SACREE SOIREE.
La journée du samedi passe très vite et l’excitation de Julie est à son comble, elle ne peut que penser à ce que ces deux pervers vont lui réserver.
Elle prend un bain pour se relaxer, elle vérifie son épilation pour maintenir sa peau douce jusqu’à sa vulve qu’elle a rasé l’autre jour, elle est tellement douce sans aucun poil disgracieux, aucun homme ne peut y résister.
Brushing aérien, parfumé et bien maquillée, elle se sent très belle et désirable.
Julie a donc enfilé un mini porte-jarretelles avec des bas à couture de soie noir, comme convenu elle n’a pas mis de soutien gorges laissant ses seins à l’air libre. Cependant elle a tout de même désobéi en ne mettant pas de string car son Ivan lui a ordonné d’être totalement nue sous ses robes.
Julie se met devant la glace de sa chambre et elle y voit une très belle femme, apprêtée comme un cadeau que l’on va offrir, son corps ainsi orné appelle aux plaisirs de la chair.
Ensuite elle enfile cette fameuse petite robe noire, bien trop courte qui épouse parfaitement ses formes, comme elle le craignait, on distingue ses seins et les pointes qui s’érigent déjà sous le plaisir naissant, c’est plutôt osé, mais c’est son André qui la désire ainsi.
Julie a enfin mis ses plus beaux escarpins en vernis noir qui viennent parfaire sa tenue de femme fatale. Il y a quelque temps, elle n’aurait jamais osé se présenter devant d’autres hommes, ainsi vêtue surtout en présence de son mari. C’est une véritable invitation au crime, André souhaiterait qu’ils abusent de sa femme, qu’il n’aurait pas fait mieux.
Julie l’a prévenu, elle ne répond de rien, tant pis pour lui.

Son mari, quant à lui il a préparé la réception, traiteur pour le repas, champagne prévu de l’apéritif jusqu’au dessert et pourtant il sait qu’il monte trop rapidement à la tête de Julie.
Il a prévu une table ronde pour le dîner, cela sera plus convivial lui a t-il dit.
Il est presque l’heure lorsque il dit à sa femme :
– Tu es prête ma chérie ? Vient me faire voir comment tu es belle.
– Comment ça ? Tu ne comptes pas faire de bêtises, chéri rassure moi ?
– Mais non mon amour, c’est juste pour te dire qu’ils n’auront d’yeux que pour toi, il ne peut pas en être autrement, mais rassure toi je suis là.
Julie l’a donc rejoint dans le salon en se déhanchant comme les mannequins lors d’un défilé.
– Waouh ! Quelle beauté, tu es vraiment appétissante, je ne sais pas si nous allons pouvoir nous retenir ce soir.
Et il vient l’embrasser affectueusement sur la joue.
Dring ! Dring !
André met une tape amicale sur la fesse de sa femme et lui demande :
– A toi de jouer ma belle, va leur ouvrir la porte.
C’est avec le cœur battant qu’elle se dirige vers l’entrée, anxieuse et impatiente à la fois de revoir ses deux amants. Julie ouvre la porte et Ivan dit de suite :
– Bonsoir, que tu es ravissante ?
Repris immédiatement par Sam son ami et patron.
– Tout ça en notre honneur, mais nous ne méritons pas tant de beauté
– Je vous en pris messieurs, veuillez entrée, je vais vous présenter mon époux.
Ils la laissent passer devant et en profitent pour lui caresser les fesses au passage histoire de mettre l’ambiance pour le reste de la soirée.
Julie a immédiatement rougie comme une pivoine, la découverte de leurs mauvaises intentions confirme ses craintes et décuple son excitation.
Ivan lui chuchote à l’oreille :
– Je constate que tu ne portes pas de culotte, j’apprécie ton obéissance ma soumise.
– Bonsoir messieurs !
Reprend André qui se pointe au bout du couloir.
– Bienvenus chez nous, c’est un réel plaisir que de vous rencontrer, depuis le temps que Julie me parle de vous.
– En bien j’espère, car nous ne sommes pas toujours tendre avec votre épouse.
