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Histoire taboue Le journal intime de Véronique Chapitre 2 Première fois sans culotte

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Histoire taboue Première fois sans culotte Encore une fois, nous voici en vacances dans les Landes. Forts de notre expérience précédente, nous n’avons eu aucune difficulté à trouver une plage naturiste et nous profitons tous les jours des caresses du soleil sur nos corps totalement exposés.

Un jour, ma sœur qui est en vacances avec son compagnon et leurs enfants à quelques distances de notre lieu de villégiature, nous invite à passer la journée avec eux et à dîner ensemble. Nous les rejoignons à la plage, près de leur location. Cette plage n’est pas naturiste, cependant, comme ma sœur est seins nus, je fais de même, ce qui ne me gêne pas, évidemment. Nous passons l’après-midi à discuter et à nous baigner, avec les enfants, dans les vagues de l’Atlantique.

En fin d’après-midi, ma sœur nous dit qu’ils vont rentrer pour prendre une douche et préparer le repas. Comme nous n’avons pas grand-chose à faire, nous décidons de rester pour nous baigner encore un peu. Puis, pour nous aussi, l’heure est venue de partir. Pendant que Loïc range parasol et autre natte de plage, je cherche mes affaires de rechange dans mon sac. J’ai beau chercher : rien !

Et puis, je comprends ce qu’il s’est passé. J’ai préparé mon sac comme pour aller sur notre plage habituelle, naturiste. Avant de partir rejoindre ma sœur, je lisais, en maillot de bain, sur le balcon de notre appartement. Ce que je fais pratiquement tous les jours. Seulement d’habitude, sur la plage, j’enlève mon maillot, du coup, il n’est pas mouillé et je peux le remettre pour rentrer. Ce qui fait que je ne mets jamais de vêtement de rechange dans mon sac. Et bêtement, j’ai fait la même chose. Seulement aujourd’hui, mon maillot est mouillé. Enfin le bas, puisque le haut je ne l’ai pas mis.

Donc, je n’ai pas trop de choix : soit je garde mon slip de bain et je mouille ma robe et le siège de la voiture, soit je l’enlève et je me retrouve fesses nues sous ma robe. Ma décision est assez rapide car je n’aime pas la sensation de froid que procure un tissu humide sur le corps, je n’ai pas envie de mouiller le siège de la voiture et je me sens bien quand je suis toute nue sur la plage. Alors pourquoi garder ce maillot ? J’aurai ma robe pour masquer ma nudité.

Histoire taboue Le journal intime de Véronique Chapitre 2 Première fois sans culotte
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Aussitôt pensé, aussitôt réalisé, je passe ma robe, je m’assieds sur ma serviette et rapidement j’enlève mon maillot. Pour cela, il me suffit de détacher les deux nœuds de côté (mon maillot est un bikini minimum) et de faire glisser le petit bout de tissu entre mes jambes avant de le déposer dans mon sac, sous la serviette de bain. J’ai fait ça si rapidement que je pense que personne ne s’en est rendu compte. Surtout pas mon mari. Sur le trajet pour retourner à notre voiture, je dis à Loïc :

« Tu sais ce que j’ai oublié ? »

« Non ! »

« Je n’ai pas pris de vêtements de rechange. »

« Et alors ? »

« Comme je ne voulais pas mouiller la voiture et ma robe, j’ai enlevé mon maillot et je n’ai rien sous ma robe. »

« C’est vrai ça ? Tu es toute nue sous ta robe ? »

Et sans me prévenir, ni vérifier si quelqu’un regarde, il passe une main sous ma robe pour vérifier mes dires.

« Ouah ! C’est super ! Alors ça, ça me plaît ! »

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Pendant toute notre marche jusqu’au parking, il n’arrête pas de me peloter les fesses et quand je dépose mes affaires dans le coffre de la voiture, il n’hésite pas à relever complètement ma robe sur mes hanches et à découvrir mon postérieur à la vue de possibles passants.

« C’est génial, c’est comme si tu étais en chemise de nuit. J’adore ! Je t’aime ! »

Dans la voiture, chaque fois qu’il peut, il passe une main entre mes cuisses et s’arrange pour relever ma robe et découvrir mon intimité. De la même manière, dans l’escalier qui monte à notre appartement, il reste derrière moi, et soulève ma robe pour mater mon petit cul nu. Heureusement, il n’y a qu’un étage dans la résidence et nous ne rencontrons personne.

Nous devons aller faire quelques emplettes : un peu pour nous et des fleurs pour ma sœur, ainsi qu’une bouteille de vin. Nous prenons une douche avant d’y aller pour nous débarrasser du sable et du sel sur nos corps.

