L’amour au bureau (3e partie)
Résumé des parties précédentes :
Histoire taboue Au travail, je me suis fait « draguer » par Robert. Avec l’assentiment de mon chéri, je vais à une soirée entre collègues. J’y enlève mon string et le donne à Robert. La nuit se finit chez Robert où nous faisons l’amour.
Les jours suivants, au travail, j’organise un petit jeu érotique où Robert doit deviner quels dessous je porte.
Depuis que je lui ai raconté mes diverses fredaines avec mon collègue Robert, Loïc ne cesse de me demander de le lui présenter pour qu’il le connaisse un peu mieux. Il l’a déjà rencontré lors de sorties entre collègues de travail où chacun pouvait venir avec son conjoint.

J’ai hésité à le dire à Robert, puis, vu l’insistance de mon chéri, j’ai fini par lui faire part de cette demande. Évidemment, vu les circonstances, il était plutôt embarrassé. Toutefois, après réflexion, il a accepté, à condition que la rencontre se fasse au restaurant et c’est lui qui invitait. Mon chéri n’a pas hésité une seconde et m’a demandé de fixer une date qui convienne à tous.
Le soir prévu pour notre sortie, juste douchée, encore enveloppée de ma serviette, je suis en train de choisir ma tenue, quand Loïc rentre de sa partie de squash de fin de semaine. Il m’embrasse, me caresse sous la serviette, puis me l’enlève. Je lui demande :
« Comment je m’habille ? »
« Reste toute nue, tu es tellement belle en tenue d’Ève ! »
« Idiot ! Nous irions chez Robert, je dirais pourquoi pas, vous connaissez tous les deux mon anatomie en détail, mais tu me vois arriver toute nue au resto ? »
« Alors, comment tu t’habilles ? »
« Je ne sais pas encore, je suis indécise. »
« Un peu, sexy me plairait bien. »
Il se dirige vers mon dressing, il parcourt les cintres et sort un bustier avec des dentelles et une jupe plissée, assez courte qui ressemble à un kilt écossais, un porte-jarretelles et des bas.

« Pour le reste, je te laisse choisir, je te fais confiance ton choix est toujours le bon. »
« Tu ne crois pas que c’est un peu trop provocant. »
« Vu les relations que tu as avec Robert, je ne pense pas que cela le dérange, au contraire. Et ce n’est pas la première fois que tu vas au restaurant habillé comme cela ! »
Je ne peux rien répondre et, en plus, je n’en ai pas envie. J’aime bien quand mon chéri décide de me rendre séduisant. En plus, mettre un porte-jarretelles ne me gêne pas, cette fois-ci, je peux en porter un, je n’aurai pas de collègue curieux qui risquerait de trouver cela un peu osé. Du coup, je complète ma tenue par une parure Aubade, constituée d’un soutien-gorge pigeonnant et d’un string ultraléger. Une paire d’escarpins pour allonger ma silhouette, une veste et me voilà prête.
Loïc a choisi un costume bleu et une chemise blanche, pas de cravate, ce n’est pas une cérémonie. Juste avant de partir, Loïc me dit :
« Attends une minute, il te manque quelque chose ! »
Il entre dans notre chambre et revient avec quelque chose dans la main. Quand il arrive près de moi, il me montre l’objet ; c’est mon plug anal. Il me l’a acheté il y a quelques mois et, régulièrement, quand nous sortons, il me demande de le porter ! Je lui rétorque :
« Tu ne crois pas que c’est un peu trop pour une première rencontre ? »
« Non, j’aime bien savoir que ton petit cul est préparé pour des aventures amoureuses. Puis, vu comment tu as autorisé Philippe à bénéficier de ton corps, je trouve cela normal ! »
« Il n’empêche que je trouve cela osé, ce n’est que le troisième homme qui profite de mon corps de cette manière, il va finir par croire que c’est une habitude et on ne sait même pas comment va se terminer la soirée ! »
« Justement, tu ne risques rien : si nous rentrons chez nous directement, ton collègue ne saura rien et si nous allons chez lui, nous savons comment la soirée finira ! »
« Tu es incroyable ! Allez ! Profite de ta gentille coquine comme tu l’entends ! »
Je me retourne et je m’appuie sur la commode de l’entrée. Je relève ma jupe et baisse mon string. Loïc écarte mes fesses et je sens une légère froideur sur mon œillet. Il a même pensé au lubrifiant, l’animal !