Tout en disant ces paroles, Ivan l’a regarde du coin de l’œil pour vérifier sa gène avant que son mari ne reprenne :
– Ce n’est rien messieurs ce n’est que le travail, il faut parfois être exigent, n’est-ce pas ?
– Vous avez parfaitement raison, nous ne sommes jamais assez durs et ferme avec les jolies secrétaires.
Ne voulant pas que cette discussion s’éternise au risque de toucher les points sensibles, Julie leur coupe la parole :
– Vous êtes tous des charmeurs, mais passons au salon pour prendre un apéritif.
– C’est vous la reine de cette soirée, nous ne pouvons que vous obéir.
Là encore, ils laissent le mari passer devant en direction du salon et en profitent pour lui peloter outrageusement les fesses tout le long du couloir.
Rien que ces petits gestes déplacés suffisent pour allumer le feu dans le ventre de Julie, encore cette fameuse peur mêlé au plaisir pervers qu’elle aime tant.
Elle réussit néanmoins à leur échapper de crainte qu’ils n’aillent trop loin et surtout trop vite.
– Installez vous, je vais vous servir.

André s’est posé dans un des fauteuils du salon, laissant ainsi les invités sur le grand canapé face à la cheminé, puis il leur propose :
– Que désirez-vous boire messieurs ? Si je puis me permettre, nous serons au champagne toute cette soirée, Julie adore çà et j’aime lui faire plaisir.
– Cela nous convient aussi, le champagne est une boisson agréable et d’ailleurs cette boisson divine transforme les femmes, rajoutant à leur beauté la légèreté du cœur.
– Mais vous êtes un vrai poète et vous allez faire rougir mon épouse.
– Mais votre épouse n’a pas besoin de champagne au regard de sa beauté.
Tout en riant André reprend :
– Il va falloir que je la surveille si je comprends bien, tu entends çà ma chérie.
– Je te l’ai bien dit que ce sont des charmeurs avec toutes les secrétaires.
Ils trinquent aux travailles et aux amours, mais au bout d’un moment son mari lui demande de s’asseoir.
– Chérie ! assied toi un instant, tu me donne le tournis en restant debout
Sauf que la dernière place disponible se trouve dans le fauteuil face aux deux compères.
Julie est donc installé dans le profond fauteuil, ce qui remonte immédiatement sa robe presque à la limite des bas, ce que personne n’a pu louper ni même son mari.
La scène est impudique et la rougeur de ses joues s’accentue rapidement alors que le mari regarde fièrement les invités que la position de Julie ne laisse pas insensibles.
André remplit de nouveau les verres.
– Nous nous sommes pas déjà rencontré ? Il me semble vous avoir déjà vu ?
– Effectivement, nous avons eu cette chance, c’était furtif lors d’un anniversaire à l’entreprise que je dirige.
Sam a réussit a lui détourner le souvenir de la soirée d’anniversaire de Julie. La quantité de drogue adsorbée ce soir là, a du leur faire oublié, ce qui s’y est passé.
– Oui bien sur, ça doit être juste après l’embauche de ma magnifique épouse.
En contrepartie, une étincelle jaillit dans la mémoire de Julie. Les photos prisent dans sa maison et cette soirée d’anniversaire remonte du fond de sa mémoire.
Sam rapporte toujours les discutions vers Julie comme pour la mettre mal à l’aise, c’est vraiment gênant vis-à-vis de son mari qui pourtant reçoit très bien tous les compliments qu’ils peuvent faire sur son physique.
– J’ai effectivement beaucoup de chance d’avoir une si belle femme et croyiez moi, elle est très convoitée si j’en crois les regards que les hommes portent sur elle.
Là encore, elle doit intervenir pour éviter que les discutions ne dégénèrent.
– Messieurs, nous ne sommes pas au travail et on peut parler d’autre choses, non ?
– Mais mon amour, au contraire c’est très intéressant, je découvre ton univers au travers de nos hôtes et quoi de plus agréable que de parler de ton travail.
– Tenez, vos verres sont déjà vides, tient ma chérie, je sais que tu aime çà.
– Doucement, tu sais bien que je ne tiens pas l’alcool.
– Oui mais elle te rend encore plus désirable.
