Tous les jours et dés que le petit déjeuner est terminé les employés se bousculent et Babeth ne quitte le lit et la chambre que pour le repas du midi puis celui du soir avant d’être ramenée dans le petit logement où elle esrt enfermée pour la nuit.
C’est environ une dizaine de personnes qui s’en servent comme vide-couilles chaque jour.
Si elle a du temps de libre elle le passe à aider en cuisine, là au moins elle apprend des choses utiles.
Un soir pendant que Marco ramène Elisabeth dans le petit appartement où elle passe ses nuits enfermée elle lui fait une requête:
«monsieur plusieurs employés veuillent m’enculer!

– c’est quelque chose de naturel et c’est dans tes attributions! tu sais que tu dois te conformer aux demandes du
personnel!
– je sais! mais je n’ai jamais fait ça et comme mon maître s’est servi le premier de ma bouche et m’a aussi dépucelée je voudrais savoir s’il se réserve aussi le droit de me sodomiser le premier?
– je ne pense pas mais je vais quand même lui demander ça demain matin!
Le lendemain ce n’est qu’après le repas du midi que le sbire approche la putain.
– ton maître m’a répondu qu’il se fiche de ton trou dégueulasse et qu’il n’y mettra jamais son pénis!
– c’était juste pour être sure! lui appartenant je ne voulais pas qu’il m’en veuille et me punisse! plusieurs hommes n’attendent que ça et le premier qui m’enculera s’en vantera auprès des autres j’en suis sure vu qu’ils parlent beaucoup de moi entre eux!
– viens dans la chambre! c’est moi qui vais le faire et je m’en vanterais pas!
Pendant qu’ils traversent des couloirs pour se rendre dans la chambre où elle passe ses journées à se faire sauter Marco lui demande si elle a toujours la vaseline qu’il lui avait donné.

– oui monsieur! pourquoi?
– je vais m’en servir pour éviter que tu souffres trop lorsque ma bite va pénétrer dans ton cul!
Arrivés dans la chambre Babeth retire machinalement son corsage et sa mini jupe qui ne cache rien, c’est devenu un réflexe car ces gestes elle les répète tous les jours, le matin et en début d’après-midi. Elle doit toujours être prête pour recevoir les employés ou employées de son maître qui veulent une relation sexuelle.
Marco sort la verge de son pantalon avant de venir la rejoindre sur le lit.
– tu vas d’abord me faire bander petite pute!
A genoux la putain caresse puis masturbe le membre ensuite elle se penche au dessus de lui.
Elle embrasse, lèche le pénis puis l’enfonce dans sa bouche et le suce. Rapidement il gonfle dans la cavié buccale de la fille et prend des dimensions correctes et quand elle l’abandonne il est fièrement dressé.
– c’est bon! restes comme tu es et penches toi en avant!
Elle fait ce qu’il demande mais il n’est pas satisfait, les ordres fusent.
– les jambes écartées! les reins creusés et ta tête sur les draps! replie tes bras! voilà! comme ça c’est bon!
Elle reste sans bouger se demandant ce qu’il fait car il l’a délaissée occupé à autre chose puis elle comprend quand un doigt s’enfonce dans son anus et s’y agite tout en y déposant une matière gluante: de la vaseline.
Une fois qu’il s’est placé à genoux derrière elle la verge glisse entre ses fesses puis se positionne contre son anus, les mains agrippées à ses hanches l’homme exerce une poussée et la queue commence à pénétrer dans le cul de la fille puis s’y enfonce difficilement.
Elle ferme les yeux et serre les dents car ce n’est pas indolore. Elle meurt d’envie de lui dire d’arrêter mais ne peut pas se le permettre étant l’esclave sexuelle de qui veut se servir d’elle.
Enfin la verge très enserrée dans l’orifice anal, à cause de la préparation minimale, cesse de s’enfoncer et le sbire reste un moment sans bouger avant de la faire aller et venir lentement.