Après m’être rhabillés, nous sortons et prenons la voiture pour aller au restaurant, celui où nous avons fait la sortie avec les collègues. Robert nous attendait à l’accueil et, après de brèves salutations et dépôt de nos affaires au vestiaire, le chef de salle nous dirige vers la table réservée. Il a déjà commandé l’apéritif : une bouteille de champagne. Il doit vouloir s’attirer les bonnes grâces de Loïc et les miennes par la même occasion.
Les commandes passées, nous discutons de choses et d’autres jusqu’au premier plat. Une fois le serveur reparti, Loïc demande à Robert ce qui l’a incité à me courtiser, alors qu’il sait que je suis mariée.
Robert rougit légèrement, puis s’explique :
« Véronique est une collègue charmante, très féminine, pas comme certaines qui s’habillent comme des sacs dès qu’elles ont trouvé un mari. Puis certaines indiscrétions m’ont permis de savoir que vous étiez un couple assez ouvert. Comme je suis célibataire, je me suis dit que la seule chose que je risquais c’était de prendre un râteau. Alors, je me suis lancé ! »
« Je pense que tu as bien fait ! En plus, Véronique m’a dévoilé certains faits qui ne laissaient aucun doute sur ce qu’elle espérait de la fin de soirée. »
« Ah bon ! Lesquels ? »
« Est-ce qu’elle t’a dit qu’elle avait porté des boules de geishas avant d’aller danser ? »
« Non, je ne savais pas ! »
« C’est une de ses astuces pour attiser ses émotions. »
Il se tourne vers moi :
« Au fait, chérie, tu les as dans ton sac ? »
« Oui ! Je les ai toujours dans celui-là, quand je sors avec toi ! »
« Tu devrais les mettre ! »
« Tu sais que cela me fait beaucoup d’effet ! »
« Oui, justement, c’est le but ! »
« Et vu ce que tu as fait juste avant notre départ, c’est encore plus osé ! »
« Et alors ! Nous sommes entre amis de bonne compagnie, il n’y a rien de gênant. »
« OK, OK ! Alors, excusez-moi un petit instant, je vais me refaire une beauté ! C’est comme ça qu’il faut dire, non ? »
Je prends l’étui dans mon sac et me dirige vers les toilettes. En fait, la mise en place ne me prend pas beaucoup de temps, notre discussion m’a déjà légèrement échauffée. Surtout avec la présence de mon bijou de cul entre les fesses. Quand je suis de retour à notre table, j’entends la suite de la conversation.
« Et qu’est-ce qui t’a plu le plus chez Véronique ? »
« J’aime bien le côté sexy discret de ta femme. Elle sait être coquine sans s’exposer exagérément ! »
« Ah oui ! Elle m’a raconté l’épisode de la culotte dans la boîte de nuit et la suite au boulot ! Tu sais, elle est souvent cul nu sous ses jupes, la petite polissonne ! »
Une nouvelle fois, il se tourne vers moi et me demande :
« Tiens, au fait, tu as quoi sous cette jupette ? »
« Un string Aubade ! »
« Cette jupe ressemble diablement à un kilt ! Et tu sais ce que porte un écossais sous son kilt ? »
« Oui, rien ! »
« Eh bien, tu sais ce qu’il te reste à faire ! »
« De quoi ! Pour une fois que j’en porte un, tu veux que je l’enlève ? »
« Pourquoi pas ? Robert sait bien que tu es coutumière de la chose ! »
« Je viens juste de revenir des toilettes, je ne peux pas y retourner tout de suite, cela serait louche ! »
« Enlève-le ici ! Avec nous de chaque côté tu peux le faire discrètement ! »
Le gentil chenapan, je ne m’attendais pas à une telle requête. Il a conscience de ce qu’il fait en effectuant cette demande, car quand je ne porte pas de sous-vêtements et que je sais qu’il sait, je suis toujours troublée, surtout en public et cette fois-ci, en plus, il y a un autre homme qui sera au courant de la légèreté de ma tenue !