Ivan en profite à son tour :
– Faites attention, plus désirable que ça et nous ne répondons plus de rien.
– Tu vois ces messieurs sont d’accord avec moi, trinquons à ta beauté ma chérie.
Ils discutent ainsi un bon quart d’heure, les verres se vident et se remplissent sans discontinuer, le mari sympathise avec les deux amants, ils rient et blaguent sur les femmes.
Julie a rarement vu André, aussi détendu avec des inconnus. On pourrait presque croire qu’ils se connaissaient déjà, l’alcool commence à chauffer les tempes de Julie, ce qui la libère aussi de tout tabous.
Julie rit avec eux, elle se penche en avant pour mieux les écouter. Elle laisse sa robe remonter jusqu’à dévoiler le haut de ses bas et son décolleté laisse entrevoir ses seins.
Les deux invités n’en ratent aucune miette. Devant le mari et sans aucun complexe, ils redoublent de compliments sur sa beauté, mais surtout sur son corps. André semble aux anges, naïf ou incrédule ?
Malgré l’état de gaieté lié à l’abus d’alcool, elle se rend compte que Ivan détaille très précisément ses courbes et ses formes anatomiques tout en parlant de vêtements, son mari le suit avec beaucoup d’intérêt, mais sans rien dire.
Sam se tourne vers Julie pour lui dire :
– Ma chère Julie, se serait agréable d’avoir un petit fond musical pendant ces intéressantes discutions.
Julie regarde son mari comme pour lui demander son avis, mais il est toujours concentré sur le discours de Ivan. Alors, elle se lève pour mettre un CD de jazz qui lui semble approprié. Elle se dit qu’effectivement ce fond musical rend le moment plus agréable.
En retournant me rasseoir, Sam lui fait signe en tapotant sur l’accoudoir du canapé près de lui et lui dit :
– Ma Julie, ne me laisse pas seul, vient là près de moi.
Elle regarde a nouveau son mari, l’air surprise comme si elle n’a pas compris la demande formulé.
– Tu as bien entendu, ne te préoccupes pas d’eux, ils sont trop occupés dans leurs bavardages, vient là à mes cotés, nous avons tant de choses à nous dire.
Sans savoir si elle doit le faire ou pas, elle s’approche doucement avec de nouveau cette angoisse malsaine qui lui porte au cœur, elle regarde vers son mari demandant ce qu’elle doit faire.
Mais son André ne semble pas percuter ce qui se trame, il est totalement concentré sur le discours de Ivan, qui tout en parlant la regarde avec des yeux gourmands, cherchant à lui faire comprendre que les choses sérieuses commencent.
Julie est horrifiée en entendant ses mots, il est fou, quoi qu’il fasse son mari va forcément réagir, il ne peut pas en être autrement.
Tout en restant fixée sur son mari qui écoute toujours Ivan, elle sent une main remonter sous sa robe jusqu’à venir lui peloter les fesses, elle stress le cœur battant et la peau moite.
Julie ne bouge pas d’un centimètre espérant que son mari ne s’aperçoive de rien, par contre elle sent très bien cette main qui la fouille carrément sous la robe. Des doigts inquisiteurs font des vas et vient dans le sillon de sa moule et entre ses fesses tout en la badigeonnant du liquide poisseux qui dévoile malgré elle le plaisir que lui procure cette situation.
Toujours en chuchotant, Sam reprend :
– Je vois que tu es toujours aussi réceptive.
Sa main parcoure plusieurs fois ses jambes, caresse le voile des bas pour venir se poser sur la chair de son entre cuisse, lui procurant a chaque passage d’agréables frissons.
Puis glissant un doigt sous une jarretière, il remonte jusqu’au bord de ma moule qu’il a parcouru lentement, appréciant l’absence totale de pilosité.
Son doigt ensuite s’immisce dans la fente humide séparant ses grandes lèvres qu’il décolle facilement. Ensuite, il glisse lentement au travers du sillon en direction de sa rosette jusqu’à venir sur ce petit trou interdit. Il fait cela avec une telle discrétion, semblant de rien, il regarde lui aussi vers les deux interlocuteurs qui ne se doutent de rien.
