Julie va payer la dette d’Ivan.
Ivan a cependant un jardin secret, celui du jeu, il aime sa partie de poker.
Un début d’après midi, puisque Max est absent, il m’annonce à Julie qu’il l’emmène sa chez lui. Julie prend çà pour une nouvelle étape dans leur relation.
Elle va profiter de son chéri. Oui chéri ; le mot est lancé dans sa tête. Il faut bien qu’elle se l’avoue, Ivan l’a rendue folle de lui. Son autorité, son physique imposant, sa soumission à Ivan, tout la rend dingue. Julie qui adore prendre soin d’elle et de son André, elle se rend compte que l’opposé de tout cela l’excite terriblement.
Arrivé chez Ivan, trois de ses amis arrivent aussi en même temps ? Julie pense qu’elle est tombée dans un traquenard, elle descend de plus en plus bas dans la soumission et la dépravation.
C’est décidé, demain elle en parlera à son mari, il faut que tout ça s’arrête !
Deux ont la quarantaine, le dernier est plus proche de la cinquantaine. Tous sont noirs, Georges est le plus petit, un mètre soixante dix, tout en muscles. Djamel, dix centimètres, est plutôt bedonnant, ils exprime la joie de vivre, un sourire permanent aux lèvres. Celui qui l’impressionne est Diouf, tant par sa carrure d’un mètre quatre vingt dix, que par sa prestance, renforcée par ses tempes grisonnantes.
– Julie, j’ai perdu beaucoup d’argent au poker, j’ai besoin de temps pour rembourser et Diouf accepte de ne pas faire courir d’intérêts si tu t’engages à travailler pour lui dans son club.
– Mais moi, je n’ai jamais travaillé dans un club et je n’ai jamais ambitionné d’être serveuse !
– Tu ne seras pas serveuse. Intervient alors Diouf, mais entraîneuse.
– Il n’en est pas question, je suis marié ! Lui dit Julie en se tournant vers lui.
– Tu ne m’as pas compris, ce n’est pas négociable, je me suis engagé et tu feras ce que je te dirai.
On aurait dit un mac menaçant la fille qui travaille pour lui. Julie a ravalé ses larmes, impuissante. Elle l’aime et n’a pas envie de le perdre son amant. Elle voit un sourire se dessiner sur le visage de Diouf. Julie comprend tout de suite que Ivan lui a raconté leur partie de baise et sa soumission.
– Déshabille-toi ? Dit Diouf d’une voix égale.
– Pardon ?
– Tu as bien entendu. Fais ce que je dis.
Julie regarde Ivan qui la fixe sévèrement. Alors elle obéit, elle retire sa robe. Elle se retrouve nue devant les quatre hommes ne cherchant même pas à protéger sa nudité de leur regards. Elle frissonne, après avoir eu une bouffée de chaleur qui l’a rend moite.
Ses seins se balancent, durs, gonflés. Les bouts sont devenus très longs.
Les quatre hommes autour de la table la fixent. – Ouais ! Tu ne m’as pas menti, Ivan, cette nana est tout simplement sublime.
– Approche-toi ? Ordonne Diouf.
Julie fait les deux pas qui la séparent de lui, elle reste les bras ballants, il avance sa main et la pose sur sa cuisse, puis la remonte jusqu’à toucher son sexe. Il trouve son clitoris, elle s’ouvre, elle sent son jus couler. Il lui pince le clitoris entre le pouce et l’index. Julie crit de douleur et de bonheur.
Ils viennent l’encercler et défont leurs pantalons exhibant pour certains devant Julie des engins de bonnes tailles, quels morceaux !
Elle n’a jamais été confronté à autant de pine de noir, ça va du café au lait à un ébène très foncé.
Diouf son pantalon accompagné du caleçon, laissant apparaître une impressionnante érection, il pèse sur les épaule de Julie qui se baisse, elle descend et goba aussi sec la hampe érigée, débutant une fellation endiablée. Julie lui taille un pipe avec des sentiments contrastés : ils la prennent vraiment pour une traînée qui se faisait sauter par n’importe quel type. Mais bon, c’est vrai qu’une bonne bite de plus n’est pas pour lui déplaire.
Mais elle ne se doute pas de ce qui va se passer.
