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Histoire taboue Le journal intime de Véronique Chapitre 3

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Histoire taboue  Premières exhibitions et découverte de nouveaux plaisirs

Après ma première sortie de plage sans petite culotte, effectuée de manière involontaire, les sensations agréables que j’ai ressenties et l’état dans lequel cela met mon chéri, m’ont incitée à prendre la décision de recommencer pour aller me baigner sur les plages naturistes.

En fait, sur ces plages, je me suis vite aperçue que le regard des hommes est totalement différent que dans les centres réservés où les regards insistants n’existent pratiquement pas. Chacun vaque à ses occupations, sans s’émouvoir du voisin ; même dans les douches, qui sont collectives, on peut voir les hommes et les femmes se laver ensemble, se frotter la poitrine, le sexe, cela ne dérange personne.

Par contre, les plages où la nudité est autorisée, la population est bien différente. Déjà, comme leurs noms l’indiquent ce sont des zones où le naturisme est permis, pas obligatoire.

Au début, ce comportement, limite voyeur, m’a légèrement déroutée. Bien que ce genre de regards soit courant sur les plages « textiles », je ne pensais pas retrouver ces attitudes sur les plages naturistes. Loïc s’amuse des efforts réalisés par les mateurs amateurs et joue à découvrir les voyeurs ; les plus faciles à détecter sont ceux qui se promènent le long de la plage et en profitent pour mater, mais en fait, ils ne voient que ceux qui sont près de l’eau et pendant un temps court.

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Les plus hardis font comme tout le monde, ils se mettent tout nus et s’immiscent au milieu des « naturistes ». Ce sont ceux-là que Loïc s’amuse à repérer, le moindre mouvement leur fait lever la tête de leur livre ou chercher de la crème dans leur sac.

Première fois où j’arrive à la plage sans sous-vêtements, pas de soutien-gorge, pas de petite culotte. Je ne suis vêtue que d’un top sans manches et d’une jupe. Consciente des possibles regards, avant de me déshabiller, j’étale ma serviette, je pose mon sac et j’enlève mes chaussures. Puis je m’assieds pour retirer mes habits.
Loïc me raille sur mon comportement, il ne comprend pas pourquoi je fais tant de cinéma, alors que quelques secondes plus tard, je vais être nue. Quoi qu’il en soit, pour repartir, je refais la même gymnastique.

Jour après jour, encouragée par mon fripon de mari, je m’enhardis. Lui est toujours aux anges quand il voit qu’un homme cherche à m’observer discrètement.

Un jour, pour lui prouver que je suis complètement libérée et indifférente aux regards, je pose mes affaires sur le sable et je me déshabille debout, montrant, à qui voulait le remarquer, que je ne prenais pas la peine de m’embarrasser de vêtements inutiles.
À partir de ce jour, j’ai commencé à prendre plaisir à me montrer, sans vergogne, lors de mon déshabillage, rapide, il est vrai, vu le peu de vêtements.

Puis un jour, je me déshabille dès notre arrivée sur la plage et c’est nu que j’étale ma serviette, en prenant soin de bien m’exposer dans des positions aguichantes. Ce qui, je l’avoue me procure des effets troublants.

On ne peut pas dire que je suis exhibitionniste, puisque je ne me dévoile qu’à ceux qui veulent bien me regarder ; je n’aime pas choquer. Par contre, si j’aperçois qu’un homme (c’est toujours un homme) me regarde de près, je n’hésite pas à satisfaire le voyeur. À force, c’est devenu un jeu érotique, qui me plaît beaucoup (ainsi qu’à Loïc, d’ailleurs, il m’encourage souvent), le plaisir d’être regardée, donc un peu « admirée », m’émoustille.