Pendant que je finis de me sécher, Loïc me dit :

« Tu pourrais t’habiller comme tout à l’heure ! »

« Non, c’est une robe de plage, je vais en mettre une plus jolie, plus habillée. »

« En fait, je parlais de ce que tu avais dessous. »

« Ou plutôt de ce que je n’avais pas ! J’avais bien compris ce que tu voulais. Tu crois que c’est sage d’aller faire des courses sans culotte, au risque de faire voir mon intimité à des étrangers. »

« Est-ce que tu crois que quelqu’un a déjà vu ta petite culotte ? »

« Non ! Je ne pense pas, mais là ce n’est pas seulement ma culotte que les gens verraient. »

« Et alors, ils n’en perdraient pas la vue pour autant et puis ça me ferait plaisir. »

« D’accord, tu as gagné, je vais mettre ma robe rose à fleurs. »

« Génial, je vais te scruter toute la soirée, peut-être que moi, sachant de quoi il retourne, j’aurai la chance d’apercevoir quelque chose. »

« Mais, qu’est-ce que tu crois, je ne vais pas rester comme ça toute la soirée. Pour aller chez ma sœur je remettrai un slip. »

Loïc ne répond rien, cependant, je sens bien qu’il n’avait pas envisagé la suite des événements de cette manière.

Je me dirige vers la penderie et je prends ma robe rose. C’est une robe sans manches avec de fines bretelles, en haut, elle est de forme bustier. De ce fait, je peux, sans problème, la porter sans soutien-gorge. À mi-cuisse, elle découvre mes jambes dorées par le soleil. Je l’enfile et me voilà prête à aller faire nos achats. Première fois de ma vie, où je vais parcourir des lieux publics, endroits inhabituels pour être parfaitement nue sous mon seul vêtement. Il est vrai que, à peine une heure auparavant, c’était déjà le cas. Cependant, entre la plage et le parking, ce n’était pas la même chose. Le fait d’être en maillot de bain, donc à moitié nue, m’a fait paraître la situation moins étrange.

Nous descendons au petit centre commercial situé à quelque distance de notre location. Nous pouvons y aller à pied. Loïc me prend la main et, en premier, nous allons à la supérette. À un moment, je me penche pour saisir un article dans un linéaire situé assez bas. Je ne me suis pas rendu compte immédiatement que Loïc était resté derrière moi. Je me relève, me retourne et capte le regard de mon coquin de mari dirigé sur la partie la plus charnue de mon anatomie.

« Alors, mateur, qu’est-ce que tu cherches à voir ? »
« Tu le sais bien, je peux te rassurer, même penchée comme tu étais, on ne peut voir que tes jolies cuisses. Mais moi je sais ce qu’il y a sous ce bout de tissu et ça m’excite. »

« Tu es vraiment impayable, tu me vois tous les jours. »

« Ce n’est pas pareil ! Là, il y a un petit côté érotique excitant. »

Je ne dis rien, toutefois, je suis sur la même longueur d’onde. Me sentir nue sous ma robe, au milieu d’inconnus, me met dans un état d’émoustillant sympathique. C’est peut-être l’idée de transgresser un interdit ou au moins une convenance non dite par la société bien-pensante. En plus, Loïc est ravi de cette situation et j’adore quand mon chéri est dans cet état d’esprit.

Nous continuons nos achats, la dernière étape est le fleuriste, puis nous remontons dans notre logement pour déposer nos achats personnels. Comme tout à l’heure, mon cher et tendre ne peut pas s’empêcher de passer sa main sous ma robe. Dès qu’il a ouvert la porte, il me laisse entrer, dépose nos achats au sol et referme la porte. Il glisse sa main sous ma robe et entreprend de me caresser le minou d’un doigt fureteur, il s’exclame :

« Dis donc ! Ça te fait de l’effet, tu es toute mouillée. »

« C’est de ta faute, tu n’arrêtes pas de me tripoter. »

« Il t’en faut peu. Je pense plutôt que c’est le fait de te trimballer cul nu qui t’excite. »

En fait, il est dans le vrai, me savoir totalement nue sous ma robe au milieu des gens me réjouit, c’est vraiment une sensation que je n’imaginais pas avant. Aussi, quand Loïc passe sa tête sous ma robe pour me titiller le bouton avec sa langue, j’écarte sans délai les jambes pour lui faciliter la tâche et m’offrir totalement à ses caresses buccales auxquelles je suis très sensible. Très vite, je suis dans un état d’excitation avancé, je me sens humide de plaisir et le plaisir monte en moi.

