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Histoire taboue La vengeance impitoyable d’une jeune mariée Chapitre 5

Histoire taboue La vengeance impitoyable d'une jeune mariée Chapitre 5
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La soumission

Julie regarde l’heure avec angoisse, elle réalise encore qu’elle n’a pas vraiment eu le choix.
Elle ne sait pas si quelqu’un a assisté à son comportement d’abandon a son poste de travail, mais à cette heure, elle s’en fiche. Quelle honte, pourtant, quand elle ce revoit, écartant les cuisses discrètement, pour laisser Ivan jouer à la pince chinoise. Elle revoit son corps répondre aux sollicitations de l’Ivan, dans une danse discrète. Elle chaloupait de la croupe s’empalant plus fortement sur les doigts fouisseurs, en jouissant. Dans son ventre elle sent un poids continu, une envie de faire l’amour. Il va la baiser, il ne la violera pas, mais il la baisera.

Elle arrive chez lui, à ladresse indiquée. Un joli pavillon entouré d’un magnifique jardin, avec sûrement un chien derrière a entendre les aboiements.
Ivan la reçoit courtoisement. Elle remarque cependant une certaine satisfaction chez lui. Immédiatement, son sang se glace quand son regard aperçoit deux verres vides et une bouteille d’alcool sur la petite table de salon entre les deux fauteuils et le canapé. Ivan se rend compte de sa surprise car aussitôt il lui dit :
– Rassure toi, nous sommes seuls.
Le ton est autoritaire, elle n’ose pas l’interroger sur la présence des verres et de la bouteille.
– Met toi à l’aise !

Il avance ses mains vers ses épaules, il déboutonne lentement un à un les boutons de son chemisier qu’il ouvre pour mettre ses seins en pleine lumière, délicatement l’en débarrasse. Elle tremble, car elle ne peut s’enlever de la tête qu’il mate. Il sourit légèrement, affichant sa satisfaction. Il se plaque a Julie, colle sa bouche à la sienne pour l’embrasser. Elle n’ouvre pas la bouche pendant qu’il l’entoure de ses bras pour dégrafer son soutien gorge.
Finalement résignée, elle ouvre la bouche pour lui accorder un mélange de langues en laissant son soutien gorge rejoindre son chemisier sur le canapé.
Face à elle, il pose son regard sur sa poitrine dans la même gestuelle qu’un voyeur. Son trouble est brûlant. Il voit que les pointes de ses seins se dressent dans une supplique pour être touchés. Elle se rend compte qu’involontairement, elle tend sa poitrine vers lui, vers ses mains à la recherche de cette caresse. Il empoigne doucement les deux sphères, les soupèse, en dessine les contours, en estime la fermeté. Il se met à jouer avec leurs pointes qu’il fait rouler entre ses doigts. Subjuguée, elle garde son regard fixé dans le sien, à la recherche du moindre signe. Elle pense alors qu’il cherche à la déstabiliser encore plus en affichant une certaine indifférence.
– Tu as vraiment des seins superbes ma Julie. Ils sont chauds et ta peau est douce comme j’aime.

Elle reste tétanisée quelques secondes, incapable du moindre geste.
Ses doigts tremblent, sa bouche est sèche. Elle sent le désir monter en elle et l’envahir sous la forme d’une chaleur qui l’envahit entièrement. Il l’enlace à nouveau, leur bouche s’ouvre, elle s’abandonne au baisé. IL passe ses doigts dans la ceinture de sa jupe, lui fait faire un demi tour et comme l’ouverture est dans le dos de Julie. IL déboutonne l’ouverture et la jupe tombe à ses pieds.
Dans l’abandon du baisé, d’un coup de pied elle envoie sa jupe au loin.

Ils se décollent, il la regarde dans les yeux ?
– Quelque chose te trouble ma Julie ? Pourtant, avec les autres sur les photos, on voit que tu as joui comme une salope.
Ses mots la blessent, il cherche à la rabaisser. Ainsi il a senti son abandon sous son baisé. Il reprend ses caresses, tout en lui roulant une pelle. Il lui branle le clitoris entre son pouce et son index pendant que son son annulaire et son auriculaire lui masturbe la moule baveuse. Une agréable chaleur envahit son ventre. Petit à petit, elle s’abandonne aux douces caresses. Il la force à m’allonger sur la table base. En femme soumise, elle écarte les jambes pour faciliter l’accès aux doigts qui ouvrent ses lèvres intimes. Ivan la regarde, le sourire vainqueur de celui qui à obtenu ce qu’il voulait, posséder l’instigatrice de la débauche de la femme de son ami, pour l’humilier. Elle commence à ressentir du plaisir

Elle a honte de s’abandonner à ses caresses, mais cette honte, cette humiliation se transforme en excitation. Elle ce soumet à cet homme. Elle sait depuis le début dans le bureau, qu’elle fera n’importe quoi pour qu’il ne dise rein a son mari. Il ne veut que son plaisir sexuel croit elle. Oh oui ? Elle va ce faire baiser ? Au point où elle en est, elle n’a plus rien à regretter. Elle est une femelle excitée.

