Histoire taboue Un amour sincère Chapitre 1

Julia est la fierté de son beau-père, Thomas. Après le décès de sa maman, elle est une petite fille pleine de curiosité. Chaque week-end, ils partent ensemble, en se promenant dans les forêts, en visitant des musées d’art ou en s’asseyant sur le canapé à lire des histoires. Thomas a un talent particulier pour raconter des histoires, qui font briller les yeux de Julia.

En grandissant, cette complicité se transforme en une admiration plus profonde. Julia est fascinée par son beau-père, non seulement pour ses réussites professionnelles en tant qu’architecte, mais aussi pour sa capacité à comprendre et à écouter. À l’adolescence, alors qu’elle commence à découvrir ses propres désirs et émotions, elle se rend compte que son affection, éveille en elle des sentiments qu’elle n’ose pas nommer. Sa vulve suinte souvent dans son lit en pensant à son beau papa. Plusieurs caresses sont nécessaire pour apaiser le feu qui la brule.

Au fil des semaines, elle se surprend à penser à lui, elle se caresser . Désorientée, elle se demande si c’est normal, ou si c’est une forme de déséquilibre émotionnel.

Un jour, après un cours, Julia rentre chez elle. Elle se sent tiraillée entre l’amour inconditionnel qu’elle éprouve pour son beau-père et une vague de confusion concernant ses sentiments. Ce soir-là, alors qu’ils prennent un café sur leur balcon, elle décide qu’il est temps de confronter ses émotions.

– Beau Papa, puis-je te parler de quelque chose d’important ?

Thomas, toujours attentif, la regarde et dit :

– Bien sûr, ma chérie. Qu’est-ce qui te préoccupe ? »

Julia cherche ses mots, son cœur bat.

-J’éprouve des sentiments qui me dérangent. Parfois, je me rends compte que je ressens plus qu’une simple admiration pour toi, et cela m’effraie. Est-ce que cela t’inquiète ? »

Thomas, surpris par sa question, prend un moment pour réfléchir.

– Julia, merci de partager cela avec moi. Notre relation est d’abord celle d’un beau-père et d’une fille et ne doit pas être autre chose. Moi aussi j’ai des pensées troublantes, des rêves fous immorales ?

Une tension palpable s’installe entre eux, une tension qu’elle n’avait jamais ressentie auparavant. les rêves immoraux de son beau-père la troubles encore plus.

Ses rêves deviennent également plus intenses, peuplés d’images de son beau-père. Ses masturbations deviennent féroces. Elle se demande si elle ne devient pas folle.

Un jour, alors qu’elle revient d’une séance de cours, elle trouve son beau-père dans le salon, occupé à dessiner des plans. Il lève les yeux et lui sourit, et elle ressent un frisson parcourir son échine. Une chaleur intense monte dans son corps. Elle passe derrière lui et l’enlace, elle lui donne une multitude de baisers sur la nuque et le cou. Cela fait sourire Thomas, mais de grands frissons lui parcourent le corps.

Finalement, une nuit, alors qu’ils partagent un moment de complicité autour d’un verre de vin, Julia prend son courage à deux mains:

-beau Papa, je ne peux plus ignorer ce que je ressens. Les sentiments que j’ai pour toi vont au-delà de l’amour platoniques. Je ne sais pas comment les gérer ?

Thomas l’observe, ii fronce les sourcils. Un silence lourd s’installe il dit:

-Julia, je tiens énormément à toi, mais cela ne doit être que platonique !

Mais Julia, ose dire :

-Que se passerait-il si nous explorions ces sentiments ? Ne devrions-nous pas être honnêtes l’un envers l’autre ? »

Thomas se pince les lèvres et répond :

-Je n’ose y penser, car nous deviendrons surement des immoraux !

Les mots de Thomas résonnent, dans la tête de Julia. Elle pose son verre et prend place sur ses genoux. Machinalement Thomas l’enlace, elle, elle le prend par le cou, et lui écrase les lèvres avec les siennes. Le beau-père sursaute, il veut la repousser, mais une force intérieurs l’en empêche. Doucement la langue de Julia pénètre dans la cavité buccale de Thomas, sa langue se noue à la sienne. les langues agiles s’enroulent comme deux reptiles qui cherchent à s’accoupler. Les respirations sont bruyantes, les souffles courts. Le baiser semble durer une éternité, ni l’un ni l’autre ne veut le cesser.

les langues s’agitent, les salives se mêlent. Enfin les lèvres se séparent. La belle-fille et le beau papa se regardent longuement sans dire un mot. Un deuxième baiser est échangé aussi passionné que le premier. Thomas après le baiser brulant réagit :

-Soyons raisonnables ma chérie, ne laissons pas nos sens prendre le dessus, il ne faut pas commettre l’irréparable !

