La présence d’Elisabeth (dite Babeth) et surtout son utilisation comme esclave sexuelle voulue par celui qui en a fait sa propriété, ont désorganisé le fonctionnement du château.
Les membres du personnel sont obnibilés par celle qui est devenue leur vide-couilles et ce sont surtout les hommes qui sont très indisciplinés ne songeant plus qu’à sauter la putain au détriment de leur travail.
Des règles ont dues être mises en place par Cédric le majordome que tout le monde vouvoie et craint sauf les trois gardes du corps du maître des lieux qui on un statut à part et privilégié.
Les employés ont interdiction d’utiliser la putain pour passer leurs envies pendant les heures où ils ont des tâches à accomplir.
Elle est moins sollicitée à certaines heures et plus à d’autres, les employés doivent s’entendre pour ne pas se bousculer dans le lit de Babeth pendant les heures de la jounée où l’activité est ralentie.
Parmi les employées du château peu d’entre elles ont osé avoir des relations sexuelles avec Babeth et donc avouer qu’elles sont lesbiennes ou bisexuelles.
Si les hommes se servent le plus souvent de la putain comme vide-couilles, quand elle copule avec les quelques femmes c’est différent car deux d’entre elles (Jade et Myriam) n’hésitent pas à lui donner du plaisir même si ce n’est pas ce qu’elle est en droit d’attendre.
Lorsque le repas du midi est terminé, Nadine une femme de chambre hèle Babeth qui retourne dans la chambre sans attendre de savoir si un des membres du personnel va tout de suite venir se soulager dans son corps.
«hé la putain! laves toi bien les fesses! je vais venir te voir et pendant que tu vas me faire l’amour je ne veux pas sentir le sperme que les hommes ont laissé dans ton cul ce matin!
– bien madame! je fais ce que vous me demandez et je vous attends!
– j’arrive dans un quart d’heure! sois prête!
Pendant cette brève conversation Nathan qui boit un deuxième café regarde Nadine d’une drôle de façon, comme-ci il était contrarié et même en rage.
La putain se rend dans la chambre « Margot », ici toutes les chambres ont un nom.
Débarrassée de son corsage et de sa très mini jupe elle passe par la case salle de bain où utilisant la pomme de douche elle se lave soigneusement le sexe.
Elle est assise nue au bord du lit quand Nadine fait irruption et ferme la porte à clé.
– ainsi on ne sera pas dérangées par un mâle en rut! si comme la putain sans pudeur ni amour propre que tu es ça ne te dérange pas d’être vue pendant que tu te fais baiser, moi je prèfère l’intimité!
Dans une main elle tient un sac en plastique qu’elle pose sur le lit.
– ce n’est pas la première fois que tu fais l’amour à une femme d’après les rumeurs!
– non madame! mais je n’ai pas beaucoup d’expérience comme gouine!
– alors mets toi au travail! essaies de bien faire ton bouleau! tu me dégoûtes mais je veux moi aussi profiter de toi! alors pour commencer déshabilles moi et fais moi des choses agréables en même temps!
Comme la plupart de ceux qui la sautent évitent les pelles et ne sachant pas si Nadine va se laisser embrasser, la putain craint d’être repoussée mais n’étant pas à une vexation près elle se colle contre la femme à la poitrine avantageuse, passe les bras autour de son cou et plaque les lèvres contre les siennes.
Nadine laisse la langue de Babeth pénétrer dans sa bouche et tout de suite fait jouer la sienne.
Elle semble aimer les baisers car elle en redemande, les deux langues se battent et se mêlent dans de longs baisers.
La femme de chambre finit par repousser la putain qui aussitôt s’en prend au chemisier qu’elle déboutonne et retire sans que l’employée passive ne l’aide.
Puis passant ses bras dans le dos de Nadine elle dégrafe le soutien-gorge mettant à l’air une volumineuse poitrine aux larges aréoles qui a tendance à tomber, Babeth est un peu étonnée car la femme a un peu plus de la trentaine.
Sans états d’âme la putain caresse les seins, agace les tétons en les faisant rouler entre ses doigts, lèche et embrasse la poitrine avant de sucer, aspirer et mordiller les mamelons qui s’érigent.
Quand elle juge qu’elle a passé suffisamment de temps sur la poitrine et sans réaction négative de Nadine elle baisse la zip de la jupe qui tombe sur le sol puis en fait autant avec le string en le faisant glisser le long des jambes, la femme pour ne pas être gênée se débarrasse rapidement des vêtements les envoyant valser d’un coup de pied.
Elisabeth se baisse, caresse et embrasse le ventre un peu gonflé puis pose sa bouche entre les cuisses de la femme.
Celle-ci écarte les jambes, pose ses mains sur la nuque de la putain qui se retrouve le nez enfoui dans la toison drue du pubis.
