Mon épouse Thérèse vient d’avoir 70 ans (elle préfère dire 69, hihi) elle est encore pas mal foutue malgré un petit ventre rond, des gros seins qui tombent un peu (beaucoup), un joli cul bien rond, un peu cellulite mais qui attire toujours les regards masculins. Elle a des beaux grands yeux bleus en amande, un joli visage peu ridé ; en fait une assez jolie femme encore fort baisable, mais qui se refuse à moi.
– Mon chéri : ça ne me dit plus rien avec toi ; elle accepte juste de me branler de temps en temps.
– Elle se rend bien compte que je suis malheureux ; il faudrait que je sois excitée par quelque chose ; où quelqu’un me chuchote –t — elle un soir dans le lit.
– Quelqu’un ? je demande ; un autre homme par exemple ?
– Oui soupire t – elle ! avec un autre ça remarcherait !
– Je suis à la fois sidéré et excité ; je l’imagine s’offrant à un autre mec, toute nue cuisses écartées !
– Je lui dis !
– elle se tourne vers moi, pose sa main sur ma bite qui s’est redressée !
– OH chéri, ça te fait bander ? tu voudrais ?
– Oui, je crois, si ça peut te redonner envie, et peut-être qu’ensuite on pourra recommencer !
– Oh oui chéri, oui oui !!! elle m’embrasse, sa petite langue vient chercher la mienne et elle commence à me branler doucement !
– pendant sa branlette elle me demande doucement : tu crois qu’on trouvera un homme ? tu connais quelqu’un qui voudrait ?
– Tu n’as pas d’idée toi ? un mec qui t’aurait dragué ?
– Pff non pas depuis longtemps !
– je crois que j’ai une idée ; je vais demander à Thierry qui tient le café de la place, il aurait peut-être des amateurs parmi ses clients !
– Oh tu crois ?
– Oui, il y a pas mal de mecs qui viennent et à mon avis il doit y avoir des amateurs de femmes, j’y vais de temps en temps, ils parlent beaucoup de cul
—Hi hi!
– Et il y a pas mal de célibataires, on dirait ! il y a très peu de femmes, dans ce bistrot !
– Tu veux que je lui demande, en douce ? mais il ne faudra pas que tu sois trop exigeante !
– Oh du moment que ça me change, chéri, oui je veux bien ; je vais avoir un peu honte, hihi !
– je sens sa main qui accélère sa branlette et je jouis ! hummm
– ça t’excite de faire baiser ta petite femme par un autre on dirait !
– Hummm hoo oui ma chérie !
–
Le lendemain, je suis accoudé au comptoir, Thierry, un copain de collège prend un café avec moi ; nous parlons.
– Je commence par évoquer mes problèmes conjugaux ; oui ma femme n’a plus trop envie avec moi, par contre .. heumm disons que euh ! en fait elle aimerait bien remettre ça avec un autre !
– Ah bon ? et toi t’en penses quoi ? il sourit !
– Ben je lui ai dit que j’étais d’accord, après ça remarchera mieux nous deux ! peut-être !
– Tu as raison, ça va la rebooster ! il rigole !
– Tu crois qu’on pourrait lui arranger quelque chose ici parmi tes clients ?
– Il se frotte le menton ; j’ai peut-être une idée, mais il faudrait qu’elle soit assez, comment dire docile, facile, quoi !
– Ben je pourrais la prendre comme serveuse un samedi soir, on lui met une petite jupette assez courte, et on verrait comment ça se passe ; seulement s’ils lui mettent la main au cul, elle devra se laisser faire, tu vois le truc ; ça pourrait les exciter, mais jusqu’où est — elle prête à aller ? ça pourrait dégénérer, au lieu d’un mec qui la baise ça pourrait être un peu plus tu vois le truc ; enfin tu lui en parles, si elle est ok tu m’appelles et tu me l’amènes samedi vers 20 h elle fera les deux dernières heures !
– J’ai un peu chaud aux joues après cette conversation ; il me regarde : alors tu serais ok, toi ?
– Euh, je crois ; je vais lui expliquer !
– Alors j’attends ton appel !
– D’ac !
– Je me demandais ce qu’elle en penserait, je n’ai pas été déçu,
elle a accepté immédiatement.
– Un peu surpris quand même, tu sais ce qui t’attend ?
– On verra bien mon chéri, j’ai tellement envie de nouveauté !
– Le samedi arrive, ma petite femme est à mes côtés, je roule vers le café, j’emmène ma femme se faire… je ne sais pas encore ; au moins tripoter, si ce n’est plus !
– Je me gare un peu en retrait di café, je n’ai pas trop envie de me faire voir.
– Je me tourne vers ma femme ; alors tu es décidée ?