Un jour, Loïc me désigne un voisin de plage, allongé sur le ventre la tête dans notre direction :

« Regarde ce gars, depuis que nous sommes arrivés, il n’arrête pas de te reluquer, je te parie que si tu vas te baigner, il change de position pour t’observer plus facilement. »

« Arrête, il n’est pas tout seul. »

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« Essaie, je vérifie. »

Il a eu raison. De retour aux côtés de Loïc, il me raconte ce qu’il a observé. En premier, au moment où je suis passée devant lui, il s’est retourné pour s’asseoir face à l’eau, il en a certainement profité pour reluquer mes fesses, d’autant plus que je faisais onduler mes hanches plus que d’habitude.
Au moment où je suis sortie de l’eau, il s’est levé et s’est dirigé vers l’eau en s’arrangeant pour me croiser.
Je confirme à mon chéri que ses impressions étaient bonnes :
« En plus, quand il m’a croisée, il a bien regardé mes seins et mon bas-ventre ! »

Il faut dire que, comme souvent l’été, pour pouvoir mettre des maillots strings sans avoir de poils disgracieux qui débordent, j’ai le pubis partiellement épilé. Cette fois-ci, j’ai juste un petit triangle de poils coupés court, qui, une fois mouillés laissent deviner mes lèvres intimes.
D’ailleurs c’est mon homme qui fait l’esthéticien, il adore s’occuper de mon minou, cela se termine toujours par des rapports fougueux et intenses.

« Tu devrais lui faire une petite séance dont il se souviendra… »

Au retour du voisin, je fais semblant de me sécher les cheveux debout, le dos tourné vers lui. Puis, je me penche pour prendre mes lunettes de soleil, dans cette position, il doit avoir une vue imprenable sur ma chute de reins et sur ma vallée secrète. J’étale ma serviette sur le sable et je me mets à genoux et ensuite à quatre pattes pour m’allonger sur le ventre.

« Mets-moi de la crème, s’il te plaît, mon chéri ! »

Loïc prend le tube et commence à m’étaler de la protection sur le dos, puis il descend vers mes fesses, mes cuisses, mes jambes et mes pieds. Comme il est sur mon côté, il ne bouche pas la vue de notre voisin qui a une vue directe sur mon postérieur.

« Remonte entre les jambes, s’il te plaît. »

Il s’exécute et remonte progressivement, quand il arrive vers les genoux, j’écarte imperceptiblement les jambes, puis il passe sur mes cuisses. Je les écarte encore un peu plus ; de cette manière, il peut mettre ses deux mains et remonter vers le haut de mon entrejambe.
Il étale consciencieusement la crème solaire sur l’intérieur de mes cuisses en insistant sur ma petite fente épilée. Il remonte sur mes fesses et passe ses mains entre mes deux globes.

Puis il remonte sur mes hanches, pendant ce temps, je glisse une de mes mains sous moi, entre mes cuisses, je me caresse le clitoris arrivant presque jusqu’à la jouissance. Pour ne pas éveiller les soupçons des autres estivants, notre scène s’arrête là. Loïc me dira plus tard, qu’il avait bien vu notre voisin lorgner soigneusement nos agissements.

Et je n’ai pas fini, car lors de notre départ, je m’efforce de continuer mon exposition aux regards de notre voisin. Je me mets face à lui pour enlever soigneusement les quelques grains de sable accrochés à mon corps.
Je reste nue pour emballer mes affaires, en prenant bien soin de ne pas plier les genoux pour remplir mon sac de plage. En dernier, je remets ma robe de plage, seul et unique vêtement de ma tenue, en l’enfilant par la tête, pour exposer mon anatomie le plus longtemps possible.