Mon chéri a dû le sentir, il se relève me tourne dos face à lui et prend mes mains pour l’appuyer sur la commode de l’entrée. Je sens ma robe se relever sur mes fesses et une fraction de seconde plus tard, le chibre de mon mari appuie à l’entrée de mon puits d’amour. De temps en temps, quand la situation s’y prête, c’est-à-dire quand je suis bien chaude, j’aime bien être prise « à la hussarde ». Aujourd’hui, c’est un jour avec.

Et Loïc doit, lui aussi, être dans de bonne disposition, car, d’un seul coup de rein, il pénètre mon sexe avide de sensation. Sans attendre, il commence ses mouvements de va-et-vient dans ma chatoune. Il s’agrippe à mes hanches et s’enfonce en moi à un rythme qui se cale sur mon ascension vers le septième ciel. Ses impulsions profondes et cadencées m’entraînent inéluctablement sur le chemin de la jouissance. Je sens la montée du plaisir déferler en moi. Mon chéri accélère petit à petit son rythme, je sens sa tige de chair parcourir mon puits d’amour avec enthousiasme et dynamisme. Ce petit intermède sexuel me ravit les sens et je jouis avec intensité. J’atteins le summum du plaisir quand Loïc déverse sa jouissance au fond de mon corps en restant profondément enfoncé en moi.

Puis, il faut bien se séparer, la position est intéressante pour faire l’amour, mais pas très confortable. Loïc se retire et m’aide à me redresser, il me prend dans ses bras et m’embrasse :

« C’était super ! Chérie, j’adore te faire l’amour, surtout quand tu es aussi bien disposée. »

« Tu ne m’as pas fait l’amour, tu m’as baisée, cochon ! »

« Dis-moi que ça ne t’a pas plu, je ne te croirai pas. »

« Bien sûr, tu le sais bien, n’empêche que tu as profité de la situation et de la facilité d’accès à mon corps. »

« J’avoue et je ne regrette pas. »

« Je m’en doute, mais maintenant c’est moi qui suis toute trempée, il faut que j’aille me relaver avant de partir chez ma sœur. »

Je me dirige vers la salle de bains pour reprendre une douche rapide. Loïc me rejoint et nous nous lavons de concert. Mon chéri m’essuie gentiment, sans oublier de passer ses mains sur mon corps encore imprégné du plaisir qu’il vient de me donner. Je me recoiffe pendant qu’il se sèche, quand j’ai fini, il me tend ma robe et me dit :

« Tu t’habilles comme tout à l’heure, je trouvais que tu étais très belle ! »

« Beau flatteur ! Je sais bien ce que tu veux, je t’avais dit que je remettrai une culotte pour aller chez Virginie. Je veux bien être habillée plus que légèrement quand nous ne sommes que tous les deux, mais tu t’imagines si ma sœur ou Alain s’en rendait compte, qu’est-ce qu’ils vont penser de moi ?

« Comment veux-tu qu’ils s’en aperçoivent, personne ne l’a vu quand nous sommes allés faire nos courses. »

« Tu n’en sais rien, peut-être que quelqu’un s’en est aperçu. Puis, chez Virginie on va s’asseoir pour prendre l’apéro et avec cette robe qui remonte toute seule, le risque de dévoiler mon intimité est important. »

« Tu parles ! Dans ces locations d’été, il n’y a que du mobilier bas de gamme. Tu ne vas trouver des fauteuils profonds dans lesquels tu t’enfonces. Regarde chez nous ! »

Il est vrai que le mobilier de notre studio est des plus sommaires, seuls les fauteuils installés sur le balcon sont confortables. En plus, je discute pour la forme car, dans ma tête, je m’étais dit que si Loïc ne demandait rien je mettrai une culotte, autrement, j’exaucerais son souhait de me sentir toute nue sous ma robe légère. »

« Allez, tu as gagné, je ne mets pas de culotte, pour satisfaire ton esprit libidineux. »

« Merci chérie, c’est toi la plus belle. »

« Bon ! Faut y aller maintenant ! Ils vont nous attendre. »

Je m’habille, ce qui ne prend pas trop de temps, vu la simplicité de mes vêtements. Nous quittons notre appartement et nous dirigeons vers notre voiture. Durant tout le trajet, comme tout à l’heure, Loïc profite de la moindre occasion pour toucher mes cuisses, mon ventre et mon intimité. Je lui facilite l’accès en gardant les cuisses écartées. J’aime bien quand mon chéri s’occupe de moi. Dès qu’il a garé la voiture, je sors et prends les fleurs déposées sur le siège arrière. Quand je me redresse je m’aperçois qu’il est déjà derrière moi, la bouteille à la main, le regard sur mes cuisses dévoilées par ma position. Je lui souris et nous prenons le chemin de l’appartement de ma sœur.