Après avoir écarté les grandes lèvres de la vulve Babeth alterne le léchage de celle-ci en introduisant sa langue à l’intérieur ou celui du clitoris.
Nadine soupire et frissonne puis comme la putain ne semble pas vouloir aller sur le lit c’est elle qui prend l’initiative.
– tu ne vas pas continuer pendant des heures dans cette position! moi je serais mieux sur le lit.
Babeth attend que la femme se soit allongée pour prendre position se mettant à genoux contre son flanc.
De nouveau une de ses mains navigue sur le corps de Nadine, elle lui caresse longuement la poitrine ou le ventre sans oublier l’entre jambes.
En même temps elle se penche en avant pour que sa bouche puisse se poser sur le corps de l’employée. Pour commencer elle embrasse le visage, les lèvres et le cou avant de descendre sur la poitrine qu’elle embrasse et lèche avant de s’en prendre aux mammelons qu’elle suce, mordille et aspire.
Ensuite sa bouche et sa langue s’attardent sur le ventre avant d’arriver sur les cuisses et de finir sur le sexe.
Si elle embrasse d’abord la vulve, ensuite elle passe un long moment à la lécher en fourrant sa langue à l’intérieur après avoir écarté les grandes lèvres avec ses mains, elle alterne avec le léchage du clitoris.
Nadine gémit et son corps frissonne et après un moment elle attrape une main de la putain et pose un des ses doigts sur son anus.
Babeth comprend qu’elle doit passer à autre chose, elle se déplace et se met à genoux entre les jambes de la femme de chambre.
Elle enfonce en même temps un doigt dans le cul et un dans la vulve puis se servant de doigts de sa main libre elle s’en prend aussi au clitoris.
Pendant que ses doigts s’activent de plus en plus vite dans les orifices de Nadine elle lui masturbe de plus en plus violemment le bouton.
Patiemment elle torture la femme,les gémissements de Nadine deviennent des râles et son corps a tendance à se soulèver, encouragée Elisabeth s’acharne constatant que le plaisir monte vite dans le ventre de Nadine.
Arrive le moment où le corps de la femme se raidit et ses fesses décollent du lit, pendant qu’elle secoue la tête et la bouche ouverte semble chercher de l’air. La vulve s’ouvre et se referme plusieurs fois, du liquide sort en jet du vagin arrosant les mains de la putain et les drap du lit.
Babeth surprise attend pendant un court moment qu’après avoir joui la femme se calme puis recommence à la torturer faisant aller et venir des doigts en même temps dans la vulve et l’anus et aussi en martyrisant le clitoris.
Elle constate que la femme de chambre parvient plus facilement à l’orgasme, ce qui lui arrive encore deux fois avant que les yeux fermés et le visage déformé par le plaisir elle dise:
– maintenant sers toi de ce qui est dans le sac que j’ai apporté! fais moi beaucoup jouir!
La putain ouvre le sac et en sort un godemichet de belle dimension ainsi qu’un vibromasseur.
Elle enfonce le gode dans le sexe de Nadine puis avec une main le fait aller et venir après avoir mis en route le vibromasseur dont elle se sert d’abord pour l’appliquer les tétons avant d’en faire autant sur le clitoris.
Le plaisir ressenti par la femme est rapidement très important voire insupportable. Son corps bouge beaucoup, tremble et se déplace, elle râle et pousse de plus en plus souvent des cris.
Babeth est surprise de la voir jouir aussi rapidement et aussi souvent avec son corps qui tremble beaucoup, des jets de cyprine s’échappent du vagin à chaque orgasme.
Nadine dans un état second garde le plus souvent les yeux fermés et quand elle les ouvre la putain constate que son regard n’est plus normal.
Pas habituée à voir une femme dans cet état et apeurée elle cesse de la torturer avec les instruments. Puis ne sachant pas quoi faire elle attend assise à côté de la femme dont le corps est maintenant inerte et qui repire un peu bruyamment la bouche ouverte.
Nadine fatiguée par les jouissances reste là pendant un bon moment allongée et inerte sur le lit à côté de la putain puis une fois qu’elle est en partie sortie de l’état second elle s’assoit et pose une question.
«tu as déjà fait ça avec un chien?
– non madame!
– tu en aurais envie?
– non madame! c’est contre nature et rien que d’y penser cela me dégoûte!
– moi je fais ça régulièrement et Nathan, qui comme tu le sais peut’être est mon mari, m’a surprise plusieurs fois quand j’avais le pénis de Tango notre chien dans la chatte ou dans le cul et régulièrement je ne me gêne pas pour me faire lécher le sexe devant lui quand je suis assise car chez moi j’ai souvent le cul à l’air!
– votre mari ne dit rien?
