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Histoire taboue Le journal intime de Véronique Chapitre 6

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Première expérience extraconjugale

Histoire taboue  Régulièrement, nous fréquentons un centre naturiste du sud-est de la France, situé au bord d’une rivière. Comme nous aimons être au calme, le plus souvent nous marchons le long de la rivière pour trouver un coin tranquille. Maintenant, nous avons nos habitudes et au bout de vingt minutes de marche, nous sommes dans un endroit isolé où personne ne vient, peut-être que c’est trop loin. C’est le lieu idéal pour lire ou faire la sieste au calme, bercé par le bruit de l’eau et le chant des oiseaux. Souvent, Loïc profite de notre solitude pour me caresser, je trouve ces instants agréables et me laisse aller au plaisir de ses attouchements sensuels, qui commencent, en général, quand il étale la protection solaire sur ma peau délicate. J’aime bien le voir s’occuper de moi, avec sa tige bandée.

Jusqu’à ce jour nous n’avions jamais vu quelqu’un s’aventurer aussi loin. D’autant plus que le seul chemin vient du centre, plus loin c’est un peu la jungle. Cependant, sur le trajet pour retourner au centre, Loïc me dit :

« Je crois qu’il y avait un homme dans le bosquet qui est un peu plus loin. »

« Oui, et alors ! »

Histoire taboue Le journal intime de Véronique Chapitre 6
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« Je pense qu’il était là pour mater ! »

« Un voyeur dans un camp de naturistes, ce n’est pas commun ! Tu crois qu’il vient du centre ? »

« Vu l’environnement, je ne vois pas par où il pourrait venir. »

Le lendemain, au moment de quitter notre coin de paradis, Loïc me laisse partir devant. Quand il me rejoint, il me révèle qu’il a, de nouveau, aperçu le même homme, équipé d’un appareil photo avec un téléobjectif. Cette information me rend joviale, car j’aime les regards enflammés que me lancent les hommes. Même si ce n’est pas courant dans les centres naturistes. Cependant cette révélation m’intrigue un peu. Aussi, au cours de la préparation du repas, j’interroge Loïc :

« Tu crois que le gars que tu as vu se promenait, ou qu’il cherchait autre chose ? »

« Je pense qu’il est venu mater, on ne vient pas deux jours de suite au même endroit, sans arrière-pensée, surtout avec un appareil photo muni d’un téléobjectif. »

« Je ne vois pas ce qu’il cherche puisque ici tout le monde est nu ! »

« C’est l’attrait du voyeur : voir sans être vu, prendre des photos discrètement. Puis, il pouvait espérer que nous soyons moins sages. »

« Je ne vois pas l’intérêt, il peut m’observer toute la journée, quand je me balade dans le centre ! Vu que je suis nue, je ne peux rien lui cacher. »

Histoire taboue Le journal intime de Véronique Chapitre 6
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En fait, cet événement m’interroge, je trouve cela légèrement grisant : être la cible d’un voyeur, alors que je ne dissimule rien de mon anatomie. Loïc continue :

« C’est sûr que comme ici tout le monde est nu, il ne peut guère en découvrir plus, sauf s’il ne vient pas du centre ! »

« Ah ! Tu crois qu’on peut arriver là-bas, sans passer par le centre ! »

« Je ne pense pas, car c’est bien touffu après, mais on ne sait jamais ! »

« Il était nu ? »

« Oui, mais rien ne l’empêche de se déshabiller au dernier moment. »

« C’est vrai, mais ça me paraît peu probable, la première route est assez loin. »

« J’ai l’impression que tu trouves plaisant qu’un homme puisse avoir envie de te mater. Alors, puisque tu penses avoir exposé toute ta belle anatomie, je sais ce qu’il faut faire pour que tu te dévoiles un peu plus. »

« Ah ! Oui, quoi ? »

« Tu pourrais t’épiler totalement ! Comme ça, tu seras plus nue que nue ! »

J’ouvre de grands yeux, son expression “plus nue que nue” m’apparaît on ne peut plus claire et me fait réfléchir à sa proposition : c’est vrai qu’il m’arrive de m’épiler le pubis, souvent pour faire plaisir à mon chéri, il adore caresser mon minou imberbe, pas seulement d’ailleurs. En général, cela ne m’ennuie pas, au contraire, puisque Loïc apprécie et que cela augmente sa libido, du coup j’en profite aussi.