Notre table est dans un angle de la salle et des paravents savamment installés créent une certaine intimité. En plus, je suis face à la salle et je peux voir si quelqu’un arrive. Aussi, je recule légèrement ma chaise, je vérifie que le serveur ne rôde pas trop près, puis je remonte ma jupe. Je passe mes mains sur mes hanches pour attraper la ceinture de mon string, je soulève une fesse après l’autre et fais glisser le petit morceau de dentelle le long de mes cuisses. Sans regarder, je sens les quatre yeux dirigés vers moi. Une onde de chaleur inonde mon corps, je continue à faire coulisser mon string sur mes jambes, évidemment je l’avais mis après avoir attaché mes bas au porte-jarretelles. Il est maintenant sur mes chevilles et je dois me baisser pour le faire passer par-dessus mes escarpins.
Je me relève, mon string au creux de ma main. Quand je m’apprête à le mettre dans mon sac à main, Loïc me saisit le poignet et me dit de lui donner. Je m’exécute et mon chéri, au lieu de le mettre dans sa poche, l’étale sur la table.
Juste à ce moment, je vois le serveur qui arrive avec la suite de notre commande. Il nous sert et je remarque que son attention est attirée par mon string. Je me sens rougir, heureusement, il ne fait pas de commentaire, même si son regard sur moi ne laisse aucun doute sur le fait qu’il a compris que je ne porte plus rien sous ma jupe.
Loïc et Robert ne font aucune réflexion sur ma rougeur inopinée et attendent que je commence mon assiette pour faire de même. Le repas se poursuit sans autre péripétie et, après le dessert, Robert nous propose un dernier verre chez lui. Évidemment, nous acceptons et il se lève pour aller régler la note discrètement.
À son retour, Loïc récupère mon string et nous quittons la table pour nous diriger vers le vestiaire. Notre serveur est là, accompagné d’un collègue. Je suis persuadée qu’il lui a raconté ce qu’il a vu, car leurs regards sont bien dirigés sur moi. Je m’imagine ce qu’ils doivent penser :
« Regarde-moi cette petite friponne qui se trimbale fesses nues sous sa jupe, accompagnée de deux hommes. Que vont-ils faire du reste de leur soirée ? »
Marcher le minou et les fesses sans barrière textile est assez courant pour moi. Cependant, je trouve troublant de me déplacer en sachant que des yeux inconnus m’observent en connaissance de cause. En plus, comme d’habitude, les boules de geishas font leur office et me mettent dans un état fébrile assez intense et la présence du rosebud dans mon derrière m’oblige à une démarche particulière. Dans ces cas-là, j’ai toujours peur de les perdre, heureusement qu’il n’y a pas un long chemin à parcourir.
Robert monte avec nous jusque chez lui et, comme la première fois, il nous dit de garer notre voiture devant son garage. Pendant qu’il ouvre la porte d’entrée, mon chéri passe les mains sous ma veste et descend la fermeture à glissière de ma jupe.
« Mais, qu’est-ce que tu fais ? »
« Tu m’as bien raconté qu’à ta dernière visite, ta robe était restée dans l’entrée ! »
« Oui, bien sûr ! Tu ne crois pas que c’est un peu trop tôt ! »
« Pas du tout, j’adore te voir peu habillée ! En plus, comme tu me l’as dit tout à l’heure, si nous étions venus directement chez Robert, tu étais d’accord pour venir toute nue ! »
« Ce n’est pas tout à fait ce que j’ai dit ! Tu me laisses au moins entrer ! »
Robert a ouvert la porte pendant notre bref dialogue. Loïc, obstiné, aide ma jupe à descendre le long de mes hanches et la guide jusqu’au sol, de cette manière, je suis obligée de l’enjamber si je ne veux pas tomber. Du coup, je suis fesses nues sur le perron éclairé, à quelques mètres de la rue. Si quelqu’un passe, il ne pourra que s’apercevoir de ma tenue légère, même si la veste cache une partie de mon postérieur.
