Nos premières vacances à quatre
Histoire taboue Après nos deux premières rencontres, avec Charlotte et Philippe, nous avons décidé de passer une partie de nos vacances ensemble. Nous avons donc loué un bungalow dans le centre naturiste où nous avons fait connaissance. J’espérais bien que notre séjour allait être une réussite et que certaines expériences érotiques et sexuelles allaient pouvoir se dérouler.
L’après-midi de notre arrivée, nous allons à l’endroit de nos premières rencontres avec Philippe. Baignade et bronzage occupent notre après-midi. Charlotte est déjà intégralement bronzée, elle doit avoir plus de temps libre que son chéri ou elle bronze plus vite. Elle a toujours sa toison taillée court et les lèvres intimes parfaitement lisses.
Et dès le soir, c’est bien parti. Le repas fini, nous passons au salon. Charlotte attaque très vite en me disant :
« Philippe m’a avoué que lors de votre rencontre de l’année dernière, il t’avait fait l’amour, en même temps que Loïc. Je n’aurais pas imaginé que cela m’exciterait autant. Et le fait de me le rappeler m’inonde le minou. »
En même temps qu’elle dit cela, elle attire la main de Philippe sur son sexe.
« C’est vrai, elle est déjà toute mouillée ! »
Et il commence à la caresser. Elle se laisse faire complaisamment, en écartant les cuisses. Ce spectacle est aussi excitant pour Loïc que pour moi, je caresse son sexe qui devient vite raide. Philippe s’agenouille devant Charlotte pour lui faire un cunnilingus, tout en la pénétrant de ses doigts. Elle devait avoir pensé à ça depuis quelque temps, car elle jouit rapidement.
Puis, elle entraîne Philippe sur le tapis et lui demande de s’allonger sur le dos, elle l’enjambe, se met à genoux et dirige la verge de Philippe dans son puits d’amour. Elle monte et descend régulièrement sur son chéri. Nous voyons bien son membre coulisser sans heurt en elle.
Évidemment, nous ne sommes pas restés inactifs, la vue de nos deux amis en plein ébat et les caresses de Loïc me procurent du plaisir. Pour continuer à jouer la voyeuse, je m’assois sur mon homme, le dos contre son torse en dirigeant son sexe dans ma grotte humide de plaisir. Il me caresse les seins d’une main, l’autre s’occupe de mon clito. Je contracte mes muscles vaginaux autour de la tige gorgée de mon chéri.
Philippe est en train de caresser les fesses de Charlotte, un doigt descend dans son sillon et s’arrête sur son petit trou. Quand son doigt la pénètre, elle jouit presque immédiatement. Elle s’arrête de bouger et dit :
« Attendez, je reviens ! »
Puis elle se lève et va dans la salle de bains. Elle revient aussitôt et je vois aussitôt qu’elle a une capote dans les mains, je comprends tout de suite ce qu’elle veut. Elle retourne s’empaler sur Philippe. Je me relève, afin de pouvoir aider mon homme à enfiler le préservatif, car il a l’air un peu éberlué. Je lui dis :
« Vas-y ! Charlotte n’attend que toi ! »
Pendant qu’il se dirige vers nos amis, je vois que Philippe s’est empressé de reprendre ses cajoleries sur l’anneau secret de sa chérie. Il le mouille régulièrement pour le préparer à l’assaut imminent du sexe de Loïc. Mon chéri se met à genoux derrière Charlotte. Philippe arrête ses caresses et tient écartées les fesses de Charlotte. Loïc enfonce un doigt, puis un autre dans le petit trou de notre amie. Puis, il présente son pénis devant sa petite porte intime. Charlotte recule à la rencontre du bâton de plaisir de mon mari : c’est elle qui mène la danse et s’empale sur mon chéri. Cela se passe sans difficulté, d’un seul mouvement continu. Il est vrai que vu ce qu’elle nous avait montré l’année dernière, c’est un chemin qui doit être parcouru régulièrement. Je vois le sexe de Loïc disparaître petit à petit dans son fondement, quand il est complètement en elle, Charlotte lui dit :
« Allez ! Bouge, enfile-moi ! »
Loïc pose ses mains sur ses hanches et commence ses mouvements, courts et lents, comme il fait avec moi. Je vois le membre de mon homme aller et venir dans ce cul qui ne demande que cela. Charlotte est vraiment une fervente amatrice de l’amour anal car elle commence à geindre doucement. Je vois bien que d’elle-même elle oscille d’avant en arrière, à la rencontre de la tige gorgée de sang qui l’empale. Mon chéri accélère ses mouvements et les plaintes de plaisir de Charlotte augmentent de concert.
