Ce matin là après avoir pris son petit déjeuner Babeth se rend directement dans la chambre “Margot” où sans attendre elle retire sa mini jupe (très mini car comme son maître l’a voulu dés qu’elle fait un mouvement une partie de ses fesses apparaît) et son chemisier puis elle s’assoit sur le lit.
Elle ne sait pas qui va venir la solliciter sexuellement mais elle sait que comme tous les matins quelqu’un viendra.
Ce n’est pas que cela lui plaise de servir de vide-couilles mais ne pouvant pas s’échapper après avoir été enlevée puis ensuite être devenue “la chose” du châtelain elle est résignée et laisse tous les employés (ées) de son maître disposer d’elle selon leurs envies.
On frappe à la porte ce qui l’étonne car d’habitude les employés entrent dans la chambre comme dans un moulin.
«entrez, la porte n’est pas fermée à clé!
Myriam, une femme brune un peu enveloppée et aux formes très généreuses, qui fait le service à table chez son maître,fait son entrée.
– bonjour! comme tu es très jeune je ne sais pas si tu as déjà fait l’amour avec une femme mais j’aime de temps en temps profiter de la chair fraîche d’une femelle alors j’ai envie d’essayer avec toi!
– je l’ai fait une fois, ce n’est pas beaucoup! vous êtes lesbienne madame?
– non! bisexelle mais ça fait un moment que je n’ai pas eu de relations sexuelles avec une femme!
– je suis là pour ça madame même si je ne suis pas expérimentée!
– ça ne fait rien! avec de la bonne volonté nous allons bien réussir à nous donner un peu de plaisir!
– j’espère que ce sera le cas pour vous madame et que pour ça je vais essayer de me montrer à la hauteur!
– il n’y a pas de raison! tiens j’ai amené ces objets pour que chacune fasse du bien à l’autre en même temps!
Elle tend un paquet à la putain qui le prend et regarde ce qu’il contient, ce sont deux godemichets.
– merci de penser à moi madame mais ce n’est pas mon rôle de prendre du plaisir! je dois juste en donner!
– je ne suis pas d’accord, en prendre et en donner c’est la base des relations sexuelles! mais assez parlé!
Myriam commence à déboutonner son chemisier.
– attendez madame! c’est à moi de le faire!
– si tu veux! mais comme tu es déjà nue je ne peux pas te rendre la pareille!
L’employée se colle contre Babeth, l’étreint dans ses bras et lui roule une pelle.
La putain mêle sa langue à celle qui s’enroule autour de la sienne epénètre profondément dans sa bouche, elle a l’impression que l’autre veut explorer ses amygdales.
Le baiser prolongé et ardent a tendance à lui couper la respiration.
Quand enfin les lèvres se séparent et que la femme relâche son étreinte la putain déboutonne le chemisier que sa partenaire retire ensuite prestement puis elle s’attaque au soutien-gorge et met à l’air des seins volumineux aux larges aréoles qui ont tendance à tomber.
Ayant eu une première expérience avec Jade qui est lesbienne et sans attendre elle embrasse ou lèche un sein tout en caressant l’autre puis elle tête, aspire ou mordille le téton.
Ensuite sa bouche, sa langue ou ses dents s’activent sur le deuxième sein pendant que sa main et ses doigts s’occupent du premier.
Myriam caresse le visage de Babeth puis la poitrine et enfin le ventre.
La bouche de Babeth abandonne les seins de l’employée.
Elle déboutonne le seul bouton qui tient la jupe de Myriam au niveau de la taille et baisse le zip, le vêtement tombe sur le sol puis utilisant ses deux mains elle baisse et fait glisser le slip qui rejoint la jupe, la femme se débarrasse des habits devenus encombrants en levant un pied puis l’autre.
Elle a un pubis bien velu, les hanches larges et des fesses rebondies.
La putain se baisse, caresse et embrasse le ventre de la femme qui rapidement l’oblige à se relever.
– pas comme ça! viens sur le lit!
L’employée pousse Babeth qui tombe en arrière sur le lit puis vient s’allonger contre elle, friande de baisers elle écrase ses lèvres sur celles de la putain puis enfonce la langue dans a bouche.
