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Histoire taboue Le journal intime de Véronique Chapitre 7

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Histoire taboue Lors de notre première rencontre avec Philippe, Loïc a compris que j’avais un certain fantasme : la double pénétration. Cette observation a souvent été un sujet d’excitation lors de nos ébats intimes. Mon chéri évoquait régulièrement ces instants sublimes d’intimité partagée, sans appréhension, avec un inconnu. Je pense que Loïc n’aurait pas été contre une tentative dans un club libertin. C’est moi qui n’ai pas voulu essayer. La raison invoquée est le manque de dimension affective, soi-disant indispensable aux femmes.

Il aurait pu me dire que lors de ces fameux congés, j’étais prête et même plus, j’étais désireuse de me laisser faire par un quasi-inconnu sur qui, d’ailleurs, j’ai pratiqué une fellation. Pour moi, la situation était toute autre : les jours précédents, Philippe était venu m’observer, me photographier et comme j’aime bien être matée, cela m’avait mise en condition. Surtout, la proposition de Loïc de m’épiler le pubis, après la petite gêne du début, m’avait fait découvrir une sensation inconnue : être exhibée aux yeux de tous, totalement, jusqu’au plus intime de mon corps.

Loïc, qui a de la suite dans les idées, a trouvé un moyen pour pallier ce manque, apparent, de volonté d’aller plus loin.

Un soir, il revient avec un cadeau : il a acheté un gode, pas trop gros. Il ne me le montre pas tout de suite. Une fois au lit, il me caresse partout, comme il sait si bien le faire. Une nouvelle fois, il évoque ce mémorable après-midi, il sait que cet instant magique est toujours source d’excitation. Pendant qu’il me lèche le clito, il sort l’objet, il mouille le bout du gode et le dirige à l’entrée de mon sexe. Petit à petit, il l’enfonce en moi, de plus en plus profond. Le titillement de mon bouton d’amour et les va-et-vient simultanés du chibre artificiel dans mon sexe m’entraînent sur les chemins du septième ciel.

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Ensuite, il retire le gode et le remplace par son chibre tout dur, il fait quelques allers et retours et se débrouille pour me faire passer en position supérieure ce qui me permet de bouger à mon rythme sur son dard érigé. Maintenant, je suis bien excitée et je me sens mouillée partout, Loïc approche le gode de mon petit trou, il l’enfonce doucement entre mes fesses. Je cesse mes va-et-vient sur sa pine, pour qu’il puisse faire aller et venir le gode. Je contracte les muscles de mon vagin autour du chibre de mon chéri et sans reprendre mes mouvements, je jouis une nouvelle fois, J’ai même l’impression que mon orgasme vient plus de mon petit cul que la bite de mon homme dans mon minou.

Cet objet est devenu un compagnon de jeu très important et moi qui ne goûtais pas trop la sodomie, maintenant, j’apprécie beaucoup d’être enfilée dans mon derrière par le gode pendant que mon mari me lèche le sexe. Assise sur un fauteuil, les pieds posés sur les accoudoirs, quel bonheur ! J’aime, bien sûr, aussi quand il me pénètre avec son engin et qu’il me titille l’anus avec le gode.

Le pont du 15 août est pour nous, une nouvelle occasion de nous rendre dans le centre naturiste où nous avons fait la rencontre de Philippe. Nous arrivons le jeudi dans l’après-midi, après l’installation de la tente, trempette dans la piscine. Le vendredi, journée consacrée à la baignade et au bronzage. Le samedi, après quelques courses au marché local, nous décidons de prendre le temps pour rejoindre notre endroit habituel, isolé et calme.