Comme Ivan s’est placé, jambes légèrement écartées au dessus de son visage, elle a une vue imprenable sur son énorme paire de couilles et sur sa queue qui n’a rien à envier aux acteurs de porno. Pourtant, elle en a vu des bites, surtout lors du viol de cette dinde de Nicole. A la vue de toutes ses bites en actions elle a mouillé énormément sans jamais en profiter.
Julie a son sexe appuyer contre sa bouche avec une pression de sa main pour le sucer. Elle cède, elle a une envie folle de la prendre en bouche. Julie ouvre ses lèvres et avance sa bouche pour faire rentrer son sexe. Elle est surprise de sa grosseur et l’engloutit a moitié. Cette sensation est impensable, elle maintient son va et viens sur sa tige raide avec sa bouche pour cueillir la bite décalottée. Ça faisait si longtemps qu’elle avait envie d’une autre que celle de son mari.

Chaque fois qu’elle avale son sexe, il remonte son bassin pour venir au plus profond de sa bouche, il faut dire qu’elle a assez de mal a l’engloutir entièrement. Il maintient la caresse dans son vagin et rajoute un doigt supplémentaire dans son puits d’amour. Julie a sa chatte ouverte a ses caresses. Elle sent son pouce lui caresser l’anus d’un mouvement circulaire. Il sort ses doigts de sa grotte et porte son pouce a la bouche de Julie pour qu’elle le lubrifie. Julie arrête ma fellation et suce son pouce qui le replace aussitôt à l’entrée de son anus. Il replace deux doigts dans son vagin et commence progressivement à rentrer son pouce dans son anus.

Cette sensation est agréable, le battement du cœur de Julie se répercutent au bout de ses seins et sur son petit bouton d’amour. Sa respiration s’accélère, ses gémissements aussi. Elle se cambre sur la table pour mieux aspirer les doigts qui la branlent, qui doigte son clitoris mis à nu, elle se tord comme un ver sous les vicieuses caresses. Tout en le suçant, elle atteint l’orgasme, tout son corps se met à vibrer, pris de violent spasmes. Au même moment, elle sent des jets de sperme puissant gicler au fond de ma gorge. Ivan est en train de se vider les couilles. Elle lui fait tous ce qu ‘elle n’a plus fait à mon mari depuis longtemps, sucer et avaler.

Ses gémissements s’accélèrent aux rythmes des coups de reins d’Ivan. Julie atteint le deuxième orgasme dans un râle de plaisir. Mais il en veut plus. Elle devient son jouet sexuel, elle est entièrement soumise à ses caprices, son corps lui appartient, il en tire le meilleur parti, réveillant la salope qui sommeille en elle. Désireuse d’en avoir plus, elle passe une main derrière les fesses d’Ivan pour le sucer encore jusqu’à lui redonner l’envie de la baiser.

Ivan se relève et se déshabille. Les yeux rivés sur lui, son trouble s’accroît quand elle le voit se lever et se diriger vers elle. Complètement nu, il s’avance vers elle. Il se glisse entre Ses jambes et les écarte largement.
– Tu es une bonne soumise. Je crois que tu es assez chaude pour me recevoir en toi. Je vais te baiser. Interdite, elle reste muette à attendre son bon plaisir. Ses mots l’excitent. Elle va être sa chose. Jamais, elle n’a ressenti un tel désir pour un homme. Ce désir est pervers elle le sent, mais elle ne peut s’y soustraire.
– Je te veux salope. Je veux te prendre à ton mari, à tes amants, à tes amis.

Tous ces mots l’enivrent. Elle n’en apprécie pas réellement la teneur ni les conséquences, mais ils la comblent. Instinctivement, elle remonte et écarte ses jambes pour s’offrir sans vergogne. Devant l’offre, Ivan se met à genoux entre ses jambes, ses lèvres entrent en contact avec celles la moule de Julie. Comme une ventouse, elle se collent et aspirent la cyprine de son puits d’amour. Julie a l’impression qu’il va aspirer tout son corps, qu’il va l’absorber. Il aspire, elle se vide, ses liqueurs ses humeurs, tout, elle lui donne tout. Un autre orgasme s’annonce. Il s’en rend compte. Il sait la faire jouir avec sa langue. Mais sait il qu’elle en désire plus ? Une seconde fois elle a envie de lui crier de la baiser. Il se détache d’entre ses jambes.
– Tu es prête. Je vais te baiser. Mais d’abord tu va découvrir un plus.
Il se relève, la prend aux épaules et la fait ce lever.

Mélanie tremble, elle a peur, mais comme elle le sait, elle est prête à tout pour son silence. Il prend un foulard dans le tiroir près de lui, le lui passe sur les yeux et avec précision, il l’enserre autour de sa tête pour la rendre aveugle complètement. Il s’éloigne de quelques centimètres d’elle, il la contemple. Le trouble de Julie s’accroît quand il la fait tourner sur elle-même.
– Tu as un beau cul aussi. Je sais qu’il n’est vierge.

