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Histoire taboue Le journal intime de Véronique Chapitre 11

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L’amour au bureau (2e partie)

Histoire taboue Résumé de la première partie : Au travail, je me suis fait « draguer » par Robert. Avec l’assentiment de mon chéri, je vais à la soirée resto dancing entre collègues. Dans la boîte de nuit, j’enlève mon string et le donne à Robert. La nuit se finit chez Robert et, une fois tout le monde parti, nous faisons l’amour. Avant de rentrer chez moi, je lui laisse ma culotte en souvenir.

Le lundi, quand je retourne au travail, je retrouve Robert à la machine à café. Comme nous ne sommes que tous les deux, il me dit :

« J’ai quelque chose à toi dans ma poche. »

« Rends-le-moi, je vais aller le remettre. »

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« Ne me dis pas que tu n’as rien dessous ? »

« Ben si ! Je te rappelle que tu as gardé mon string quand je suis partie de chez toi ! De plus, je ne l’ai porté que quelques heures, je peux bien le réutiliser. »

« Alors, tu es venue au travail sans culotte ? »

« Oui, pourquoi ? »

« Je ne te crois pas. »

« Je ne peux pas te le prouver ici, ce n’est pas discret, quelqu’un pourrait arriver. »

« Tant pis, tant que tu ne me l’auras pas prouvé, je ne te rends pas ton string. Et tu seras cul nu toute la journée. »

« Oh, pour moi ce n’est pas gênant, mais toi, tu vas y penser tout le temps, ce n’est pas bon pour ton efficacité. Allez, je retourne au boulot. »

La machine est dans un renfoncement du couloir et, en regardant à droite et à gauche, en repartant, il est possible de voir si quelqu’un arrive. Ce que je fais. Comme personne ne montre le bout de son nez, avant de m’engager, je tourne la tête vers Robert, lui souris, et d’un même mouvement des deux mains je relève ma jupe jusqu’à la taille et découvre mon postérieur, libre de tout dessous, évidemment, j’avais prévu le coup.

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Je retourne dans mon bureau et quelques minutes après, je l’appelle au téléphone :

« Tu vois que je ne raconte pas de bêtises. »

« J’avoue que j’en suis baba, c’est la première fois ? »

« C’est mon secret, je te laisse deviner. »

Et je raccroche.

La matinée se passe sans autre interruption. À midi, Robert vient me chercher pour aller déjeuner. Dans le couloir, il se retourne et tout de suite après passe une main sur ma hanche. Je lui dis :

« Tu veux t’assurer que je n’ai rien dessous ? »

« Ben oui, je me suis demandé toute la matinée si tu ne m’avais pas monté un coup en enlevant ta culotte, juste avant de venir au café, pour la remettre après. »

« Ce n’est pas mon genre. En plus, je ne pouvais pas savoir que nous ne serions que tous les deux. »

« Par contre, j’aimerais bien que nous soyons un peu discrets. Toi, je te fais confiance, mais je ne sais pas comment Julien va réagir. »

« Oh, ne t’inquiète pas, il est reparti à la conquête de Anaïs. »

« Comment tu le sais ? »

« Ce matin, il m’a dit qu’il l’avait invitée au cinéma samedi soir. En fait, il semble qu’Anaïs était un peu jalouse car elle a remarqué que Julien t’observait de près ; alors il ne va pas se vanter de sa fin de soirée de vendredi »

« Tant mieux, cela me rassure ; quoi qu’il en soit, je ne voudrais pas que l’on te surprenne à me peloter dans les couloirs. »

« J’ai vérifié qu’il n’y avait personne. »

« J’ai vu et je t’en remercie : il en faut peu pour que le bruit coure. Que les gens parlent de mes habits sexy, c’est une chose ; s’ils se rendent compte de nos relations, cela pourrait nous nuire. Au fait, maintenant, tu peux me rendre mon string : je t’ai prouvé la véracité de mes dires.

