L’INVITATION
Le lendemain matin, vers onze Ivan vient chercher Julie à son bureau, car à présent elle est sa secrétaire. C’est le cadeau de Sam à son ami Ivan.
– Viens, je vais te montrer quelque chose ? Lui dit-il.
Il l’emmène dans une pièce au sous sol, en entrant Julie constate que c’est une pièce de sport. Il y a un portique auquel sont accrochés plusieurs agrès. En particulier, deux anneaux attachés à une corde permettant de les faire monter et descendre à volonté. Détachant la corde, il amène les anneaux à environ un mètre du sol.
– Déshabille toi et passe des jambes là dedans ! Tu vas faire le cochon pendu.
Julie enlève sa robe, avec l’absence de sous vêtements, elle est nue tout de suite. Elle passe ses jambes dans les anneaux et se reverse en arrière. Ivan, tire sur la corde, il remonte alors les anneaux. Il prend une barre d’haltérophilie qui se trouve à côté et s’en sert pour écarter les anneaux l’un de l’autre d’environ un mètre. Julie est ainsi suspendue la tête en bas et les cuisses bien écartées. Elle réalise alors ce qu’il veut faire. Son sexe est à la hauteur de sa bouche et la sienne est en face de sa bite.
Il l’attrape par les cuisses et il commence à lui lécher la moule, écartant ses grandes lèvres pour mieux faire pénétrer sa langue, il lui tète aussi le clitoris. Sa queue se presse contre la bouche de Julie. Elle commence par lui lécher le gland, lui attrape les couilles en les triturant et finalement, gobe son sexe. La langue d’Ivan continue à lui fouiller la moule à lui mordiller le clito. Elle sent que l’orgasme est proche. Elle gémit de plus en plus fort tandis que sa bite va et vient de plus en plus vite dans sa bouche.
C’est le premier soixante neuf vertical de sa vie. C’est sensationnel. Ivan a enfoncé aussi un doigt dans son cul. Il lui branle le cul à la même cadence qu’elle lui suce sa bite. Elle sent qu’elle va exploser. Ça y est elle jouit et il jouit.
Son sperme gicle dans la bouche de Julie, elle s’étrangle en essayant de l’avaler. Elle est comme vidée. Ivan la redescend. Ils reprennent leur souffle, allongés sur un tapis de sport.
Un peu plus tard, quand ils ont récupéré, il lui dit :
– Tiens ! je vais te montrer une autre position.
Un peu inquiète, elle le regarde.
– Tu vas repasser tes jambes dans les anneaux, mais cette fois-ci, tu garderas le corps vers le haut en te tenant aux cordes des anneaux. Un peu comme quand tu t’accroupis pour faire pipi.
Ne comprenant pas très bien où il veut en venir, elle replace ses jambes dans les anneaux qui sont dans le creux de ses genoux ? Elle se tient bien droite en attrapant les cordes des anneaux au dessus de sa tête. Ivan lève l’ensemble, replace la barre destinée à écarter les anneaux et elle comprend alors ce qu’il veut faire. Elle a maintenant le bassin en contrebas, les cuisses très écartées et le torse bien droit.
– Pour que tu ne fatigues pas trop en te tenant, je vais t’attacher les avant-bras aux cordes pour que tu puisses te détendre.
A l’aide de deux sangle velcros, il lui attache les avant-bras. Julie n’a ainsi plus besoin de se tenir. Les têtes sont à le même hauteur et leurs sexes sont en face l’un de l’autre.
Le fait que les cuisses de Julie soient très écartées lui permet de placer sa bite contre son puits d’amour. Sans se guider de la main, il s’enfonce doucement en elle. Sa bouche vient se plaquer contre la sienne, sa langue se mêle à la sienne. Ses mains se promènent sur ses seins, les malaxent, les caressent, les descendent le long de ses hanches et viennent saisir ses fesses, elles s’insinuent dans sa raie.