Pendant le trajet de retour, Loïc me caresse à chaque fois qu’il en a la possibilité. Je me laisse faire, toute troublée par ma première vraie séance d’exhib, je me sens tout humide. Arrivé à l’appartement, il me laisse à peine le temps de fermer la porte, qu’il m’aide à enlever ma robe et me guide dans la salle d’eau. Il se déshabille rapidement et me prend par la main pour nous mettre sous la douche :

« Viens ! Que je te débarrasse du sel avant de m’occuper de ton petit corps excitant. »

Durant toute la durée de notre douche, il me caresse, m’embrasse, ne me laisse aucun répit pour garder mon émoi intact. Lui aussi est bien excité, son chibre est dur et je ne peux m’empêcher de l’emboucher pour ressentir l’effet que je lui procure.
Il ne me laisse pas faire trop longtemps, peut-être a-t-il peur de ne pas résister à ce genre de traitement. Il me relève et m’embrasse tout en caressant mon bouton d’amour érigé qui ne demande que ça. Je ferme le robinet et m’appuie des deux mains sur le mur :

« Vas-y ! Prends-moi, j’ai envie de te sentir dans mon corps. »

Il m’enfile d’un seul coup et commence immédiatement des mouvements de va-et-vient dans mon puits d’amour ruisselant de désir. Il entre et sort de moi avec force et rapidité.
Toutes ces émotions successives ont échauffé mes sens et je sens l’orgasme venir en moi.
Ma jouissance est dévastatrice, je tremble sur mes jambes, Loïc me retient, heureusement car pendant un instant, j’ai cru m’écrouler. Loïc sort de moi et commence à me sécher.

« Attends, je n’en ai pas fini avec toi, tu as déjà joui, mais pas moi. Je crois bien que c’est ton exhibition devant cet inconnu qui t’a mise dans un tel état, petite coquine. Maintenant, il faut assumer. »

Il est vrai que son sexe est toujours tout droit, ferme, prêt à resservir et à me redonner du plaisir. Une fois sec, Loïc m’entraîne vers notre chambre. Il me pousse sur le lit et commence à embrasser mes seins qui sont encore avides de caresses et de câlins.

Puis, il descend et fait des bisous sur mon ventre, descend encore et atteint mon antre d’amour, qu’il ne tarde pas à titiller de sa langue agile et fureteuse. Il sait bien que cette caresse me met dans tous mes états. Mon clito est aspiré, tété, léché, suçoté, tout ce qu’il faut pour me faire monter au septième ciel. Je jouis une seconde fois.

Loïc s’allonge sur moi et, d’un seul coup s’enfonce dans ma grotte d’amour qui n’attendait rien d’autre. Je le sens bien, il me remplit entièrement. Sans attendre, il commence des mouvements de va-et-vient dans mon sexe échauffé par ma jouissance précédente.
Il change de position et appuie mes jambes sur mon torse.
De cette manière, je vois bien coulisser sa verge en moi. Cette position rétrécit mon vagin et, à chaque coup, il touche le fond de mon puits d’amour.

Heureusement que je suis souple, autrement j’aurais mal au dos, mais quelles sensations ! Son chibre va-et-vient, je pense même qu’au passage, il doit caresser le fameux point G. Aussi, je sens à nouveau l’orgasme poindre son nez. Loïc me dit :

« Dis-moi que tu as bien aimé montrer ta petite chatte à ce brave homme, allez, avoue ! Je sais que ça t’excite, en plus, j’en ai la preuve, tu es toute mouillée ! »

« En fait, c’est vrai. Au début, c’était surtout pour te faire plaisir, maintenant ça m’excite de savoir que je suis admirée par d’autres hommes. »

« Et il te plaisait celui-là ? Il était plutôt bel homme ! »

« Oui, pas mal, enfin il aurait fallu que je le voie dans de bonnes dispositions ! »

« Tu es vraiment une petite coquine, peut-être que si je n’avais pas été là, tu te serais laissée draguer, qui sait ? »

« Arrête, il était accompagné ! »

En même temps qu’il me parlait, il avait passé une main sous moi, pour caresser mon périnée. Je sens un doigt qui passe sur mes lèvres, certainement pour le mouiller avec mes sécrétions, car il vient ensuite se positionner sur mon anneau froncé. Je sens sa caresse autour de mon ouverture étroite, puis son doigt se pose dessus et appuie légèrement.