Poursuivant son discours, Ivan n’en est pourtant pas dupe. Il la regarde de temps en temps par-dessus l’épaule de son mari, cherchant à deviner sur son visage ce qui peut bien se passer sous la petite robe.
Julie entre petit à petit en transe, le traitement que Sam lui inflige presque à la vue de tous commence à porter ses fruits, elle a du mal à rester calme et immobile.
Ce salaud doit bien le sentir, car il décide de poursuivre sa fouille, mouillant son doigt dans sa chatte à plusieurs reprises. Il retourne appliquer ce lubrifiant naturel sur son petit trou, qui s’ouvre, ainsi il pénètre a chaque fois un peu plus dans son rectum.
Après quelques vas et vient, il entre la totalité de son doigt et reste ainsi sans bouger quelques instant comme pour habituer son cul à cette visite.
Au plaisir est venu se joindre la honte et l’humiliation d’être ainsi doigtée devant son mari qui fait toujours comme si de rien n’était, c’est irréel comment peut il ne s’apercevoir de rien et c’est ce point particulier qui excite autant Julie.
Elle sent à présent le doigt qui coulisse dans son cul cherchant à aller toujours plus profondément dans ses entrailles. Le mouvement est facilité par l’abondance de sa lubrification à tel point qu’il a joint un deuxième, puis un troisième doigt à la fête.
La corolle s’ouvre sans problèmes avalant tout ce qui se présente avec une facilité déconcertante et cela l’excite encore plus. Sam joue ainsi quelques minutes, lui arrondissant littéralement l’anus tout en faisant semblant de suivre leur conversation.
Julie a les yeux mi-clos savourant son plaisir, quelle salope, elle est donc devenue, non seulement elle prend un plaisir indescriptible à tromper son mari, mais là elle est presque en train de jouir devant lui sous les caresses d’un véritable pervers.
Une fois que son anus est bien dilaté, il vient ensuite faire le même traitement à sa chatte dans laquelle, il entre beaucoup plus facilement tellement elle est humide.
Sans le vouloir, en la fouillant, il touche à plusieurs reprises son clitoris qui sous ce traitement déclenche immédiatement les vibrations et les frissons qui la mène vers la jouissance.
Ayant compris qu’elle part pour le septième ciel, Sam stoppe immédiatement la vague dévastatrice en lui pinçant fortement le clitoris, provoquant ainsi une douleur très vive et insupportable, qui stoppe net la jouissance, mais elle ne peut retenir un petit cri de surprise.
– HUMMM.
Reprenant ses esprits, elle entend enfin son mari.
– Et bien chérie, vous faites bande à part ? Vient donc resservir nos verres.
– Ne bouger pas je vais le faire.
C’est tout naturellement et comme si de rien n’était que Sam se lève et remplit leurs verres et se tourne vers le mari pour lui dire :
– Votre épouse et moi nous refaisons le monde, elle est fâchée que vous ne parliez que de travail.
– Je la reconnais bien là, mais continuez donc à refaire le monde, nous nous discutons de l’ancien pays de votre ami et dont il me montre quelques photos très agréables.
André a bu pas mal de verres, car il semble comme sur un nuage avec un comportement naïf qu’elle ne lui connaissait pas, d’ailleurs elle réussit à apercevoir le clin d’œil que Ivan a fait à Sam. Alors qu’il revient vers Julie, ce qui lui laisse à penser que le pire est encore à venir.
En se rassoyant à sa place il replace immédiatement sa main sous sa robe pour se remettre dans sa chatte et la doigter de plus belle.
– Tu vois que tu n’as rien à craindre ?
Il l’a doigte ainsi pendant d’interminables minutes. Il la maintient au bord de l’extase sans pour autant la laisser jouir, elle est tellement excitée que sa liqueur coule le long de ses cuisses.
Au bout d’un moment malgré la tête dans les nuages elle l’entendu dire :
– Veux tu que je te baise ?
A-t-elle bien entendu ? Décidément là, il pousse le bouchon trop loin, elle lui répond le plus doucement possible pour que personne d’autre n’entende.
– Vous êtes complètement fou, me caresser en cachette passe encore. Mais pour le reste ce n’est pas possible.