Dans l’après-midi, qui, voyons-nous arriver ? Philippe, une serviette à la main, cette fois-ci sans appareil photo. Dès que je le vois, je me remémore nos instants intimes passés ensemble l’année précédente. Ce souvenir me met dans un état de fébrilité agréable. Après les bonjours d’usage, Loïc lui propose de s’asseoir avec nous et lui dit :

  • — C’est étonnant de se retrouver au même endroit.
  • — En fait non, ce n’est pas surprenant, car comme vous m’aviez dit que vous fréquentez souvent cet endroit, j’ai insisté auprès de Charlotte pour revenir ici, j’espérais bien vous revoir. Hier soir, je vous ai aperçu et j’en ai conclu que vous seriez ici aujourd’hui. J’ai souvent pensé à notre rencontre de l’année dernière.
  • — Nous aussi, et je peux dire que c’était à chaque fois un plaisir, hein Véronique ?
  • — Ah oui ! Ce sont des moments inoubliables !
  • — Pour moi aussi, d’ailleurs, comme j’ai bien apprécié l’initiative de Véronique de s’épiler totalement, je me suis fait la même chose.

Je pose mon regard sur son bas-ventre et je m’aperçois qu’il n’a plus un poil. À cette vue, je me sens toute drôle et me rappelle, à nouveau, ce fameux après-midi où avec mon minou tout lisse, j’étais encore plus nue que nue, comme le dit mon chéri.

Je dis à Philippe :

  • — Moi, je suis presque au naturel.

J’écarte les cuisses pour lui montrer ma toison qui est juste taillée court.

  • — Je préférais l’année dernière, mais tu es belle aussi comme ça.

Loïc s’aperçoit rapidement de mon émoi, il commence à me caresser les seins dont les pointes se dressent ; il n’y a pas que mes seins d’ailleurs : Philippe se trouve en face de moi et je vois son pénis qui durcit. J’ai l’impression de revivre la situation de l’année dernière, ce qui n’est pas pour me déplaire, au contraire. J’ai tellement pensé à cet épisode de notre vie de couple, que je me sens toute chose de sentir que le rêve à toutes les chances de devenir réalité. D’autant plus que mon chéri n’est pas en reste et m’encourage :

  • — Tu ne vas pas le laisser comme ça !

Je regarde Philippe et je m’empare de son chibre avec la main. Je le caresse doucement, en même temps je m’approche de lui. Puis je me penche et je le prends dans ma bouche. Avec mes lèvres, j’entoure le gland et je tourne délicatement tout autour avec ma langue. Il devient plus dur, alors, lentement je l’enfourne, centimètre après centimètre. Je ne suis pas une spécialiste de la pipe, puisque mon chéri n’est pas un fana. Cependant, je fais attention à ne pas le toucher avec mes dents Je le ressors pour voir l’effet : il est tout mouillé, son gland est bien décalotté et bien gonflé.

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Je le reprends en bouche. Ma langue joue avec son frein, pendant que ma main serre fortement sa hampe. Je vais finir par aimer. Mais, en fait, j’aime : c’est un plaisir de sentir un homme à sa merci, cette tige de chair turgescente, prête à expulser son sirop, juste parce que je la lèche et la suce avec délicatesse.

De son côté, Loïc ne reste pas inactif, il me caresse les seins et, comme cela ne doit pas lui suffire, il m’incite à me mettre à genoux. Je cesse quelques secondes mes caresses buccales sur la pine de Philippe. Dès que je suis en position, Loïc caresse mon clito avec un doigt et cajole mes nymphes toutes humides de désir. Aussitôt, je reprends ma fellation, cette fois, je l’introduis à moitié de longueur dans ma bouche et avec ma main, je fais des va-et-vient sur la base de sa queue. Mes lèvres en haut, ma main en bas, si je continue, il ne va pas tarder à éjaculer dans ma bouche. Il a dû le sentir, car il me dit :

  • — Laisse-nous te caresser, j’ai envie de te faire jouir sous nos mains, tu veux bien Loïc ?
  • — Avec plaisir, je suis sûr que ma petite femme va adorer.