Robert prend nos vestes et ma jupe et nous guide vers le salon. Je me sens un peu toute chose, à moitié nue, dans une tenue aguichante, en présence de deux hommes, même s’ils connaissent parfaitement bien mon anatomie la plus intime. Il n’empêche, c’est particulièrement troublant.
Les verres étaient déjà préparés sur la table du salon. Aussi, pour me donner une contenance, j’annonce :
« Asseyez-vous, je vais chercher la bouteille, je sais où c’est ! »
Je me dirige vers la cuisine, consciente que, comme je lui tourne le dos, Robert va s’apercevoir que mon petit orifice est orné du rosebud. Quand je reviens, ils sont assis face à face, chacun sur un fauteuil, ils m’ont laissé le canapé, où je prends place, suivie par leurs regards attentifs. Je tends la bouteille à Robert, qui me dit :
« Je l’ouvre et ensuite tu nous sers, de cette manière, nous pourrons t’admirer à loisir. Tu es superbe avec tes bijoux. »
« Vous êtes tous pareils ! Des mateurs professionnels, voilà ce que vous êtes ! »
« Que veux-tu ! Nous apprécions la beauté sous toutes ses formes ! »
Robert me rend la bouteille ouverte et je me lève pour servir le breuvage pétillant. Leurs regards sont dirigés sur moi et être l’objet de toute leur attention m’émoustille doucement. Déjà que l’alcool bu pendant le repas m’a un peu échauffé les sens, je commence à sentir une vague de chaleur m’envahir. Je me rends bien compte que la soirée ne va pas finir juste avec une exhibition gentille de mon corps. Et en fait, cela me plaît, j’aime être désirée.
Je finis de servir le champagne et m’assois sur le canapé. Robert lève son verre :
« À votre santé, je suis très heureux de vous accueillir chez moi, surtout de cette manière, je n’en espérais pas tant ! »
Après avoir bu quelques gorgées, Loïc se lève et vient s’asseoir à mes côtés. Il m’embrasse et, en même temps commence à déboutonner mon bustier. Je me laisse faire, sous l’effet conjugué de l’atmosphère sensuelle et de l’alcool, une douce béatitude commence à m’envahir et, évidemment, je n’ai aucune intention de casser l’ambiance. Aussi, je le laisse faire, mon beau soutien-gorge apparaît. Loïc ne s’arrête pas en si bon chemin et retire mon caraco. Il en profite pour dégrafer mon balconnet Aubade. Cette fois-ci, je suis toute nue, enfin presque, il me reste quand même mon porte-jarretelles et mes bas. Robert vient s’asseoir de l’autre côté et me caresse doucement la poitrine, mes tétons s’érigent de plaisir.
Loïc se lève et m’aide à m’allonger sur le sofa, mes jambes encore au sol. Pas pour longtemps. À son tour, Robert se lève, s’assoit de l’autre côté. Je suis à leur merci, ma nudité exposée à leurs regards concupiscents.
Mon chéri m’embrasse et caresse mes seins délicatement, ses doigts prennent possession de ma poitrine et des frissons de plaisir parcourent mon corps. Une main se pose sur mon ventre, sa présence me donne la chair de poule, peut-être devrais-je tenter d’échapper à cette douce torture, toutefois, le bien-être que je ressens m’en dissuade et je me laisse aller. Je sens ma respiration s’accélérer lorsque la main quitte mon ventre et atteint mon pubis, j’attends avec impatience la suite.
D’un seul mouvement, les deux hommes se lèvent, Loïc m’aide à m’allonger sur le canapé. Ils se mettent à genoux sur le tapis et commencent à me caresser à quatre mains. Puis, Loïc commence à embrasser mon ventre, descend doucement vers mon pubis et continue sur mes cuisses, en délaissant mon sexe.