Ce n’est pas la première fois que mon chéri me procure cette caresse, une fois il a même introduit deux doigts dans mon petit cul. J’avoue que, comme j’étais bien excitée, cela ne m’avait pas déplu.

« J’espère pour lui que c’était sa femme, car autrement, avec le spectacle que tu lui as offert, il risque de coucher sur la béquille ! Tu ne veux pas te mettre à quatre pattes, j’ai envie de voir ton petit cul, comme tu l’as si bien exposé cet après-midi. »

« Si tu veux ! Tu sais bien que j’adore. »

Il se retire de moi, j’ai une sensation de vide dans mon corps et aussi de fraîcheur, car je suis vraiment trempée. Je me mets à genoux, puis en levrette. Immédiatement, Loïc caresse mes fesses, passe un doigt entre mes lèvres intimes et atteint mon petit bouton tout érigé de plaisir. Mais j’ai envie de me sentir pénétrée :

« Prends-moi, j’ai besoin de ta bite en moi. »

Sans me répondre, il laisse mon clito et remonte entre mes lèvres, cette fois-ci avec deux doigts, je les sens passer sur mon petit trou, où ils s’arrêtent un bref instant pour une câlinerie appuyée, assez agréable.

Puis, son chibre pointe sur mon minou, qui s’ouvre sous la poussée inexorable de cette colonne de chair que j’attends avec impatience. Je lance mes fesses en arrière pour sentir son chibre entrer en moi d’un seul coup. Loïc pose ses mains sur mes hanches et débute ses allers et retours dans mon vagin enflammé de désir.

« Tu sais, cela ne me gêne pas, de savoir que tu as exhibé tes fesses de près, elles sont si belles, elles méritent bien cet hommage. »

« Oui, oui, je sais, continue, c’est bon ! »

« Et toi, naturellement, tu pensais : Il doit tout voir ». Tu mouillais, n’est-ce pas, pendant qu’il te reluquait ! Hein, ma petite exhibitionniste ! »

« Oh, je t’en prie, arrête, non, continue… ! Oui, j’étais flattée et heureuse qu’il me regarde. »

Ses paroles accompagnées de ses mouvements dans mon corps m’amènent graduellement au septième ciel, Je sens que je vais jouir, je vais jouir parce que je m’imagine en train de m’exhiber devant d’autres hommes, je vais jouir de son désir, je vais jouir du désir de tous les autres. Je jouis en sentant son chibre me défoncer sans relâche. C’est l’extase ! Cette position m’amène toujours sur des sommets de jouissance.

Loïc attend un moment, puis il nous fait basculer sur le côté. Il continue à aller et venir doucement et lentement en moi. Il se colle contre mon dos, il m’embrasse dans le cou, ce qui me donne des frissons. Il cajole mes seins, une main descend entre mes cuisses pour titiller mon clito pendant quelques instants.
J’adore cette caresse quand je viens de jouir, je reste sur un plateau et souvent, il ne m’en faut pas beaucoup pour que je reparte. Ensuite, il se retire de moi, sa main quitte mon bouton, passe derrière moi, entre nous, et retrouve le chemin de mon minou.

« Tu es vraiment mouillée, ma chérie, c’est vraiment signe que tu as bien joui, j’adore quand tu es comme ça. C’est parce que tu imagines ce que tu as montré ! Hein ! Il devait voir tes lèvres intimes épilées, peut-être même légèrement humides et écartées par ta provocation. Puis ton petit trou, parce qu’à quatre pattes, il ne pouvait pas rater le spectacle. »

En même temps qu’il parle, je sens sa main s’appuyer sur mes lèvres intimes, un doigt les écarte pour entrer légèrement en moi. Après, sa main continue sa progression entre mes cuisses et passe entre mes fesses. Je me sens humide de désir, une fois de plus non assouvi.