Seulement, je ne suis jamais venue ici intégralement épilée. Vu ma faible pilosité de blonde, la seule action que j’ai eue, c’est de faire les bords de maillot et mes lèvres intimes pour pouvoir porter des petits maillots sur des plages non naturistes. Comme j’ai déjà eu le pubis totalement glabre, sur des plages naturistes, la suggestion ne me paraît pas totalement loufoque. Toutefois, il faut que je m’assure que son idée n’est pas juste un défi en l’air :

« Et quand je vais circuler dans le centre avec mon minou parfaitement épilé, tu ne seras pas gêné de montrer ta petite femme découverte dans toute son intimité ? Ici, certaines personnes nous connaissent. »

« Tu ne seras pas la seule. Et puis tu es déjà venue ici avec ta petite touffe taillée bien court. »

« Ce n’est pas pareil, il m’en restait quand même un peu ! »

« Tu sais, quand tu sortais mouillée de la piscine, rien n’était dissimulé. »

« J’imagine bien, vu ma blondeur. Seulement, je ne veux pas que tu me rases, après ça fait des boutons, c’est vilain . »

« Non, j’ai vu que tu as apporté la crème dépilatoire que tu utilises pour les aisselles. Elle est hypoallergénique, il n’y a pas de risque. En plus, celle-là, je l’ai déjà utilisée pour t’épiler. »

Ses arguments sont convaincants, puis j’ai envie de voir la tête de certaines personnes. Aussi, j’accepte et je propose d’aller aux sanitaires le soir tard : les douches sont communes, il n’y a que deux douches individuelles, sans porte. À cette heure, cela sera plus discret.

Le soir, tard, nous nous dirigeons vers les sanitaires. Loïc a pris une paire de ciseaux et la crème dépilatoire. Comme prévu, il ne reste que quelques personnes aux douches ; je me dirige vers une des deux cabines individuelles situées au fond, derrière un mur. Il y a un tabouret, je m’assieds au bord et écarte les cuisses pour que Loïc puisse opérer. Il sait comment faire, la plupart du temps c’est lui qui se charge de cette opération. Il taille le plus possible avec les ciseaux, puis étale soigneusement la crème sur les poils restants, sur mon pubis, mes lèvres et autour de mon anneau froncé.

Le temps d’attente écoulé, Loïc prend la spatule en plastique, fournie avec le produit, et commence à racler la couche de crème. Une femme arrive pour prendre une douche dans la cabine située en face. S’apercevant de ce que nous faisons, elle se ravise et passe dans les douches communes. Les naturistes sont discrets, heureusement car, comme chaque fois que Loïc m’épile, il bande. Petit à petit, mon pubis apparaît, tout lisse. Je passe sous la douche pour enlever le reste de la crème. Loïc me rejoint et me prend dans ses bras pour m’embrasser, puis il me retourne, le dos contre son ventre et sa main descend pour caresser mon minou tout nu. Je sens sa tige grossir le long de mes fesses, rapidement il arrête : ce n’est pas un endroit pour des exploits sexuels. Nous nous séchons et retour à la tente.

Avant d’entrer dans la chambre, il me fait tenir jambes écartées en face de lui et il m’enduit la zone épilée de crème. Le contact, froid au départ, est vite remplacé par une chaleur générée par ses caresses. Je lance mon ventre vers l’avant pour profiter de sa caresse. Puis, il passe derrière moi, me fait courber en avant et fait de même autour de mon petit trou. Je me relève et vois son chibre bien tendu, aussi, je me saisis de son sexe et lui dis :

« Tu bandes mon coquin, t’occuper de mon petit chat t’excite toujours autant ou est-ce parce que tu fantasmes sur ce qui va se passer demain ? »

« Les deux mon amour, tu sais bien que j’aime quand les autres te regardent ; ils doivent se dire : il a bien de la chance celui-là. »

Nous faisons l’amour tendrement, Loïc en profite pour caresser mon minou tout lisse. Puis, après quelques minutes de lecture, nous entamons notre nuit de sommeil.