Ses lèvres se posent sur ma cheville, il me fait des bisous en remontant le long de mes jambes. Robert embrasse mes seins, les suçote l’un après l’autre. Je suis très vite en transe, d’autant plus qu’en même temps une main caresse mon pubis, en prenant garde de laisser mon petit bouton tranquille. Pourtant, je n’attends que ça. Les doigts caressent mes lèvres intimes, remontent le long de ma fente et tournent autour du clito. Puis, des lèvres se posent sur mon pubis, ça y est, cette fois mon bouton est honoré. La langue tourne autour et je le sens aspiré. Toutes ces caresses m’excitent et je sens que mon premier orgasme va arriver : un orgasme clitoridien qui présage d’une suite intéressante. Ma tête oscille de droite à gauche, je jouis sous les caresses manuelles et buccales des deux hommes.
Robert ne me laisse pas le temps de me reprendre, il enlève délicatement les boules de geishas de mon sexe : il se couche sur moi et sans coup férir, son sexe entre en moi. Je frémis sous l’assaut et pousse un soupir de contentement et, pendant qu’il me pénètre, je ne quitte pas Loïc des yeux. Robert, appuyé sur ses avant-bras, commence à aller et venir dans mon vagin. J’imagine bien ce que voit mon chéri : la verge de mon amant entrer et presque sortir de mon corps et mes lèvres intimes enserrer cette tige de chair et de sang.
Je n’arrive pas à croire que je suis capable de faire ça (même si cela m’est déjà arrivé), le sexe d’un autre homme que Loïc planté en moi et qui va me faire jouir dans quelques instants et lui qui regarde. Je geins de plaisir sous les coups de boutoir. Il me bourre intensément, il me fouille le sexe. Pendant que mon orgasme survient, je m’exclame :
« Loïc, il me fait jouir ! Je jouis, tu me vois ! Il me fait jouir, que c’est bon ! Tu aimes ça, voir ta femme se faire baiser par un autre ! Moi aussi, j’aime, j’aime que tu me regardes. Toi aussi, tu vas me prendre, tu sais que j’aime jouir plusieurs fois de suite ! Oh ! Que c’est bon ! Je jouis ! »
Robert n’a pas joui, il est toujours tout dur en moi. J’ai encore envie de jouir, quand je suis partie, je deviens insatiable. Je fais lever Robert et je me mets à genoux sur le canapé. Je lui dis de me prendre dans cette position que j’adore par-dessus tout. Loïc se met devant moi pour que je puisse le prendre dans ma bouche. Ils viennent tous les deux en moi et je remonte rapidement au septième ciel. Qu’est-ce que c’est bon d’avoir deux hommes attentifs à mon plaisir. Un autre orgasme commence à me submerger et encore une fois, je jouis !
Puis Loïc dit à Robert :
« Assieds-toi sur le canapé ! »
Ce qu’il fait dans la foulée, évidemment.
« Monte sur lui, chérie ! Me dit mon amour. »
Aussi, je monte sur le canapé, les genoux de chaque côté des cuisses de Robert.
Je prends le sexe de Robert dans les mains et le promène le long de mes lèvres intimes bien humides, régulièrement je m’en sers pour exciter mon bouton. Puis l’envie d’être pénétrée est trop forte, aussi je dirige cette tige de chair à l’entrée de ma fente, déjà les lèvres intimes s’écartent. Je profite un instant de la sensation de me sentir envahie puis je fléchis les genoux lentement, pour bien sentir mon intimité s’écarter devant cette tige bien dure et avide. Je remonte plusieurs fois pour prendre le temps avant de sentir, enfin, la queue buter au fond de mon sexe.