Ce spectacle m’émoustille grandement, aussi je pose mes pieds sur le sofa et me caresse le clito. J’espère que nos hommes ne seront pas trop fatigués, car moi aussi j’ai bien envie de ma part de jouissance. Il est normal que mon chéri profite de la situation, vu que j’étais dans la même, l’année dernière. Je continue à le regarder s’agiter entre les fesses de Charlotte, quand il se retourne vers moi, je lui envoie un baiser de la main. Charlotte jouit dans un feulement de bonheur. Loïc jouit aussi, je le vois à son visage. Il reste immobile quelques instants et se retire du petit cul de notre amie.
Elle a l’air complètement évaporée et dès que Loïc se lève pour s’asseoir sur un canapé, elle fait de même et s’effondre carrément, elle semble tremblante de bonheur. De son côté, Philippe est toujours en érection, lui non plus n’a pas eu sa part de jouissance. Aussi, je me lève et demande à Charlotte si elle veut bien me prêter son chéri. Évidemment, elle acquiesce et m’indique l’emplacement des préservatifs. Je vais vite dans la salle de bains et m’empresse de revenir pour l’enfiler sur le sexe de Philippe qui est toujours allongé sur le tapis.
Je l’entraîne sur le tapis devant Loïc, je veux que mon chéri me voie me faire pénétrer par un autre homme, c’est un de ses désirs les plus grands. Je me mets à quatre pattes, Philippe s’installe derrière moi, il me caresse le minou, c’est inutile, je suis tellement excitée que je suis prête à tous les outrages. D’autant plus que la levrette est une de mes positions préférées. Philippe se contente de pénétrer ma grotte d’amour, il rentre d’un seul coup et fait tout de suite des mouvements amples et rapides qui, vu les événements précédents et mon état d’excitation, m’emmènent rapidement au sommet du plaisir. Je regarde Loïc qui observe les mouvements du sexe de Philippe en moi. Cette situation me plaît énormément, je sais que, l’année dernière, mon chéri était un peu resté sur sa faim de voyeurisme. Il n’avait pas vu grand-chose de nos ébats à trois. Là, je sais qu’il voit tout et cela m’excite fortement. Je sens Philippe qui contracte ses mains sur mes hanches en se calant bien au fond de mon vagin. Il jouit et moi aussi, je jouis à nouveau.
Quand Philippe se retire de moi, il va rejoindre Charlotte sur un canapé. Je me lève à mon tour et vais me mettre dans les bras de mon chéri.
C’est encore Charlotte qui prend la parole en premier et encore une fois, elle s’adresse à moi :
« Dis-moi, Véronique, Philippe m’a dit que, lors de votre première rencontre, tu t’étais épilée totalement, pour lui. Quels effets as-tu ressentis ? »
« En fait, c’était une proposition de Loïc et bien que je le fasse régulièrement, j’avais un peu hésité à le faire ici, car les gens que nous connaissons ne m’avaient jamais vue complètement épilée. Mais l’envie d’exciter Philippe avait été plus grande. Une fois passée la première gêne, c’est absolument sensationnel, tu sens la caresse de l’air et du soleil directement sur la peau de ton bas-ventre. En plus, les regards de ces messieurs sont souvent attirés par cette vision ! Tu ne l’as jamais fait ? »
« Non ! Tu as vu que j’ai souvent mes lèvres intimes lisses, toutefois, j’ai toujours gardé une petite touffe sur mon pubis. »
« Tu devrais essayer, je peux te garantir que tu vas ressentir des effets sensationnels. Ce que j’aime bien aussi c’est sortir nue sous une robe. Se promener dans cette tenue, en public, en sachant que seul Loïc le sait est très amusant. »
« Je n’ai jamais eu l’idée de sortir nue sous une robe. Cela peut paraître bizarre, pour quelqu’un qui fréquente les camps de naturistes et surtout les clubs libertins. Tu le fais souvent ? »
« Dès qu’il fait suffisamment chaud, je le suis quasiment tout le temps. Loïc adore ça. La première fois c’était en sortant d’une plage naturiste, j’avais oublié une culotte de rechange. Depuis, quand nous allons sur des plages naturistes, hors camp, je ne mets jamais de culotte et je porte toujours une robe. Et toi, quand tu vas sur une plage naturiste, tu te changes ? »
« Oui, j’ai toujours mis des sous-vêtements, que je remets en partant. Ton avis me donne des idées, la prochaine fois, je ferai comme toi. Et demain matin, je m’épilerai complètement. »
Sur ces bonnes paroles nous allons nous coucher.
