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histoire taboue : Le rapt Chapitre 4 La putain du château

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Anéantie et n’arrivant plus à réfléchir Babeth reste sans réaction se demande si elle n’est pas dans un monde irréel ou endormie en plein cauchemar.

L’instigateur de son enlèvement et de sa détention juge que la discussion est close, il ne se soucie plus de celle qu’arbitrairement il a décidé qu’elle faisait maintenant partie de son cheptel mais au niveau le plus bas de la hiérarchie et que son avenir sera celui d’une esclave sexuelle.

Le maître des lieux compose un numéro sur son téléphone, il demande à son interlocuteur de venir dans son bureau.

 

On frappe à la porte du bureau, c’est Marco qui réapparait.

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– Marco j’ai réglé le sort de cette chose! elle sait maintenant de quoi son avenir sera fait!

– que doit t’on faire d’elle monsieur?

– j’ai décidé qu’elle devient ma propriété dés maintenant et qu’elle aura le rang d’esclave!

– vous pouvez préciser son rôle monsieur?

– pour commencer cette chose insignifiante doit s’habituer à être sollicitée sexuellement n’importe quand et par n’importe qui pour des relations sexuelles et quelque soit le nombre de fois où elle devra écarter les cuisses chaque jour!

– comment devons nous procèder?

– tu l’emmènes dans une des chambres proches de l’office, elle y passera la majeur partie de ses journées! le reste du temps elle servira de larbin en cuisine!

– bien monsieur.

– tu passeras le mot à tout le monde, hommes et femmes, en leur disant qu’elle est à leur disposition mais cela sans que le désordre ne règne.

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– vous pouvez préciser ce que vous attendez d’elle monsieur.

– simplement qu’elle se comporte comme la prostituée qu’elle va devenir! tant qu’elle restera ici elle devra satisfaire les envies de tout les membres du personnel quels qu’ils soient et quoi qu’ils désirent! elle n’a pas le pouvoir de refuser quoi que ce soit.

– et si la petite pute se rebelle?

– tu as carte blanche! au choix: sévices corporels, séjours dans une ancienne géole dans les bas-fonds, enfermée dans une cage dans le chenil au milieu des chiens ou toute autre punition! tu feras d’elle ce que tu veux et selon ton imagination!

– bien monsieur! je ferais en sorte qu’elle soit bien obéissante et se conforme à toutes vos exigences.

– une dernière chose! elle ne devra jamais approcher de mes appartements ni de ma famille! mon épouse, mes enfants et toute personne que je reçois doivent impérativement ignorer son existence! cette chose doit rester invisible car elle n’existe pas!

 

Elisabeth hébétée ne réalise pas bien ce qui lui arrive, elle est abasourdie par ce que lui a dit celui qui a décrêté qu’il est son maître et surtout par ce qu’elle entend maintenant. Elle ne participe pas à la conversation.

Marco la regarde et se demande pourquoi elle ne se rebelle pas et reste la bouche ouverte les yeux dans le vague car c’est de son avenir qu’il est question et il n’est pas réjouissant si elle tombe dans la prostitution.

– renseignes toi pour savoir si dans le chenil une cage est vide, elle y passera ses nuits ainsi que les moments où elle sera inutile.

– je vais en parler à Thibault, il me dira si quelque chose est disponible! mais ne me semble pas être la meilleure solution!

– pourquoi?

– si je puis me permettre, avec des mauvaises conditions de détention elle sera en permanence sale, puante et sa santé peut en pâtir! je doute que le personnel veuille passer ses envies avec une chose repoussante et qui peut les contaminer!

– tu n’as pas tort! que suggères tu?

– lui faire passer ses nuits dans la tour nord! ainsi elle sera isolée, pourra soigner son hygiène et toujours être en forme pour satisfaire sexuellement votre personnel!

– d’accord! demandes rapidement à mon ami médecin ce qu’il faut comme contracéptifs! ici ce n’est ni une maternité ni une pouponnière! une esclave engrossée ne sera d’aucune utilité!

– je m’en occupe dés que j’ai mis la petite pute dans une chambre et informé quelques membres du personnel qu’elle est à leur disposition dés maintenant.

 

Le sbire sort du bureau entraînant Babeth en le tenant par un bras, ensuite elle le suit dans les couloirs.

– tu as vu, j’ai été sympa avec toi et j’ai fais en sorte que tu ne dormes pas dans une cage comme un animal!