La putain est soulagée quand le membre s’agite dans son corps et que le sperme y gicle, le sbire n’a pas tenu longtemps avant de se laisser aller, en cause l’étroitesse du fourreau qui a accueilli sa verge et aussi trop d’envie.
Marco laisse sortir son pénis du cul de Babeth et va se laver avant de se rhabiller correctement.
Elle attrape une serviette de toilette qui comme d’habitude est posée à la tête du lit, elle la met entre ses cuisses car le sperme coule.
– alors petite pute qu’est ce que ça t’a fait de te faire déflorer le cul?
– je n’ai pas ressenti de plaisir monsieur, seulement de la douleur!
– ça passera! maintenant que tu vas certainement te faire enculer régulièrement ton anus va s’habituer et s’ouvrir facilement!
Il s’en va sans plus se soucier d’elle.
Marco est à peine sorti que Dany entre dans la chambre.
Babeth n’a plus qu’à se mettre de nouveau à genoux, creuser les reins et bien présenter ses fesses car lui aussi la sodomise et éjacule dans ses intestins.
C’est ensuite encore le cas avec trois autres employés, la putain comprend que l’information comme quoi elle est bonne à enculer a vite circulée.
Mais cela ne la dérange pas, bien qu’elle pense que ce type de pénétration est contre nature et n’est pas saine. Son anus est maintenant bien ouvert et est facilement pénétré.
Par contre avant qu’elle n’ait le temps de quitter la chambre pour aller dîner un visiteur y entre et celui qui fait son apparition la fait trembler: c’est Paolo.
Elle a régulièrement à faire avec lui et son très gros pénis qui à chaque fois emplit enièrement sa vulve, tape au fond du vagin, repousse et écarte les chairs en allant et venant à l’intérieur.
Elle s’imagine mal le très gros membre pénétrer son anus et c’est pourtant ce qu’il envisage de faire en lui disant qu’elle a de la chance qu’il ait décidé de passer en dernier.
Il sort sa grosse queue du pantalon et exige une pipe que Babeth à genoux entre ses jambes lui fait bien qu’elle éprouve des difficultés à sucer son monstre.
Quand il lui ordonne de cesser la fellation et de bien se positionner elle n’en mène pas large essayant de présenter le mieux possible ses fesses.
Comme elle le craignait elle souffre pendant que le pénis force le passage, elle serre les dents et émet des gémissements pendant que l’homme les mains agrippées aux hanches de sa victime pousse en utilisant le poids de son corps, la verge s’enfonce petit à petit dans le fondement.
Enfin il semble à la fille qu’il est entièrement en elle car il ne bouge plus mais en réalité il n’y a qu’une partie du membre qui est entrée, l’homme a stoppé la pénétration car lui aussi a ressenti de la douleur.
Cependant cela lui suffit pour prendre son plaisir et éjaculer dans le cul de Babeth qui est soulagée quand elle ressent les tressauts de la queue dans son corps et le sperme couler.
Paolo se retire un peu dépité par la pénétration loin d’être aboutie.
Il regarde sa montre et vu l’heure décide de ne pas nettoyer son penis ramolli et rétréci, il le fourre dans son pantalon et remonte la fermeture.
«je ne t’attends pas! le dîner est déjà largement commencè! dépêches toi de te laver le cul et de venir si tu veux qu’il te reste quelque chose à manger»
– je me dépêche monsieur»
Elisabeth le cul douloureux se dirige vers la salle de bain, elle passe un coup d’éponge mouillée entre ses fesses, s’essuie et se rhabille.
Rapidement elle gagne l’office et dans la salle où sont servis les repas, elle s’assoit sur un banc, elle n’est pas à l’aise car son cul est douloureux.
Les employés la chambrent, disant notamment qu’elle a maintenant le trou du cul aussi grand qu’une bouche de métro, mais elle s’y attendait et évite de répondre se concentrant sur le contenu de son assiette
Quand elle se lève ayant terminé son repas elle aperçoit qu’une belle tâche de sperme s’étale sur le banc, elle sentait bien que du liquide s’échappait de son anus mais elle n’osait pas bouger.