Sans me relever, j’ondule d’avant en arrière, mon clito appuie sur son pubis. La jouissance n’est pas loin, toutefois j’ai envie de ralentir cette montée inéluctable vers le plaisir, aussi je me contente de ces mouvements pendant quelques instants. Puis, je commence à monter et descendre, lentement, sans précipitation, avec des mouvements peu amples. Je sens mon vagin se refermer puis se rouvrir devant le sexe de Robert. C’est vraiment génial de se sentir offerte sans se soucier de décence ou de morale !
Loïc s’approche du dossier du canapé, il me présente son pénis. Je l’embouche goulûment tout en continuant mes mouvements sur Robert. Mes lèvres du haut et mes lèvres du bas sont en action : elles mouillent deux bâtons de joie. Cette forme de double pénétration me transporte de plaisir. Quand l’une est presque sortie, l’autre est entièrement en moi. Je ne sais combien de temps je m’agite, en tout cas, je jouis encore une fois.
Robert oscille doucement en moi, des doigts jouent avec mon bijou de cul. Je vibre sous la caresse, quelle émotion sublime ! J’accélère ses mouvements et rapidement l’orgasme me terrasse.
J’ai cessé de caresser Loïc avec mes lèvres. Aussi, il est passé derrière moi. Ses mains empoignent mes seins, il les caresse tendrement. Puis, elles quittent ma poitrine et vont caresser mes fesses. Il joue avec mon rosebud. Il le sort un peu puis le laisse se réintroduire en moi.
Je tourne la tête pour lui lancer un regard qui demande : tu crois qu’il faut aller jusque-là ? Il sait bien que Robert est au courant que la sodomie ne m’est pas étrangère, vu qu’il a déjà emprunté ce chemin de mon corps. Mais faut-il qu’il sache que je pratique aussi la double pénétration ?
Visiblement, pour Loïc, la réponse est oui. Aussi, il sort complètement le plug et le remplace par un doigt, puis deux. Je pense qu’il ne va pas tarder à introduire sa tige dans mon entrée secondaire. Il retire ses doigts et son sexe se poser sur ma corolle. Le lubrifiant qu’il a utilisé pour me mettre le plug aide son intromission, je sens mon anneau se détendre sous la poussée de cette tige gorgée de sang. Petit à petit, il entre plus profondément. Après quelques mouvements, il est entièrement dans mes fesses. Je suis empalée sur deux sexes qui ne commencent pas à s’agiter en moi.
Le début est un peu désordonné, chacun avec son rythme. Puis, mes deux coquins accordent leurs mouvements et mes sens reprennent le dessus.
Moi aussi, je bouge à leur rencontre, en fait c’est comme si je me baisais et sodomisais en même temps sur deux godes vivants. Les jouissances précédentes m’ont déjà bien échauffée et maintenant c’est moi qui suis le maître de notre trio, c’est moi qui donne le rythme, ils sont obligés de suivre mes mouvements s’ils veulent rester en moi. Je m’extasie :
« Oh oui, c’est bon ! Continuez ! Prenez-moi bien à fond ! Je veux vous sentir exploser, me remplir, me combler ! Maintenant ! Oui… ! Allez-y, je sens que je vais jouir ! Ouiiiiii ! »
La jouissance est étonnante. Impossible de dire si je jouis du sexe ou du cul. Qu’importe, je jouis !
Un cri de jouissance sort de ma gorge. Mais, ils n’ont pas fini, ils continuent à me pilonner et moi je continue à jouir. Je ne sais pas lequel des deux a joui en premier, je sais seulement qu’ils m’ont amenée au septième ciel de belle manière.
Loïc se retire, pour me laisser m’asseoir et me reprendre. Je demande à Robert la permission d’utiliser sa salle de bains où je peux aller me rafraîchir un peu. Quand je reviens, ils ont repris leur place, chacun sur un fauteuil, aussi je me rassois sur le canapé.