Le lendemain matin, je m’éveille quand Loïc rentre dans notre chambre. Je repousse le duvet qui me sert de drap et remonte ma nuisette sur la poitrine :

« Comment tu trouves ma nouvelle coupe de minou ? »

« Devine ! »

Son chibre est déjà tout tendu et, sans attendre, il s’agenouille à mes côtés et caresse mon corps tout chaud. Évidemment, il dirige une de ses mains sur mon pubis glabre. Je l’aide dans ses pérégrinations érotiques en écartant les cuisses. Il n’attend pas et, immédiatement, pose sa bouche sur mes lèvres intimes. Au réveil, je suis toujours réceptive à ce type de caresses et je ressens rapidement les effets de son cunnilingus matinal. J’appuie sa tête sur mon minou, même s’il n’a pas besoin de ça pour s’appliquer à sa tâche et m’emmener sur les chemins de l’orgasme. Sa langue furète dans ma chatte dans tout recoin accessible de ma grotte, mon clitoris a droit, lui aussi, à un traitement de faveur. C’est une sensation ineffable qui m’envahit doucement et je ne mets longtemps pas pour jouir, une première fois.

Ensuite, il remplace sa langue par ses doigts à la recherche du point G. Sa langue continue à me titiller le clito. Puis quand il estime le temps venu, il s’allonge sur moi, et me pénètre de son épée de chair. Mon corps n’attend que ça et accepte sans effort l’assaut de mon chéri. Rapidement, j’atteins le septième ciel, rejointe quelques instants plus tard par mon chéri. Voilà une journée qui commence bien : à peine réveillée et j’ai déjà joui deux fois.

Après quelques minutes de calme, nous décidons d’aller aux douches. Le moment fatidique arrive où je vais exposer mon anatomie intime fraîchement épilée. Pour les gens que nous ne connaissons pas, cela ne me gêne pas outre mesure, vu que j’ai déjà été dans cette “tenue” sur des plages naturistes ; par contre, je suis curieuse et, en même temps, inquiète de voir la réaction de nos connaissances. Aussi, à l’aller, je m’entoure le bassin de ma serviette. Déjà, sous les douches, je vois bien quelques regards se diriger sur mon bas-ventre, toutefois, aussitôt ils se détournent de moi.

Pour retourner à notre tente, je tiens ma serviette à la main, car je n’aime pas le contact de l’étoffe humide sur ma peau. Nous rencontrons quelques connaissances, qui nous saluent sans manifester qu’elles ont vu le changement, alors qu’elles ne peuvent pas l’ignorer. Seul un couple s’arrête, l’homme nous demande si nous sommes intéressés pour faire une visite de caves. J’ai déjà remarqué qu’il avait souvent son regard dirigé vers moi quand nous étions à la piscine. Aussi, je suis persuadée qu’il a fait ça pour m’observer de plus près, car jamais nous n’avons fait de sortie avec eux. Et pour tout dire, je trouve cela plutôt agréable, croustillant. De fait, je sens mes lèvres intimes s’imbiber d’humidité, si l’entretien continue, je pense que je vais me transformer en fontaine.

Dès que nous sommes à la tante, Loïc me demande :

« Alors, qu’as-tu ressenti à montrer ta petite chatte, plus nue que nue, à nos amis ? »

« En fait, au début j’étais un peu embarrassée, tu as dû le voir, puisque j’ai gardé ma serviette, puis l’attitude de nos voisins de douche m’a rassurée. Il n’y a qu’Alain, qui m’a observée en détail, avec lui j’ai l’habitude, ça m’amuse. »

« Et peut-être même que ça t’excite ! »

« Va savoir ! »

En fait, je ne veux pas lui avouer que cette situation m’a plu : me montrer, ou plutôt exhiber mon corps de cette manière, est un plaisir irrésistible. Et je n’y résiste pas. Nous passons la matinée à lire, puis à préparer le repas. Pendant que nous mangeons Loïc me fait une proposition :

« Je sais ce que nous allons faire. »

« Je t’écoute, mon chéri, je suis certaine que tu as élaboré un plan infaillible. »

« Oui, tu vas voir. Je suis persuadé que tu as bien envie de savoir si cet homme nous espionne ou si c’est juste une coïncidence, Aussi, nous allons le coincer : pendant que tu te feras bronzer, je ferai mine de retourner au camping et en faisant un détour, je pourrais le surprendre en flagrant délit de voyeurisme. »

« Tu es vraiment machiavélique ! »

« Je suis convaincu que ça te plaît. Au fond de toi, tu aimes que les hommes te reluquent, »

Je ne réponds pas tout de suite. Il a raison, mais il ne peut rien me reprocher, parce que c’est lui qui m’a poussée à être fière de mon corps et à m’exposer aux regards. Je devais certainement avoir une tendance à l’exhibition, puisque j’y ai pris goût assez rapidement et que je ressens du plaisir à agir ainsi.