– merci monsieur!

Ils croisent deux employés de maison répondant aux prénoms de Dany et Grégory (dit Greg) à qui sans ambage le sbire dit:

– si la petite pute vous fait envie vous pouvez venir la sauter, elle sera dans la chambre « Margot ».

Ils sont surpris et ne réalisent pas immédiatement, c’est grégory qui répond.

– ah bon! nous les employés on peut profiter de son cul?

– oui le patron l’autorise! Prévenez les autres, hommes et femmes, dites leur qu’ils peuvent aussi en profiter mais sans que le service soit désorganisé.

– elle est bisexuelle?

– je ne sais pas! mais comme elle doit respecter les ordres que le patron lui a donné elle ne peut pas refuser les relations sexuelles avec les femmes.

– tu crois qu’elle le fera sans se rebeller.

– si tu veux le savoir demandes lui car moi je suis son superviseur mais je ne suis pas elle.

c’est encore Grégory qui ne réalisant pas bien ce qui se passe ose poser la question à la fille.

– est ce que c’est vrai que tu vas être la putain de la maison et que tous les employés pourront te sauter quand ils en auront envie?

– monsieur Marco vous a répondu! mon maître a fait de moi votre putain et je dois respecter ses ordres!

– je peux savoir qui est ton maître?

– votre employeur! je lui appartiens.

– ah bon c’est possible ça! et concernant les femmes tu es bisexuelle?

– je ne sais pas monsieur! je ne pense pas, je n’ai jamais eu de relations sexuelles jusqu’à aujourd’hui et je ne me suis jamais posé la question concernant des relations lesbiennes mais mon maître veut que j’aie des relations sexuelles avec les femmes alors j’obéirais à ses ordres si une femme veut une relation gouine.

– d’accord je vois tu es bien obéissante! On ne connait pas ton nom! comment tu t’appelles?

– mon maître ayant fait de moi un être inférieur qui doit respect et obéissance à tous les employés je n’ai pas de prénom et je suis sur qu’en parlant de moi vous allez m’appeler « la putain » alors vous pouvez utilisez ce nom sans que cela ne me vexe.

– avec toi tout est clair!

– oui monsieur! tout comme je vous confirme que comme le veut mon maître je suis à votre service pour satisfaire vos besoins sexuels.

Pendant toute la conversation Elisabeth d’habitude timide et réservée s’entend répondre mais a du mal à réaliser que c’est elle qui parle.

Elle n’est pas encore revenue sur terre après ce qui s’est passé puis s’est dit dans la bureau de celui qui a décidé qu’elle est maintenant un de ses biens ou plutôt un des animaux de son cheptel et pas celui le mieux côté.

– alors je peux venir dans la chambre « Margot » te sauter sans être rejeté?

Marco répond.

– dans trois quarts d’heure! pour le moment c’est moi qui vais prendre du plaisir avec elle et me vider les couilles.

– Ok.

Du coup Dany ne veut pas être oublié.

– et moi je passe quand?

C’est le sbire qui lui répond.

– dans un peu plus d’une heure, ce sera bien!

– je serais là ponctuel alors Greg ne dépasses pas l’horaire qui t’es imparti!

– en attendant viens on va aller annoncer la nouvelle aux autres! vu comment elle est gaulée baiser la gamine tout le monde en aura envie même si personne n’aurait espéré qu’un jour une chose comme ça se réaliserait.

Babeth ne réalise pas encore tout ce qu’elle va devoir subir et c’est machinalement qu’elle suit Marco comme-çi elle était en plein cauchemar, jusqu’à ce qu’il s’arrête devant une porte qu’il ouvre, il pénètre dans la chambre, telle un robot elle en fait autant.

Une fois dans la pièce et sans attendre que la porte soit refermée Babeth, fataliste, tel un zombie, se déshabille et laisse choir ses vêtements sur le sol avant de s’allonger sur le lit tout en écartant les jambes prête à être pénétrée puisque c’est ce qui lui est demandé.

Elle est à peine consciente qu’à partir de ce jour elle ne va pas cesser de se faire défoncer, dés qu’ils auront des envies les membres du personnel vont se faire un plaisir de l’utiliser sexuellement sans avoir besoin de son accord.

Pendant ce temps Marco a sorti son sexe du pantalon et se place entre les jambes de la fille.