Le lendemain matin, pendant que je déjeune en compagnie de Loïc et Philippe, Charlotte arrive, elle porte un long t-shirt. Charlotte nous appelle et dit :
« Regardez, je me suis épilée totalement ! »
Joignant le geste à la parole, elle relève son t-shirt et découvre son pubis parfaitement lisse, il est légèrement plus blanc que le reste de son corps et c’est assez plaisant de la voir comme ça. J’admire son joli corps, encore plus impudique sans sa toison. Du coup je décide de me faire la même chose :
« Moi aussi, je vais faire la même chose, comme cela nous, sommes jumelle du bas. »
À la fin du petit-déjeuner, je me dirige vers la salle de bains et demande à Loïc de venir m’aider. Je prends place sur le bord de la baignoire, pendant que mon chéri récupère la crème épilatoire. Il l’étale sur mon pubis et va se raser pendant le temps d’action. Comme la porte est restée ouverte, Philippe passe devant et s’arrête pour observer le spectacle. Je lui demande :
« Tu veux poursuivre et m’enlever la crème ? »
« Pourquoi pas ! Ce sera avec plaisir ! »
Il s’approche, s’accroupit devant moi et, avec délicatesse, entreprend de me débarrasser de ma toison enduite de substance blanche. Mon pubis apparaît bientôt, totalement imberbe. Et, bien qu’il me connaisse de près, il commence à bander, comme Loïc quand il effectue la même opération. Ce dernier, témoin de la scène, s’écrie :
« Charlotte, viens voir ! Ton homme est en pleine forme ! »
Quelques secondes plus tard, elle arrive et s’exclame :
« Dis donc ! Mon cochon, il suffit que je ne sois pas là pour que tu en profites ! »
Du coup, elle se dirige vers mon chéri et se frotte, dos contre lui. Ce coquin remonte ses mains sous son maillot et lui pelote la poitrine. Je me rince dans la baignoire et, sans sortir, je me penche et prends dans ma bouche le pénis de Philippe qui s’était remis debout. Je fais quelques allers et retours et « rassurée » quand à la disponibilité de notre ami, je sors de la baignoire en le tenant par sa tige. Je me dirige vers l’armoire de toilette prend une capote dans la boîte, la tend à Philippe et appuie mes fesses sur le lavabo. Il enfile le préservatif sur son membre et le dirige vers mon minou. D’un seul coup, il entre dans mon intimité et commence à aller et venir en moi.
À nos côtés, Charlotte a enlevé son t-shirt et enfilé un préservatif sur la tige de mon homme. Elle se tourne et s’appuie sur le lavabo. Loïc se baisse derrière elle, j’imagine qu’il doit lui bisouiller le minou avant de se permettre de la pénétrer, il est toujours très attentif. Puis, il se relève, Charlotte lui dit :
« Vas-y, prends-moi !
Nos regards se croisent et il commence à s’agiter en elle. Notre séance d’épilation à deux avait dû bien exciter Philippe car je le sens s’immobiliser en moi, je n’ai pas atteint un orgasme fantastique et je reste un peu sur ma « faim ».
Après notre rapide activité sexuelle matinale, nous nous douchons rapidement et allons nous habiller. Je mets une robe sans manches, assez courte et ample du genre qui s’envole au moindre coup de vent, sans soutien-gorge, ni culotte. Philippe et Loïc ont tous les deux mis un bermuda et un polo. Charlotte porte une robe à bretelle d’un jaune éblouissant. Je lui demande :
« Tu as mis une culotte »
« Oui, un string ! »
Je lève ma robe.