Robert a resservi une coupe de champagne à chacun et nous buvons ce délicat breuvage qui me plaît toujours autant. Nous discutons de choses et d’autres. Robert nous demande si nous fréquentons les clubs libertins. Loïc répond :
« Cela nous est arrivé une fois avec des amis proches et dans un club dont le patron est une connaissance d’un autre couple d’amis. »
« Ce n’est pas trop glauque comme endroit ? Je me suis toujours posé la question ! »
« Non, celui-là est plutôt sympa. Pas de lourdauds, d’ailleurs, il est interdit d’importuner un convive, sous peine de se faire expulser. Si une personne dit non, c’est non ! »
« Et il y avait beaucoup de monde ? »
La discussion continue et, de mon côté je me rappelle cette expérience sympathique. Rien que d’y penser, je recommence à être un peu excitée, il faut dire que l’ambiance est plutôt chaude.
Aussi, ma main se dirige vers mon pubis et je me caresse doucement. Les lèvres, le clitoris, le pubis. Les deux hommes s’aperçoivent de mon manège et arrêtent leur parlote. Très vite, je vois que chacun touche son sexe. Ils reprennent assez vite une bonne vigueur. Aussi, je continue mon manège, je me caresse le clito, quelques incursions digitales dans mon sexe. Puis, aller et retour de deux doigts dans mon vagin, toujours en caressant mon bouton. À ce moment les deux hommes sont en pleine forme.
J’ose un doigt sur mon petit trou que j’offre à leurs regards en relevant mes jambes. Et là, je sens déjà l’excitation qui revient. Loïc a dû s’en apercevoir et il se lève pour venir vers moi. Il se met à genoux entre mes cuisses, enlève ma main de mon clitoris et le titille comme il sait que ça me plaît. Mes doigts sont toujours en moi. Mais il ne l’entend pas comme ça : il enlève mes doigts et se met à me lécher partout, le clito, le sexe en rentrant sa langue en moi, puis la rosette qu’il humidifie grandement.
Maintenant, il me faut un sexe. Je dis à Loïc :
« Pénètre-moi ! »
« Où ? »
« Le sexe en premier ! »
Il s’exécute et je me sens remplie de son pénis bien dur. Il commence ses va-et-vient en moi. Robert s’est approché et je peux tenir sa queue dans ma main. Loïc accélère, puis ralentit et alterne aussi la profondeur de sa pénétration. Il ne m’en faut pas beaucoup plus pour jouir à nouveau. Du coup, Loïc présente son pénis devant mon anus et commence à le pénétrer.
Je lui dis :
« Attends, je voudrais autre chose ! »
« Oui, quoi ? »
« Viens, je te dis à l’oreille ! »
Il continue quand même à enfoncer son sexe dans mon petit cul. Il s’approche de moi, je lui glisse à mi-voix :
« Je voudrais tous les deux en même temps, mais pas comme tout à l’heure. »
« Oui, d’accord, comment alors ? »
« Nous n’avons jamais essayé de cette manière ! Je me mets sur Robert dos à lui et toi face à moi. »
« Bonne idée, si c’est ce que tu veux ! Robert, assieds-toi sur le canapé ! Véronique veut essayer une nouvelle posture ! »
Robert s’assoit sur le canapé et Loïc sort de mon derrière. Je m’approche de Robert et me mets à genoux devant lui. Je prends son sexe en bouche et je commence une fellation sur sa tige bien droite. À un moment, je sens une fraîcheur sur mon anus. Loïc est allé chercher du lubrifiant et me tartine copieusement l’extérieur et l’intérieur. Je sens que c’est le moment de passer à l’acte. Je me relève, tourne le dos à Robert, j’écarte les jambes pour les passer à l’extérieur. Puis, je commence à descendre. Quand je suis proche du sexe de Robert, je le prends en main pour le diriger vers mon petit orifice. Je ressens sa présence sur mon œillet et descends doucement. Le pénis force le passage et petit à petit entre en moi ou, plutôt, je l’enfonce en moi en descendant lentement. Je fais quelques montées descentes pour que mon corps s’habitue. Je ne sais pas s’il en a vraiment besoin, vu ce qui a précédé. Bientôt, tout le sexe de Robert est dans mon fondement, je suis complètement assise sur lui. Il m’attire à lui et me caresse la poitrine.