« Je l’ai laissé dans mon tiroir de bureau. Je me suis dit, soit elle m’a monté un coup et elle n’en a pas besoin, soit elle a dit la vérité et cela va être vraiment bon de savoir qu’elle est nue sous sa jupe et manger en sa compagnie, au milieu de nos collègues qui l’ignorent. »

« Et si cela me gênait ? »

« J’ai bien pensé à cette éventualité et, à la réflexion, j’ai déduit que ce n’était pas possible, vu notre soirée de vendredi et ta tenue de ce matin. Tu ne serais pas venue, nue sous tes vêtements, si tu étais gênée. »

« En fait, tu as raison ; non seulement je ne suis pas gênée, mais en plus cela me fait plaisir que tu le saches. »

« Je peux t’avouer aussi que ce n’est pas la première fois que je viens au travail sans culotte. »

« Arrête, je commence à bander ; avant d’aller déjeuner, ce n’est pas bon. Déjà que je vais y penser tout le repas et tout cela sans pouvoir calmer mes ardeurs, trop dur… »

«  Si tu m’avais rendu ma culotte, tu n’aurais pas eu l’esprit à cela. Tant pis pour toi. Puis je crois qu’il faut parler d’autre chose, on arrive au self. »

De fait, nous sommes à l’entrée de notre cafétéria. Dans la file d’attente, ce petit cochon de Robert en profite pour me peloter les fesses. Je me suis débrouillée pour ne pas être à côté de lui et, durant tout le repas, je sens son regard sur moi. Je me sens tout émoustillée : je suis nue sous ma jupe, au milieu de mes collègues ; il le sait et cela l’excite, c’est évident. Par contrecoup, moi aussi car si je suis coutumière du fait, le fait de savoir que quelqu’un est au courant me trouble énormément. Même quand c’est mon chéri, cela me met dans un état d’excitation improbable.

Il va falloir qu’on fasse quelque chose. Au boulot, c’est un peu risqué ; néanmoins, c’est tellement bon de jouer avec le feu… J’attends qu’il ait fini pour me lever de table. Nous repartons ensemble, une de nos collègues de bureau nous accompagne. Tant pis, je l’appellerai au téléphone. Heureusement, la collègue doit aller au service RH et elle nous laisse tous les deux. Robert me dit :

« J’ai envie de toi ; de te savoir sans culotte m’a vraiment excité. »

« Je m’en doute, moi aussi ; mais on peut aller où ? »

« Le seul endroit pas trop risqué, c’est la salle des serveurs informatiques : elle est fermée et j’ai la clé. En plus, l’entrée est un peu cachée ; et puis, à cette heure, personne n’y va : les sauvegardes, c’est le soir. Attends-moi vers le panneau du CE, j’arrive tout de suite. »

Je me dirige vers le panneau. Je n’avais pas pensé que sa position de responsable réseau lui donnait l’accès à cette salle. Je n’ai pas longtemps à attendre, son bureau n’est pas très loin. Il me fait signe de le suivre ; il a déjà ouvert la porte et nous entrons rapidement. Il referme le verrou et laisse la clé sur la serrure.

Ensuite, il me prend par la main et m’entraîne vers le bureau situé dans un coin de la pièce. Il me pousse contre le bureau et se baisse tout de suite devant moi. Ses mains se posent sur mes genoux et remontent délicatement ma jupe ; sa bouche se dirige vers mon pubis. Je sens sa langue s’insinuer dans ma fente pour aller titiller mon clito. J’écarte les cuisses ; sa langue descend vers mes lèvres intimes qui n’ont pas besoin de cela pour être humides. Puis il insinue sa langue dans ma grotte d’amour, il me pénètre littéralement avec sa langue. Je sens mon excitation monter ; il alterne caresses sur le clito et pénétrations linguales. Un doigt vient à son aide et me pénètre en douceur ; sa langue continue à me titiller le clito. Les deux caresses me font jouir une première fois.