« D’accord, on va faire comme tu veux. Nous verrons bien ce qui va se passer. Si ça se trouve, il ne sera pas là. »

« Je te parie le contraire ! »

Loïc aime bien faire la sieste. Aussi, nous allons nous allonger un moment avant de prendre la direction de notre coin de prédilection. Dès que nous sommes arrivés : baignade pour nous rafraîchir après notre marche. Loïc me propose de m’étaler la protection solaire. Le canaillou profite de la situation pour câliner mon intimité épilée et le reste, évidemment. Après une autre séance de baignade, Loïc me signale :

« Je crois que j’ai vu un mouvement dans les arbres. Tu patientes quelques minutes, puis tu commences à te caresser. Il sera tellement absorbé par le spectacle, qu’il ne me verra pas. »

Il part à la capture du voyeur. J’attends un moment, puis je commence mes cajoleries sur mes seins. En même temps, j’imagine que je suis observée et, rapidement, je ressens des frissons de plaisir. Me sentir reluquée, même en fantasme, me procure des sensations nouvelles et plaisantes. Mes tétons se dressent sous mes caresses. Mon autre main se pose sur mon pubis. À nouveau, la douceur de la peau me fait comprendre l’attrait de mon chéri pour l’épilation totale. Mon majeur plonge entre mes lèvres intimes et déniche mon bouton d’amour. Comme mes tétons, lui aussi est érigé par la provocation à laquelle je m’abandonne. Je ne vois pas le temps passer.

Une ombre passe devant mes yeux fermés : Loïc revient. Il est accompagné d’un homme assez costaud, châtain aux yeux verts, il me présente :

« Je vous présente Véronique, mon épouse, moi c’est Loïc. »

« Et moi, c’est Philippe répond-il ! »

Loïc lui propose de s’installer sur sa serviette. Je me redresse et m’assieds en tailleur, mon chéri se pose à mes côtés. Il demande à Philippe :

« Vous êtes là depuis longtemps ? »

« Non, vous étiez déjà là. C’est avant-hier que j’étais là avant, je cherchais un endroit tranquille pour une baignade et je vous ai vues arriver. Comme je ne voulais pas vous déranger, je suis rentré par le bois. »

« Et hier, vous étiez là aussi ? Lui demandé-je. »

« Oui, j’ai vu qu’il y a pas mal d’oiseaux et je désirais prendre quelques photos.

« Vous êtes au centre naturiste ? »

« Oui, avec ma compagne. Elle n’aime pas trop marcher entre les arbres, aussi elle est restée plus bas. »

Comme Philippe est assis face à moi, il a une vue imprenable sur ma chatte toute nue. Je ne peux pas ignorer que son regard à tendance à s’égarer entre mes cuisses ouvertes. Cette situation fait croître le plaisir que je sens monter en moi. D’un ton malicieux, je lui demande :

« J’imagine que vous ne photographiez pas que les oiseaux ? »

« À vrai dire : non ! Je suppose que vous avez compris que j’ai une certaine tendance voyeur, mais seulement avec les jolies femmes, je suis donc gâté avec une jolie femme comme vous. »

Cette confidence me fait chaud au ventre : être admirée flatte mon ego et je suis tout émoustillée. D’autant plus que je sens que Loïc est tout heureux de cette situation, qui pourrait être qualifiée de scabreuse. Mes tétons recommencent à durcir et mes lèvres intimes gonflent imperceptiblement, mais je le sens.

« Et vous avez fait des photos de Véronique ? »

« Hier, oui ! Aujourd’hui, je n’ai pas eu le temps. Ce n’est pas grave, en nature et de près, le spectacle est beaucoup plus intéressant. »

« Et vous en avez fait beaucoup ? Comment me préférez-vous ? Comme hier, avec ma légère toison de blonde ou aujourd’hui avec mon pubis tout lisse ? »

« Je préfère aujourd’hui, sans hésitation ! »

« Heureusement, car c’est pour vous que Loïc a voulu m’épiler complètement ! »

Je perçois un changement de ton dans ma voix, un certain trouble monte en moi. Mon amour a dû s’en apercevoir, car il pose une main sur un de mes seins qui devient ferme à ce contact. Sa caresse ne s’arrête pas là, sa main continue son chemin en direction de mon sexe. Vu mon ressenti intime, il doit certainement le trouver moite. Philippe aussi réagit “positivement” à la situation : son chibre gonfle. Je laisse mon chéri continuer ses pérégrinations sur mon intimité.