Julie a l’impression de faire l’amour en apesanteur. Il la balance, faisant ainsi aller et venir sa chatte sur sa bite. Il se branle avec son sexe. Julie ne sent plus que cette bite qui la pénètre au plus profond d’elle-même.
– Salut ! Je ne vous dérange pas !
Ils sursautent comme s’ils venaient de toucher un fil électrique.
Sam se tient à la porte de la pièce de sport.
Ivan se retire de la moule de Julie. Visiblement, la surprise ne l’a pas déstabilisé. Il bande toujours autant et sa bite est toujours aussi fièrement pointée vers l’avant. Il se tourne vers son ami :
– Non, pas du tout. J’avais une envie de profité du cadeau que tu m’as fait.
Julie a un peu honte. Ses parties les plus intimes sont exposées à la vue de son patron une nouvelle fois, sans qu’elle ne puisse faire quoi que ce soit pour les cacher.
Elle essaye en vain de se détacher, mais n’arrive qu’à resserrer ses liens.
– Mets toi à l’aise et viens nous rejoindre, ajoute-t-il à l’adresse de Sam.
– OK ! J’arrive.
– Détache-moi vite ! Je t’en prie ! Supplie Julie.
– Mais non, tu vas voir, ça va être bon !
Sam se débarrasse de son pantalon et de son slip et s’avance. Au fur et à mesure qu’il s’approche, sa queue se développe au fur et à mesure qu’il s’approche.
Sam s’avance en la détaillant de la tête aux pieds, il s’attarde plus particulièrement sur sa chatte Imberbe depuis peu. Ses grandes lèvres sont largement ouvertes et ses seins généreusement pointés en avant. Il s’arrête en face de Julie.
– Je crois qu’à présent nous nous pouvons nous embrasser.
Il plaque sa bouche contre celle de Julie et lui roule un patin qui la laisse au bord de l’asphyxie. Reculant un peu, il pose sa main droite sur un sein et le pétrit généreusement.
Julie baisse alors les yeux pour mieux découvrir ce qu’elle avait qu’entraperçu la première fois. Elle est dubitative devant le spectacle. Sa bite est de la même taille que celle d’Ivan. Ivan sourit malicieusement. Julie n’est plus du tout sure que cette arrivée soit vraiment accidentelle.
Comme pour me confirmer ce sentiment, Ivan s’adresse à Sam :
– Comment trouves-tu ma secrétaire ? Elle te plaît dans cette position ?
– Tout à fait ! Je la trouve très excitante.
– Tu sais qu’elle est a nous à présent.
En même temps indignée par le fait qu’il ne se préoccupe pas du tout de ce qu’elle pense, elle ne réplique pas. Sam, très à l’aise, s’approche de Julie, s’empare de sa bouche. Elle sent sa langue qui virevolte contre la sienne. Sa main droite est venue se poser sur sa hanche et descend le long de sa fesse pour venir se plaquer contre sa moule. Un doigt se pose sur son clitoris qui réagit aussitôt en se durcissant. Un autre doigt se fraye un chemin entre ses lèvres inondées pour se glisser dans ma grotte. Son autre main s’est posée sur ses seins et commence à les malaxer.
Retirant alors son doigt de son vagin, il prend sa bite et la dirige vers son puits d’amour. Sa bite est déjà bien mouillée, elle ne doit pas le laisser indifférent. Julie sent son gland qui s’approche de ses grandes lèvres, les force à s’écarter et s’enfonce doucement en elle. Écartelée comme elle est, inondés comme ils le sont tous les deux, la pénétration se fait sans douleur. Julie a l’impression que sa bite est sans fin. Enfin, elle vient buter au fond de sa grotte d’amour.