« Même ton petit trou est imbibé de mouille, lui aussi doit avoir besoin de câlins. »

Nous y voici, je sentais bien que depuis quelque temps, mon chéri voulait s’occuper de cette partie de mon corps, qu’avant lui rien n’avait pénétré. Sauf un thermomètre médical. D’ailleurs, aussitôt après, j’en ai la preuve : un doigt plonge dans mon vagin et en ressort, la seconde d’après, pour venir se poser sur mon anus. Il me lubrifie avec mon jus intime.

Puis ce sont deux doigts qui plongent dans mon minou pour s’humidifier et venir déposer leur récolte sur mon anneau. Ensuite, sa paume de main passe sur mes lèvres et réalise la même manœuvre. Un doigt me pénètre. Loïc me dit :

« J’ai envie de te prendre là ! »

« J’ai bien compris. Mais je ne l’ai jamais fait, alors j’ai un peu peur d’avoir mal. »

« Tu sais bien que je t’aime, je ne veux pas te faire de mal ! »

« Je le sais, mais j’ai l’impression qu’aujourd’hui tu es plus gros que d’habitude. Je ne voudrais pas que tu me déchires. »

« Ne t’affole pas, je vais faire doucement, si tu as trop mal, tu le dis et j’arrête. »

« OK, vas-y doucement ! »

Il avait continué sa progression digitale dans mon petit trou et la première phalange était en moi. Un autre doigt vient à côté de celui qui est déjà en moi. Il devait l’avoir bien humidifié car je ne sens pas grand-chose.

Loïc ressort ses doigts pour les lubrifier à nouveau avec ma liqueur. Il recommence à introduire ses deux doigts dans mon petit cul. Je suis même un peu étonnée de la facilité avec laquelle il peut agir.

Cette fois, il tourne ses doigts à l’intérieur et distend mon muscle pour le préparer à l’entrée de sa tige turgescente. Avant, il la remet dans mon sexe et remue doucement en moi, en même temps qu’il continue ses oscillations digitales dans mon anus. En fait, j’aime bien, je ne sais pas si je serais capable de jouir comme cela, néanmoins, être prise des deux côtés est plutôt délectable.

Puis Loïc retire ses doigts de mon petit trou et son chibre de mon vagin. Il pose son sexe sur mon anneau froncé. Il me dit :

« Tu sais, il y a une astuce, pour éviter d’avoir mal, ce n’est pas très romantique, mais ça marche. »

« Oui, c’est quoi ? »

« Quand je commence à pénétrer ton petit cul, tu pousses, tu comprends ? »

« Oui, j’ai pigé, vas-y ! »

J’ai vraiment envie de faire plaisir à mon chéri, il m’a tellement appris de choses sur l’amour physique et m’a tellement fait jouir. Je suis prête à souffrir un peu, pour céder à son désir et réaliser son fantasme.

Je sens une pression sur ma rosette, Loïc a entamé son ultime conquête de mon corps. En même temps, je « pousse ». Je ressens une distension de mon muscle, j’ai un peu mal. Visiblement, je suis bien mouillée ou Loïc m’a bien préparée car il continue à glisser en moi. Je commence à me sentir écartelée, je suis sur le point de lui dire d’arrêter quand il me déclare :

« Ça, il y a, j’ai entré entièrement le bout, tu es dilatée au maximum. J’arrête un moment pour que ton corps s’habitue. »

« Tu es mignon. Tu fais tout pour que je n’aie pas mal. »

« Je veux que tu jouisses, pas que tu souffres. »

De ses doigts, il récupère de mes sécrétions et je comprends qu’il en étale sur son pénis et sur les bords de ma rosette distendue. Je ne ressens plus de douleur intense, seulement une vague sensation de tiraillement. J’ai envie qu’il continue, aussi, je pousse mon cul en arrière.