«monsieur c’est donc vous le premier qui allez profiter de mon corps?

– pas tout à fait! seulement le deuxième! mais dommage pour moi car j’aurais bien voulu te dépuceler!

– je vous comprends monsieur mais mon maître a voulu profiter de ce privilège!

– qu’est ce que tu as pensé de ce qui s’est passé avec lui?

– concernant mon pucelage: rien! Concernant ce qui s’est passé avec mon maître je n’ai pas d’avis n’ayant jamais fait l’amour avant donc j’ai fais ce qu’il me demandait sans éprouver de plaisir juste un peu de douleur mais pour mon maître je ne sais pas s’il a eu du plaisir car sans expérience j’ai été nulle!

– ce qui va se passer avec le personnel ce ne sera pas mieux car tu n’éprouveras que rarement du plaisir, ils vont se contenter de se soulager, tu ne seras qu’une vide-couilles!

– mon maître veut que cela se passe ainsi donc j’obéis car comme il l’a décidé je suis programmée pour ce type de relations!

Se ravisant le sbire s’allonge sur le dos à côté de celle qui est devenue une putain.

– je ne vais pas te sauter tout de suite! pour commencer j’ai envie d’une pipe!

– bien monsieur! mais je ne sais pas faire ça bien!

– aucune importance! suce ma bite en y mettant de la bonne volonté et ça ira pour cette fois!

Elle se met à genoux entre les jambes de l’homme et avec une main saisit le pénis érigé, elle le trouve plus gros et plus long que celui de son maître.

Ensuite elle se penche en avant puis embrassse et lèche pendant un moment le pénis raide et dur avant de le prendre dans sa bouche et de le faire aller et venir ses lèvres sur le membre tout en évitant de l’enfoncer trop profondément dans sa gorge.

Bien qu’il pense qu’elle ne suce pas bien manquant de pratique il s’en contente sans faire de remarques.

Quand il sent qu’il ne va plus tenir très longtemps il repousse Babeth et lui demande de s’allonger.

Couché sur elle il cherche à la pénétrer éprouvant des difficultés pour enfoncer la queue dans la vulve pas encore habituée à recevoir des pénis bien qu’il lui ait demandé d’écarter les grandes lèvres avec ses mains.

Il pousse avec le poids de son corps et le membre pénètre repoussant les chairs du sexe de la fille qui ressent un peu de douleur.

Malheureusement pour elle il jouit avant de l’avoir totalement pénétrée.

C’est le sperme qui s’échappe pendant que les tressauts du membre qui lubrifie l’entrée et les parois de la vulve, ce qui permet finalement à l’homme mais trop tard de complètement pénétrer Babeth.

Déçu et un peu penaud il se relève et va essuyer sa verge dans la salle de bain.

Correctement rhabillé il quitte la chambre après avoir dit à la putain qu’en fin de journée elle aura des contraceptifs dont un premier comprimé approprié au fait que son vagin a déjà reçu du sperme sans protection.

Marco croise Grégory qui attendait impatiemment dans le couloir.

– vas y! la place est chaude! j’ai préparé le terrain!

La putain qui n’a pas eu le temps ni surtout la volonté de bouger, est restée allongée les jambes écartées et a laissé le sperme s’échapper de son vagin.

Sans attendre Greg a sorti son sexe érigé pendant qu’il entrait dans la chambre.

Il ne perd pas de temps, aussitôt installé sur le lit aussitôt en action allongé sur la fille.

C’est sans fioritures que l’homme prend Babeth, il ne cherche pas autre chose que le coït et son plaisir.

Il lui est facile de pénétrer la fille la vulve étant bien lubrifiée par le sperme de Marco.

La queue bien enfoncée dans la vulve et sans se soucier du ressenti de Babeth il donne des coups de reins sans qu’elle ne bouge jusqu’au moment où sa verge tressaute et que de nouveau le vagin est arrosé de sperme.

Sans même s’essuyer, après s’être rapidement relevé, il remet son membre dans le caleçon et remonte le zip de sa braguette puis quitte la chambre après avoir dit:

– ça fait du bien et ça soulage! à la prochaine et bon amusement avec les collègues!

C’est au tour de Dany, avant qu’il n’entre dans la chambre la putain a eu le temps d’essuyer un peu son sexe mais ne s’est pas lavée estimant que la pénétration de sa vulve à l’orifice encore étroit sera facilitée.

Louloute

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