Plusieurs fois, Sam, arrive au fond de sa grotte, il arrive a rentrer son gland dans le col de son utérus. C’est une impression fantastique pour Julie et pour lui, car son gland est serré très fort. Elle a l’impression qu’il s’enfonce au plus profond d’elle. Elle sent son gland passer et repasser sur son point G. Il accélère son mouvement. Elle a fermé les yeux. Pour elle à ce moment là, plus rien n’existe que cette colonne de chair palpitante en elle. Ses mains qui lui malaxent, lui triturent les seins, sa langue qui s’enroule autour de la sienne.
Ivan, devant le spectacle qui s’offre à lui, ne peut s’empêcher de saisir sa bite et de se masturber en les regardant. Julie sent une jouissance énorme qui monte en elle. Un orgasme qui va la tuer. Et c’est l’explosion ! L’explosion de sa jouissance ! Elle jouit ! Elle crie sa jouissance ! Et c’est l’explosion de ce sexe dans son ventre qui n’en finit pas de déverser de longs jets de sperme qui coule entre ses cuisses.
Julie est comme vidée, inconsciente. Sam est toujours en elle. Son sexe, après s’être comme dégonflé quelques instants, se durcit de nouveau, emplissant son vagin. Elle le supplie :
– Pitié ! Mr Sam. Je vais mourir ?
– Mais non ! Tu vas voir. Ce n’est qu’un début.
Il reprend doucement son va et vient, ses caresses et ses baisers.
Ivan, vient se placer derrière Julie. Elle sent son gland chercher le trou de son cul. Il le guide délicatement. D’une légère poussée et sa bite s’introduit dans son rectum.
Dans un premier temps, Sam et Ivan alternent leurs mouvements. L’un entre, l’autre sort. Puis, au fur et à mesure que leur excitation augmente, ils pilonnent la croupe de Julie ensemble, la pénètrent tous les deux en même temps. Elle sent leurs quatre couilles s’écraser en même temps contre elle.
Son anus et sa chatte sont tellement inondés qu’un grand bruit de succion accompagne leurs mouvements. Julie sent un nouvel orgasme arriver, encore plus violent que le précédent. Ils ahanent comme des bûcherons, chaque fois qu’ils s’enfoncent en elle. Julie ne vit plus que pour ces deux bites qui la pilonnent et qu’elle sent se rencontrer dans son corp.
Ses gémissements se sont transformés en cris de jouissance.
Julie les supplie :
– Plus vite, plus vite. OUIII ! Plus fort ! Oh oui ! Je veux jouir ! OUIII ! Plus vite ! Plus vite ! Encore, encore ! Je vais jouir ! OUIIIII !
Ils déchargent quasiment ensembles. Leur jus coule par terre, faisant une petite mare blanche et mousseuse. Épuisés, ils se retirent. Ivan la détache. Julie n’est plus qu’une loque sans force. Elle ne sent plus ni sa chatte ni son cul.
Sam lui dit :
– J’aimerais que nous la baisions, Ivan et moi devant son mari. Et peut-être pourrions nous le faire participer ! Trois bites en même temps, cela doit être intéressant !
Cherchant à reprendre son souffle et ses esprits, Julie se blottit contre Ivan en le tenant par le coup. Elle s’adresse a Sam.
– Que me faite vous subir, vous êtes cruel avec moi ? Suis-je normale de jouir autant et si facilement ?
– Je te rassure, tu es toute à fait normale et tu n’as encore rien vu, car je compte bien utiliser tout ton potentiel et crois moi, il y en a !
Reprenant doucement ses esprits, elle prend consciente de leur discussion durant qu’elle était encore dans les relents de la jouissance, son cœur si met à battre plus fort et d’une voix presque timide, elle demande :
– Tout a l’heure vous étiez sérieux, pour la maison et mon mari ?
– Vous doutez de moi, bien sur que c’est sérieux.
– Mais je ne peux pas, comprenez moi, c’est difficile, comment ?
– Le comment ne nous importe pas, c’est à vous de faire ce qu’il faut, nous gérerons le reste.
Je vous donne une semaine au maximum pour organiser cette soirée particulière, entre-temps je vous souhaite une bonne journée.