Elle écoute, acquiesce, entend. Oui, elle le laissera l’enculer, alors qu’elle n’a laissé son mari le faire trois ou quatre fois seulement. Aujourd’hui, elle le réclame presque. Il vient poser ses mains sur ses épaules et l’invite à s’agenouiller sur le fauteuil.
Il se place à ses côtés et d’une main il lui caresse un sein et de l’autre il lui flatte les flancs et les fesses. Il lui écarte les cuisses pour lui ouvrir les entrailles. Soudain elle réalise que dans cette position et ainsi orientée, elle offre une vue imprenable a d’éventuelle visiteur.

Elle dresse l’oreille à la recherche du moindre bruit qui lui révélerait une présence. Elle sursaute quand elle sent son doigt reprendre l’exploration de son anus. Il tourne autour, le presse. Les ondes de plaisir que cette caresse déclenche, parcourent tout son corps. Cette sensation est si différente de celle qui prend naissance dans son vagin ou sur son clitoris. C’est la sensation de la soumission. Offrir ses entrailles à l’homme est le signe de la soumission absolue. Et quand le premier doigt la pénètre, elle a du mal à retenir un râle de plaisir. Après une crispation réflexe, son sphincter se relâche, s’ouvre et s’avance pour le recevoir plus profondément.
– Dis-moi, il semblerait que tu es sensible du cul. Je veux t’entendre le dire.
– Oh ! Oui, Ivan.
– Quoi ? Précise ?
– Tu me fait du bien avec tes doigts.
– Mes doigts qui t’enculent ?
– Oui, c’est ça.

Julie vient à peine de prononcer ces mots que le bruit d’une bouteille qui heurte un verre se fait entendre. Elle se fige. Il s’en rend compte.
– Soit, tranquille belle salope. Tout doux, n’aie pas peur, je suis là !
Elle est pétrifiée. Elle en est sûre maintenant, qu’elle est offerte à d’autres yeux. Elle panique, mais au lieu de chercher à démasquer l’intrus, de se révolter, elle se met à geindre sous le doigt qui la fouille. Elle a envie de s’offrir en spectacle. Comme, petit à petit, elle se relâche, son tourmenteur lui susurre à l’oreille.
– Tout doux ma belle pute. Tout doux. Tu vas connaître un grand plaisir.

Il termine sa phrase, elle sent sa main s’abattre sur sa fesse avec une violence inattendue. Elle pousse un cri de surprise, mais aussi de douleur. Instinctivement elle resserre ses cuisses quand une autre claque s’abat sur son derrière. Elle veut lui dire d’arrêter, mais aucun son ne sort de sa bouche.
– Tout doux ma belle ! Tout doux. Imagine tes fesses rougies par cette fessée m’excite. Imagine à ton tour qu’on te regarde, que de nombreux hommes assistent à ta débauche. Tu aimerais ?

Elle n’arrive encore pas à répondre. Elle a la certitude qu’ils ne sont pas seuls. Et l’excitation s’accroît à cette idée.
– Réponds-moi salope.
Son ton s’est raffermi.
– Tu sais que je suis a ta merci, que tu peux faire ce que tu veux de moi, tu me tiens. Qui est-il ?
– Tu ne le connaît bien sûr !

Au lieu de lui répondre, il se place de côté et s’éloigne d’elle. Il la laisse là nue, offerte à la vue d’un inconnu. Elle sent qu’elle mouille de plus belle. La situation est fort excitante et pour rien au monde elle souhaite enlever son bandeau.
– Cambre toi bien. Je veux que tu plaises à ces yeux qui te regardent.
Sans hésiter, elle s’exécute, ce cambrant au maximum pour faire ressortir ses rondeurs.
– Très bien ma pute. Tu es obéissante.

Au lieu de la blesser, ces mots lui chauffent les entrailles. Pas besoin de voir, il sait qu’elle lui obéit.
– Maintenant montre nous ton sexe et ton petit trou. Ouvre toi.
Et encore une fois, la tête appuyée sur le dossier du fauteuil pour libérer ses mains, elle écarte les deux globes de ses fesses pour offrir son intimité à ses voyeurs. Le silence qui suit est lourd. Personne ne bouge, si bien qu’elle en arrive à douter d’une quelconque présence.
– Tu veux qu’on te baise ? Ma salope !
– OOH ? Oui ! Mais que toi, je ne suis qu’a toi Ivan.

Soudain, elle perçoit nettement le grincement d’une chaise au fond de la pièce. Quelqu’un s’est levé.
– Enlève les mains de tes fesses, mais reste le cul bien haut.
Julie est terrorisée. Quelqu’un s’approche, elle en est sûre. A quatre pattes sur ce fauteuil, le cul dirigé, orienté vers cet inconnu. Il lui prend les mains qu’il porte aussitôt sur le dossier sur lequel repose sa tête. Elle est en position de soumission absolue. Elle se rend compte que cette soumission devient excitante. Car s’il est sadique avec elle, la réduisant à un simple objet sexuel, réduisant ses résistances, elle y prend elle-même un plaisir jusque là jamais ressenti. Jamais elle n’avait été attirée vers cette pratique.

