Jade se lève après avoir un peu récupéré, elle est satisfaite car Babeth s’est montrée bonne élève et lui a procuré du plaisir et de la jouissance en s’appliquant pendant qu’elles faisaient l’amour.
Elle se rhabille et quitte la chambre après avoir caressé la figure de Babeth et l’avoir embrassée sur les lèvres.
«même si comme gouine tu as été empruntée tu as essayé de bien faire les choses! j’ai bien aimé faire l’amour avec toi! on recommencera bientôt et je suis sure que ce sera encore mieux!
– quand vous voulez madame! en me servant de l’expérience vécue aujourd’hui j’essayerais de me comporter comme une vraie gouine pour vous donner encore plus de plaisir!
La putain se rend dans la salle de bain pour faire disparaître les traces et les odeurs de mouillure et de cyprine qui risquent d’incommoder les hommes qui ne vont pas manquer de venir la solliciter pendant la matinée.
Ensuite elle reste assise nue sur le lit et attend patiemment. Effectivement Mattéo, Greg puis Nathan se succèdent. Le premier l’encule, le second et le troisième se soulagent dans son vagin.
Tout ça sans pratiquement parler et sans s’encombrer de fioritures: on entre dans la chambre, on extirpe la verge du pantalon, on pénètre l’orifice et après avoir fait aller et venir sa queue à l’intérieur avec des coups de reins plus ou moins rapides et violents on y déverse son sperme.
Contrairement à d’habitude Babeth ressent des sensations agréables plus ou moins fortes pendant les accouplements, elle pense que son corps n’est pas bien calmé suite aux montées intenses de plaisir et aux orgasmes lors de sa relation sexuelle avec Jade.
Après le repas du midi Marco emmène Babeth les yeux bandés à l’extérieur du château jusqu’à une chambre très peu meublée située au dessus des écuries: un lit une personne avec uniquement un matelas posé dessus, une petite armoire et dans un coin un lavabo et un bidet/toilette.
L’endroit qu’elle juge sordide est poussiéreux et les toiles d’araignées ne manquent pas.
Chacun leur tour quatre employés la sollicitent pour une relation intime: c’est d’abord Gabin le régisseur qui la sodomise, Tom un groom prend la suite et arrose son vagin de sperme puis c’est au tour de Mathys un autre groom qui lui demande d’abord une pipe avant de se soulager lui aussi dans le vagin.
Enfin Eden un homme d’entretien lui demande de se mettre à genoux et de se pencher en avant puis il la prend en levrette pénétrant d’abord la vulve avant d’enfoncer son pénis dans l’anus et de rapidement se soulager dans les intestins.
Du classique donc, les hommes qui viennent la sauter ne sont pas animés de sentiments ni de bienveillance à son égard, ils ne voient en elle que la vide-couilles et c’est comme-ci ils se tapaient une prostituée mais dans un bordel gratuit.
Elle pensait en avoir fini quand un homme à tout faire prénommé Léo entre dans la chambre.
Il n’est pas grand, maigrichon, ses cheveux sont raides et en broussaille, il a un visage de fouine.
Dans un contexte normal jamais Babeth n’aurait accepté qu’il la touche mais là étant considérée comme un composant de la lie de la société elle doit accepter tout et n’importe quoi.
Il tient une malette dans une main ce qui étonne la putain.
– bonjour monsieur.
– salut! je te préviens tout de suite moi pour faire l’amour j’ai besoin d’être excité!
– de quelle manière monsieur?
– en me servant des instruments que j’ai apporté!
– je suis à votre disposition tant que mon intégrité physique n’est pas remise en cause!
– non! mais tu vas quand même souffrir et pas qu’un peu!
– c’est mon rôle de satisfaire le personnel quel que soit ses penchants!
– alors allons y! mais tu n’iras pas te plaindre après?
– non monsieur! n’ayant jamais essayé je ne sais pas si je suis maso mais je dois vous apporter le plaisir que vous souhaitez de la façon que vous préférez alors j’assume!
Léo ne se fait pas prier pour une fois qu’il peut exprimer son côté dominateur, il pose sa malette sur le lit et l’ouvre, curieuse la fille n’a pas le temps de regarder ce qu’elle contient.
Il l’attrape par les cheveux et tire violemment, la fille hurle de douleur.
– à genoux sur le sol sale chienne!