– si la première fois quand il est revenu de son travail et qu’il m’a vue couchée sur la moquette pendant que j’attendais que mon amant canin le pénis toujours enfoncé dans ma chatte me libère. Il était furax, s’est assis sur le canapé tout en m’invectivant mais j’avais des arguments pour le calmer donc il ne dit plus rien quand il me voit faire l’amour à notre chien ou quand celui-ci me donne du plaisir avec sa langue entre mes cuisses!
– vous aimez ça madame?
– oui j’adore! c’est un jeu et un dérivatif surtout en ce moment car mon mari pense plus à te sauter toi qu’à me faire l’amour!
– je suis désolée madame et je vous demande pardon mais je n’oblige personne à me sauter par contre je n’ai pas le droit de refuser mon corps à qui que ce soit!
– je sais! mais je t’en veux quand même surtout pour ta jeunesse et ta beauté qui attirent les hommes et je suis décidée à me venger de toi et à t’humilier!
– si vous voulez madame! mais comment? vous savez que je ne peux rien vous refuser, je n’en ai pas le droit!
– tu vas faire l’amour à tango et je vais te regarder faire en y prenant beaucoup de plaisir!
– vous n’allez pas m’obliger à faire ça madame?
– si! je vais en parler à Marco! soit disponible à partir de dix sept heures!
– bien madame! je suis à vos ordres!
– saches qu’une fois qu’il a éjaculé généralement un chien est calme et peut parfois se désintéresser des femelles pendant plusieurs jours alors disons que tu feras ça trois fois en l’espace de d’une semaine donc aujourd’hui, ensuite dans trois jours et pour finir dans six jours.
– pourquoi trois fois madame?
– une fois son sperme dans ta chatte, une fois dans ton cul et enfin une fois son liquide dans ta bouche et tu as intérêt à tout avaler!
– c’est sale madame! vous n’allez pas me demandez ça?
– Si! c’est peut-être sale comme tu le dis mais je ne suis pas d’accord surtout si c’est c’est toi qui le fait!
– malgré ma réticence je ferais ce que voue me demandez madame!
– bien! saches aussi que pendant une saillie, entre le liquide de lubrification et le sperme, il se vide en plusieurs fois et la dernière fois ce ne sont pas que quelques gouttes!
– puisque c’est votre volonté je ne peux pas refuser madame!
– non tu n’a pas le pouvoir de refuser! et moi je vais prendre du plaisir à t’humilier et te rabaisser!
– madame je suis déjà consciente que je ne suis pas votre égale et que je vous dois respect et obéissance. Mon maître qui est également votre employeur a fait de moi un être de race inférieure, et même inférieur à ses chiens et ses chevaux qui pour lui valent mieux que moi et sont mieux traités!
– qui t’a mis ça dans la tête?
– votre employeur qui est devenu mon maître lorsqu’il a décidé de m’asservir!
– expliques toi?
– je lui suis redevable! j’ai accepté sans arrière pensée et sans me rebeller quand il a fait de moi sa chose! en toutes circonstances et quoi qu’il exige de moi je me conforme à ses ordres comme doit le faire une bonne esclave!
– je suis sidérée! comment peux tu accepter cette situation? à moins que tu aimmes ça?
– c’est mon destin madame! et je n’aurais pas du vous en parler quand mon maître va le savoir il va me punir et me faire souffrir!
– je te promets que je ne dirais rien en contrepartie je ne veux pas que les autres sachent que je me fais saillir par mon chien! sachant ce que tu viens de me raconter et si je n’aimerais pas qu’il m’arrive la même chose’arrive ma volonté de t’humilier avec Tango est intacte!
– ne soyez pas désolée madame! je suis là pour obéir et accepter tout ce que vous souhaitez que je fasse! vous avez dit que je dois me faire saillir par votre animal alors bien que cela me dégoûte je dois et je vais me conformer à votre volonté en espérant que vous prendrez du plaisir à me voir m’accoupler avec lui!
– je vais savourer ma petite vengeance lors de tes saillies avec Tango!
Nadine qui fourbe a voulu donner l’impression de jouer à la femme compatissante (mais ne pensait pas ce qu’elle disait) se rhabille et sort de la chambre tout en fixant Babeth le sourire aux lèvres.
– à cet après-midi pour ta petite expérience»
La putain reste nue sur le lit car elle doit encore avoir un rapport sexuel avec le régisseur et puis avec Dany avant lque soit arrivé l’heure du repas du midi.
Ensuite pendant elle mange à la même table que le personnel mais sans participer aux conversations car ici elle n’est que quantité négligeable et d’ailleurs qu’aurait t’elle à dire n’ayant pas de vie en dehors des heures passées allongée sur un lit les jambes écartées.
Comme tous les jours plusieurs mâles se partagent les heures de disponibilité de leur vide-couilles après que Marco ait prévenu Babeth qu’il doit l’emmener dans les écuries pour 17 heures et qu’elle sait ce qu’elle va y faire!
Malgré les questions des curieux elle reste discrète concernant ce qu’elle va faire dans les écuries.
Louloute
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