Déçue Julia se lève, termine son verre sans regarder Thomas. Et va prendre sa douche avant démonter se coucher. Thomas a de remords, il s’en veut d’avoir céder aux baisers, il serre les dents.
Mais dès qu’il voit sa belle-fille ressortir de la salle de bain en nuisette, son sang ne fait qu’un tour. Il voit au travers du fin tissu transparent, la fine toison. Il ne sait ou poser ses yeux, sur la poitrine ou sur la petite touffe de poils bien taillée

Il soupire, en regardant les mamelons provocateurs appuyer fortement sur la nuisette comme pour la percer. Il ravale sa salive, sa belle-fille passe devant lui en le toisant de haut, sans lui adresser la parole. Puis disparait dans l’escalier. Il déglutie bruyamment et va lui aussi prendre sa douche. Pendant qui se douche, il ne pense qu’à elle, il se demande comment qu’il va résister à ce corps qu’il aperçu sous la nuisette. Sa verge commence à réagir, elle se dresse doucement sur son bas-ventre, en prenant de plus en plus de volume.

Il serre les dents, il ne faut pas qu’il cède à ses envie malsaines. Mais c’est plus fort que lui. Il saisit sa verge et l’agite nerveusement avec de plus en plus de violence. Il grimace tellement il la maltraite, une moue affreuse déforme son visage. Il serre les dents, se cabre, et envoie sur la paroi de la douche plusieurs giclées de sperme.

Enfin soulagé, il termine sa douche et rejoint sa chambre. Sa nuit est très agitée, il trouve le sommeil que très tard. Il en est de même pour Julia. Au fil des semaines qui suivent, les pensées de Julia sur son beau-père ne la quittent pas. Elle essaie de rencontrer d’autres personnes, de s’engager dans des relations, mais rien ne semble combler le vide que laisse son beau-père.

La complexité de leurs sentiments continue de la hanter. Un soir, alors qu’elle se trouve dans son lit, Julia prend une décision. Elle doit parler à Thomas une dernière fois pour clarifier ce qu’elle ressent. Elle se lève et entre sans frapper dans la chambre de son beau papa. Le bougre est étendu sur son lit en boxer, aucun autre vêtement ne vêt son corps. Julia admire les muscles saillants qui sculptent le corps de son Thomas.

Elle s’avance, s’assied sur le bord du lit, et dit les yeux remplis de larmes

-J’ai besoin de comprendre ce que tu ressens aussi, beau papa. Je ne peux pas être la seule à porter ce poids !

Thomas hésite, puis soupire et répond :

-Je tiens à toi plus que tout au monde, pour être franc ma chérie, je te désir comme un fou, tu me hante !

La conversation s’intensifie, Thomas finit par dire :

-Oui je t’aime, c’est insensé, mais c’est plus fort que moi !

Elle se jette sur lui et cherche ses lèvres, le baiser est fougueux. Les corps se frottent l’un contre l’autre en augmentant le désir.
Elle l’embrasse sur tout le visage, lui, lape les larmes salées qui coulent sur le visage d’ange de Julia. les corps comme des anguilles glissent l’un sur l’autre. Julia, ne peut ignorer l’énorme érection de son beau-père, elle prend un malin plaisir à se frotter contre la verge raide que le boxer emprisonne.

Thomas au travers de la nuisette, suce goulument les mamelons. Les bouts très sollicités, doubles de volume sous les succions avides du beau papa gourmand. Soudain l’excitation monstrueuse rend Thomas un peut sauvage. Il déchire la nuisette pour mettre à nu ce corps tant désiré. Julia sursaute mais cela ne lui déplait pas, elle murmure :

-Oh mon beau papa d’amour, tu es fougueux comme j’aime !

Il la bascule sur le lit et lui dévore les mamelons voracement. Les gémissements de sa fille l’excitent encore plus, il bande comme un poney en rut. Il dit avec beaucoup d’émotion dans la voix :

-Tu me rends fou ma chérie, je te veux, que tu sois à moi corps et âme !

En souriant elle réplique :

-Oui mon beau papa chéri je suis à toi, fais de moi ce que tu veux, je t’aime tellement que je ne peux rien te refuser !

Il s’acharne sur les mamelons comme un affamé, en les martyrisant. Julia geint, agite son corps. La bouche vorace descend sur le ventre l’embrasse à plusieurs reprises, sa langue fouille le nombril en faisant cabrer Julia qui grogne :

-Oh beau papa, beau papa, Oh Thomas, mon amour tu me rends folle !

La bouche s’approche dangereusement de son temple, qui rejette le surplus de cyprine. La bouche l’aspire le jus, la langue glisse entre les grandes lèvres pour chercher la boule de tout le plaisirs. Thomas la gobe, Julia se cabre en poussant un long râle. Les aspirations et les succion, incessantes, sont dévastatrices. Julia se cambre fortement, une jouissance monstrueuse la fait hurler. Thomas reçoit une puissante giclée de cyprine dans la bouche. Il avale avec gourmandise le jus au gout suave.

La jouissance de Julia est telle qu’elle envoie encore, quelques jets sans la bouche de son beau-père. Elle grogne :

-Oh Beau papa, beau papa, je me vide!