Devrait-elle demain s’exhiber pour jouir ? L’idée lui fait peur. Mais à ce moment précis, elle mouille et cela doit se voir avec sa vulve ouverte.
Julie rendu aveugle, il l’affiche vers des yeux, des regards bien réels, dont elle ne sait rien. Une onde, une vague un frisson envahit la totalité de son corps.
Ses bras, ses jambes, ses mains se mettent à trembler, pourtant elle reste là. C’est la soumission suprême, abandon de toute pudeur. De l’exhibition a cet inconnu qui la regarde, qui la voit et voit la profondeur de son âme. Qui assiste au spectacle de cette femme s’abandonnant à ce point. Elle a envie de pleurer et en même temps besoin de jouir.

Soudain une pensée traverse son esprit, elle pense à son mari et a ce qu’elle est en train de faire. Elle est désorientée, mais le désir d’être possédée par un homme est toujours le plus fort. Elle va le laisser faire d’elle ce qu’il veut.
Son désir est un mélange de dépendance de sexe et de désir. Elle s’imagine qu’elle est sous l’influence d’une quelconque drogue. Mais là, elle n’a pas cette excuse d’être sous l’emprise d’une molécule. C’est son âme qui réclame. Son âme qui commande à son sexe, sa libido et qui l’appelle à succomber et se soumettre.

Elle a le désir et en même temps elle a peur de l’inconnu personnalisé dans cet inconnu qui, elle le sent, s’approche d’elle vulnérable. Le bandeau qui la prive de la vue et cette position si humiliante, les fesses écartées, ouverte aux désirs d’inconnus. Soudain, sans vraiment les contrôler, elle se surprend à relâcher les sphincters de son anus. Suprême offrande ? Elle ouvre encore plus l’accès à ses reins. Sans plus aucune défense elle s’abandonne. Encore une fois, elle en appelle à la déchéance.

Elle sent couler le long de ses cuisses cette liqueur, abondante, débordante. Elle découvre que jamais, elle n’a autant mouillé. Tant de cyprine libérée est le juste témoin de son acceptation à cette situation.
Mais ? Qu’ils lui prennent la moule, le cul, tout son corps leur appartient. Et sa vie aussi. Elle est tellement excitée dans l’attente d’être prise qu’elle ne réalise plus ce qu’elle risque. Sans protection, sa vie est en danger. Ivan, elle le sait sain, mais l’inconnu ? Elle en oublie même qu’elle peut être toujours féconde.

Ivan s’écarte lentement d’elle, elle panique, elle a peur qu’il l’abandonne à cet inconnu qu’elle sent s’approcher inexorablement. Elle écoute, elle est prise d’un tremblement incontrôlable. Elle sent des mains se poser sur son dos, lui flatter le flanc comme s’il voulait calmer un cheval fougueux.
– Tout doux ma belle. Tout doux. Tu es venu pour ça, tu sera la star de mon site.
L’inconnu s’approche, elle le sait, elle le perçoit. Tout en elle se tend vers ce contact qu’elle recherche. Que tout en elle réclame. Elle a trop envie d’une queue en elle.
Elle n’en peut plus. Elle est excitée au point de se laisser prendre par n’importe qui. Ivan en a décidé ainsi. Il va la faire baiser par un autre, il sait qu’elle s’offre soumise à lui.
– Baisez-moi vite ! Qui que vous soyez, baisez-moi ?
Julie l’impression que ce n’est pas sa voix. Que ce n’est pas elle qui vient de parler. Elle est en ce moment tellement différente de ce qu’elle est. Julie n’a plus qu’une envie, c’est de jouir, jouir, au delà de toute convenance et prudence. Elle en est à supplier un inconnu, de la baiser.
Déjà elle imagine son sexe en elle. Elle sent ses chairs brûler d’attendre. Elle a froid, elle a chaud, elle ne sais plus. Elle devient folle.

La crainte de l’inconnu est bien là, précise, le désir de succomber est encore plus présent.
– Tu es belle ma nouvelle salope. Je vais faire de toi la plus grande des salopes.
Ivan est là tout près. Veut-il la faire souffrir en la faisant languir ? Elle sent son haleine, sa voix est chaude. Lorsque sa bouche effleure la peau tendre de son cou, elle tremble de plus belle, elle est traversée par une onde de plaisir. Elle ferme les yeux pour se replier encore plus en elle. Pour goûter encore plus cette impressions de le sentir excité d’elle.
Il cherche à la tranquilliser et lentement, elle arrive à contrôler ces manifestations de panique.
– C’est bon, Ivan. Je me sens bien.

L’inconnu n’est pas loin, elle le sait. Prêt à la saillir. Quand il le voudra. Quand Ivan lui en donnera le signal. Ils sont suspendus à son bon plaisir.
D’un seul coup, le contact s’établit. L’inconnu la touche. Jusqu’à présent tout était dans la suggestion, l’imaginaire. Mais, cette queue dure et droite qui vient de toucher ses fesses est bien réelle. Julie a sursauté, cependant Ivan lui caresse doucement le front pour la calmer. Elle transpire tant elle a chaud. Un silence lourd rend davantage excitant cet instant.
Puis un doigt glisse sur sa peau se pose le long de l’entrée de sa moule sans pénétrer. Ensuite, il remonte de quelques centimètres et vient toucher l’anus tout relâché.