Elle ne dit rien mais va dans la cuisine chercher ce qu’il faut pour nettoyer et essuyer le banc sans se soucier des rires et des sarcasmes.
Le seul qui ne dit rien c’est Cédric le majordome, un homme grand en costume et cravate toujours tiré à quatre épingles qui dirige les empoyés (ées) qui œuvrent à l’intérieur du château et les vouvoient toujours.
Il n’a jamais cherché à sauter Elisabeth, ne lui a jamais adressé la parole et quand il la regarde c’est comme si il ne la voyait pas et donc qu’elle n’existait pas.
Pendant que Marco son chaperon la ramène dans le petit logement qu’elle occupe elle se dit que se faire défoncer le cul sera maintenant son lot journalier mais ne trouve pas ça agréable à cause de la façon dont c’est fait, seul le plaisir des hommes compte.
Les jours et les semaines passent, la routine s’est instaurée dans le château, le médecin ami du propriétaire des lieux, l’homme qui a fait d’Elisabeth (dite Babeth) un de ses biens et l’a remisée au rang de « chose insignifiante », examine régulièrement la putain de la maison, il trouve que ses organes génitaux et son cul sont en excellent état.
Par contre il s’inquiète de la pâleur de la fille qui ne sort pas à l’extérieur et passe beaucoup trop de temps allongée.
Suite aux préconisations du praticien, son maître prend une décision: trois fois par semaine elle doit se lever plus tôt et les yeux bandés suivre un des gardes du corps jusqu’à la salle de sport où ils s’entretiennent régulièrement.
Nue et sous surveillance elle doit s’entretenir physiquement par séquences de vingt minutes, sur notamment un tapis de course, un rameur, un appareil de musculation et (ou) un vélo.
Coatchée elle sue beaucoup et les premières fois finit bien fatiguée après une heure à une heure et demie d’exercice.
Ensuite c’est la douche puis le petit déjeuner avant d’aller, les muscles douloureux, dans la chambre « Margot » soulager sexuellement les employés qui le désirent.
Plusieurs fois par semaine, en fin d’après-midi (de dix sept à dix neuf heures) et quelque soit le temps des sorties sont instaurées.
Les yeux bandés Gabin le régisseur l’emmène à bord d’un véhicule 4X4 jusque dans la forêt, largement hors des limites du parc du château qui doit rester invisible aux yeux de Babeth.
Il confisque ses vêtements car là elle doit se promener nue que la température soit douce, chaude ou fraîche, même sous la pluie ou dans le vent.
Peu importe qu’elle soit en sueur, trempée ou transie de froid, elle doit passer le temps qui lui est imparti à l’air libre.
Elle porte uniquement des chaussures plates aux pieds et déambule librement dans les sentiers ou s’assoit sur un tronc d’arbre dans une clairière pour profiter des rayons du soleil.
Lorsque Gabin la sort du château pour lui faire prendre l’air c’est souvent avec un cheval attaché derrière le véhicule à l’aide d’une longe.
Le véhicule avance doucement jusque dans le forêt, une fois sur place il lie les poignets de Babeth ensemble au bout d’une longue corde dont l’autre extrémité est fixée à la selle de l’animal.
Une fois qu’il est en selle il fait avancer l’animal et la putain doit suivre en marchant ou en courant selon le train qu’il imprime.
S’il pleut il n’emmène pas de cheval mais arrivé dans la nature c’est la putain qui doit suivre le véhicule les poignets attachés à la corde arrimée au 4×4, si elle finit trempée l’homme lui ne veut pas se mouiller.
Avant ce type d’exercice il la prend plusieurs fois en photo de façon qu’elle et l’animal soient présents sur les clichés et il veille au rendu afin qu’il soit bien visible qu’elle est attachée.
Pendant qu’il la fait marcher à pas rapides ou courir et quand il voit qu’elle n’en peut plus il arrête le cheval, la détache, va la plaquer contre un arbre puis lui demande de mettre ses bras en arrière et attache ses poignets au tronc.