Il crie plus qu’il ne parle.
Surprise et n’ayant pas eu le temps de penser elle ne réagit pas, l’homme lui tord les bras en arrière puis menotte ses poignets.
– ouvre ta bouche salope!
Il lui enfonce dans la bouche un bâillon composé d’une boule munie d’une vis qu’il tourne ce qui en augmente progressivement le diamètre, dépassant le raisonnable il oblige la putain à ouvrir démesurément la bouche.
Non seulement elle est réduite au silence mais surtout sa mâchoire très sollicitée devient rapidement douloureuse, elle se demande comment il ne la lui a pas déboîtée.
Elle essaie de crier mais sans succès et bave beaucoup.
Il pince les deux mamelons des seins, tire dessus, les tord,les fait rouler entre ses doigts jusqu’à ce qu’ils deviennent turgescents, gonflés et érigés. La fille s’agite beaucoup à cause des élancements douloureux pendant qu’il triture sans douceur les parties sensibles de sa poitrine, comme il l’a annoncé son but est bien de faire souffrir sans modération sa victime.
Ensuite sans plus de précautions et ignorant les sursauts et tremblements du corps de Babeth il accroche sur les tétons douloureux des pinces tenues entre elles par une chaîne pas très légère, c’est un objet qu’il a confectionné en s’assurant que les pinces crantées amèneraient une douleur insupportable une fois fixées sur les mamelons et que la lourdeur de la chaîne accentuerait sensiblement la torture.
Pendant qu’il la martyrise Babeth ne ressent que de la douleur intense, elle serre les dents à les incruster dans la boule qui est enfoncée dans sa bouche, elle crie sans cesse malgré son bâillon mais le son est très atténué.
Elle remue beaucoup et secoue la tête pour lui faire comprendre qu’il est allé trop loin mais cela le laisse froid, au contraire il arbore un sourire ou plutôt un rictus montrant qu’il jouit de la situation.
Bien que les élancements soient très importants elle ne peut que supporter ce qu’il lui fait subir.
Le sadique n’en a pas fini avec elle, il met autour de son cou un collier étrangleur de sa fabrication en cuir et serre une vis dans le but d’en diminuer la circonférence afin d’étrangler sa victime.
Ce qui arrive à Babeth n’est pas enviable, elle dont le cerveau est mal irrigué et qui cherche l’air par le nez car sa bouche est pratiquement obturée par la boule.
Elle a le vue brouillée et ferme les yeux, elle commence aussi à avoir des vertiges.
Elle bave beaucoup et est au bord de la syncope.
L’homme n’est pas perturbé, il allonge Babeth, lui écarte les jambes et après avoir sorti sa queue, qui est d’une bonne taille, il la pénètre.
Excité comme il est il n’a pas besoin de faire bouger son bassin longtemps, quelques mouvements de son membre dans la vulve et il éjacule arrosant de sperme le vagin.
Pendant qu’il la sautait la putain a gardé les yeux fermés apeurée par son regard bestial.
Il n’en a pas fini, il relève sa proie et la positionne à genoux puis il se place derrière elle et l’attrapant par les cheveux il l’oblige d’abord à se pencher en avant jusqu’à ce que sa tête touche le sol.
Puis il introduit sa verge dans la vulve la prenant en levrette.
Tout en s’agrippant aux cheveux de sa victime et en lui tirant la tête en arrière il bouge pour faire aller et venir son pénis dans le corps de la putain qui se sent de plus en plus mal car dans son énervement il se montre très brutal dans ses gestes.
La main, qui les tiraient violemment lâche les cheveux, dans sa folie il la met sur le visage de sa proie et dans un geste inconsidéré ltout en lui tirant la tête en arrière il ui obstrue le nez car il veut encore augmenter sa sensation de puissance et optimiser sa libido.
Il est satisfait de la situation car le corps de la putain se met à bouger intensément, il ne veut pas comprendre qu’elle veut lui montrer qu’il va beaucoup trop loin dans la perversion.
Il est toujours en action défonçant avec sa verge la vulve à coups de reins brutaux quand Babeth qui manque sérieusement d’oxygène tombe en avant, elle s’est évanouie.
Lui ne pense qu’à son plaisir, il la remet dans une bonne position, agrippe les hanches de sa victime avec ses mains et continue à faire aller et venir rapidement sa queue mais cette fois dans le cul, ne pensant qu’à lui il s’acharne voulant absolument parvenir à la jouissance.