« Tu es impatiente dirait-on ! Alors je reprends. »

« Oui, vas-y ! Doucement, ne me défonce pas ! »

« Ne t’inquiète pas, j’ai trop envie de te faire jouir »

« Pour pouvoir recommencer. Hein ! Cochon ! »

D’abord, il exerce de légers va-et-vient, à chaque fois qu’il rentre en moi, il gagne un peu de terrain. Progressivement, son chibre me remplit complètement. Son bas-ventre touche mes fesses, il passe sa main par-dessus moi et la pose sur mon pubis. Aussitôt, un doigt se dirige vers mon clito, il me connaît l’animal, il sait bien que je suis très sensible de cet endroit quand j’ai déjà joui. Il reste sans bouger, bien planté dans mon petit cul, il me laisse m’acclimater à cette intrusion inhabituelle.

Après quelques titillements de mon bouton d’amour, il démarre de lents et courts allers et retours dans mon petit trou. Je perçois son sexe jusque dans ses moindres détails. Sa tige glisse en moi en dilatant mon anneau et ses doigts continuent à jouer avec mon clito. Bientôt, je discerne la montée du plaisir qui revient, lentement, malgré une persistante impression de tiraillement de mes chairs les plus intimes.

« Je ne te fais pas mal ? Me demande Loïc. »

« Non… Non… Continue mon amour, je te sens bien dans mon petit cul, tu es gros et dur… ! Mais ça va ! »

À partir de ce moment, ses va-et-vient entre mes fesses deviennent plus amples, j’ai même l’impression qu’il ressort presque de moi. Je n’ai plus aucune sensation de douleur, la jouissance qui monte a tout effacé. Je ne pensais pas que je pourrais me prêter aussi aisément à une telle pénétration.

Je profite de l’instant et laisse le bien-être me gagner. Je commence à onduler en même temps que mon chéri s’agite en moi, je m’empale toute seule. Il me bise dans le cou, ce qui me donne des frissons de plaisir qui parcourent ma colonne vertébrale et contribuent à m’amener aux portes de la jouissance.

La sensation est affolante, mes fesses enserrent son sexe comme il ne l’a certainement jamais été. Ses coups de boutoir qui fouillent mon cul se font plus profonds. La force de ses mouvements me semble plus intense, puis son ventre vient, régulièrement, buter sur mes fesses.
Je me demande même comment il tient encore, car je ne l’ai jamais senti dans cet état. Bien que cela soit la première fois, je ne ressens plus aucune douleur, certainement aidée par les caresses délicates qu’il poursuit sur mon clito. Lentement, il accélère le rythme, tandis que je m’entends geindre.

Cette fois, il ne ménage pas ses efforts et il ne me ménage pas non plus, il me pilonne carrément le petit trou. Je suis au bord de l’explosion, je ne croyais pas qu’il était possible d’éprouver autant de bonheur à sentir une tige de chair turgescente entrer en moi par cet orifice, encore jamais visité.

Je commence à trembler, tout mon corps est envahi par l’orgasme et je perds tout contrôle. Puis son plaisir arrive et quand je reçois sa semence, qui jaillit dans mes entrailles, c’est littéralement démentiel, je ne sais plus où je suis.
Un moment plus tard, je reprends pieds, j’entends le souffle de mon homme qui s’apaise. Il est toujours en moi et je me sens bien.

« Oh ! Mon chéri, c’était fantastique, je ne sais pas comment tu t’y es pris, mais je n’imaginais pas découvrir un plaisir aussi nouveau et intense. »

« C’est grâce à toi, ma chérie, tu es faite pour l’amour ! »

« Peut-être, seulement si tu n’avais pas su éveiller mes sens, je n’aurais jamais découvert cette possibilité de moi-même. Désormais, tu peux dire que tu as utilisé mon corps de toutes les manières possibles. »

« Je ne cherche que ton bonheur, mon ange ! »

« Ouais, et maintenant, tu peux m’appeler « ma petite enculée ! »

« Allez, pour te remercier d’avoir assouvi un de mes fantasmes, je t’invite au restaurant. »