Si la fille mêle sa langue avec celle de sa partenaire elle ne peut pas suivre le rythme effréné de celle-ci, là elle comprend ce qu’est vraiment rouler une pelle.
Le baiser dure longtemps avec une femme dont les lèvres se déplacent sur celles de Babeth sans que sa langue qui cherche toujours à pénétrer plus profondément dans la cavité buccale ne cesse de s’activer contre et autour de la sienne.
Puis c’est une tornade qui se déchaîne, Myriam à genoux se penche sur la putain qui ne peut qu’être passive pendant que son visage puis son cou sont couverts de baisers.
C’est au tour de sa poitrine d’être longuement agressée. Ses seins sont embrassées, caressés, malaxés. Les mamelons léchés, sucés, aspirés, triturés, la femme les fait rouler entre ses doigts.
Ensuite une main et la bouche de la femme s’attardent sur le ventre avant de finir entre les cuisses de la putain qui a aimé les sensations agréables ressenties mais doit s’occuper à son tour de sa partenaire.
Une fois que Myriam s’est allongée Babeth se positionne à genoux et prenant exemple sur ce qui vient de se passer c’est elle qui embrasse, lèche, caresse en commençant par le visage, en s’attardant sur les seins.
Elle reproduit ce que la femme lui a fait subir puis sa langue, sa bouche et ses mains descendent sur le corps pour finir sur le sexe.
C’est de nouveau Myriam qui prend les initiatives en repoussant Babeth puis en se mettant tête bêche au dessus d’elle de façon à ce que son sexe soit positionné au dessus du visage de la fille.
Myriam lèche goulument le clitoris et le sexe de Babeth, sa langue qui s’agite vite cherche à s’enfoncer le plus profondément qu’elle peut dans la vulve.
Quand elle se met à sucer, aspirer et mordiller le bouton qui devient proéminent, la putain a l’impression d’avoir à faire à une sangsue vu la façon dont elle l’aspire.
La putain ne peut que faire ma même chose, elle approche son visage de la vulve qu’elle trouve bien ouverte et pendant qu’elle lèche fourrant sans difficultés sa langue et même son nez à l’intérieur elle introduit un doigt dans l’anus de la femme et le fait aller et venir.
Sachant que Jade, la gouine avec qui elle avait fait l’amour, lui avait appris ça et qu’elle avait aimé, elle veut montrer à Myriam qu’elle aussi peut prendre des initiatives et la surprendre.
Effectivement celle-ci apprècie et arrête brièvement de s’occuper de la vulve avec sa bouche et sutout sa langue pour dire:
«tu es une petite salope! continues! c’est bon!
Le nez et la langue toujours fourrées dans le sexe de Myriam qui est de plus en plus humide, la putain accélère les va et vient de son doigt dans l’anus de sa partenaire.
Le cunilingus dure pendant un bon moment et si Babeth ressent des sensations de plus en plus fortes, des sons étouffés sortent maintenant de la bouche de Myriam dont le corps commence à bouger.
Pour ne pas être gênée et surtout ne pas interrompre le léchage de la vulve mais aussi et surtout du clitoris lequel fait le plus réagir l’employée, la fille passe les bras autour du corps de celle-ci pour se cramponner à elle et rester en contact pendant qu’il bouge et se déplace.
Si la langue de la femme excitée est très active entre les cuisses de la putain qui ressent beaucoup de plaisir, celle-ci ne s’attend pas à ce qui va se produire.
Elle essaie de suivre la cadence imposée par Myriam, alterne léchage de la vulve et du clitoris mais surtout elle suce, aspire et mordille le clitoris qui est maintenant turgescent.
Soudainement le corps de la femme est agité par des spasmes, elle râle pendant que des jets de liquide s’échappent de son sexe qui s’ouvre et se referme plusieurs fois, le visage de babeth est arrosé.
Heureuse et satisfaite, après avoir joui Myriam décide de changer de méthode, si elle reste allongée sur la putain c’est avec ses doigts qu’elle la martyrise maintenant.
Myriam est bien décidée a donner un maximum de plaisir à Babeth, ses doigts s’activent sur le clitoris et dans la vulve, celle-ci ne peut qu’essayer de suivre le même rythme et lui prodiguer des tortures identiques avec en plus un doigt qu’elle enfonce dans l’anus puis fait aller et venir à l’intérieur.