« Eh bien moi, je n’ai rien mis ! Tu devrais faire pareil, tu verras, c’est troublant de se savoir nue sous sa robe, sans que les autres le sachent, hormis nos chéris. Je suis persuadée que nos hommes vont aimer et que cette fois ils ne feront pas la tête pour faire les courses.
Sans dire un mot, Charlotte retire son string, il est si petit qu’il ne se serait pas deviné sous sa robe, néanmoins, c’est mieux comme cela.
Nous partons faire nos emplettes. Mais cet intermède érotique m’a mise dans un état d’envie à la limite de l’insatiabilité. Philippe a joui assez vite et si j’ai pris du plaisir à ce rapport, cela ne m’a pas totalement satisfaite. Aussi, lorsque je monte à l’arrière de notre voiture (un monospace, donc haute), je m’empresse de montrer mes trésors à mon trésor. Je sais qu’il aime ça. Philippe s’assied devant, à côté de mon époux.
Nous discutons de ce que nous devons acheter. Une fois énumérées les victuailles essentielles, je propose de racheter des préservatifs. Charlotte dit que, de leur côté, ils peuvent garantir qu’ils sont sains, car, hormis avec nous, ils n’ont pas eu d’autres partenaires. Loïc renchérit, car nous non plus, n’avons pas eu d’autres relations, depuis le début de notre vie commune. Question close : nous nous passerons de capote, ce qui n’est pas un mal.
Pendant que nous évoquions ce sujet, Philippe s’est retourné vers Charlotte et moi. J’en ai profité pour lui exposer mon anatomie : j’ai posé mon pied gauche sur l’assise du siège, il ne peut pas rater le spectacle. À un feu rouge, Loïc, intrigué, se retourne, vers moi. La vision que je lui offre le fait sourire, il dit à Philippe que je suis une petite dévergondée.
En premier, nous allons au marché pour acheter fruits et légumes. Chaque fois que je peux, je m’accroupis pour ranger nos achats dans le panier. Évidemment, pour continuer le spectacle, je le fais les genoux écartés et face à Philippe. Ensuite, dans une supérette, je change de tactique, je me penche en avant, sans plier les genoux, pour charger le chariot. Je m’arrange pour que Philippe soit derrière moi. D’ailleurs, je ne suis pas sûre qu’il soit le seul spectateur. Et je m’en moque. Nous ramenons une deuxième fois nos achats à la voiture, avant d’aller boire un coup dans un café. Nous allons sur la terrasse, il y a des chaises confortables. Je me débrouille pour me placer face à Philippe. Je ne sais pourquoi, j’ai envie de le mettre dans un état tel, qu’il s’en souvienne longtemps, je vais lui faire « payer », gentiment, son empressement de tout à l’heure.
Dès que je suis assise, je me remets dans une position similaire à celle que j’ai prise dans la voiture. J’ai pris la précaution de mettre ma chaise dans une position où il ne peut que voir ce que je veux lui dévoiler, à nouveau. Notre table est située près de l’entrée du bar, et moi, je suis face au trottoir, je pense qu’il va falloir que je fasse attention à ceux qui vont à l’intérieur.
Quoique ? Je n’entends pas arriver le serveur, je n’ai pas le temps de rabaisser ma robe et il ne loupe pas le spectacle. Plutôt que le faire à retardement, je reste dans cette position, je sais bien qu’il doit se rincer l’œil, tant pis, ou tant mieux pour lui. Il prend nos commandes et rentre dans le bar.
Philippe dit à Loïc que, non seulement, je fais tout pour me dévoiler à lui, ce qui n’est pas gênant, vu nos relations et l’endroit où nous séjournons, et en plus, je ne fais rien pour me cacher au regard des autres.