Ivan est tout près d’elle, il l’encourage à s’abandonner.
– Pousse, ouvre tes entrailles Julie, ouvre toi ?
Ces mots résonnent dans sa tête. Elle croit avoir déjà atteint le sommet de l’humiliation, mais elle se trompe. Elle devrait se révolter, fuir cet homme machiavélique. Mais non, obéissante, elle contracte son ventre comme pour faire sortir ce besoin imaginaire. Elle sent ses sphincters s’ouvrir, se déplier.
– C’est tout bon ma belle salope, ça va être bon d’être ma salope ? Tu vas voir ?
Julie boit ses paroles qu’il susurre près de son oreille. Ce n’est pas son doigt qui à présent joue avec son anus. Elle le sait. C’est celui de L’inconnu.
Le supplice est maintenant à son comble. Aveuglée, elle commence à percevoir plus qu’elle n’a jamais perçu. Les odeurs, les sons, les contacts, tous ces stimulis sont d’une intensité multipliée, la mettant encore plus sous leur dépendance.

Le doigt qui joue avec son sphincter déployé lui procure des sensations nouvelles. Elle n’aime pas top la sodomie pour la sodomie. Elle est encore étroite en cet endroit et espère bien le rester. Mais là ? Il s’agit de s’offrir à qui veut l’enculer, car là le mot change, elle fait don de sa personne, elle est disposée à devenir l’esclave de cette queue qui souhaite s’introduire dans cet orifice si intime.

La douleur présente quand l’anus se prépare à la dilatation au moment de l’introduction, se transforme vite en une jouissance qui mélange plaisir sexuel et plaisir moral du défendu, de l’interdit. La jouissance explose quand la semence, détournée de sa vocation, inonde les entrailles avec force et puissance.

A cet instant elle a envie d’être baisée par le cul. Ivan a déjà failli la faire jouir tout à l’heure. Ces mots vulgaires se bousculent dans sa tête. A son oreille, il a compris son trouble.
– Celui qui te fouille en ce moment, il est là pour enculer ma salope. Il a vu combien tu as réagi à mes caresses anales tout à l’heure. Rien ne lui a échappé. Je le sais, il a une grosse bite. Je veux voir ta soumission. Il te connaît et tu le connais, mais tu ne sauras peut être jamais qui t’encule cet après midi. Je veux que tu lui demandes clairement de le faire.

Comme elle s’apprête à obéir, le bruit d’une chaise qui glisse se fait nettement entendre au fond du salon en même temps qu’on repose un verre sur la table de salon ? Un autre spectateur assiste à sa soumission. Un nœud enserre sa gorge. Elle a peur, mais vite il la rassure.
– N’ai pas de craintes. Je ne souhaite que ton plaisir et le nôtre. On t’écoute.
Mais pourquoi la faire parler ? Pourquoi s’obstiner à lui faire avouer sa déchéance. Et pour qui ? Son sadisme est sans limites.Elle lui a certifier plusieurs fois de se soumettre à lui, à lui seul pensait elle. Exhiber son corps, son intimité ne lui suffit pas. Il veut mettre sa dignité à nu, faire de sa honte un moyen de pression, ou alors c’est pour s’exciter, ou pour l’exciter et ça il a réussi.

– OH !! Oui, je veux être enculée par cette grosse bite dont tu me parles et que je sens contre mes fesses.
– Julie ? Es tu une femme fidèle ?
– Oui, je n’ai jamais volontairement trompé mon mari, je ne sais qui m’a entraînée dans un piège adultérin.
– Alors là, tu te rends comptes que tu va le tromper de la manière la plus vulgaire qui soit ?
– Oui et cela m’est égal ! j’ai trop envie, de sentir en moi une grosse bite. Tu m’as rendu folle a m’exciter de la sorte pour que je perds tout contrôle.

Elle a dit ces mots très vite, sans ce rendre compte de leur importance ni du pourquoi de ces questions. Deux inconnus entendent cette confession, ainsi que deux cameras qui enregistrent ses fait et gestes et ses paroles. Il y a aussi Ivan et il va mettre ça sur son site. Et sans qu’on lui le demande, elle rajoute.
– Je veux bien que d’abord on me sodomise.
C’est le signal pour l’homme planté derrière elle qui introduit brutalement son index dans ses chairs anales si fragiles, cependant si offertes. Le doigt tourne, retourne, masse l’intérieur de son anus. Cela lui procure des frissons. Le doigt ressort pour mieux pénétrer à nouveau et cette fois il est accompagné d’un autre, plus gros. Tous les deux massent l’intérieur, dilatent l’entrée. Sans plus aucune volonté elle s’abandonne dans un râle de satisfaction.

Les deux doigts quittent l’anus et viennent recueillir et se charger de sa mouille qui dégouline de son vagin. Pas besoin de rentrer, tant elle est abondante. Impossible de renier son excitation. Elle comprends très vite pourquoi. Ils retournent contre son anus qu’ils pénètrent sans plus aucune difficulté. Ce petit manège se reproduit plusieurs fois. Elle sait que son baiseur dilate le conduit pour mieux l’investir.
– Tu es prête ma salope? Prête à la sodomie tant réclamés ?
– OH ! Oui, que je suis prête.