Si la femme qui ressent toujours un plaisir intense gémit et râle beaucoup la putain ne peut pas s’empêcher elle aussi d’être un peu bruyante car les sensations incessantes qu’elle ressent deviennent de plus en plus fortes dans son ventre.
Elle sait que pour sa partenaire, dont le corps s’agite beaucoup sur le lit, c’est la même chose reste à savoir qui des deux va jouir la première.
Myriam se laisse aller la première, son corps se raidit et est agité par des tremblements pendant qu’un orgasme violent la transporte et la fait crier.
Elle a à peine récupéré que telle une folle elle s’en prend au sexe de Babeth qu’elle fouille avec des doigts qui s’agitent à une cadence infernale, elle lui masturbe aussi violemment le clitoris.
La fille cesse toute activité car les sensations qui torturent son ventre et qui étaient déjà bien fortes augmentent encore et rapidement deviennent intolérables. Son corps se soulève et un long râle sort de sa bouche pendant qu’à son tour elle jouit arrosant de cyprine les main de l’employée.
Si la putain pensait que chacune ayant pris du plaisir la partie de jambes en l’air était terminée, elle se trompait.
A l’initiative de Myriam les deux femmes ont maintenant chacune en main un godemichet qu’elles enfoncent dans la vulve de l’autre avant de le faire aller et venir de plus en plus vite à l’intérieur.
Comme elles sont toutes les deux bien échauffées c’est à qui prendra le dessus sur l’autre en lui procurant le plus de plaisir, plus les sensations augmentent dans leur ventre et plus elles s’activent en y mettant du cœur et à ce jeu c’est Myriam qui plus expérimentée gagne amenant Babeth à l’orgasme.
Le gode utilisé par l’employée reste dans la vulve de la putain et ne bouge plus après qu’elle ait fini de trembler et que le liquide qui sortait de son vagin ait cessé de gicler, celle-ci un peu groggy avait arrêté de défoncer le sexe de Myriam et se fait un devoir de recommencer à faire aller et venir rapidement le godemichet qu’elle tient en main jusqu’à à amener la femme à l’orgasme.
Elles continuent leur petit jeu pendant un moment se faisant encore jouir puis Myriam fatiguée par les orgasmes et les yeux vitreux cesse les hostilités, ce qui arrange Elisabeth qui n’est pas en meilleur état et arbore une mine de papier mâché.
Pendant leurs ébats aucune des deux n’a entendu la porte de la chambre s’ouvrir ni vu l’homme qui surpris les a discrètement regardées s’activer avant de s’en aller.
Allongée à côté de Myriam dont la respiration est rapide Babeth essaie de se remettre des jouissances, elle qui n’est pas habituée aux plaisirs multiples.
Elle n’aurait jamais imaginé que l’employée de son maître d’ordinaire si réservée et effacée puisse être un volcan au lit.
La femme finit par se lever et remettre ses vêtements puis le visage fatigué mais un sourire heureux aux lèvres elle s’adrese à la putain.
«ça fait du bien! ça me manquait! je reviendrais te voir bientôt! pour une novice tu t’es bien débrouillée!
– je n’ai fait que vous imiter! vous revenez faire l’amour quand vous voulez madame! je suis à votre disposition!
– oui je sais! mais je ne vois pas les choses comme les autres qui ne pensent qu’à eux et ne voient en toi qu’une putain qui est à leur service! si j’aime jouir mon plaisir est aussi que ma partenaire participe à la fête elle aussi!
– vous êtes gentille madame! je vous remercie de votre bonté car ici je suis prise pour un objet ou plutôt un paillasson!
– de voir comment tu es traîtée me désole! tu ne le mérites pas surtout à ton age! mais comme les autre je tiens à ma place donc je préfère fermer les yeux et surtout ie me tais!
– je comprends madame!
Myriam embrasse la putain sur les lèvres, sort de la chambre et retourne à son travail pendant que Babeth va se doucher.
Elle ne se sent pas le courage d’avoir d’autres relations sexuelles mais ne pourra pas refuser de servir de vide-couilles aux employés qui ne vont pas tarder à venir la solliciter.
Louloute
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