D’ailleurs, juste à ce moment, deux hommes entrent dans le troquet et comme j’étais à l’écoute de Philippe, je n’ai pas bougé. De ce fait, celui qui est le plus proche de moi donne un coup de coude à son voisin, preuve qu’il a tout vu. Cette situation, un peu nouvelle pour moi, commence à me donner des frissons de plaisir. Quand j’ai marché toute nue, tout épilée, dans le camp de naturistes, j’ai découvert le plaisir de m’exhiber. Être nue toute la journée, au milieu de gens nus ne m’a jamais fait quoi que ce soit.
Au début, quand Loïc m’a épilée pour « allumer » Philippe, j’ai été un peu gênée, toutefois, petit à petit, cette gêne s’est transformée en plaisir. Ce qui, pour moi, était naturel : se promener nue, est devenu une source d’excitation, il y avait peu de femmes sans pilosité intime, et malgré la légendaire ouverture d’esprit des naturistes, j’ai bien vu que les regards se dirigeaient plus souvent vers moi qu’avant.
Ensuite, sur les plages dites naturistes (il y a toujours des « textiles ») j’ai découvert le regard des mateurs. Les amateurs, en général discrets, se mettent nus, avec ou sans leur compagne, les pros qui ne font même pas ça discrètement et certaines fois restent en maillot. Néanmoins, tous ces endroits sont prévus pour les adeptes de la nudité. Désormais, je franchis une étape supplémentaire : l’exhibition en public.
Le garçon vient nous servir, il ne dit rien, mais visiblement, ce n’est pas l’envie qui lui manque. D’autres clients entrent, certains ne voient rien, d’autres sont vivement intéressés. Il y a même une femme qui me fait un grand sourire, une pratiquante peut-être ?
Loïc, assis à mes côtés, fait le jaloux. Il dit à Charlotte que lui ne profite pas du spectacle, que ce n’est pas juste. Aussi, elle se met dans la même position, elle va même plus loin, elle pose ses deux pieds sur la chaise, en glissant le bassin sur l’avant. Cette fois-ci, non seulement, les clients qui entrent ont un joli spectacle, et aussi ceux qui sortent. Philippe nous dit que la majorité semble apprécier, mais que certains font une drôle de tête. Avant de déclencher un esclandre, nous réglons nos consommations et partons.
Le retour en voiture me donne l’occasion de me remettre en valeur : j’ai relevé complètement ma robe pour m’asseoir directement sur le siège, de cette façon, je peux remonter mon vêtement au-dessus de mon nombril. Philippe continue à profiter de la vue que je lui offre.
Arrivée au centre, Charlotte part en premier, je laisse les deux hommes se charger des courses, en leur disant que je fermerai le hayon. Quand ils sont devant moi, j’enlève ma robe et accélère le pas pour les doubler. Au moment où je les dépasse, je jette ma robe sur la tête de Philippe, puis je marche devant lui avec une démarche lascive, du genre de celle que les mannequins prennent, qui oblige à se déhancher. J’entends Philippe qui dit à mon mari :
« J’ai l’impression que, depuis ce matin, ta femme n’arrête pas de m’allumer. Si cela continue, elle va, encore une fois, passer à la casserole. »
« Oh là ! Débrouille-toi avec elle, c’est ton problème, je ne sais pas ce que tu lui as fait et je ne veux pas d’ennuis. »
Dans le bungalow, ils posent les courses sur la table du coin cuisine, je m’empresse de ranger les produits frais dans le frigo. Évidemment, je m’arrange pour me baisser, les fesses dans la direction de Philippe.
Je sens une main qui passe entre mes cuisses et remonte vers mon sexe tout trempé d’excitation. Je ne me retourne pas et profite de cette caresse douce et agréable, un doigt écarte mes nymphes et se dirige vers mon bouton. Je m’appuie sur le frigo pour me concentrer sur le plaisir que je sens monter en moi.
Puis, la main quitte mon bas-ventre et deux m’aident à me relever. C’est Philippe. Il m’entraîne vers un canapé, m’aide à prendre place et se met à genoux devant moi. Il me caresse le pubis, il écarte mes lèvres pour prendre mon clito entre ses doigts.
Ensuite, il commence à le lécher. À ce moment, Charlotte revient dans la pièce. Elle s’est déshabillée, sans nous avoir vus, elle nous propose :
« On va se baigner ? »
« Je ne crois pas que nos conjoints soient vraiment prêts à ça, lui répond Loïc »
« Eh bien ! Depuis ce matin, ils ne s’en font pas. Allez ! Viens, nous aussi on va s’occuper. »
Loïc se dirige vers elle, en quittant son polo. Elle l’aide à enlever son bermuda, il bande déjà.