C’est à ce moment, qu’elle sent la chaleur et la dureté d’un gland appuyer et forcer l’entrée de jardin secret. Elle ce retient de crier.
L’inconnu reste en position, comme dans l’attente d’un signe. Elle sent alors ses mains caresser ses fesses, remonter sur ses hanches. Elle ne reconnaît pas la peau de cette main qui la touche, elle pense que cet homme lui est étranger. Les deux mains glissent dessous, lui caressent le ventre puis remontent jusqu’à ses seins qu’elles englobent avec douceur d’abord comme pour en estimer l’élasticité, la fermeté. Cette douceur calme la peur qui l’habite. Elle la rassure et la réconforte dans l’idée qu’elle est aimée. Mais bien vite la violence remplace la délicatesse.

Les mains pétrissent ses seins ajoutant à son plaisir.
– Prend-là maintenant, elle est chaude. Profite-bien de ma salope. Elle est à toi.
C’est un nouveau coup de poing au ventre qu’elle ressent en entendant ces mots prononcés par Ivan. Elle l’accepte, elle lui est à présent entièrement soumise.
Sans un mot l’homme contre ses fesses, la saisit aux hanches et l’attire à lui. Il va l’enculer. Il vient d’en recevoir l’autorisation dont il n’avait pas besoin.

Le gland qu’elle perçoit maintenant dans son volume pousse, presse l’anus déjà quelque peu dilaté par ses doigts. La douleur d’abord accompagne la résistance. Elle lâche un râle plaintif. Il pousse encore. Alors pour en finir de cette phase douloureuse, elle avance son corps vers cette bite pour l’aider à la pénétrer. La douleur s’accroît. La pression augmente, elle se crispe, refusant d’aller plus loin. Il est trop gros, ? Elle a trop mal.
– Détends-toi ma belle salope. Accepte cette queue dont tu as envie .

Il a bien compris que la douleur peut la faire renoncer. Alors elle se lâche. Tous ses muscles se décontractent. Pour le gland, la voie s’ouvre et d’un coup de rein l’homme s’introduit en elle. Profond, dur, long. Elle ne peut retenir ce râle que l’on interprète comme le signe de la victoire. Ça y elle est enculée. Planté au plus profond de ses entrailles, la bite reste immobile. L’explorateur a conquis, il savoure sa victoire. Après quelques secondes, il commence à bouger lentement pour ressortir. Le gland frotte ses chairs brûlantes. Puis brusquement il s’enfonce encore plus loin en elle, lui arrachant un autre râle. Mais le plaisir l’envahit, elle gémit, ça c’est sûr elle va jouir.

L’inconnu qui sent qu’elle monte dans la jouissance, accélère son rythme. Sa bite glisse à présent sans difficultés dans ses entrailles. Il s’enfonce plus loin en elle, très loin. Lentement, le plaisir gagne et envahit toutes les parties de son corps. La bite accélère, elle a du mal à contenir ses gémissements et ses plaintes. Elle sent la bite d’Ivan effleurer les lèvres de sa bouche. Il doit être excité de la voir prise par un autre que lui. Il voit qu’elle prend du plaisir.

Le sang bourdonne dans ses tempes, un énorme orgasme éclate, elle va mourir, de la  petite mort.
Quand elle revient à la vie, l’homme lui pilonne toujours le boyau. Apparemment il n’a pas joui. Elle entend Ivan l’encourager, comme s’il montait une jument.
– Allez ! Allez ! Va y ! Remplit-là ?
L’assaut final approche, l’inconnu pousse des grognements, se cabre et planté profond d’elle, il éjacule sa semence. C’est trop bon de se sentir envahie, remplie par cette liqueur chaude. Les sens de Julie en ébullitions perçoivent avec précision les nombreux jets de sperme contre les parois de ses intestins. La jouissance n’est pas loin, pour une deuxième fois.

L’homme repus, met quelques secondes à reprendre son souffle. Le bruit de leur respirations s’estompe. Elle se rend compte qu’un autre corps s’est approché, silencieux. L’autre inconnu est presque à la toucher. Elle ne peut s’empêcher de tourner la tête derrière pour essayer de savoir. Ses yeux toujours entravés, elle cherche à voir avec ses autres sens. Il est là. Ils sont là ! Pas besoin de ses yeux !
– Qui est là ? Combien vous êtes ?

Comme seule réponse, elle reçoit une claque sur une fesse. Puis une deuxième. L’inconnu qui vient de la sodomiser, la fesse comme pour la punir où bien encore pour affirmer davantage son emprise sur sa personne. La chaleur sur sa peau, elle la ressent comme une marque de propriété, comme cela se fait avec le bétail !
– Elle est bonne non ?