Je l’incite à se remettre debout en le prenant sous les bras. Je déboucle sa ceinture, ouvre son pantalon et baisse slip et pantalon. Sa tige de chair turgescente m’apparaît dans toute sa vigueur. Je caresse son sexe avec la main pour bien me rendre compte de son envie. Il est vraiment dur, preuve de son excitation, s’il en était besoin. Pendant que je m’active sur lui, il a récupéré un préservatif dans une poche. Je me dis qu’il a dû tout combiner car je ne le vois pas se promener en permanence avec une capote dans la poche. Ce témoignage indirect de désir me fait plaisir. Je me relève pour qu’il puisse enfiler le préservatif. Il s’avance vers moi, plie les genoux et se présente à l’entrée de mon sexe. Je m’appuie avec les mains sur le bureau et j’attends avec bonheur la pénétration. Son pénis entre petit à petit dans ma grotte humide de désir. Quand il est complètement dedans, il reste quelques instants collé contre moi ; je sens mon pubis nu caressé par sa toison. Il commence des va-et-vient dans mon corps. Je ressens avec plaisir mon vagin trempé d’excitation par ces allers-retours. Il alterne mouvements rapides et courts avec des mouvements lents et profonds, pendant lesquels il ressort presque entièrement de moi. Cette alternance de rythme, de sensation de vide et de plénitude a tôt fait de m’amener une nouvelle fois au septième ciel.

J’ai envie de changer de position car j’ai un peu mal aux bras. Aussi je le repousse gentiment, vais au bout du bureau et m’allonge en partie dessus, dos tourné vers Robert : j’adore la levrette. Bien sûr, ma jupe est redescendue ; je la relève et dévoile mon postérieur qu’il connaît déjà. Robert arrive derrière moi et, cette fois-ci, il me pénètre d’un seul coup jusqu’aux tréfonds de mon corps. Je sens son excitation à son rythme : il s’accroche à mes hanches et fait des mouvements rapides et profonds. Je sens ses boules qui tapent mon pubis. Mon excitation monte graduellement ; je suis au bord de l’orgasme. Je me retiens pour ne pas trop gémir de plaisir, jusqu’au moment où je sens qu’il jouit, abouté au fond de mon vagin, les mains crispées sur mes hanches. Cela me déclenche un orgasme fantastique.

Quand il se retire, je ressens une impression de vide. Avant que j’aie le temps de me relever, je sens une caresse sur mes lèvres intimes : il est en train de m’essuyer délicatement avec un mouchoir en papier. Puis il embrasse chacune de mes fesses et rabaisse ma jupe sur mon postérieur. Il m’aide à me relever. Il s’est déjà rhabillé : il est vrai que j’ai mis un moment à atterrir, après ce plaisir dévastateur.

« Bon, ce n’est pas que je veux être rabat-joie, mais si nous voulons être discrets, il ne faut pas rester ici trop longtemps. »

« Tu as raison ; moi, il me faut toujours un petit moment pour me reprendre. »

« Au fait, tu veux remettre ton string ? Je l’ai pris quand je suis allé chercher les clés. »

« OK, rends-le-moi ; seulement, si tu préfères, je ne le remets pas : de cette manière, tu auras le souvenir de mon petit cul nu sous ma jupe. »

« Tu es vraiment une gentille aguicheuse, j’adore. Et on recommence quand ? »

« Alors ça, je ne sais pas ; je vais y réfléchir. Je ne voudrais pas que cela devienne automatique, il n’y aurait plus de charme. Comment fait-on pour sortir ? »

« Je vais y aller en premier. S’il n’y a personne dans le couloir, je cogne à la porte, tu sors et moi je rentre à nouveau ; je te laisse quelques minutes et je sors à mon tour. »

« OK, tu m’appelles pour aller prendre un café ? »

« D’accord. »

Il sort. Quelques secondes après, il cogne à la porte. Je sors à mon tour et je me dirige vers mon bureau, en faisant comme si je venais directement de la cafétéria.

Assise à mon bureau, je me demande si je ne suis pas en train de faire une grosse bêtise : avoir des relations avec un collègue de travail, cela peut être gênant ; les mauvaises langues sont légion, mais cela reste du domaine personnel. Par contre, baiser sur les lieux de travail, c’est limite faute professionnelle.