Les deux autres ne perdent pas de temps, ils enlèvent leurs vêtements en laissant le temps à Julie de reluquer leur anatomie intime.
– Ma parole ? Ils sont tous montés comme des ânes. Pense-t-elle.
Les deux hommes affichent tous en effet des pénis circoncis impressionnants.
Quand Diouf sent qu’il est à point, il attrape d’une main un de ses seins. Son autre main tient la tête de Julie pour qu’elle avale sa jouissance. En avalant la semence de Diouf,
elle sent presque immédiatement une chaleur dans son bas ventre.
Ivan vient derrière Julie, il lui relève la croupe en la mettant sur les genoux. Elle tend ses fesses vers le sexe triomphalement érigé de son amant, qui plonge aussitôt dans le vagin de la femme. Julie est aux anges, complètement remplie par la grosse bite de son amant.
Elle en a presque oublié que les deux autres qui ne perdent pas une miette du spectacle et commencent eux aussi à avoir une trique d’enfer.
Ivan accélère le rythme de sa pénétration et donne de profonds coups de boutoir dans la chatte de Julie, ce qui la faisait râler de plus en plus fort.
Alors qu’elle est en bonne voie pour un orgasme, Ivan se retire ?
Il susurre à l’oreille de Julie qui a toujours la queue de Diouf dans la bouche :
– Il faut aussi que tu t’occupes d’eux !
C’est Djamel qui a la primeur de sa bouche. Il présente sa bite devant la bouche de Julie qui l’engloutit immédiatement.
– C’est plus qu’une bouche qu’elle a, c’est carrément une seconde chatte ! Qu’est ce qu’on est bien dedans !Siffle-t-il.
Georges enfonce sa queue dans la moule baveuse de Julie.
Au bout de quelques minutes, Djamel et Georges sentent l’orgasme de Julie arriver. Tant mieux parce que eux aussi sont à la limite. Tous les trois jouissent quasiment en même temps. Georges remplit la chatte de Julie tandis que Djamel souille sa bouche. Un petit filet de sperme s’échappe de ses lèvres fermées sur l’engin de Djamel.
Les deux spectateurs sont intenables :
– À nous maintenant !
Julie voit avec une certaine appréhension, qu’Omar a fait un entrée discrète.
En s’adressant à Ivan elle bougonne.
– Tu me prends vraiment pour ta pute ?
– Non, comme une belle salope qui aime les grosses bites !
Là, il marque un point, pense t-elle. Elle s’est régalée et la vue des bites turgescentes de ces trois africains la rendu folle. Elle les désire, dans sa bouche, dans sa chatte, aussi dans son cul, partout quoi ! Ivan a fait d’elle une gourmande de bite.
Djamel et Georges partent dans la cuisine pour se nettoyer et se rafraîchir.
Julie se relève, cul nu, s’approche des deux autres et saisit les bites de Diouf et de Sofiane pour les branler. Ivan, lui, se place derrière elle et commence à se branler entre ses fesses tout en l’embrassant dans le cou.
La Julie n’y tient bientôt plus et souffle a son amant : – Baise-moi, je suis toute à toi !
Ivan s’allonge sur le tapis et la fait s’empaler sur sa bite, ce qui fait s’échapper à Julie un gémissement de satisfaction.
Diouf ne perd pas de temps et commence à lubrifier l’anus de Julie avec sa salive, avant de s’y enfoncer doucement jusqu’à la garde. Omar présente sa bite à sucer, ce qu’elle fait sans problème.
Georges et Djamel observent la scène depuis la cuisine et ne retiennent pas leurs commentaires :
– Regarde-moi cette salope, elle en veut ! S’exclame Djamel.
– Ouais, c’est vraiment une sacrée trouvaille. Je suis sûr que Diouf en fera une nonne pute pour son club. Lui répond Georges.
Ivan, pensif, observe Julie se faire défoncer sans ménagement dans ses trois orifices. Les gémissements de plus en plus rapprochés étouffés par la grosse bite d’Omar dans sa bouche ne laissent aucun doute sur le plaisir qu’elle en retire.
Les trois lascars sont visiblement ravis de baiser cette superbe bourgeoise, au vu des grands coups de bite qu’ils lui assènent.