Il peut ensuite tranquillement faire trotter et galoper le cheval pendant un moment une fois qu’elle est attachée à l’arbre et comme c’est préconisé pendant ce temps là elle prend quand même l’air.
C’est à partir de la deuxième sortie que le régisseur cède à ses pulsions sexuelles et met Babeth à contribution, il veut se constituer un album de photos d’elle nue.
Lors de chaque promenade et en fonction de son inspiration du moment ce sont des poses différentes qu’il lui fait prendre: adossée au 4×4 ou couchée sur le capot, debout au milieu de la nature, allongée ou assise dans l’herbe, attachée assise ou debout au tronc d’un arbre, les bras levés poignets attachés ensemble à une corde passée sur une branche d’arbre, bras tendus à l’horizontale les poignets attachés par des cordes à deux troncs d’arbres proches.
A chaque sortie son accompagnateur ne résiste pas à ses pulsions excité qu’il est par la nudité et le corps attirant de la fille.
Il lui demande de s’allonger sur l’herbe ou de s’agenouiller puis il se soulage de son sperme en pénétrant la vulve ou le cul quand ce n’est pas dans la bouche qu’il préfère éjaculer.
Ce n’est qu’après l’avoir utilisée sexuellement et donc s’être fait un petit plaisir en se vidant les bourses qu’il lui rend ses habits puis qu’il la ramène au château les yeux bandés.
Un jour une voiture genre jeep fait son apparition, un homme en tenue de garde chasse en descend, il s’approche du régisseur et lui serre la main.
Etonné de voir la fille nue attachée au bout d’une corde fixée à la selle d’un cheval il demande des explications.
Gêné par cette situation imprévue et pour éviter que ce qui se passe avec la putain ne s’ébruite pas le régisseur pousse le garde chasse à avoir une relation sexuelle avec la putain du château, comme celle-ci est belle l’homme ne résiste pas à l’envie qui le gagne et profite de l’occasion.
Pendant que Régis se met en selle et part faisant trotter puis galoper le cheval Elisabeth accompagne l’intrus jusqu’à sa voiture et une fois assis sur les sièges elle fouille dans le pantalon, sort la verge qu’elle masturbe un peu pour parfaire l’érection puis fait une fellation.
L’homme ne cherche pas à se retenir, il éjacule rapidement dans la bouche de la fille qui se penche à l’extérieur du véhicule et recrache le sperme.
Il bande toujours, après avoir tatonné pour trouver une position pas trop inconfortable c’est finalement à l’extérieur et contre le capot du véhicule que l’action se poursuit.
Une fois qu’elle s’est cambrée en arrière épousant la forme du capot il se place contre elle mais comme il peine à positionner son pénis elle doit l’aider afin qu’il puisse la pénètrer.
Pas intéressée par l’homme elle ferme les yeux pendant qu’il fait aller et venir son membre dans la vulve en donnant des coups de reins, elle attend patiemment qu’il jouisse et laisse son sperme dans le vagin.
Satisfait il se retire, va chercher de l’essuie-tout dans un vide-poche et en donne à la putain, il s’essuie la verge pendant qu’elle en fait autant pour son sexe puis il remet de l’ordre dans sa tenue.
Assis sur le capot de sa voiture il attend le retour de Régis pendant que Babeth s’est assise sur l’herbe.
Les deux hommes discutent ensemble pendant que la putain se rhabille puis les véhicule partent dans des directions différentes.
Les jours passent, le garde chasse prend l’habitude de venir retrouver son ami le régisseur deux à trois fois par semaine sur les lieux de promenade de Babeth, s’il vient c’est surtout pour se soulager sexuellement.
De retour au château, surtout pour effacer les traces de ce qui s’est passé avec le régisseur car elle n’est pas censée copuler pendant sa promenade, elle doit se doucher avant de dîner.
Chaque fois qu’elle se regarde dans le miroir du lavabo elle constate que son visage a repris des couleurs.
Louloute
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