Philippe continue ses caresses buccales, il m’attire vers lui. J’ai les fesses justes au bord du canapé. Des doigts entrent dans mon vagin, un autre vient tournoyer autour de mon petit trou qu’il finit par pénétrer. Une triple caresse qui se prolonge jusqu’à me transporter au septième ciel. Philippe me demande de me mettre à genoux, la poitrine appuyée sur le canapé. J’exécute « l’ordre ». Je tourne la tête vers l’autre canapé qui est perpendiculaire au nôtre.
Charlotte s’est allongée dessus, Loïc caresse ses cuisses et embrasse ses seins. Elle me regarde, visiblement, comme elle nous l’a dit hier soir, elle prend plaisir à voir son homme s’occuper d’une autre femme.
Philippe est en train de présenter son sexe à l’entrée de ma grotte des plaisirs. Cette fois, il me pénètre doucement, commence des va-et-vient lents. Petit à petit, sa pénétration est plus profonde. Quand son ventre touche mes fesses, il accélère le mouvement. À nouveau, je sens le plaisir monter en moi.
Charlotte et Loïc changent de position, il s’assied sur le canapé, elle vient au-dessus de lui, face à moi, et s’enfile sur sa tige bandée. Je vois bien son minou tout nu, ses lèvres qui enserrent le pénis de mon homme.
En même temps que l’orgasme me submerge, Philippe me titille la rosette avec un doigt, cette caresse intensifie encore ma jouissance. Et me donne une idée qui va plaire à mon homme : je passe une main derrière mon dos, je prends le chibre de Philippe, le sors de mon sexe et le présente devant mon petit anneau froncé. La jouissance m’a détendue, il franchit sans effort la porte de mes reins. Il fait des mouvements très doux, lents et courts, pour m’habituer à la présence de son chibre entre mes fesses. Une de ses mains passe sous mon ventre, un doigt titille mon clito, puis pénètre mon sexe, puis revient sur mon clito, etc. Je ne sais pas combien de temps cela dure et je sens venir un nouvel orgasme. Sa pénétration est maintenant beaucoup plus profonde. À chaque mouvement, je sens son ventre qui touche mes fesses et ses boules qui touchent mes lèvres intimes. Il accélère le mouvement graduellement, il se relève pour s’agripper à mes hanches, en laissant mon clito et mon sexe esseulés. Je le remplace avec ma main, je regarde mon homme qui semble très excité de me voir pénétrée analement.
En fait, cela me plaît de m’exposer, de voir Charlotte et Loïc qui me regardent, pendant que je me fais sodomiser. Je crois que c’est plus cette exhibition qui déclenche mon orgasme, que les mouvements de Philippe dans mon cul. Je me sens jouir comme rarement et quand Philippe déverse sa semence au fond de moi, c’est vraiment fantastique.
Philippe se retire lentement de mon corps, je reste dans la même position, abattue par la jouissance que je viens de ressentir. Philippe se dirige vers nos conjoints. En fait, je m’aperçois que, pendant mon voyage au septième ciel, ils ont changé de position, Loïc s’est allongé sur le sofa et Charlotte s’est mise sur lui. Elle s’agite sur le sexe de mon homme le visage extatique. Philippe caresse le dos de sa femme et descend vers son postérieur, il atteint sa rosette, puis la pénètre avec un doigt, il agite son doigt dans sa femme. Elle gémit et ferme les yeux quand la jouissance la submerge. Elle reste, quelques instants, complètement détendue sur Loïc. Puis elle se lève, dans sa nudité rayonnante de bonheur, et se dirige vers la salle de bains.
Le reste de la journée est plutôt calme, nous allons un peu à la piscine avant le déjeuner. Malgré la discrétion des naturistes, j’aperçois quand même des regards dirigés sur Charlotte et moi, il est vrai que la veille, ni elle, ni moi, n’étaient épilées. J’avoue que ces regards me plaisent énormément. L’après-midi, bain de soleil et baignade au bord de la rivière, à l’endroit de nos premières rencontres avec Philippeippe. Après une soirée tranquille à jouer au scrabble, nous allons nous coucher.