Loïc m’aide à m’allonger et les caresses à quatre mains commencent. Je ferme les yeux, je m’abandonne, c’est un festival de sensations voluptueuses qui me submergent rapidement. Et quand j’ouvre les yeux, je vois deux pines dressées, dures, tendues, prêtes à me faire du bien. Les mains caressent mes seins, mes cuisses, mon cou, mon clito, mes lèvres intimes. Une main se pose sur mon pubis et glisse lentement vers ma grotte d’amour, caresse mes nymphes humides, un doigt s’égare sur mon clito avant d’entrer en moi, peut-être à la recherche du point G.

Puis, c’est une bouche qui se pose sur mon sexe et une langue qui titille mon bouton d’amour prêt à exploser, une autre goûte à mes tétons érigés de plaisir. Quelques instants de ces batifolages sensuels et je jouis une première fois. J’adore que l’on me caresse de cette façon, toutefois, rapidement, le besoin d’avoir une tige de chair dans mon intimité se fait sentir. Loïc le sait et, d’une main délicate, il écarte mes cuisses pour donner libre accès à ma grotte d’amour. Sans attendre, il s’allonge sur moi et me pénètre lentement. Philippe s’est déplacé et je peux prendre sa pine dans ma main.

J’essaie de coordonner mes mouvements avec ceux de mon chéri, seulement la position est plutôt acrobatique. Aussi, je demande à Loïc de s’allonger sur le dos, pour que je puisse me mettre sur lui et enfoncer son sexe en moi. Je me mets donc à genoux de part et d’autre de Loïc et place sa verge à l’entrée ma grotte. Lentement je m’abaisse sur sa tige. Il me tient par la taille pour m’assister dans mon empalement.

Mon idée première était d’effectuer, en même temps, une fellation sur Philippe. Seulement, quand je me prépare à saisir le sexe de Philippe, je m’aperçois qu’il a enfilé une capote. Il avait dû la cacher dans sa serviette (le canaillou).

Instantanément, il me revient à l’esprit notre tentative ratée de l’année dernière, le manque de préservatif nous avait coupés dans nos élans. Du coup, le désir de tenter une nouvelle expérience me gagne à nouveau. D’ailleurs, je pense que Philippe aussi a le même car, non seulement il caresse ma poitrine, mais en plus, une main s’immisce entre mes fesses et commence à caresser ma pastille offerte à ses regards et à ses attouchements. Je m’incline vers l’avant pour lui faciliter la tâche. Un doigt s’introduit délicatement dans mon entrée étroite, que mon chéri est le seul homme à avoir eu le privilège de pénétrer, au moins jusqu’à aujourd’hui. Ce n’est pas comme ça que je prends le plus de plaisir, cela ne m’empêche pas de vouloir tenter l’expérience.

Loïc comprend vite de quoi il retourne et ne bouge quasiment plus en moi. Je suis même convaincue qu’il s’est aperçu de la manœuvre de notre ami Philippe. Ce dernier continue ses mouvements digitaux dans mon petit trou. Je pense qu’il doit avoir deux doigts en moi, car je ressens une légère distension de mon entrée secrète. Je ne sais pas comment il a fait, en tout cas, il coulisse en moi sans heurt, il a dû bien lubrifier ma petite rondelle. Cette sensation m’excite vraiment, je regarde Loïc dans les yeux pour quérir son avis : il devine ma question avant que je la pose et me fait un signe affirmatif. Aussi, je tourne légèrement la tête vers Philippe et lui dis :

  • — Viens ! J’ai envie de sentir ton sexe en moi ! Je veux que vous me preniez tous les deux, mais fais doucement, c’est une première !

J’incline mon torse jusqu’à ce que ma poitrine touche celle de mon chéri. Loïc m’embrasse à pleine bouche, il sait que j’adore quand il me « roule une pelle » et que cela m’excite. Dans le même temps, il pose ses mains sur mes fesses et les écarte. Je sens Philippe s’installer derrière moi, il n’arrête pas ses caresses digitales avant d’avoir présenté son sexe devant mon œillet. D’ailleurs, je perçois une légère fraîcheur sur l’orifice de mon petit trou juste avant de sentir son chibre se poser dessus. J’apprendrai plus tard que, non content d’avoir apporté une capote, il a aussi amené du lubrifiant intime.