– Je ne te demande pas si c’est possible, juste si tu en as envie ?
– Oui, bien sur, avec ce que vous me faite subir depuis une heure.
– Alors venez allons dans ta cuisine.
– Mais non ? Vous n’êtes pas sérieux ?
Sans attendre il se lève et passe devant les deux autres il leur dit :
– Pendant que vous vous amusez, nous nous allons préparer le repas.
Le mari regarde sa femme et en souriant il lui dit :
– Je vous en prie et faites ça bien, votre ami et moi nous nous occuperons du dessert.
Il ne pense pas si bien dire, Sam lui a tendu la main en disant :
– Vient Julie, nous avons du pain sur la planche.
Julie le rejoint sans dire mot, espérant se faufiler sans que personne ne la remarque, alors qu’elle passe juste devant son mari, il se lève et la prend dans ses bras pour l’embrasser en lui tapotant les fesses.
– Je compte sur toi mon amour, préparez nous un bon repas ?
Puis en se retournant vers Ivan, il lui dit :
– Venez Ivan, avec tout ça il faut que je vous montre mes photos
Et ils se dirigent vers le bureau pendant que Sam la prend par la taille en l’emmenant dans la cuisine.
La cuisine est ouverte sur le salon avec un grand meuble type bar qui fait office de séparation, en étant accoudé à ce bar, on a la vue sur la totalité du salon, de l’entrée et du couloir qui mène aux chambres ainsi qu’au bureau.
L’endroit est stratégique pour maintenir une surveillance en cas de retour du mari. Sam compte bien se servir de cet avantage pour abuser un peu plus de la secrétaire.
Sans dire un mot, Sam la pousse contre le meuble en pliant son bassin de façon à relever ses fesses. Julie reste ainsi appuyez sur ses avants bras le regard fixé sur le couloir d’où son cocu de mari peut surgir.
Julie sent ses mains sur ses fesses, les caressant comme un bel objet ? Il relève doucement sa robe sur ses reins faisant apparaître la blancheur de ses chairs contre lesquelles, il vient frotter son sexe bandé au travers du pantalon.
Se retirant, il lui écarte les jambes pour dégager la vue et le passage vers sa moule sur laquelle, il passe délicatement une main vérifiant du coup l’état de lubrification qu’il a provoqué quelques minutes avant.
Tout doit être comme il le souhaite, car elle sent ses doigts écarter les lèvres de sa moule et de les mettre profondément dans cette moule bien baveuse. Quelques vas et vient au ralenti finissent d’étaler la cyprine sur toute la surface de ses parties intimes.
Julie entend le zip de la fermeture éclair, aussitôt suivi du chaud contact de sa verge se posant sur son sillon. Quelques vas et vient du bassin font coulisser le sexe entre ses fesses en décalottant le gland a chaque passage, ce qui le lubrifie pour la suite.
Julie est concentré sur le couloir avec cette peur indescriptible de voir surgir son homme d’un moment à l’autre et qu’il la découvre ainsi dans cette position de femme offerte tout en se délectant de la perversité de la scène.
Comment pourrait elle lui faire croire que l’homme qui se vautre contre ses fesses nues, la bite à l’air ne fait rien de mal ? Que c’est un malentendu ? Que le fait qu’il veuille la prendre ainsi en levrette est en sommes, tout à fait normal pour un invité et qu’il doit être compréhensif ?
Rien que d’y penser cela décuple l’excitation de Julie. Finalement, elle croit qu’elle adorait que son André débarque juste au moment ou son patron lui enfoncerait sa grosse bite dans la chatte, qu’il constaterait qu’elle adore qu’on la prenne comme une salope de soumise et qu’elle aime le faire cocu.
Julie aimerait que son mari reste là a les regarder pendant que son patron continuerait à la baiser ? Qu’elle glousserait de plaisir à chaque coup de queue tout en le regardant dans les yeux ? Oh ! Oui, elle aimerait çà, cette pensée l’excite énormément.
Julie divague encore dans ses fantasmes, quand elle sent la queue pénétrer centimètre par centimètre sur toute sa longueur pour venir buter contre son utérus. Sam la tient fermement par les hanches et commence à la baiser lentement.