Loïc vient devant moi et m’écarte les cuisses. Le spectacle lui plaît et il l’exprime à haute voix :
« Chérie, tu es magnifique comme ça ! Tu te verrais : les cuisses écartées, le minou lisse et humide, le cul transpercé par un sexe bien dur ! C’est tout simplement superbe ! Je regrette de ne pas avoir d’appareil photo.
Moi aussi, je regrette, j’aurais bien aimé me voir exposée ainsi devant mon chéri en pleine sodomie. Tout ça m’excite grandement. Je ne peux m’empêcher de caresser mon clitoris. L’excitation monte, mon plaisir grandit et la jouissance explose.
Loïc se met à genoux entre mes cuisses et enlève ma main de mon clitoris. Il prend son sexe à pleine main, le présente à l’entrée de mon vagin. Robert nous a mis en bonne position, il a compris le but de la manœuvre. Loïc entre doucement dans mon sexe légèrement rétréci par la présence de l’autre sexe dans mon cul. Ensuite, d’une longue poussée, il me pénètre jusqu’à buter au fond de mon sexe. Il attend un instant et commence des va-et-vient dans ma grotte d’amour. Robert oscille un peu aussi dans mon cul, limité par la position de notre trio.
C’est vraiment une sensation extraordinaire d’être prise en sandwich. La situation, nouvelle puisque c’est la première fois que deux verges prennent possession de moi de cette manière, me met vite dans un état d’excitation qui m’entraîne rapidement au septième ciel. Je ressens orgasme sur orgasme jusqu’à ce que Loïc éjacule en moi.
Je reprends un peu conscience quand il sort de mon sexe, j’ai l’impression d’un vide en moi. Cependant, Robert est toujours bien installé, tout dur, dans mon cul. Il n’a pas pu jouir, vu qu’il était limité dans ses mouvements.
Aussi, je lui dis :
« Viens, mettons-nous en levrette ! »
Aussitôt dit, aussitôt fait et dès que nous sommes en place, Robert agrippe mes hanches et débute ses allers et retours dans mes reins. Loïc s’est assis sur un fauteuil et nous regarde, je sais qu’il aime me voir faire l’amour. Surtout de cette façon, lui qui a été le premier à me sodomiser. Robert continue ses mouvements en moi ; toutefois, l’excitation est telle, qu’il ne dure pas longtemps. Je le sens jouir en moi.
Dès qu’il est sorti de mon corps, je me relève et vais faire un autre tour dans la salle de bains. À nouveau, les deux compères sont installés sur les fauteuils devant une coupe de champagne. Je m’assieds sur le canapé et me délecte avec cette boisson que je trouve excitante.
Robert s’exprime le premier :
« Je vous remercie d’avoir accepté mon invitation. Je ne pensais pas, et je n’espérais même pas, que cela se déroulerait de cette manière. Vous êtes un couple charmant et plein de surprises. Soyez certains que je n’oublierai pas cette soirée. En plus, je peux vous assurer que je ne ferai jamais mention de notre relation au travail. J’aurai trop peur de ne plus pouvoir discuter avec Véronique. Et même si c’est la dernière fois, je resterai muet comme une tombe. »
« J’en suis persuadée ! Dis-je. Et moi aussi j’ai passé une belle soirée, inoubliable dirais-je ! »
Loïc reste songeur un moment et dit :
« Pour moi aussi c’était une très belle soirée ! Je suis convaincu que tu ne te vanteras pas de cette soirée. Tu me sembles être très honnête. En plus, Véronique pourrait toujours dire que tu prends tes désirs pour des réalités. Ceci dit, je pense qu’il est l’heure de rentrer chez nous pour une bonne nuit de sommeil, bien méritée, après toutes ces émotions. »
Loïc se lève pour aller chercher mes affaires. Quand il revient, je me rhabille devant mes deux amants d’un soir, qui en font de même. Loïc récupère-le plug et les boules de geishas qu’il met dans mon sac.
Une fois habillés, nous disons au revoir à Robert et rentrons chez nous tranquillement.
À Suivre
Julie et Véronique
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