Tant pis ; je pense que le jeu en vaut la chandelle, la vie est courte. De plus, braver les interdits est toujours excitant.

Je réfléchis à ce que je pourrais trouver pour mettre un peu de piment dans nos relations, sans prendre trop de risques ; il est impossible d’aller régulièrement dans la salle des serveurs sans se faire repérer un jour ou l’autre. Comme je ne veux pas être soumise au désir de Robert, je cherche quelque chose d’aléatoire et, en même temps, d’érotique.

Après quelques instants de réflexion, en pensant à la soirée de vendredi, je trouve une « astuce » ; j’ouvre ma messagerie et lui envoie le courriel suivant :

À partir de maintenant, je ne mettrai que des robes ou des jupes.

Dessous, je porterai trois tenues différentes :

1 – porte-jarretelles, bas, culotte ou string ;

2 – bas Dim-up, culotte ou string ;

3 – les uns ou les autres, sans culotte.

J’avais pensé remplacer la dernière solution par :

Porte-jarretelles, bas, sans culotte ;

Bas Dim-up, sans culotte.

Seulement, il n’y aurait eu qu’une chance sur quatre pour que tu trouves ma tenue.

Parce que le but, c’est que tu trouves ce que je porte. Si tu as vu juste, tu auras droit à une gâterie de ton choix, après le repas, au local de tout à l’heure à moins que tu ne trouves un autre endroit.

Comment allons-nous faire ?

Le matin, nous prendrons notre café ensemble, comme la plupart du temps ; à ce moment tu auras tout le loisir de m’observer. Ensuite, pour être discrets, quand tu retourneras dans ton bureau, tu m’enverras ta réponse par courriel :

  • PJ pour la tenue 1 ;
  • DU pour la tenue 2 ;
  • SC pour la tenue 3.

Je te répondrai par vrai ou faux.

Si tu trouves la bonne réponse, tu auras toute la matinée pour réfléchir à ce que tu veux. Terrible.

N’oublie pas de supprimer ce courrier.

À +

Quelques minutes après, le téléphone sonne. C’est Robert.

« J’ai reçu ton courrier ; l’idée me plaît, même si je n’ai qu’une chance sur trois. »

« Si tu es un bon observateur, tu peux augmenter tes chances : il y a des signes qui ne trompent pas. »

« Je te paye un café et tu m’expliques ? »

« OK, j’arrive. »

Je me dirige vers le distributeur. Robert m’attend ; il n’est pas tout seul. Heureusement, le temps que nos boissons se préparent, les autres s’en vont.

« Allez, explique-moi ! »

« Si tu ouvres bien les yeux, il y a des choses qui transparaissent. »

« Quoi, par exemple ? »

« Les élastiques de ceinture, les bourrelets que font les coutures sur les fesses ; et puis, c’est à toi de deviner. »

« Qui me dit que tu ne vas pas tricher ? »

« Personne. Mais tu peux me faire confiance : je ne me défilerai pas. »

« Et on commence quand ? »

« Pas aujourd’hui, tu sais comment je suis. Demain, ça me paraît bien. »

« OK, je vais attendre demain avec impatience. »

Nous finissons notre café et retournons à notre travail.

Jour 2

Le lendemain, je vais au travail habillé d’une robe sous laquelle j’ai mis un porte-jarretelles et un string. Je ne suis pas certaine que Robert puisse se faire une idée de ma tenue ; tant pis, c’est le jeu.

Cela se confirme bien avec le mail qu’il m’envoie :

DU pour la tenue 2

Il n’a vu ni les attaches du porte-jarretelles, ni la ceinture.

Je lui réponds le message convenu avec un petit commentaire :

Faux : pour gagner, il va falloir faire preuve d’un meilleur talent d’observateur.

Jours 3 et 4

Malheureusement pour lui, il se trompe encore les deux jours suivants. Il est vrai qu’il n’a statistiquement qu’une chance sur trois. D’ailleurs, le troisième jour, il m’envoie une réponse en me disant que rien ne prouve que je ne triche pas.