Dans le secret de notre chambre, Loïc m’avoue qu’il a beaucoup aimé notre début de séjour : la veille, il a vu le sexe de Philippe me pénétrer, ce qui lui a beaucoup plu. Aujourd’hui, il m’a vu me faire sodomiser. C’était un de ses fantasmes : me voir me faire prendre dans le petit trou.
Il ne pensait pas que cela arriverait de cette façon et aussi vite, il est d’autant plus satisfait. D’autant plus que lui aussi en a profité avec Charlotte. Cette confession l’a remis en forme, il bande ferme, je reconnais bien là son côté voyeur qui ressort. Je caresse son sexe qui se tend comme un arc. Je n’ai pas trop envie de faire l’amour, mais je n’ai pas le cœur à le laisser dans cet état, aussi, je le prends dans ma bouche pour lui faire une pipe. Même s’il a la trique, lui non plus n’a pas trop envie, je me tourne sur le côté, il se met derrière moi, me pénètre (cette discussion m’a un peu émoustillée) et nous nous endormons dans cette position où je me sens bien, calée contre son corps, un de ses bras sur ma poitrine.
Le lendemain matin, dès que je suis réveillée, Loïc, qui est plus matinal, m’embrasse, tout en me caressant, il me dit :
« Tu sais, pour moi, c’est un début de séjour qui dépasse toutes mes espérances. »
« Ah ! Oui ! Et qu’est-ce que tu espérais ? »
« Je n’avais pas d’idée particulière, cependant j’escomptais bien que, vu nos relations avec Philippe et leur fréquentation de club échangiste, on arriverait à aller plus loin, pas aussi tôt, quand même. »
« Et cela t’a plu apparemment, parce que rien que d’en parler, je sens ton engin qui gonfle. »
« Oui, j’ai beaucoup aimé. »
« D’accord, mais qu’est-ce qui t’a plu le plus ? »
« Tout d’abord, j’ai bien apprécié de prendre Charlotte en sandwich avec Philippe, j’avoue que sodomiser une femme alors qu’elle est aussi pénétrée dans le vagin a quelque chose de sublime, c’était une première, pour moi. Ensuite j’ai vu Philippe te pénétrer devant moi, ce dont je rêvais depuis quelque temps, même s’il l’avait déjà fait, je n’avais rien vu, du fait de ma position. »
« Si je comprends bien, tu aimes bien me voir prise par un autre. »
« Oui, j’adore ça et je pense que toi aussi tu aimes bien te faire voir, t’exhiber, en somme. »
En même temps, il a continué ses caresses : il a relevé ma nuisette, s’est redressé et maintenant il caresse ma poitrine et mon petit chat tout nu. Mes seins se durcissent de plaisir et je sens mon minou s’humidifier. J’aime beaucoup quand on fait l’amour au réveil, je suis toujours très réceptive, surtout quand j’ai passé une bonne nuit, ce qui est le cas.
« En fait, oui, j’aime quand on me regarde, et cela depuis notre première rencontre avec Philippe, savoir que j’attire le regard des autres est très agréable. Et cet été-là, j’ai été particulièrement gâtée, d’abord Philippe, puis tous ceux qui m’ont reluquée, avec mon minou épilé : le bonheur. »
« Et moi, qu’est-ce que cela te fait que je te regarde ? »
« C’est à un autre niveau, toi, je sais que tu me mates, tu m’épies même. Chaque fois que je sors sans culotte avec toi, je m’aperçois bien que tu cherches à voir sous mes jupes, même si tu me connais par cœur. »
J’ouvre les cuisses pour qu’il puisse me caresser plus facilement, il prend ça pour une invitation spéciale. Il repousse la couette et descend sa tête vers mon bas-ventre. Il me lèche les nymphes, je sens sa langue qui s’insinue entre elles pour atteindre mon bouton d’amour. L’excitation me gagne, j’ai envie de son sexe en moi, je le prends par les aisselles, pour qu’il remonte à mon niveau. Son membre viril trouve mon coquillage bien ouvert et s’enfonce doucement en moi. Il reste un moment immobile, puis se lève en appui sur ses mains pour lui permettre d’aller et venir en moi. Mais j’ai encore envie de savoir ce qu’il pense des deux jours passés :
« Et qu’as-tu encore aimé ? »
« À vrai dire, j’ai vraiment aimé quand tu t’es exhibée en public, puis quand Philippe t’a dirigée vers le divan pour te prendre en levrette, et j’ai adoré quand tu as pris son chibre dans ta main pour le diriger entre tes fesses.