La scène est irréelle, Julie se fait prendre par son patron, chez elle dans sa cuisine et avec son homme dans la pièce à coté. Elle ferme les yeux pour se concentrer sur la colonne de chair qui lui écartèle la chatte. Elle apprécie chaque aller retour, qui lui ramone le vagin en espérant que cela dure le plus longtemps possible. – Tu es merveilleuse, c’est tellement jouissif de te baiser au nez et à la barbe de ton cocu, ça décuple mon érection. Tu aimes ça au moins, la soumise ?
– HUM ! Je vous en prie, taisez vous, baisez moi,vite ?
– Pourquoi vite, tu as peur ?
– Oui ! ils peuvent revenir ?
Sam accélère la cadence comme pour la rassurer, venant claquer contre ses fesses à chaque coup de reins, ce qui raisonne dans la pièce.
– Mais ? Vous êtes fou ! HUMM ! Ils vont entendre ?
– Alors puis-je vous enculer ?
– HUMM ! Tout ce que vous voulez ? Mais vite !
Julie est en transe au bord de la jouissance, lorsqu’il s’enfonce d’un coup son membre dans sa turbine à chocolat la dilatant sauvagement malgré l’importante lubrification, cela à immédiatement déclenché une première jouissance qui lui laboure l’épine dorsale jusqu’à la nuque.
Après une multitude d’aller retour puissants agrippé à ses hanches. Julie le sent se déverser dans son boyau, à chaque soubresaut de sa queue, elle prend une giclée de liquide chaud dans ses entrailles et ça la fait de nouveau fait jouir à en agripper les bords du meuble pour qu’ils ne tombent pas au sol.
Il s’appuie sur elle de tout son poids, la bite encore planté entre ses fesses, Max l’embrasse et la lèche dans le cou.
– Vous êtes fantastique et méritante, Julie.
L’excitation retombe vite, elle se rajuste tant bien que mal. Max prend un bouchon de champagne qui traîne là, il enfonce le bout rond dans l’anus de Julie qui se referme juste après le bout rond laissant la partie évasé en dehors.
– Comme ça vous ne tâchez pas votre siège.
Rigole Max.
Ensuite ils sortent rapidement le repas du traiteur. Julie est encore toute perturbé par ses émotions lorsqu’elle entend des rires venant du couloir.
Ils ont échappé au pire, car même si cela l’a fait fantasmer, elle ne veut pas faire subir cet outrage à mon époux.
– Ah ? Je vois que tout est prêt, alors passons à table mes amis, tient chérie assis toi là, juste entre nos invités, vous avez tellement de choses à vous dire.
Ivan décale ma chaise pour qu’elle s’assoit, par galanterie, mais aussi pour pouvoir lui frôler les fesses discrètement, il assoit à sa gauche et Max à sa droite, tous deux la regarde avec un sourire qui en dit long.
– Vous nous gâter mon ami, nous avons votre épouse rien que pour nous, vous ne pouviez pas nous faire plus plaisir.
– Du moment que vous n’en abusé pas ? Je vous la prête pour la soirée, mais sous ma surveillance, il va de soit.
Ils rient tous ensemble trinquant de nouveau au champagne, après avoir remplis également le verre de Julie, qui se tortille des fesses pour bien placer le bouchon qui est dans son anus.
Les deux compères la pelote sans vergogne sous la nappe, lui faisant remonter cette excitation malsaine en elle. Chacun leur tour, voir parfois les deux en même temps, ils la caressent et la doigtent devant André son époux qui incroyablement ne voit toujours rien.
Le repas dure plus d’une heure, Julie a la tête qui tourne et la chatte en feu à force d’être tripotée sous la table. Le champagne coule toujours à flot et son mari semble se fatiguer ralentissant ses phrases avec parfois des pertes de rythmes dans ses allocutions.
Julie sent que les deux lascars se sentent de plus en plus à l’aise devant son homme, ils cachent moins leurs mouvements. Lorsqu’ils passent leurs mains sous la nappe pour la caresser, mais ce n’est peut être qu’une impression pense telle. Il faut dire que côté sensations elle est au maximum.