Personne ne répond. Elle aimerait qu’ils fassent entendre le son de leur voix, pour savoir. Cette phrase elle la reçoit comme une nouvelle gifle que Ivan lui inflige pour la réduire à un simple jouet sexuel offert à l’avidité d’inconnus. En même temps, elle croit comprendre que ses paroles veulent signifier sa soumission d’être si docile à ce laisser baiser et ainsi d’assister à sa déchéance. Mais son désir n’en est que plus fort, plus entier.

Derrière elle, l’inconnu lui saisit les fesses à pleines mains, les pétrit avant de se retirer de son boyau. Le bruit mouillé d’un vide que l’on libère, se fait entendre. Ensuite, celui de l’air qui s’échappe de ses entrailles. Elle a honte, elle ne peut rien pour faire taire cet horrible et lamentable épanchement. Le silence qui plane dans la pièce s’ajoute à son humiliation.
Un mouchoir se glisse entre ses fesses et essuie le sperme qu’elle sent s’écouler de son orifice anal.

L’inconnu derrière s’éloigne. Elle a peur que l’autre qu’elle a entendu se rapprocher, la prenne alors que ce n’est pas à lui qu’elle a promis tout son corps. Elle s’exhibe par ses cris, ses gémissements, ses odeurs, ses bruits plus ou moins incongrus. Elle lui dévoile sa jouissance. Les humiliations subies, les mots crus, sont autant d’insultes pour sa dignité de femme bafouée, son intimité exhibée à d’autres sont autant de preuves de sa soumission.

Une main caresse sa joue et la tire de ses pensées. Elle attend l’autre inconnu sans s’en rendre compte. Cependant, elle ne veut pas qu’il la pénètre. Elle veut garder son puits d’amour pour Ivan. Depuis qu’il travail dans la même entreprise, elle s’est souvent imaginée au lit avec lui, ce rêve aujourd’hui devient réalité, il doit le concrétiser.
– Baise-moi, Ivan ? Je t’en supplie. Prend-moi, je suis à toi à présent.

Elle sait bien qu’elle s’abaisse à le supplier, mais c’est plus fort qu’elle. Son ventre le réclame, son corps l’invoque, elle devient folle, car elle sait qu’il va enfin la baiser. Ses deux mains sur les hanches, qui caresse son corps ? Une main se glisse entre ses cuisses et remonte jusqu’à sa moule.
– Tu mouilles ma salope. Tu as aimé te faire enculer ?
– Oh ! Oui Ivan, c’est ce que tu voulais n’es ce pas ?
– Ton mari le fait souvent.
– Non je lui ai souvent refusé, sauf deux ou trois fois.
– M’abandonneras-tu ton cul pour l’offrir à d’autres, si je te le demande ?
– Oui, autant que tu le désire, je suis à toi, tu le sais bien.
– Ta moule aussi ? Autant de fois que je le souhaiterai ?
– Oh ? Tu es un monstre ! Oui, ma moule, mon cul, ma bouche, tout ce que tu veux, je t’appartient.

Elle ce rend compte à ce moment, qu’elle est folle de répondre. Elle ne sait pas qui écoute et ne mesure pas les conséquences des ses aveux. Une des mains de Ivan quitte ses hanches, passe derrière son cou et brutalement la débarrasse du bandeau qui la prive de la vue. Il lui faut à peine quelques secondes pour recouvrer efficacement la vue.

Là, son sang se glace, ses tempes se mettent à bourdonner, ses lèvres à trembler. Elle voit ? Deux caméras sur pied avec leur micro, elles sont en train de tournées, elles ont filmées toute sa déchéance et ses paroles. Elle comprend que son calvaire ne fait que commencer, avec le film qu’il détient d’elle, elle ne voit pas comment, elle peut soustraire à l’avenir de sa volonté, déjà elle admet son futur esclavage, elle n’envisage même pas de se rebeller. Elle regarde tout au tour d’elle, il ne plus sont que tout les deux ?
– Viens ma salope. Je vais moi aussi te baiser. Moi, j’aime les femmes qui aiment le sexe. Proclame Ivan en écartant ses cuisses et elle peut enfin voir son sexe.

Elle n’en revient pas qu’ils soit si long et si gros. Le gland arrive au niveau du nombril de Ivan.
– Mais, il fait combien ? Demande-t-elle en bégayant.
– Vingt six centimètres pour te servir. Lui répond David.
– Il est bien trop gros pour moi ? Il me semble en avoir vu un de semblable ? S’interroge Julie.
– Mais non, les chattes, ça s’adapte ? Je suis sûr que tu peux t’enfiler la bouteille de coca !
Lui répond Ivan.