Sans attendre, il appuie et, progressivement, sa tige s’introduit dans mon étroit conduit. Je sens son gland écarter doucement mes chairs. Dès que mon anneau a laissé passer le gland, Philippe reste immobile quelques secondes. Très vite, mon petit trou est assez ouvert pour laisser entrer lentement, centimètre par centimètre, cette colonne de chair turgescente. Je gémis à chaque poussée, ma langue toujours en contact avec celle de mon chéri. Je me cambre et recule mon bassin pour être possédée plus vite et complètement.

Mon excitation est telle, que la suite de la pénétration se passe sans difficulté, ni douleur, au contraire. Tout au plus, j’observe, à nouveau, une distension de mon orifice. Puis, il commence par des allers et retours très doux et courts, il accélère légèrement, en s’enfonçant de plus en plus, à chaque mouvement. Loïc reste immobile dans mon vagin, cependant, les mouvements de Philippe font que mon clito appuie sur le pubis de mon chéri, ce qui me maintient un état proche de la jouissance. D’autant plus que ma bouche est toujours prise par la langue de mon chéri.

Ça y est, le bas-ventre de Philippe touche mes fesses, il est totalement dans mon cul. Encore une fois, il fait preuve de maestria amoureuse : il reste quelques secondes sans bouger, de manière à me laisser m’habituer à cette double présence. Pour moi, c’est un plaisir absolu de me sentir truffée de la sorte.

Puis, il reprend son va-et-vient entre mes fesses. Mon fantasme de double pénétration se réalise. Quelle sensation fantastique, quel délice de se sentir remplie des deux côtés, d’avoir une tige gorgée de sang dans le vagin et une autre dans l’anus. Je ne ressens aucune douleur et le plaisir commence à monter en moi. Après quelques courts allers-retours, la bite de Philippe glisse plus librement. Je sens les deux sexes qui se touchent presque. La sensation est curieuse, différente d’une sodomie classique.

Maintenant, Philippe me pistonne avec régularité, Loïc en profite pour se mouvoir dans mon sexe, il cale son rythme sur celui de mon nouveau « sodomiseur ». Je sens ces deux phallus turgescents coulisser en moi, la cadence imposée m’interdit de bouger beaucoup et amplifie l’impression de possession à laquelle je me suis soumise avec délectation. Ils accélèrent progressivement leurs mouvements, Philippe me pénètre toujours de toute la longueur de son pénis, Loïc a moins de liberté de mouvement, par contre, à chaque coup de reins, mon clito est serré entre nos deux pubis et ajoute une excitation supplémentaire. Je suis béante, les sens fantastiquement aiguillonnés par la cadence de leurs pénétrations. Et malgré le bouillonnement de leur désir, ils restent attentifs et doux. Mon sexe et mon cul n’en sont pas moins écartelés par leurs membres qui me pilonnent alternativement.

De telles perceptions, je n’en ai jamais ressenti. Me sentir serrée ainsi entre les deux hommes, sentir leurs deux corps, leurs quatre mains et surtout, leurs deux tiges turgescentes bien installées dans mon corps, me fait découvrir de nouvelles étendues de plaisir sexuel. Le double glissement des deux sexes contre cette étroite membrane me procure des sensations inconnues et fabuleuses. C’est tellement exquis, jamais je n’aurais imaginé être capable de me laisser aller à une telle inclination et d’en ressentir une telle jouissance.