André parle de moins en moins et semble vraiment fatigué. Julie a vraiment trop bu, car maintenant, elle rit ouvertement, alors qu’Ivan vient d’ouvrir son décolleté pour sortir ses seins à l’air libre.
– Messieurs ? Voyons cela ne se fait pas ! mon mari regarde.
Julie n’y croit pas, elle se laisse abuser là, à moins d’un mètre de son mari et lui il regarde sans réagir, c’est comme dans ses fantasmes les plus fous.
Les deux hommes poursuivent sa débauche, Ivan l’embrasse sur la bouche pendant que Max lui suce les tétons.
– Vous êtes complètement fous ? Il ne faut pas faire ça ici ?
Chacun plonge une main entre ses cuisses pour les saisir et les écarter au maximum. Ils passent ses jambes par-dessus les leurs de façon à la bloquer dans cette position indécente.
Sa robe est complètement remontée, Ivan lui la retire et elle reste là uniquement en porte jarretelles, les cuisses ouvertes entre les deux pervers qui la pelotent sans vergogne devant son homme.
Comme dans son fantasme, elle se laisse partir entre leurs mains.
– Ho !chérie, regarde,ce qu’ils font ? HUMM ! – Messieurs, ce n’ai pas bien ? Je suis une femme mariée.
Leurs doigts sont déjà dans sa grotte depuis un moment à l’ouvrir et la doigter pour lui faire sortir son jus. Ses tétons sont mordillées et pincés, elle sent des baisés dans son cou. Ivan l’embrasse et leur langue se mélangent. Julie fond sous se baiser d’amoureux, le plaisir vient de partout en même temps.
Soudain Ivan se relève et pousse tout ce qui se trouve sur la table, il la prend dans ses bras et la dépose couché sur celle-ci. La tête de Julie se retrouve juste à hauteur de la braguette de Max qui s’est aussi levé.
Ivan pousse ensuite sa chaise pour s’asseoir juste devant les jambes de Julie qui pendent dans le vide. Il agrippe ses cuisses pour les relever bien haut ouvrant sa moule juste devant ses yeux.
Julie sent immédiatement sa bouche se poser sur son sexe et sa langue humide lécher la raie sur toute sa longueur, pendant que Max a sorti sa queue en la présentant devant son visage.
Sous cet angle sa bite parait énorme, elle sent l’odeur de son ventre qui a été baisé, mais elle ne peut pas s’empêcher d’ouvrir la bouche en grand pour l’engloutir.
Max lui agrippe les cheveux pour aider sa bouche à coulisser sur sa tige, selon ses coups de reins, pendant que Ivan lui butine les muqueuses, léchant la peau sensible de son entre cuisses et lui mordille le bouton pour le faire grossir.
Sous le coup d’une première vague de plaisir qui la tortille dans tous les sens. Julie tend un bras vers son homme comme pour s’assurer qu’il est encore là ? Sa main prend la sienne en la serrant fort pendant qu’elle jouit sous la langue experte de Ivan.
André ne réagit toujours pas, mais regarde la scène les yeux grand ouvert, est-il consentant ?
Peut être qu’il aime çà, de voir sa femme offerte à deux mâles en rut ? Pourtant, aucun mec de la bande n’aurait oser faire ça, car André lui aurait cassé la tête. En tout cas, elle s’éclate sous tous les angles, suçant cette grosse tige qui la si bien ramoné et elle ondule de la croupe sous la langue de son amant.
– Ivan ? Baise moi, je t’en prie ? Je suis à toi, alors prend moi.
Elle n’a pas fini sa phrase que la bite de Ivan entre déjà dans sa moule.
– HAARF ! Ma salope ! depuis le temps, tu es trop bonne ma pute.
Il accélère en lui donnant de puissant coups de bite qui claquent contre ses fesses en libérant des flots de mouille à chaque pénétration. Il la retient par les hanches, car a chaque coup de bite, son corps avance sur la table.
Julie tient toujours la main de son homme, pendant que Max cadence ses vas et vient dans sa bouche sur les coups de bite que Ivan lui prodiguent.