« Est-ce que je vous plais ? »

« Vous êtes très érotiques et désirables ! Évidemment que vous me plaisez, mais je ne voudrais pas vous importuner. »

« N’ayez pas d’inquiétude, c’est bon de se sentir admirée. »

À ce moment, je ne peux pas m’empêcher de faire quelque chose qui ne m’est jamais arrivé depuis que je connais Loïc : je pose la main sur un autre homme. Et en plus, c’est pour toucher son chibre, qui a encore grossi et a certainement atteint sa taille habituelle dans ces moments. Je pense que nous venons de franchir une limite, car Loïc est sur la même ligne. Tendrement, il me prend par les épaules et m’aide à m’étendre sur ma serviette. Il me titille les tétons de sa langue agile, pendant qu’une main prend possession de ma grotte d’amour. Un doigt vient cajoler mon bouton. J’ai réussi à garder le sexe de Philippe dans la main, cette fois c’est sûr, il est bien bandé au max. Lui aussi me caresse et je me soumets aux caresses de ces deux hommes. Mes seins, mon ventre, mon clito, ma vulve, mes cuisses, je sens les quatre mains partout sur mon corps.

Mon homme se positionne entre mes jambes et remplace sa main par sa langue fureteuse. Le cunnilingus, ma caresse préférée, me met toujours dans un état de bien-être qui précède de peu la jouissance. Loïc entreprend une sensuelle caresse de mon abricot qui s’ouvre de volupté. D’abord les grandes lèvres, puis les petites et enfin le clitoris. Je ne peux pas résister longtemps à autant d’adresse et d’amour. Étendue les jambes grandes ouvertes, mon ventre s’emplit de bien-être charnel, j’ai des spasmes dans le bas-ventre et je jouis doucement sous les câlins. Puis, Loïc s’allonge sur moi et me pénètre sans attendre. Seulement, dans cette position, il est difficile de garder contact avec la tige de Philippe, il va être frustré. Aussi, je dis à Loïc :

« Attends, allonge-toi à ma place, je ne peux pas m’occuper de Philippe. »

Rapidement, il se lève et je le laisse s’étendre à ma place. Ensuite, je m’agenouille au-dessus de lui et guide sa tige turgescente dans ma grotte d’amour. Ensuite, j’attire Philippe vers moi pour pouvoir continuer à le caresser. Après quelques mouvements de mes douces mains sur son sexe, je le prends dans ma bouche. Il est tendu comme un arc et sa bite est bien ferme entre mes lèvres. J’essaye de bouger en même temps sur mon chéri, ma première intention était de faire une fellation à Philippe, en même temps que Loïc me pénétrait, seulement, ce n’est pas aisé. Toute cette mise en scène organisée m’a mise dans un état d’exaltation sexuelle peu commun et cette situation inédite me donne une autre idée.

Souvent, quand nous faisons l’amour, Loïc titille mon petit trou avec ses doigts, pendant qu’il pénètre mon minou. Comme il sait bien me préparer, j’avoue que régulièrement le plaisir est au rendez-vous. De ces doubles caresses et de mon initiation, par mon chéri, au plaisir de la sodomie, m’est venu un fantasme : être pénétrée dans mes deux grottes d’amour, en même temps, pour savoir ce que cela procure comme sensations. Je suis à peu près certaine que Loïc aimerait aussi, il me l’a laissé entendre plusieurs fois. J’enlève le chibre de Philippe de ma bouche et je me penche vers Loïc, je lui susurre à l’oreille :

« J’ai envie qu’il vienne dans mes fesses, tu veux bien ? »

Il reste une seconde à me dévisager, le regard interrogatif, puis me répond :

« Si c’est vraiment ton désir, bien sûr ! »

Je me relève, regarde Philippe et lui dis :

« Viens dans mon petit trou ! »

Hélas, grosse déception, Philippe ne veut pas, car il n’a pas de préservatif. Je comprends sa décision même si je suis plutôt dépitée. Heureusement, il reprend ses câlineries sur mon corps, ses mains descendent sur mes fesses, il introduit un doigt dans mon étroit conduit et le fait aller et venir. De son côté Loïc donne des coups de reins, pour continuer à faire monter mon excitation. Je me laisser aller au-devant de ces intromissions simultanées dans mon corps, qui m’entraînent doucement au septième ciel. Je prends mon plaisir à me sentir à la merci de deux hommes. Une première fois, j’atteins l’orgasme.