Thomas se redresse, il baisse son boxer d’un coup sa verge se dresse comme un ressort. Julia et fascinée de voir le manche de chair osciller sur le bas ventre de son beau-père, elle le trouve énorme, ses yeux n’arrivent à se détacher de lui. Maintenant les deux amants sont nus. Thomas se laisse tomber sur le dos, sa verge dressée comme un mat de cocagne, est munit de grosses bourses velues qui semblent bien pleines de semence. Julia tend la main et saisit le membre fortement veiné. Elle commence un doux branlage, qui fait geindre son beau-père de plaisir :

-Oui, ma chérie, continue, c’est trop bon !

Julia s’en hardi, elle décalotte à fond le gland et l’observe longuement avant de reprendre le branlage. Son poignet s’agite de plus en plus vite. Thomas geint encore plus fort. Soudain, comme un geyser, son membre envoie plusieurs jets de semence, qui retombent sur les doigts de la branleuse et le ventre du beau papa. Elle presse la hampe pour la vidée entièrement de sa semence. Instinctivement, Julia avec sa main engluée, étend le liquide visqueux sur le ventre de son beau-père. Elle regarde le gland qui libère encore quelques gouttes de sperme. Elle se penche, et donne quelques coups de langue sur le large chapeau de chair. Sa langue tourne sur le gland de nombreuses fois, titille le frein, avant que Julia ne se décide de le gober.

Thomas se cabre comme un cheval, il serre les dents pour ne pas hurler son plaisir. Sa belle-fille le suce comme jamais il ne l’a été. Il marmonne en soufflant comme un dragon. :

-Oh ma chérie, ma chérie !

Cela semble encourager Julia car elle y met plus de cœur à l’ouvrage. Ses aspirations, ses lèches sur la hampe, font gémir son amant. une violente décharge remplit le gosier de Julia, qui manque d’étouffer. Elle repousse brutalement son beau-père, se pince les lèvres en grimaçant, un filet de liquide blanchâtre s’échappe à la commissure de ses lèvres.

Thomas l’incite :

-Avale, ma chérie, avale, c’est beau papa qui te l’offre !

Par petites gorgées, Julia avale la totalité de la décharge pour faire honneur à son beau-père. Elle s’essuie d’un revers de la main les lèvres, puis sourire à son amant. Thomas l’embrasse fougueusement, il lui dévore la bouche. Le baiser dure un bon moment. Enfin il prend place entre les cuisses de sa belle-fille, et présente à sa vulve dégoulinante son manche de chair.

Sans précipitation il l’enfonce avec lenteur dans le ventre de Julia qui geint en s’accrochant à lui. La verge de bon diamètre, en avançant doucement dans la gaine, la dilate. Julia geint en s’agrippant à son beau-père amant. Elle a enfin dans le corps ce qu’elle désirait depuis des mois. le va-et-vient et lent mais profond, la verge coulisse dans le conduit avec de plus en plus de vitesse. les gémissements de Julia ne sont pas simulés, elle agite son bassin en poussant des grognements de bêtes.

Chaque coup de boutoir, lui racle le col de l’utérus, pour Julia c’est le summum du bonheur. les allers et retours deviennent de plus en plus soutenus et violents. Julia, en serrant les dents, donne elle aussi des coups de reins, en marmonnant à chaque coup des :

-Oui, oui !

Un orgasme monstrueux la fait hurler, sont visage est déformé par un rictus affreux, les couilles de thomas sont inondées de cyprine. Il continue de lui labourer le ventre en geignant comme un fauve. Soudain, il se bloque, et en poussant un gémissement rauque, remplit le ventre de sa belle-fille avec son sperme. Il donne encore quelques estocades pour bien vider sa hampe. Sa belle-fille l’enlace et lui murmure :

-Donne moi encore ton sperme mon beau papa, il est si bon !

Il répond en souriant :

-Prenant notre temps ma chérie, tu en auras autant que tu veux, si j’osais je te prendrais d’une autre manière !

Julia redresse la tête et demande en fronçant les sourcils :

-D’une autre manière, Ah et comment ?

En lui tapotant avec deux doigts l’anus, thomas lui répond en se raclant la gorge :

-Hum, par là ma chérie !

Elle le regarde intensément et ajoute :

-Tu es un gros cochon, mais j’adore les cochons, j’ai déjà tentée cette pratique, il faut y aller doucement parce que, au début c’est douloureux !

Avec ironie, Thomas réplique :

-Oui, mais il n’y a pas que le début, c’est la suite qui est explosive ma chérie. Tout !

Elle éclate de rire, et ajoute elle aussi avec une certaine ironie :

-Peut-être mon chéri qu’un jour, je t’autoriserais cet accès, mais pour l’instant pas question, tu ne peux pas tout avoir le premier jour mon chéri, soit patient ?

Elle cherche ses lèvres et l’embrasse fougueusement

Linsee