Je lève les genoux vers ma poitrine. Dans cette position, je sens bien la pénétration, je ne sais pas si c’est le fameux point G qui est touché, en tout cas, la jouissance est toujours rapide.
« Ça, j’étais sûre de te faire plaisir. »
« Ah oui ! Voir un sexe entrer dans ton petit cul, c’était particulièrement excitant. J’ai beaucoup aimé ! Et toi aussi si j’ai bien vu, tu n’es pourtant pas une fana ! »
« Non, mais là j’avais vraiment envie de m’exhiber totalement, un peu pour te faire plaisir, un peu pour moi, et en plus, j’ai beaucoup joui. »
À ce moment, j’ai envie d’être triviale, je lui demande :
« Cela doit te réjouir que je te dise que j’ai pris du plaisir à me faire enculer. Tu aimerais bien entrer dans mon petit cul, hein ? Eh bien, vas-y ! »
« Tu te retournes ? »
« Non, comme ça ! »
Je prends son sexe d’une main, pour l’enlever de mon vagin et le pointe à l’entrée de mon petit trou. Puis à l’aide de mes mains, j’écarte mes fesses. La tige de mon homme entre doucement dans mes entrailles. Il change légèrement de position pour me permettre d’appuyer mes cuisses sur ses épaules, ce qui facilite la pénétration. Quand il est bien profondément enfoncé dans mon petit cul, je relâche mes fesses et, d’une main, je me caresse le clito et le minou. Il fait des mouvements lents pour ne pas me faire mal. Ma main glisse sur sa tige de chair qui est bien ferme, puis je pénètre mon sexe avec mon majeur. Je sens l’étroitesse de mon vagin causée par cette présence dans mon anus. À la réflexion, je me demande comment deux sexes ont pu entrer dans mon corps, l’excitation devait être importante. Là, ce n’est pas le cas, j’aime me voir dans cette position assez particulière. Je vois le chibre de mon homme entrer et sortir de mes fesses, je sais que cela lui plaît et mes caresses me procurent du plaisir, mais pas autant que ce que j’ai éprouvé hier, lorsque Charlotte et Loïc me regardaient. Loïc accélère le rythme, sans brusquerie. Assez rapidement, il jouit au fond de mon corps. Nous changeons rapidement de position, car, bien que je sois très souple, elle n’est pas très confortable.
Après quelque temps de repos, nous allons dans la salle de bains pour prendre une douche bien méritée. Je remets ma nuisette et nous rejoignons nos amis qui sont en train de déjeuner. Charlotte et Philippe nous disent bonjour, ils sont nus. Philippe renchérit :
« Alors les amoureux, vous avez fini votre gymnastique matinale ? »
« Nous avons été bruyants ? »
« Non, mais ce genre de gémissements ne laisse pas de doute sur ce que vous faites. Tiens, tu as gardé ta nuisette, Véronique ! C’est pour être plus érotique ? »
« Non, c’est machinal, je l’enlève. Mais pour le bruit je plaide non coupable, c’est la faute de Loïc. »
« Ah bon ! Pourquoi ? »
« Je crois qu’il était un peu jaloux du traitement que tu m’as fait subir hier, enfin façon de parler, parce que j’ai bien aimé. »
« Et pourquoi il était jaloux ? Il pouvait faire la même chose à Charlotte. »
« Eh ! Dis donc toi ! Qui t’as permis de disposer de mon corps comme cela ? »
« Oh ! Ne fais pas la fine bouche, je suis sûr que tu aurais apprécié. »
En fait, Charlotte dit cela en souriant. Nous déjeunons avant de commencer une nouvelle journée, qui s’annonce sous les meilleurs auspices.
À Suivre
Julie et Véronique
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