Je me dis qu’il faut que je fasse quelque chose car, autrement, Robert va se décourager. Je lui réponds :

Pour te simplifier la tâche, à partir de demain, je changerai tous les jours ; et comme chaque jour je te donnerai la réponse, tu auras une chance sur deux : c’est largement mieux que le loto.

Aujourd’hui, c’était DU.

Bonne chance.

Jour 5

Le lendemain, je mets un porte-jarretelles et un string. En plus, je choisis une jupe fine et fluide, à travers laquelle il n’est possible de distinguer les attaches du porte-jarretelles que quand je me tiens dans certaines positions. Ce qui me permettra d’être discrète vis-à-vis de mes autres collègues. Cela ne me gêne pas d’être habillée un peu légèrement, même sexy ; cependant, je pense que si certains s’apercevaient que je mets un porte-jarretelles, les potins iraient bon train. J’ai bien le droit de m’habiller comme je veux ; mais comme les mauvaises langues sont nombreuses, je préfère ne pas me faire remarquer.

Nous sommes vendredi et je veux lui faciliter la tâche ; aussi je suis décidée à enlever mon string, s’il ne s’aperçoit pas que j’en porte un ou s’il pense que je n’en ai pas mis, puisqu’il sait que cela m’arrive souvent. C’est de la triche ; néanmoins, c’est pour la bonne cause.

Au bureau, j’attends avec impatience le moment où je vais aller prendre mon café et où Robert va essayer de distinguer toutes les marques que mes sous-vêtements peuvent laisser sur ma jupe. Il m’appelle à l’heure habituelle ; je le rejoins sans attendre. Dès que j’arrive au distributeur, je vois ses yeux parcourir mon corps. Pendant qu’il me sert un café, je m’installe à une de ces tables hautes qui permettent au consommateur de poser son gobelet et l’obligent à boire debout. L’avantage, c’est qu’il y a une barre sur laquelle on peut poser un pied. Ce que je m’empresse de faire : ma jupe fine épouse parfaitement ma cuisse ; l’attache du porte-jarretelles fait une petite bosse. Cette fois-ci, je suis convaincue qu’il va trouver au moins une partie de la réponse.

Robert s’installe à côté de moi ; son sourire m’assure qu’il a vu ce que je voulais lui montrer. Il ne lui reste plus qu’à deviner si je porte une culotte ou non. La présence de collègues nous oblige à parler de manière anodine, cela n’est pas plus mal. Malgré son impatience, il doit attendre pour avoir la réponse à ses interrogations.

De fait, à peine de retour au bureau, j’ai un message sur mon ordi :

PJ

Donc, il a trouvé : je suis dans l’obligation de satisfaire ses desiderata, ce qui n’est pas désagréable. Je lui renvoie un message :

Exact. Tes désirs seront des ordres que je réaliserai avec plaisir.

La réponse ne se fait pas attendre :

Avant d’aller manger, je prendrai la clé du local info. Pour être plus discret, je partirai en premier et j’irai directement ouvrir la porte ; je la laisserai ouverte, tu pourras entrer sans frapper. En plus, mon collègue a pris un jour de RTT, donc il ne risque pas de venir nous déranger.

Je vais penser à cela toute la matinée, vivement midi !

À+

De mon côté, je me demande ce qu’il va souhaiter, et cette interrogation m’excite déjà.

Pour un peu, j’irais enlever ma culotte pour pouvoir me caresser subrepticement, juste en relevant ma jupe sous mon bureau. Et je suis sûre qu’il ne faudrait pas longtemps pour que je jouisse. En fait, c’est ce que je vais faire. Toutefois, avant, je vais un peu échauffer Robert.

J’ouvre mon courrier électronique et lui envoie le message suivant :

Pour te féliciter de ta perspicacité, je vais enlever une petite pièce de lingerie ; tu devineras facilement laquelle !