Après quelques instants, on entend Julie pousser un long râle de plaisir qui trahit un orgasme fulgurant, tandis que ses trois baiseurs jouissent chacun leur tour dans l’orifice où ils se sont introduits.
Leur coup tiré, ils vont rejoindre Djamel et Georges dans la cuisine, laissant Julie étendue sur le tapis, pleine de sueur et de sperme, reprendre ses esprits.
Ivan se penche sur Julie.
– Ça va ma belle ?
– Oui ! Mais qu’es ce que j’ai pris ? Mais qu’est-ce c’est bon !
– Alors, ça t’a plu ? Demande Ivan, un peu jaloux du plaisir qu’elle a eu.
– Oui, j’ai presque hâte que tu me remettre ça ?
Diouf vient et tire la table basse. Julie ne comprend pas pourquoi ? Il doit vouloir que son cul soit accessible. Il va s’asseoir dans un fauteuil et fait un signe à Julie. Elle comprend tout de suite ce qu’il veut qu’elle fasse. Elle se met à quatre pattes et se dirige vers lui. Diouf écarte les jambes pour s’accueillir. Elle se retrouve directement face à son sexe mou qui est très impressionnant. Elle attrape son sexe, qu’elle branle légèrement pour le rendre un peu plus dur. Elle s’approche de son sexe et ouvre la bouche. Il pose sa main sur sa tête et lui enfonce sa queue en bouche sans qu’elle aie le temps de comprendre. Il lui lâcha la tête pour la laisser faire. Son sexe est long et très large, au fur et à mesure qu’elle le suce, son sexe grossit et prend des proportions vraiment énormes.
Julie s’applique le mieux possible pour sucer cette queue. Elle est bien grosse, un bon gros gland. Tout en le suçant, elle le regarde dans les yeux. Il aime cela. -Ivan, mon ami, cette femme est comme tu me l’as décrite, elle a un corps de fou, c’est une suceuse hors pair et d’une totale soumission. Est-ce que je peux en profiter comme je veux ? – Bien sûr, elle est à toi, tant que je ne t’ai pas remboursé. Fais en ce que tu veux. – Très bien on va voir. Omar amène ton chien, viens par là. Julie vois aussitôt un chien sortir de la cuisine et venir à côté de lui. Diouf le caresse un peu, lui flatte le flan et lui dit : – T’es un bon chien toi, toi aussi tu aimerais avoir une bonne chienne ?
Julie ne voit pas où Diouf veut en venir. Il se penche vers elle et passe une main dans sa raie. Il aventure son majeur vers sa moule qui encore humidifier du sperme de ses anciens visiteurs. Il lui enfonce un doigt et fait de lents va-et-vient pour l’exciter. Une fois bien excité, il sort son doigt et le fait sentir au chien. Le chien le lèche. Diouf tapote les fesses de Julie. Le chien part vers mes fesses.
Son museau se plante directement dans la raie de Julie. Il sort sa langue et commence à lui lécher le sillon. Sa langue s’attarde de plus en plus sur sa moule qui mouille de plus en plus. Diouf lui tient toujours la tête et l’empêche de fuir ce léchage bestial. La langue du chien est très agile, longue et râpeuse, ce qui lui donne des sensations indescriptibles de plaisirs. Julie sent sa cyprine couler abondamment. Le chien n’en perd pas une goutte. – Alors ma chienne, cette langue te plaît ? Tu vas aimer son nœud ma belle.
Diouf lui lâche la tête et appelle le chien. Celui ci lève la tête vers un maître. Il l’attrape par le collier et le tire vers lui, ce qui le fait monter sur le dos de Julie. Elle comprend immédiatement ce qu’il veut faire. En soumise, elle ne bronche pas. Diouf lâche le chien et lui ordonne d’arrêter de le sucer, mais de garder cette position. Il se lève et passe derrière le chien. Il le soulève pour que sa verge soit à la hauteur de son vagin.
Aussitôt, le chien entreprend des mouvements de pénétrations, mais sans atteindre sa cible. Diouf le comprend, il prend le sexe du chien en main et le guide vers son objectif. Une fois, à l’entrée de la vulve de Julie, le sexe du chien s’engouffre dans son vagin, lui arrachant un râle de douleur dû à la brutalité de cette pénétration.