« Une petite douche serait utile, non ? »

« Oui, « ma petite enculée » et je vais savonner ton petit corps fait pour l’amour. »

Il se retire doucement de mon petit orifice, mes chairs intimes reprennent leur place. J’ai comme une sensation de vide, toutefois, l’orgasme que j’ai ressenti me laisse dans un état euphorique, annihilant toute perception négative.
Direction la douche, que nous prenons ensemble, sagement, cette fois. Puis nous retournons dans la chambre, pour nous habiller avant d’aller au restaurant. Je sors une robe à fines bretelles, légère et vaporeuse, assez courte. J’attends que Loïc me regarde, je lui montre et lui dis :

« Est-ce que je vais te plaire, avec celle-ci ? »

« Très bien, ma chérie, tu sais bien que je te préfère en robe ! »

« J’imagine que je ne mets rien d’autre ? »

« Évidemment, la température le permet. »

« Et tu m’emmènes où ? »

« Surprise ! »

J’enfile ma robe sur mon corps nu. Je sens que je vais attirer les regards, car il est évident que je ne porte pas de soutien-gorge, le reste est moins évident. Mon Loïc est vraiment un coquin. Une fois habillés, nous sortons de notre logement. Loïc me prend par la taille et me guide vers la voiture. Je pensais que nous allions dîner dans un des innombrables restaurants situés dans les environs. Mais non.

Quand il gare la voiture, j’attends qu’il vienne m’ouvrir la porte, il adore découvrir mes charmes révélés lorsque je descends, surtout avec une tenue aussi courte. En fait, il s’était débrouillé pour réserver discrètement dans un restaurant gastronomique, un peu classe.

Le maître d’hôtel m’observe discrètement quand je rentre et nous accompagne à notre table. Il tient la chaise pour que je puisse prendre place. Inévitablement, quand je m’assieds, ma robe remonte largement et découvre une grande partie de mes cuisses nues. La nappe, assez longue, me permettra de m’asseoir comme je veux, sans risquer d’exposer mon anatomie intime sans voile.
Loïc commande des coupes de champagnes en apéritif, puis je me penche sur le menu. Une fois la commande passée, je demande à Loïc :

« Nous fêtons quelque chose de particulier, pour que tu m’amènes dans un endroit comme celui-là ? »

« Je fête mon amour pour toi, et j’espère qu’il en est de même pour toi. »

« Tu sais bien que je t’appartiens toute et entière, surtout depuis cet après-midi. D’ailleurs, « ta petite enculée » commence à ressentir les effets de tes assauts sur ta dernière conquête de mon corps. »
« Je suis désolé, chérie, c’est certainement le manque d’entraînement. »

« Donc, tu veux recommencer, gros cochon ! »

« Ne me dis pas que cela ne t’a pas plu ! Je ne te croirai pas ! »

« Bien sûr, tu l’as vu, seulement il faudra attendre un peu. »

Le repas continue au rythme du service, impeccable. Quand nous sortons, je me rends compte qu’il y a plus de monde que lors de notre arrivée et que nombreux sont les regards qui se dirigent sur moi. J’en suis assez fière, l’esprit un peu embrumé par les mets et les vins délicieux que nous avons dégustés.

De retour dans notre chambre, Loïc « profite » de mon état guilleret pour me refaire l’amour. Bien sûr mon petit cul me fait encore un peu souffrir, cependant mon chéri reprend un chemin plus habituel et il est si doux qu’il sait me mener à l’orgasme, sans coup férir.

J’ai vraiment un souvenir impérissable de cette « initiation » à la sodomie. Ce n’est pas devenu pour autant, systématiquement, une source de jouissance fantastique, j’ai appris qu’il me fallait être vraiment excitée pour en jouir comme cette fois-là.
D’autres expériences m’ont procuré des orgasmes fabuleux, mais c’est une autre histoire.

À Suivre
Julie et Véronique

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