Puis je me couche sur le côté, je veux que Loïc vienne entre mes fesses. Je veux que Philippe m’observe pendant que mon chéri me sodomise, je veux démontrer que je suis prête à tout pour lui faire plaisir. Je passe une main entre mes cuisses trempées de cyprine et humidifie mon entrée secrète. Loïc pose sa tige sur mon anneau, je pousse pour dilater mes sphincters, comme me l’a appris mon chéri. Je suis tellement excitée que Loïc pénètre sans à-coup. Sa bite se fraie un chemin dans mon petit cul. Le tiraillement habituel se fait sentir, néanmoins, je prends plaisir à m’offrir en “sacrifice” à la concupiscence de ces deux hommes. En particulier, m’exhiber en train de me faire pénétrer par la petite porte me met dans un état singulièrement troublant.

J’écarte la cuisse pour bien exposer mon intimité. Voyant cela, Philippe pose sa main sur mon minou lisse, il caresse ma peau glabre et vagabonde sur mon bas-ventre. En même temps que Loïc m’encule, j’avance mon pubis pour profiter des câlins digitaux de Philippe. Il écarte mes petites lèvres et commence à titiller mon clito, Mes yeux se ferment pour mieux ressentir l’effet de sa masturbation sur mon clito. C’est un expert : il ne va pas trop vite, il change de rythme, il appuie doucement. Je ne vais pas tenir longtemps : je sens venir du fond de mon sexe une houle qui longe ma colonne vertébrale et monte doucement jusqu’à mon cerveau. Il pressent l’instant exact où je jouis et à ce moment, il entre deux doigts dans mon puits d’amour.

Il ne s’arrête pas là, Philippe s’allonge face à moi et remplace ses doigts par sa langue. Il lèche mon clito et mes lèvres toutes lisses, puis je sens qu’il met, à nouveau, un ou deux doigts dans mon vagin, il agite ses doigts en moi en même temps qu’il continue son cunni. Toutes ces caresses et l’excitation ressentie depuis que je m’expose m’entraînent, une nouvelle fois, sur le chemin du septième ciel. Le sexe de Loïc continue son va-et-vient entre mes fesses, il accélère le rythme et quand il éjacule au fond de mes entrailles, j’atteins un niveau de jouissance rarement obtenu.

Quand Loïc se retire de mon cul, je m’aperçois que Philippe est toujours tout dur, évidemment. Le pauvre n’a pu qu’être spectateur de ma jouissance et je me dois de ne pas le laisser dans un tel état. Aussi, je me relève et caresse de mes douces mains sa tige de chair et de sang. Même si Loïc n’est pas un adorateur de la pipe, je sais que, généralement, les hommes sont friands de cette caresse. J’embouche le pénis de Philippe et essaie de lui procurer la meilleure des fellations que je suis capable d’effectuer.

En même temps que je tourne ma langue autour de son gland turgescent, je le branle, à la base de sa queue, avec ma main. Tenir un homme par son bâton de joie bandé est un plaisir indescriptible. Je caresse aussi ses testicules qui sont bien durs sous ma main. Je lui suce la pine avec délectation. Je vais de plus en plus vite. De temps en temps, j’arrête et le branle à nouveau avant de recommencer à le sucer. Je sens de la salive qui coule le long de sa tige et lubrifie sa tige. Puis, je le branle et le suce en même temps. De sa main, il m’appuie la tête, pour me guider et rester au fond de ma bouche. Je me délecte de lui sucer la bite. Je me sers de ma langue pour lui donner plus de satisfaction. Mes lèvres l’entourent comme le feraient mes nymphes. Je fais aller et venir ma tête sur sa queue et lui me baise carrément la bouche.

Je ne sais pas si j’ai envie qu’il me gicle dans la bouche, toutefois je continue ma fellation, je verrai bien quand l’instant fatidique arrivera. Cet instant arrive, lui aussi doit être fortement excité et je devine des contractions qui montent le long de sa verge. Je retire ma bouche au moment où il éjacule et je continue à le branler avec ma main, pour qu’il puisse prendre son plaisir bien mérité.

Après quelques minutes de repos silencieux, nous allons nous rincer dans la rivière. Puis nous nous séchons et décidons de reprendre le chemin de retour vers le centre. Nous passons à l’endroit où était sa compagne, mais elle est partie, certainement pour commencer à ranger leurs affaires, car ils partent le lendemain de bonne heure. Heureusement, cette rencontre ne sera pas sans suite. Il faudra attendre un an pour avoir une nouvelle rencontre, qui sera suivie d’autres tout aussi intéressantes.

À Suivre

Julie et Véronique

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