Mon beau-frère nous ouvre et nous accompagne jusqu’au salon. Parce qu’il y a un salon dans leur appartement qui est plus grand que le nôtre. C’est certainement dû au fait qu’ils ont deux chambres : une pour eux, une pour les enfants. Donc, qui dit salon, dit fauteuils et canapés, je pense que cela va être drôle, d’autant plus qu’ils semblent profonds et confortables. Alain nous invite à nous asseoir pendant qu’il cherche un vase et va ouvrir la bouteille. Il y a deux fauteuils et un canapé. Je prends place sur le canapé et fais signe à Loïc de s’asseoir sur le fauteuil situé en face. De cette manière, lui seul aura la possibilité de voir mon entrejambe, l’autre fauteuil est à angle droit. Dès que je suis assise, je m’aperçois qu’effectivement le canapé est profond. Ma robe remonte sur mes cuisses et les dévoile largement. Il va falloir que je fasse attention, au moins pendant que nous prenons l’apéritif, après nous passerons à table. Discrètement, avant que ma sœur, mon beauf ou les enfants arrivent, je dis à Loïc :

« C’est malin, tu as vu dans quelle situation je suis, maintenant. »

« Génial, moi j’adore. D’ailleurs je me demande si je ne vais pas changer de fauteuil. »

« Ah non ! Ne fais pas l’andouille ! »

« Je blague ! »

Nous nous taisons, car Virginie arrive les mains pleines d’amuse-gueule. Elle aussi a mis une robe et je parierais bien qu’elle non plus n’a pas de soutien-gorge, en bas, c’est plus difficile, seul Loïc pourra le dire, car elle s’assied à mes côtés.

« Merci, pour les fleurs. Vous avez trouvé facilement ? »

« Oui, pas de problème, ce n’est pas très compliqué ; »

« Très bien, on boit l’apéro ? »

Alain revient avec les fleurs et nous fait la liste de ses propositions. Nous buvons tranquillement en discutant, les enfants viennent de temps en temps prendre quelques biscuits et boire leurs sodas. Petit à petit, l’alcool m’échauffe un peu les oreilles et j’ai de plus en plus de mal à faire attention à garder les cuisses serrées. Je le constate quand je vois le regard de Loïc se diriger régulièrement sur mes cuisses. Heureusement, ni Virginie, ni Alain, n’est en face de moi et je pense qu’ils ne peuvent rien voir. Aussi, je m’enhardis et, de temps en temps, j’écarte les jambes légèrement pour aguicher mon mari. Ça lui apprendra à me mettre dans des situations délicates.

Heureusement, arrive l’heure de passer à table. J’attends que ma sœur et Alain se soient levés et avant d’en faire de même, j’écarte largement les cuisses pour dévoiler ma nudité intime à mon coquin de mari qui est resté assis, à attendre pour me mater. Le repas se passe gentiment : à table, assise sur une chaise, le risque d’exposer mon intimité est nul.

Nous quittons ma sœur et sa petite famille sans anicroche scabreuse. Pour moi surtout, car je suspecte mon coquin de mari de se délecter de ce genre de situation où mon anatomie peut être exposée à des regards étrangers ou même connus. Toutefois, je mentirais en disant que cela me gêne profondément. Au fond de moi, cela me plaît.

Ces pensées égrillardes, l’alcool, les caresses de Loïc dans la voiture me mettent dans un état de fébrilité sexuelle considérable. Mon chéri – pas fou l’animal – s’en rend compte. Aussi, dès que nous sommes rentrés, il me fait l’amour. Cette fois-ci, il ne me baise pas comme tout à l’heure, il me caresse partout comme il sait si bien le faire, me fait languir, puis s’enfonce en moi pour m’amener jusqu’à un orgasme fantastique qui me laisse pantelante et repue de plaisir.

Le lendemain matin, quand je me réveille, Loïc a préparé le petit-déjeuner avec des croissants tous frais qu’il est allé chercher à la boulangerie du petit centre commercial.

« Alors, la marmotte a bien dormi ? »
« Quelle soirée, je crois que j’ai trop bu. »

« Pourtant cela ne t’a pas empêché de bien jouir, je pense que c’est plutôt de m’échauffer les sens qui t’ont troublée. Notre partie de jambes en l’air a été le point culminant de ton excitation et tu es tombée dans les bras de Morphée comblée de plaisir. C’est de te promener nue sous ta robe qui te met dans de tels états. Tu ne veux pas l’avouer, c’est tout. »

« C’est toi qui m’as poussée à le faire. Gros cochon, tu veux juste profiter de ta petite femme ! »

Et il avait raison le bougre, l’avenir allait le prouver.

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Julie et Véronique

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