Le sexe du chien est énorme et a à sa base une grosseur. Le chien s’active sur elle, lui griffant au passage les flans. Le chien va de plus en plus vite. – Tu vois ma belle, le chien va te verrouiller pour faire de toi sa femelle.
Julie ne comprend pas tout de suite ce que cela veut dire. Le chien ne donne plus de coups en aller-retour, mais force vers l’intérieur. Là, elle comprend ce que Diouf veut dire par verrouiller. Le chien essaie de lui rentrer son bulbe. Ses chairs s’écartent lentement. Ça lui fait un peu mal. Petit à petit, il arrive à me rentrer son nœud. Un dernier coup de reins et la voilà verrouillée à cette queue canine.
Diouf voit le chien arrêter de bouger, il en déduit qu’il est bien planté dans la femelle. – Voilà, mon chien te possède. Maintenant que tu es verrouillée, tu vas recevoir son sperme. Ivan, regarde, comme c’est beau, mes deux chiens accouplés ! Ta Julie va être la vedette de mon club avec lui ! – Ah ! Oui elle est magnifique. Ce sera une vedette, quand elle sera accouplé avec le chien.
Omar, le maître du chien demande.
– Moi, j’aimerais bien les voir cul à cul.
– T’as raison Omar. Aussitôt, Diouf prend les pattes avant du chien et le fait glisser sur le côté. Le chien émet quelques petits cris plaintifs. De son côté, Julie souffre le martyre. Son bulbe l’écartèle, mais en plus, le fait de le faire passer sur le côté amplifie la douleur.
Diouf réussit à le retourner pour que les deux amants soient cul à cul. Cette position ultra-humiliante les fait tous bien rire. Julie sent que le chien déverse son sperme à gros flots bien au fond de son puits d’amour. Diouf reprend sa place sur le fauteuil devant elle. Il lui prend la tête et enfonce sa queue dans sa bouche. – Te voilà à présent une chienne. Tu sera ma vedette avec ton mâle. Tu m’excites à fond comme ça. Julie s’habitue à la présence de ce sexe canin, elle reprend sa fellation. Diouf grogne de plaisir. – Oh putain ! je viens là, vas-y, avale tout, ma chienne.
Diouf explose dans la bouche de Julie. Il lui bloque le crâne sur son pieu. Elle ne peut pas bouger, mais elle aspire sa queue au fond de sa gorge. Car elle est terrassé par un formidable orgasme, alors elle avale tout son sperme. Le chien, a également fini de se vider en elle, mais il est toujours planté dans sa grotte avec bonheur.
– Eh ! Elle a la bouche vide ma chienne ! A qui le tour ? Le temps que le chien le libère, elle suce et avale la jouissance des quatre autres. Julie sent que son sexe diminue de volume. Le chien essaie d’avancer pour se dégager, mais n’y parvient pas. Le bulbe du chien diminue petit à petit. Au bout d’un quart d’heure, après les quatre pipes accompagné d’orgasme, car elle a un orgasme à chaque fois que celui qu’elle suce se vide dans sa gorge.
le chien réussit à se dégager de Julie et un flot de sperme s’échappe et tombe à terre. – Tu vas lécher cette flaque de sperme canin. Lui ordonne Diouf.
Groggy par les orgasmes, elle se retourne et soumise elle se penche vers cette flaque blanchâtre et lèche la semence au sol. Dans cette position, j’offrais une vue immanquable de mon anus.
– Ivan tu me l’amène vendredi soir au club, le chien s’occupera de ton petit œillet. – Ouais ! Mais il y a André son mari, qu’es ce que je vais lui dire ? – Son mari c’est pas André Machin ? – Oui, c’est ça, c’est lui. -Alors ! T’inquiète pas ? J’en fais mon affaire ! Je ne savais pas qu’il avait une femme comme elle, car il y a longtemps qu’elle serait à ma main.
Julie ne réalise pas trop ce que vient de dire Diouf. Elle comprend que son amant l’a vendu à un maquereau pour éponger sa dette de jeux. Le reverra t-elle un jour ?
Elle se sent belle et prête au sacrifice.
Sam Botte
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