Les deux pines me labourent l’intimité, jusqu’au plus profond et plus secret de mon corps. Les vigoureux mouvements de mes amants m’entraînent à la limite de l’inconscience. Je m’entends geindre de plaisir. Je suis en flammes, je suis consumée par le désir sexuel, je me dédouble : un moment je ne suis qu’un vagin, un autre je ne suis qu’un cul. En fait, je suis bien les deux, juste séparés par le périnée, ils doivent se sentir frotter l’un contre l’autre dans mes chairs échaudées par leurs exploits ! Je me laisse entraîner par une extase d’une intensité que je n’ai jamais ressentie. Je n’en peux plus, je veux les sentir jouir et se répandre en moi. Chaque saccade augmente encore ma jouissance, je tremble de bonheur de la tête aux pieds. Cramponnée aux épaules de mon chéri, poussée en avant à chaque pénétration de Philippe, je suis comme un bilboquet sur leurs tiges. Il me semble devenir folle, tant la jouissance est extrême. Je regarde mon chéri le regard brouillé par l’émerveillement de l’orgasme :

  • — Chéri, je jouis, c’est prodigieux !

Un instant plus tard, Philippe jouit, je ne peux pas sentir son éjaculation, je sens ses mains se crisper sur mes hanches, il cesse d’aller et venir entre mes fesses quand il est entièrement dans mon petit trou. À nouveau, cela entraîne, une jouissance fantastique chez moi. Je jouis, sans même avoir bougé et ce n’est pas un seul orgasme, mais deux, trois… Qui se succèdent. Je ne sais plus. C’est comme une lame de fond sans fin.

Quand je redescends un peu de mon septième ciel, je m’aperçois que seul mon cher mari reste bien dur dans ma grotte d’amour, il faut dire qu’il n’est pas facile de bouger à trois en même temps. Philippe se retire tout en continuant à caresser mes fesses ; je m’empale bien à fond sur Loïc et continue à bouger pour amener mon homme, à son tour, dans les limbes du plaisir sexuel. Il ne faut pas longtemps pour que je sente sa jouissance exploser au fond de ma grotte d’amour, ce qui déclenche un nouvel orgasme chez moi. Quel bonheur d’être une femme pour pouvoir ressentir autant de bonheur en quelques minutes !

Loïc m’entraîne sur le côté et me laisse récupérer de ma béatitude sexuelle. Il caresse tendrement mes fesses et mes seins. Quand son pénis quitte sa maison du bonheur, il m’aide à me relever pour que nous puissions nous rincer à la rivière.

De retour sur la berge pour nous sécher, Philippe nous propose de venir prendre l’apéritif, le soir. Nous acceptons avec enthousiasme et nous prenons le chemin du retour pour aller prendre une douche et un moment de repos bien mérités.

Le soir, nous nous présentons au mobile home de Philippe et Charlotte. Philippe est en train d’installer la table pour l’apéritif. Quand il nous aperçoit, il va chercher sa compagne. Elle sort avec un plateau chargé d’amuse-gueule. Elle est brune, pas très grande, avec un air très doux. Philippe fait les présentations et nous invite à nous asseoir. Nous buvons et mangeons tout en discutant de nos vies, envies et passions, pour apprendre à nous connaître. Quand je demande ce qui les a amenés à faire du naturisme, Charlotte répond :

  • — J’en faisais déjà avec mes parents, aussi je ne voyais pas pourquoi arrêter quand j’ai connu Phil.
  • — Moi, j’ai commencé avec Charlotte Et comme je suis un peu voyeur, cela me plaît bien.
  • — Cela ne gêne pas Charlotte
  • — En fait, nous sommes un peu libertins, dit Charlotte Nous fréquentons des clubs privés, par contre nous ne pratiquons pas l’échangisme, j’aime bien me montrer pendant que nous faisons l’amour. Mais, je ne voudrais pas qu’un autre homme me touche, pour moi cela serait un peu comme si je trompais Phil, même en sa présence.