Immédiatement après, je vais aux toilettes pour retirer mon string. J’en profite pour me caresser un peu. La douceur de mon pubis glabre me donne des frissons et je commence à ressentir une certaine chaleur m’envahir. Aussi, je m’arrête là : je ne me vois pas jouir à cet endroit ; j’imagine si quelqu’un entrait au moment où je jouis… Je sors ; j’ai bien fait de mettre un string : il tient parfaitement au creux de ma main. Seulement, je reste un peu sur ma faim et je me dis qu’il n’y a pas de raison que je sois la seule. Du coup, avant de retourner dans mon bureau, je passe devant celui de Robert. Comme il est seul, je passe juste le pas de la porte et, après m’être assurée que personne ne traînait dans le couloir, j’ouvre la main et lui montre mon string. Sans attendre une réflexion, je repars vers mon bureau, tout émoustillée de ma prestation.

En fait, imaginer que quelqu’un sait que je suis nue sous ma robe me met en émoi. Même quand je suis habillée de cette manière avec mon chéri, je suis troublée. Alors, quand c’est un autre homme qui est au courant ! Surtout quand je pense à tous nos collègues ; s’ils savaient !

La matinée me semble assez longue, tellement j’attends la suite.

Le repas se passe comme prévu ; Robert s’en va quelques minutes avant moi. Dès que je peux quitter mes collègues, discrètement je me dirige vers notre local préféré. J’entre directement. Comme prévu, la porte n’est pas verrouillée ; je la ferme à clé dès que je suis à l’intérieur. Je suis déjà tout excitée.

Robert est assis sur un bureau ; il se lève aussitôt. Cette fois-ci, c’est moi qui dirige le début des opérations : je m’attaque tout de suite à sa ceinture, je déboutonne son pantalon et baisse la braguette. Je passe les mains sur ses hanches et tente d’abaisser pantalon et slip en même temps, mais son sexe a déjà pris du volume et gêne la descente. Je suis « obligée » de passer une main entre la ceinture et son corps : de cette façon, je touche l’objet du délit. Je continue à descendre ses vêtements ; quand ils sont aux genoux, j’ai son sexe à la hauteur des yeux. Je ne peux m’empêcher de le prendre dans ma bouche ; je le sens devenir de plus en plus dur. J’ai envie de le sentir en moi. Je me relève, passe mes mains derrière ma jupe, descends le zip et la laisse tomber à terre. Je m’allonge sur le bureau, les fesses au ras du bord du bureau.

Robert s’approche de moi, pose sa main sur ma petite chatte toute nue. Ses caresses me donnent des frissons de bonheur. Son index se met à explorer l’entrée de mon vagin. Il me pénètre lentement et aisément. Mon bassin se montre réceptif et se met à onduler. Il se penche sur mon bas-ventre et embrasse mes lèvres intimes. Sa langue adopte le rythme de mon bassin, se fait plus pressante sur mon clitoris. Mon sexe est en feu et je le sens trempé. Il ne lui faut que peu de temps pour découvrir comment faire venir mon plaisir ; je saisis sa tête entre mes mains pour l’encourager à trouver le bon rythme. Sa langue se fait plus insistante et s’introduit dans mon sexe aussi profondément qu’elle le peut. Puis il tire un peu plus mon bassin vers l’avant et glisse ses mains dans le pli de mes genoux, remonte mes jambes, les écarte pour dévoiler encore plus ma fente ouverte par ses caresses buccales ; il doit me voir mouillée de désir. Au bout de quelques instants durant lesquels il alterne titillement lingual de mon clito et pénétration digitale de mon puits d’amour, un premier orgasme me submerge de plaisir.

Robert profite de cet instant pour se relever ; je vois qu’il tient un étui de préservatif dans sa main. Il s’apprête à l’ouvrir. Je n’aime pas tellement le contact des capotes, même s’il faut avouer que maintenant c’est beaucoup plus confortable. Aussi, une idée me vient et j’en fais part aussitôt à mon amant :

« Tu sais, nous sommes tous les deux donneurs de sang, puisque je t’ai vu à la dernière collecte organisée. Je peux t’assurer que je n’ai pas reçu de courrier m’indiquant un ennui quelconque. Aussi, si tu n’as rien reçu, je pense que nous pouvons nous passer de ce bout de plastique ! »