Il parvient enfin à éjaculer dans les intestins de sa proie et ses envies disparaîssent rapidement ainsi que son besoin de faire souffrir.
Tranquillement il se relève, remet dans son caleçon son pénis souillé de sperme puis referme la braguette de son pantalon.
Il déplace la fille pour pouvoir récupérer le bâillon, les pinces à tétons et la ceinture étrangleuse sans se soucier que Babeth ne réagisse pas.
Quand il est prèt à partir, après avoir rangé ses instruments dans la mallette, il parle à la fille et constate qu’elle ne répond pas.
Il se penche sur elle, la gifle plusieurs fois sans qu’elle ne réagisse vraiment.
Il prend peur et se sauve en mais pas de chance il croise Marco qui vient chercher la putain.
Intrigué par l’attitude de Léo qui court et pressentant que quelque chose d’anormal s’est passé le sbire hâte le pas, il trouve la fille inanimée.
Comme il est formé pour ce genre de situation il lui fait un massage et du bouche à bouche jusqu’à ce qu’enfin elle réagisse.
Il la soulève, la prend dans ses bras et la porte jusqu’à l’office où il donne des ordres pour qu’on s’occupe d’elle et qu’on appelle le médécin habituel.
Ayant de la suite dans les idées il sort en courant et se dirige vers un bâtiment annexe, là où Léo loge dans un studio.
Il ouvre brutalement la porte du logement et voit le lad qui met des vêtements en vrac dans une valise, il comprend que le prédateur prend la fuite.
Marco furieux flanque une raclée à léo sans se soucier qu’il ait le corps couvert de bleus, le visage en sang, le nez éclaté et peut être plusieurs dents en moins.
Pour finir il lui enserre le cou avec ses puissantes mains et serre jusqu’à ce que l’homme soit à cours d’air, là il le lâche et lui dit:
«tu a compris les conséquences de tes idées débiles! un fou de ton espèce n’a pas sa place au château!
L’employé s’excuse disant qu’il avait cru qu’avec la putain chacun pouvait s’amuser comme il voulait et que la faire souffrir était normal, il ne pensait pas avoir été trop loin et a pris peur en voyant qu’elle ne bougeait plus.
– tu restes ici au moins jusqu’à demain! je vais t’enfermer et t’enchaîner dans un box! si la fille ne s’en sort pas ou a des séquelles tu le paieras cher!
Le tenant par le col de son blouson il emmène l’employé dans les écuries, là il l’enchaîne dans le box où Babeth a été captive après son enlèvement puis il retourne à l’office.
Le médecin ami du maître des lieux et là, il s’occupe de la putain assisté par deux employées.
– comment va t’elle?
– elle est un peu mieux mais choquée, son cou est bien marqué par la strangulation mais ça disparaîtra.
– je vais la coucher dans une chambre et rester près d’elle pendant la nuit!
Marie s’interpose.
– non Marco! c’est plus notre place à nous les femmes! c’est moi qui vais veiller cette pauvre petite.
– si tu veux! je vais la porter jusque sur le lit! mais n’hésites pas à m’appeler si un problème survient et surtout s’il faut l’emmener à l’hôpital!
– d’accord! compte sur moi!
Suite à ça Babeth est chouchoutée, le lendemain on lui amène même sur un plateau le petit déjeuner puis les repas dans la chambre.
Le sujet préoccupant pour son maître c’est sa santé, il ne veut pas perdre une future source de revenus.
Elle est surveillée par le médecin pendant plusieurs jours avant de redevenir la putain de la maison et donc de reprendre les activités sexuelles imposées par l’homme à qui elle appartient.
L’homme à tout faire prénommé Léo reste enchaîné pendant trois jours dans un box d’écurie avant d’être viré sans son dernier salaire ni aucune indemnité, il n’a même pas droit à un certificat de travail.
Avant de partir et sous la contrainte, ne pouvant pas refuser, Léo doit rédiger et signer un document dans lequel il s’accuse d’avoir joué à un jeu dangereux avec une jeune femme employée au château non consentante, de l’avoir torturée mais aussi d’avoir été jusqu’à l’asphyxier et que sans l’intervention d’un membre du personnel elle serait morte.
Louloute
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