Je me fais la réflexion qu’il n’a pas dû donner de détail sur notre première rencontre et encore moins parler de nos ébats de cet après-midi, même s’il a dû lui en parler, car autrement je ne pense pas qu’elle se confierait comme ça à deux étrangers. Cette confession nous entraîne sur une discussion plus intime et, comme il commence à faire un peu frais, Philippe nous invite à rentrer dans le mobile home. Il nous laisse passer les premiers et quand Charlotte passe devant lui, il en profite pour lui caresser les seins. Il y a deux canapés dans le salon, Charlottenous en désigne un et ils s’assoient sur l’autre. Phil continue à caresser Charlotte ils s’embrassent, Philippe descend une main vers les hanches de Charlotte puis il caresse ses cuisses, elle les écarte doucement ; dans sa position, nous avons une vision directe sur son bas-ventre : sa toison est soigneusement taillée en triangle, les lèvres épilées.

Philippe se met à genoux devant Charlotte et lui lèche le sexe. Elle écarte les jambes pour lui faciliter la tâche. Loïc m’embrasse et me caresse les seins. C’est la première fois que je vois une femme se faire manger le minou et j’avoue que ce spectacle m’intéresse particulièrement, moi qui apprécie particulièrement ce genre de caresse. Je sens mes lèvres intimes se gonfler instantanément, nos exploits de l’après-midi m’ont laissé un souvenir encore présent dans mon corps et mon esprit. Je m’allonge sur le canapé, la main de Loïc s’attaque à ma grotte d’amour. Pour lui faciliter la tâche, je pose un pied à terre. Il me caresse un peu avant que je l’attire sur moi. En tournant la tête, je vois que Charlotte s’est installée à genoux et que Philippe la pénètre en levrette. Elle paraît très excitée et les mouvements du chibre de Philippe dans ses chairs intimes semblent lui procurer un plaisir ineffable.

Du coup, moi aussi, j’ai bien envie que Loïc me prenne en levrette, je lui dis et il n’hésite pas une seconde avant de se retirer et me laisse me mettre en position. Aussitôt, il m’enfile son mandrin de chair dans le minou. De nouveau, j’observe nos comparses, ils ont encore changé de position : Philippe est assis sur le canapé et Charlotte est sur lui, sa grotte d’amour taraudée par le chibre de son homme, elle bouge de haut en bas sur lui, aidée par les mains de Philippe posées sous ses fesses.

Loïc va-et-vient en moi à une allure de métronome. Il me caresse le petit trou et comme je le laisse faire, il pénètre mon entrée étroite avec un doigt, elle est encore sensible de nos prouesses vespérales et j’avoue que j’apprécie. En fait, je suis tout émoustillée par le regard de Philippe et Charlotte j’aime qu’ils me scrutent pendant que mon chéri me baise et me titille la rondelle. Me laisser observer en train de faire l’amour me fait découvrir de nouvelles sensations.

Je m’aperçois que Charlotte a remarqué que Loïc me doigte le troufignon, elle me sourit et, au moment où elle est relevée, elle saisit le chibre de Phil, le sort de son minou, pour le présenter à l’entrée de son petit cul. Elle descend doucement pour le faire rentrer dans son fondement. Dans cette position, nous voyons distinctement son anus dilaté et ses lèvres intimes, glabres et rouges de plaisir. Charlotte se caresse le clito, elle continue à monter et à descendre. Nous pouvons voir la jouissance se dessiner progressivement sur son visage, qui devient extatique, elle atteint le septième ciel dans un râle rauque et érotique.

Loïc a accéléré ses mouvements et je sens qu’il ne va pas tarder à jouir en moi. Quand il explose dans mon corps cela déclenche mon orgasme qui n’attendait que cela pour survenir.

Charlotte reste un moment bien empalée sur Philippe avant de se lever pour nous proposer une boisson, et nous remettre de nos émotions.

Cette soirée a été le début de nos relations. L’année d’après, nous avons passé une partie de nos vacances ensemble. Charlotte nous a démontré qu’elle a l’esprit plus ouvert que ne laissaient supposer ses confidences de cette première rencontre. Nous avons partagé nos hommes, de toutes les manières possibles.

A suivre

Julie et Véronique

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