Après que Julie a pris une douche dans le fond de la salle de sport, les deux hommes se sont rajustés. Julie reste là, seule pensant à comment elle allait bien pouvoir se sortir de cette délicate situation. Les inviter chez elle et leur présenter son mari, mais ils sont vraiment fous, c’est tout simplement impensable.
Et puis qu’est-que cela peut bien leur apporter, où veulent ils en venir, connaître André pour quoi faire ?
Maintenant qu’elle n’est plus sous l’emprise du plaisir, sa conscience reprend sa lucidité naturelle et elle est capable de mesurer les dangers d’une telle soirée. il lui est donc impossible d’accepter leur volonté, il faudra bien qu’ils le comprennent.
C’est avec cette idée rassurante qu’elle remonte au travail, déterminé à leur faire entendre raison, le plaisir oui, mais pas avec des risques inconsidérés.
Julie a une semaine pour leur annoncer son refus, cela fait déjà trois jours qu’Ivan ne la sollicite plus, il attend sa réponse. Elle se rend compte qu’elle est en manque du plaisir qu’il lui donne en la soumettant sexuellement bien sûr.
Elle redoute que si elle lui annonce son refus, qu’ils mettent en route la diffusion des photos hard d’elle. Ils ont été très catégorique sur ce point et elle ne veut pas courir ce risque.
Il faut qu’elle trouve une excuse valable afin qu’ils comprennent que leur demande est déraisonnable et impossible à tenir. Deux jours plus tard, Julie commence à angoisser, il lui faut trouver une solution très rapidement.
Elle a toujours cette envie de sexe qui la tiraille de plus en plus, malgré son mari qui la baise presque chaque soir tellement qu’elle l’allume, mais cela ne lui suffit pas, je désire aussi les intenses émotions que seul Ivan sait lui prodiguer.
A la fin de la semaine, elle en est toujours au même point et aucune solution en vue, mais elle a tellement paniqué à l’idée d’accepter leur ultimatum. Elle a tellement peur de perdre son mari et sa famille qu’elle ne peut que leur dire oui.
Sa décision est définitivement prise, tant pis pour elle. elle se résigne à penser que tous ces délicieux moments de plaisir font parties de sa soumission. Elle avait toujours résisté aux sollicitations des membres du club de son mari.
Mais après tout, ce genre d’aventures est sûrement exceptionnel à plus de quarante ans, elle pense qu’autour d’elle, dans toutes ses connaissances, elle dois être la seule à vivre çà. C’est ce qu’elle pense et cela lui permet d’avoir moins de regrets.
Julie sait que c’est un piège sournois qui vient de se refermer sur elle. Son propre mari est entré tête-bêche dans le stratagème, quand elle lui a suggéré d’invité a dîner un soir son patron avec son chef pour facilité une promotion dans son travail. Il a donné tout de suite son approbation.
Connaissant son mari, il va leur préparer le grand jeu et rien ne pourra l’arrêter, elle voit déjà à l’avance le tableau, il va falloir que je soit le plus sexy possible, la plus accueillante possible, souriante et très agréable avec nos hôtes.
Mon pauvre chéri, si tu savais, tu ne peux pas imaginer à quel point, ta femme c’est soumise a ces hommes plus pervers l’un que l’autre. Elle ne sait pas ce qu’ils leur réservent, mais si tu en rajoute de ton coté, elle craint le pire.
Une fois au travail, Julie a rapidement donné la réponse a Sam son patron :
– J’ai réussi à convaincre André, il croit que je vous invite à dîner pour facilité une promotion dans l’entreprise.
– Oui c’est bien çà, très bonne idée et plutôt excitante.
– Je dois vous inviter un soir à la maison pour les présentations
– Bien, alors organisez cela au plus vite car j’en connais un qui s’impatiente.
– Que diriez-vous de ce jeudi soir ? – Nous préférons le samedi soir, nous serons ainsi plus détendus les uns et les autres, c’est le week-end et la soirée peut s’éterniser tard dans la nuit.