« Je n’ai rien reçu et je suis bien d’accord avec toi. »

Sans attendre, il présente sa tige devant mon intimité. Il s’introduit en moi aisément ; ses mains tiennent mes cuisses écartées et, sans répit, il commence ses va-et-vient dans mon sexe. Maintenant, à chaque fois, nos pubis se rencontrent : il est entièrement en moi. Ses coups de reins se font plus intenses et je sens ses boules taper contre mes fesses à chaque fois qu’il s’enfonce en moi. Je l’incite à continuer :

« Vas-y, bouge ! J’ai trop envie ! Je suis vraiment excitée, penser que tu me savais nue sous ma jupe m’a mise dans un état incroyable, surtout au milieu de nos collègues ! »

Il s’exécute et ressort entièrement, puis replonge au fond de moi ; il recommence de nombreuses fois. Ensuite, il accélère encore la cadence de ses pénétrations et, bien qu’il soit certainement très excité, il tient longtemps le rythme. Mon excitation augmente rapidement, je sens que je vais bientôt jouir. Robert a dû le sentir ; il reste un moment au fond de ma grotte. Je ne sais pas si c’est le fameux point G ; en tout cas, ma jouissance explose : je sens une déferlante monter en moi et chaque coup de boutoir m’arrache un petit cri. Les vagues de plaisir partent de mon ventre et explosent dans ma tête.

Robert est encore en moi, son sexe resté bien dur. Ma position, sur le dos, sur le bureau, est quand même un peu inconfortable. Je propose à Robert de me prendre en levrette. En me relevant, je prends conscience de ma tenue : nue du ventre aux pieds, mon minou épilé encadré par le porte-jarretelles ; je me trouve diablement érotique. Comme la dernière fois, je m’installe, en partie à plat ventre sur le bureau. Robert n’attend pas et me pénètre d’un seul coup. J’adore tellement cette position qu’il ne me faut pas longtemps pour repartir en direction du septième ciel. J’ai des étoiles plein les yeux et je sens mon ventre se contracter sous le déferlement de l’orgasme.

Mon plaisir a été si rapide à venir que les mouvements de va-et-vient de Robert, dans mon corps, ne sont pas arrivés à le mener au septième ciel. Égoïstement, j’ai pensé plus à moi qu’à lui ; et dire que je lui avais dit que ses désirs seraient des ordres… Heureusement, je sais comment le faire jouir à coup sûr. Je suis tellement excitée que j’ai envie de me donner entièrement à lui : je passe une main derrière moi, prends son sexe, le retire de mon minou et le présente devant mon petit trou, qui est tout humide de mes jouissances précédentes. Je me détends et pousse mes fesses en arrière pour que son gland commence à pénétrer mon anus. Je lui dis :

« À toi, maintenant ! Enfonce-toi en moi ! »

« Tu veux vraiment ? »

« Oui, sodomise-moi : je suis persuadée que tu en as envie. Allez ! Encule-moi ! »

Je ne sais pas ce qui me prend ; d’habitude, je suis moins triviale. Cependant, à cet instant-là, je suis vraiment prête à tout.

Robert s’exécute et je sens sa tige de chair turgescente s’enfoncer entre mes fesses. Je veux qu’il entre dans mon intimité la plus secrète et je veux jouir et le faire jouir de cette manière la plus privée qu’il soit. Ses mains s’agrippent à mes hanches. Il me pénètre par à-coups, lentement. Il pourrait bien s’enfoncer en moi d’un seul coup : ça ne me dérangerait pas, tellement je me sens excitée. Je pousse encore mon bassin vers l’arrière et je le sens se contracter. Peut-être se retient-il pour ne pas éjaculer immédiatement ? Je soupçonne qu’il regarde la courbure de mon postérieur, qu’il observe (ou admire, j’espère !) mes deux hémisphères en train de se faire transpercer par son aiguillon bien raide qui, progressivement, entre plus profondément dans mon passage étroit.