Ils gémissent en duo, redoublant d’efforts pour la défoncer chacun de leur coté. Julie ressent les queues entrer et ressortir en cadence, lui libérant des ondes de plaisir de plus en plus fortes.
– Max ! Je vais l’enculer ?
– Vas y ! Mais retire le bouchon qu’elle a dans son cul.
Ivan farfouille entre les fesses de Julie, qui pousse un râle, lorsqu’il retire le bouchon.
Sans prévenir, Ivan lui embroche l’anus jusqu’aux couilles avec un grand cri.
– HAAARFFF ! Ma putain ! je t’encule d’amour.
– OORRR ! Oui ! enculez moi ! plus for ! OUIIII ! Mon Ivan !
Leur excitation à tout les trois est tellement forte, que leur corps se mettent à trembler en cœur, leur cri de plaisir s’entremêlent en résonnant dans la pièce. Les deux hommes la liment de plus en plus vite, un dans sa gorge et l’autre dans son cul.
Ils craquent ensemble déversant leur semence en elle. Julie déglutie tout le sperme possible, mais la quantité est trop importante, que du sperme coule hors de sa bouche, malgré que Max lui tient fortement la tête à deux mains avec sa queue toujours au fond de sa gorge.
Ivan lui déverse encore des flots de foutre dans son boyau à chaque contraction de sa bite. Julie sent le liquide chaud et poisseux couler dans ses intestins, pour se mélanger à celui de Max.
Julie est fière d’avoir fait jouir les deux hommes en même temps avec son corps devant son mari. Quelle expérience extraordinaire pour cette femme, qui n’aurait jamais imaginé jouir autant. Ces deux salauds la considèrent comme leur objet sexuel, tout leur est à présent permis. Ils rangent leur portable dans la poche de leur pantalon, tout a était filmé a son insu.
C’est toute courbaturé que Julie se relève, assise sur le bord de la table, elle attache ses cheveux et reprend doucement ses esprits. Elle regarde son mari qui est toujours là sans rien dire.
– Ne t’inquiète pas, il va bien et il ne se rend compte de rien.
– Mais ? Comment ça, il a tout vu
– Oui, mais demain il ne se souviendra de rien, tu verras.
– Comment est-ce possible ? Il à l’air parfaitement conscient
– Ça c’est notre petit secret, on ne peut pas tout te dire, allez vient allons le coucher, car seule tu n’y arriveras pas ?
Soudain, Julie comprend tout, la drogue les photos avec deux hommes, ici dans sa maison ? Sa mémoire lui revient. La soirée d’anniversaire avec ces deux là aussi. Une fois son mari au lit, elle les interpelle. – Je comprend tout à présent ? Les premières photos que tu m’a montré Ivan, c’étaient vous ici lors de mon anniversaire, vous nous aviez drogué comme vous venez de le faire avec mon André. Pourquoi ? Vous faite ça ?
– C’est moi ! Qui a entraîné Ivan dans cette aventure. Nous t’avons piégé par vengeance. Toi et ta bande de motards, vous avez violé ma femme. Ton ancienne copine de lycée. Vous l’avez décoincé sexuellement et nous avons divorcé à cause de ton André et sa bande. Nous avons plein de photos et de filmes de ta débauche de soumise. Comme tu ne veux pas que nous les rendions public, tu feras tous ce que nous désirons Ivan et moi. Tu es à nous désormais.
Que doit elle faire ? Se lever ? S’essuyer ? S’enfuir ? Tant de questions, Julie est perdue, elle ne sait plus quoi faire, quoi dire. Elle regarde Ivan, dont elle est amoureuse. Il vient l’embrasser, elle fond une fois de plus. Ivan lui demande ?
– Tu acceptes, où tu veux que je te dise adieu ? – NON ! Je ferais tout ce que tu veux mon chéri ! Je suis à toi, tu le sais !
Julie est encore nue, lorsqu’ils ouvrent la porte pour repartir sans ce soucié si quelqu’un dans la rue peut la voir, un claquement de portière et elle entend la voiture s’éloigner.
Au petit déjeuné avec André, elle le regarde en repensant à cette soirée de samedi, étonnamment elle n’a aucun remords, juste le regret de lui mentir et de lui cacher les choses.
Sam Botte
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