C’est une petite bouteille de coca traditionnelle, qui est sur la table à côté des verres.
– Tu crois ? Demande naïvement Julie, soudain inquiète ?
– Allonge-toi sur le canapé ! Tu vas voir, lui a répond Ivan. Soumise, elle s’allonge et relève les jambes en écartant les cuisses. Il prend une bouteille de coca et il lui enfonce le goulot. Ce n’est pas très difficile, pense Julie. Il la fait bien jouir avec le goulot de la bouteille en imitant le coït, il lui fait avoir un orgasme. Il profite de son orgasme pour enfoncer la bouteille et en forçant un peu, il la pousse pour qu’elle disparaisse complètement dans le puits d’amour de Julie. Ses lèvres vaginales se referment sur le cul de la bouteille.
– Ça fait pas mal ? Se dit Julie intérieurement ! Ça a fait mal au début mais maintenant qu’elle a disparu dans son ventre, c’est plutôt agréable, qu’elle pensé encore.
– Relève tes fesses ! Lui commande soudain Ivan.
Qu’est-ce qu’il veut faire ? Elle passe ses bras sous ses jambes, elle sent qu’il pose ses mains sur ses fesses, alors elle comprend ce qu’il veut faire. Avant qu’elle ne puisse réagir, il a enfoncé son gros membre dans son anus encore graisser de son dernier visiteur.
– Tu me fais mal ! Lui cri t-elle !
– Mais, je crois que tu aimes le sexe, non ? lui répond Ivan.
– Oui, mais pas comme ça ? Gémit elle !
– C’est ça aussi le sexe ! Et tout plein d’autres choses.

Elle ne peut pas s’y opposer et d’ailleurs, son vagin est déjà occupé et chaque fois qu’il est complètement enfoncé dans ses fesses, son ventre pousse sur le cul de la petite bouteille et elle réalise qu’elle va encore jouir. Sa jouissance est imminente. La conjugaison du contact de la bouteille avec sa queue et de la situation sont trop d’impulsions répétées pour elle. Elle halète, elle veut se retenir comme pour asservir son plaisir et le sien.
Dans son cou, il la couvre de baisers. Ses deux mains sur ses seins. Doit- elle lui prendre la bouche ? Une onde de plaisir jamais ressentie parcourt son corps. Elle sent qu’elle perd conscience quelques secondes avant qu’une jouissance extrême la submerge.
Il reste planté au fond d’elle, immobile. Ils goûtent tous les deux ce bonheur chargé de volupté du moment. Puis il recommence un va et vient qui devient infernal, à chaque fois qu’il s’enfonce dans ses reins, son pubis vient taper sur le cul de la bouteille, le goulot de la celle ci vient frapper sur le col de son utérus qui s’ouvre sous la poussée.
Elle ne peut plus se retenir et dans un gémissement qui ressemble plus à un cri d’amour, elle laisse son orgasme l’envahir et entraîner le sien, alors qu’elle ressent les premières giclées de sa liqueur. Elle ne sait combien, mais l’éjaculation est interminable.
Ils reprennent lentement leur esprit. Il bouge langoureusement en elle, comme une caresse intime, douce, envoûtante. Sa jouissance ne faiblit pas cependant, elle en réclame encore.
– OH ! Continue ! Reste-en moi.
Julie est comblée, heureuse. Elle réalise pleinement ce qui vient de se passer. Cela devient clair et limpide pour elle. Elle est devenue sa soumise, sa salope comme il dit, elle sait que c’est ce qu’il veut faire d’elle, une salope. Il sait rendu compte de l’ampleur de son plaisir, de son abandon, de sa soumission volontaire.
La tension diminue lentement dans la pièce dans laquelle flotte une douce et excitante odeur de sexe et de sueur.

Quand il ce retire, la bouteille ressort toute seule, ainsi que le sperme qu’il a déversé abondamment dans ses entrailles. Elle reste sans bouger sur le canapé.
– Alors, ça t’a plu ? Lui demande Ivan quelques minutes après, quand il revient dans le salon.
Lentement il lui tend ses bras et l’aide à ce relever. Il la tient dans ses bras, elle aime sentir ce contact corporelle.
Quand son visage est tout près de lui, il s’en saisit de ses deux mains. Ses lèvres s’approchent des siennes et ils échangent un baiser tendre preuve d’une affection qui s’installe entre eux.

Cet homme exerce sur elle une véritable pression. Elle doit en cet instant être à ses ordres ? Il peut lui demander n’importe quoi elle le fera.
– Je t’impose aussi un changement vestimentaire ?
– Oui ? Dit-moi.
– Demain, tu viendras nue sous tes vêtements ?
Julie est prise de court. Elle ne sait pas quoi répondre. Elle prend quelques secondes à réfléchir.
– D’accord.

Enfin levée, elle file dans la salle de bain, elle va se faire belle. Pas le temps de soins du corps, sa moule est encore bien claire au dessous de sa toison bien peignée. Ses grandes lèvres ont cette délicate couleur caramel au lait et dedans on voit poindre le rose délicat de son intimité. Elle sait qu’il a fait naître en elle une âme de soumise qui sera capable de tout subir. Ivan lui fait perdre la tête.
Julie ce rhabille est prend congé.

Dans l’auto qui la ramène à la maison, elle ne cesse de se dire combien cette aventure lui a plu. Elle a très bien compris le pourquoi et le comment des aveux qui lui ont été soutirés pendant ces moments de pure excitation sexuelle. Elle est sûre que Ivan a dans l’idée qu’elle pourra devenir plus souple à l’avenir pour des séances plus hardes. Ce en quoi il a raison. Elle s’est découverte des affinités pour des situations chaudes, le sexe pour le sexe. Et puis goûter à d’autres bites est une excellente éventualité.

Sam Botte

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