– Bon, d’accord pour samedi soir, vingt heure, çà vous va ?
– Bon pour vingt heures, ça nous va très bien.
– S’il vous plaît, ne faite rien de mal, je ne veux pas le perdre.
– Jusqu’à ce jour, nous t’avons fait le moindre mal, plutôt du plaisir, beaucoup de plaisir, cela fait partie de ton éducation et tu as encore beaucoup d’étapes à franchir, laisses toi aller et fais nous confiance.
Ils veulent qu’elle leur face confiance, facile à dire car ils l’ont bien piégé avec ces photos, comment peut elle les croire à présent ? De toutes les façons Julie n’a pas le choix, il lui faut exécuter leur volonté et préparer cette fameuse soirée pour le samedi suivant.
Julie a peur, elle est néanmoins très excitée par une telle situation, ce mélange de peur et de plaisir est d’une puissance extraordinaire.
Ivan lui a fait découvrir d’autres formes de plaisir et à chaque fois cela est très intense, elle se découvre des limites inavouables pour une femme mariée. Jamais elle n’aurait pu penser assouvir autant de perversités et elle doit avouer qu’elle y prend de plus en plus de plaisir.
Malgré ses craintes et le fait d’avoir tenté d’éviter cela à tout prix , elle en est presque heureuse que l’échéance fatale approche, soit pour en finir soit pour l’immense plaisir qu’elle va en retirer.
En plus la présence de son mari augmente les risques de cette soirée sans le savoir, alors là elle s’avoue que son excitation est à son comble. Julie sent le plaisir monter en elle avec une irrésistible envie qu’on lui fasse du bien.
Les derniers jours passent agréablement très vite, car Ivan vient se faire sucer le matin et l’après midi dans le bureau. Elle avale sa semence avec délectation, un peu comme une reconnaissance de sa soumission.
Le samedi matin au petit déjeuné son mari lui apporte ses derniers conseils pour la soirée.
– Je veux que tu sois la plus sexy possible, ta petite robe noire, tu sais la courte et légère que j’adore.
– T’est pas bien, elle est trop sexy pour ce genre de soirée, en plus elle dévoile trop mes formes.
– Justement, ils n’en pourront plus et tu seras irrésistible, ils ne pourront rien te refuser.
– Tu abuses et ensuite je mets quoi ? – Je veux que tu mettes tes bas à couture ça embelli tes magnifiques jambes et tu mettras aussi ton petit string noir affriolant en dentelle.
– T’est fou ou quoi, que vient faire là mon string, tu ne vas quant même pas leur montrer mon intimité ?
– Mais non, çà c’est pour moi tout seul, j’aurais le plaisir de te savoir aussi désirable alors qu’eux n’en sauront rien, je trouve çà excitant pas toi ?
– Si çà te fait plaisir, tant pis pour toi mon chéri.
– T’inquiète pas je gère et j’aimerai aussi que tu ne porte pas de soutien gorge, ta poitrine est très belle et tu es bien plus féminine quant tu ne porte rien.
– Ben voyions ? Les seins nu en plus, tu ne crois pas que tu abuse ?
– Mais non ! mais non ! crois moi tu vas adorer, ça va te chauffer toute la soirée et c’est moi qui vais en profiter après leur départ.
– En profiter après leur départ, tu es sur de ce que tu dis ?
Julie n’en croit pas ses oreilles, son mari va la jeter dans la gueule du loup, il désire qu’elle s’habille comme une vrai salope rien que pour les séduire, vraiment il n’imagine pas ce qui peut se passer, n’ayant aucune idée de ce qu’ils sont capables de faire, ces deux là.
Mais après tout, en cas de dérapage cela pourra l’arranger, elle pourra toujours lui dire que c’est de sa faute, qu’il l’a trop exhibée et comme tout homme qui se respecte, qu’ils auront craqué et abusé de la situation, elle l’aurait prévenu.
Sam Botte
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