Maintenant, il progresse entre mes fesses avec une facilité déconcertante. Excitée comme je suis, je ne ressens absolument aucune douleur. Petit à petit, il investit mon corps ; son sexe est bien au fond de moi, son ventre contre mon postérieur, ses boules touchent mes lèvres lisses, il m’a enfilé à fond. Il reste un moment sans bouger, puis commence à s’activer entre mes fesses.

En plus, il passe une main sous moi et caresse mon clito d’un doigt agile. Il fait des incursions dans mon sexe trempé et resserré qui ne demanderait qu’à être pénétré lui aussi. Ses mouvements sont un peu freinés par sa position ; aussi, je passe une main sous moi pour remplacer la sienne. J’en profite pour caresser son chibre ; je sens la douceur de ma chatte épilée, je ne peux m’empêcher de me caresser.

« Touche-toi ! Touche-moi ! C’est trop bon ! »

Robert remet ses mains sur mes hanches et commence à effectuer des mouvements amples et lents dans mon derrière. Graduellement, il accélère le mouvement. Cette belle tige de chair, gorgée de sang, qui m’a donné du plaisir quelques instants plus tôt est en train de me sodomiser, de m’enculer, comme je l’ai dit quelques instants plus tôt. Le plaisir de me sentir prise ainsi me transporte et je perçois déjà les prémices d’un nouvel orgasme. Je me surprends à geindre sous ses coups de reins, de plus en plus rapides, de plus en plus intenses. Je continue à me caresser et les éclairs de jouissance m’envahissent le ventre. Je ne suis plus qu’une marionnette de chair entre ses mains et son sexe. L’assaut que fait subir Robert à mon cul devient frénétique. Je sens qu’il ne va pas tarder à jouir car il accélère encore le rythme. Ses mains se crispent sur mes hanches et, d’un coup, il entre au plus profond de moi et reste abouté dans mon petit trou, en pleine jouissance.

Je sens mon anneau se contracter, en cadence avec les ondes de plaisir qui m’envahissent. Moi aussi je jouis, d’un plaisir encore plus intense que ce que j’imaginais ; est-ce par mes caresses ou par la pénétration ? Je ne sais pas ; peut-être les deux. Quoi qu’il en soit, mon orgasme est fantastique et me laisse pétrifiée de jouissance, carrément en extase.

Nous restons un moment à reprendre nos esprits, puis Robert se retire de moi. En silence, il remonte son pantalon et prend dans sa poche un mouchoir en papier qu’il me donne pour que je puisse essuyer nos sécrétions intimes.

Loïc m’avait dit que, petit à petit, je jouirais de plus en plus à me faire sodomiser. Il avait raison, le bougre : j’ai joui comme rarement. Pourtant, Robert n’est que le troisième homme qui a eu le plaisir de s’enfoncer dans mon petit trou, il ne s’en doute certainement pas.

Je me relève après quelques instants. Robert se baisse pour ramasser ma jupe ; il me la tend et je la remets.

« Pour ne pas perdre les bonnes habitudes, je ne remettrai pas mon string : j’aime bien que tu saches que je suis nue sous ma jupe. De plus, j’adore sentir l’air sur ma petite chatte toute nue et tout humide. »

« Tu veux vraiment que je sois obsédé par ton corps ? »

« Oui, j’aime bien être désirable et désirée. Tu as tout fait pour que je tombe dans tes filets ; alors, il faut en subir les conséquences.

« Tu te rends compte que si je pense à toi, je vais encore avoir du mal à travailler ?

« Heureusement pour toi, nous ne sommes pas dans le même bureau. Allez, en parlant de boulot, faut y retourner. »

« Dommage, j’aurais bien continué. »

« Une autre fois peut-être ! Tu connais les règles du jeu ! Je pars la première. »

Je me dirige vers la porte et je sors du local en faisant un clin d’œil à Robert.

Le dernier après-midi de la semaine se déroule assez vite et je retourne chez moi. Je ne sais pas si mon mari va m’interroger et je ne sais pas si je vais tout lui décrire en détail ; en tout cas, j’ai pris du plaisir : c’est ce qu’il voulait, et c’est le principal.

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Julie et Véronique

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