplique fuse, claire et nette.
– Alors Julie, es-tu prête à m’obéir, à faire ce que je veux ?
– Oui ! je ferais ce que tu voudras. Tout.
– Que portes tu sous ta jupe ma jolie ?
– Mais ? En quoi ?
– Tu me le dis oui, ou non ? Collant, bas, culottes que sais-je encore, que portes-tu ?
– Je ? Je porte ? Des bas auto fixant et ma culotte.
– Très bien ma jolie, alors si tu ne veux pas que je j’envoie ces photos sur les écrans de l’entreprise. Vas aux toilettes. Tu enlèves ton slip. Et tu viens te poster à ma gauche. Et tu me la donnes ? Dépêches toi sinon.
La menace est claire, ou elle obtempère. Ou il met sa menace à exécution. Mais peut-elle en prendre le risque ? Elle doit se décider et vite.
Affolée, elle se lève lentement et se dirige d’un pas lourd vers les sanitaires, elle y entre furtivement, ne provoquant d’ailleurs aucun intérêt particulier, à part pour Ivan, la chose parue bien naturelle à tous.
Enfermée dans les toilettes, la tête vide, elle s’exécute. Le cœur battant la chamade, sa douce parure de soie glisse de ses cuisses, elle la froisse entre ses doigts, elle la roule en boule. La dissimule au creux de sa paume, elle se sent plus nue que nue, avec son cul touT nu son sa jupe. Ensuite, elle sort et se dirige lentement vers Ivan toujours assit à son bureau, aux côtés duquel, elle se poste comme demandé.
Tout de suite, comme elle l’a craint, elle sent la main de Ivan s’insinuer sous sa jupe ? Dans un réflexe mécanique, elle serre les jambes, cherchant machinalement à lui interdire l’accès à son sexe, sans se démonter, il la gronde à voix basse :
– Tu ne devrais pas. N’oublie pas ce que tu risques.
Avec un faible soupir, résignée, elle doit se résoudre à l’invraisemblable, elle se laisse peloter par se salaud.
Il lui pince les chairs, il l’oblige à écarter largement les cuisses, il se régale maintenant de cet endroit si doux joignant le haut du bas au bas du sexe. Inexorablement elle sent la main fouineuse se rapprocher de sa vulve, elle doit se contraindre à ne laisser percevoir aucun trouble lorsque de la tranche de la main, il entre en contact avec ses lèvres. Puis lentement, Ivan savoure visiblement cet instant fatidique, il exerce une pression plus ferme frottant cette fois le dos de sa main sur sa vulve. Toujours aussi délicatement, il fait coulisser le revers de sa main dans son entrejambe entièrement livré à ses manipulations, elle sent son sexe s’entrouvrir, ses chairs frissonner, quelques allées et venues et déjà, malgré elle, son sexe, comme doué d’autonomie, accompagne le doux frottement.
Constatant, avec un large sourire la capitulation de ses sens, Ivan lui susurre :
– Alors ma belle. Tu n’aurais jamais cru ça ? Que ta chatte puisse réclamer des caresses que ton esprit refuse. Tu ne te serais jamais crue si faible.
– Non. Je t’en prie ! J’ai ? J’ai trop honte.
Réussit-elle à murmurer, affolée de sentir son sexe s’ouvrir lentement à la caresse.
Subitement, elle prend conscience que depuis six minutes, elle se tient figée au dessus de l’épaule du responsable d’atelier, un coup d’œil furtif lui permet de voir que personne ne se pose encore de question. Son poste de travail est presque isolé des trois autres secrétaires, elle est soucieuse de ne pas attirer l’attention sur attitude. Elle rassemble son énergie pour adopter une attitude plus professionnel.
Elle se penche vers l’écran, elle tend le doigt comme pour désigner une erreur et commente :
– Tu devrais revoir cette zone. La compléter peut être ?
Malheureusement pour elle, en se penchant en avant, elle livre totalement son entre jambe déjà bien ému à la lubricité de Ivan soudain enfiévré.
Retournant sa main avec promptitude, il profite immédiatement de l’accès que son inconséquence lui occasionne.
Ses doigts peuvent empaumer la moule frissonnante, il pousse son avantage, débusquant de l’index le petit clitoris qui déjà se déploie fièrement. Il le masse en gestes lents, tendres, tout en introduisant deux doigts joints dans sa moule soudain embrasée. Bientôt il sent ses doigts se poisser de secrétions liquoreuses, leurs allées et venues au plus secret de l’intimité de Julie, déclenche le processus amoureux dans son antre. Avec une gêne envahissante, elle sent se manifester sa liqueur féminine. Sa grotte réagit aux attouchements langoureux, ses muscles internes pressent les doigts fureteurs pour mieux les garder prisonnier. Un dernier geste de son tourmenteur la chavire, en effet, le pouce qui jusqu’ici traînait inactif s’enfonce sans le moindre préavis dans son anus qui avait oublié de ce genre de caresse.
Elle s’écartèle discrètement, lui laissant toute liberté de jouer à la pince chinoise, pouce et doigts se referment alternativement sur son périnée si sensible.
Elle voudrait faire cesser les agissements d’Ivan à son encontre, mais elle se voit contrainte d’admettre que son corps répond de plus en plus aux sollicitations de l’Ivan, dans une danse discrète. Elle chaloupe de la croupe s’empalant plus fortement sur les doigts fouisseurs, enfin dans un soupir discret, elle avoue sa jouissance à son tourmenteur. Ivan, fier d’avoir fait jouir la belle secrétaire rien qu’avec ses doigts. Il la libère de son emprise et toujours avec ce satané sourire narquois aux lèvres il admire son sang froid, car, bien que des vagues de jouissance courrent encore dans ses reins, elle s’applique à rester professionnel.
Julie ferme Internet et ce tourne vers Ivan.
– Je t’en prie, Ivan, ne dit rien à personne.
– Pourquoi ? Je trouve ces photos très bien. Qu’il lui répond d’un air narquois.
– Je t’en supplie Ivan, je ?
– Écoute, on peut en discuter, si tu acceptes de contribuer à mon site ?
Elle blêmit. Elle a peur, elle veut gagner du temps.
– D’accord, on peut en discuter, mais en attendant tu gardes ça pour toi !
– Très bien, viens chez moi ce soir, après la sortie du travail, on verra les conditions ? Lui propose Ivan.
OUUFF ! Elle n’a plus qu’à le convaincre d’en rester là, elle a au moins un peu de répit.
Mais comme s’il lisait dans ses pensées, elle entend effondrée Ivan lui dire :
– Ne te trompe pas, c’est à toi de me convaincre d’accepter ta collaboration sur mon site en échange de mon silence. Tu as intérêt à en être très persuasive. Et pour ton info, j’aime bien ta petite culotte, donne la moi.
Lui ordonne Ivan en tendant sa main. A contre cœur, elle lui donne sa petite culotte.
– Merci !
Lui dit-il dans un grand sourire en sortant du bureau.
Sam Botte
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