– Oh oui chérie !
– Tu es excitée ? je peux voir ?
– Tu veux quoi ?
– Vérifier si tu mouilles, tu veux bien ?
– Oh toi alors ! bon mais pas trop longtemps !
– Je fourre ma main sous sa petite jupe noire plissée, la glisse sous sa culotte, cherche l’ouverture.
– Ecarte un peu ! elle obéit, et je glisse mon index dans son sexe !
– Tu es trempée ma chérie, tu mouilles fort !
– Oui je m’en doutais, allez laisses moi j’y vais !
– j’enlève mon doigt, je le sens ; hummm !
– Elle me colle une bise sur la joue et sort de la voiture ; à ce soir penses à moi !
– En passant devant la vitrine je jette un coup d’œil ; il y a du monde pas mal de mecs effectivement ; je frissonne, et j’accélère ; retour à la maison, je viens de livrer ma femme à la concurrence !
– Thérèse fait une entrée remarquée ; tiens une petite dame !
– Thierry l’accueille et la présente aux clients ; voici Thérèse qui va faire la serveuse ce soir, soyez gentils avec elle et elle sera gentille avec vous.
– Elle espère que vous serez généreux en pourboire ajoute –t-il en souriant ;
– il y a huit mecs et deux femmes d’une trentaine d’années ; on la mâte !
– Un mec à une table l’interpelle : tu viens prendre notre commande chérie ?
– Me voilà ; elle s’approche ; vous prendrez quoi ?
– Ils s’esclaffent, 4 mecs en blouson, cheveux mi — longs ;
– C’est comment ton nom ?
– Thérèse !
– Qui rit quand on la baise !!! rires !!!
– Elle ne répond rien !
– t’as quel âge ?
-69 ! elle ne veut pas dire 70 !
– Le mec la regarde, il se penche pour regarder son cul !
– Pas mal gaulée pour son âge !
– Merci fait Thérèse ! je vous sers quoi alors ?
– La bite fait un mec ! rires !
– Ma femme sourit gentiment ; oh vous alors !
– mets nous 4 demis pour commencer !
– elle fait demi-tour, le mec juste derrière en profite pour poser sa main sur ses fesses qu’il tapote gentiment !
– Thérèse ne bronche pas !
– C’est bien rembourré on dirait !
Les autres ont remarqué le geste.
– Elle revient avec un plateau chargé de 4 bocs.
– Le mec en profite pour poser sa main bien à plat sur son cul, il semble insister un peu, la main reste sur ses fesses le temps qu’elle pose els verres sur la table, elle n’a encore pas bronché bien que la main soit restée presque une minute posée sur elle.
– Les mecs se regardent, un peu surpris.
– une autre table la réclame ; hé tu viens prendre notre commande, ma chérie ?
– Thérèse s’approche, deux hommes accompagnés de leur femme qui reluquent ma femme sans aménité.
– Une des femmes murmure quelque chose à l’homme à côté d’elle ; tu crois ? fait — il ! Et il pose main sur les fesses de Thérèse à son tour ! Puis il commence à lui palper le cul ; sa main épouse les fesses de ma femme ; son index se fraie un passage entre ses fesses et dessine la marque de sa raie !
– Elle rougit un peu mais ne bouge pas, elle se laisse palper sans dire un mot !
– on entend des murmures dans la salle, des petits rires !
– Je te l’avais dit lance la femme à son mec !
– Tous les regards sont fixés sur le fessier de ma femme qui se retire doucement après avoir pris la commande !
– Elle revient chargée des 4 scotchs !
– Elle est attendue ; à peine devant la table, une main se glisse sous sa jupe, devant cette fois — ci !
– Toujours pas de réaction ; la main glisse entre ses cuisses se pose entre et commence à palper son sexe à travers le collant et la culotte !
– Pendant ce temps, un jeune homme s’est approché d’elle par derrière et l’enlace, il prend ses seins à pleine main et lance : il n’y a pas que le cul dans la vie ! rires !!! Il y a aussi les nichons !
– Et voici ma petite femme bien entourée, une main entre les cuisses par devant tandis que l’autre vient de glisser sa main sous la jupe par derrière !
– Elle se laisse peloter sans rien dire, le visage un peu plus rouge !
– On dirait que les gros nichons pointent ricane le mec qui lui pelote les seins, il lui pince els bouts à travers le tissus de son corsage !
– D’autres mecs se lèvent et viennent rejoindre ceux qui s’occupent de Thérèse !
– Elle va avoir de bon gros pourboires la petite dame si elle continue comme ça ! rires !
– Tu veux avoir des gros pourboires ma jolie lui murmure l’homme qui lui pelote les seins !
– Oui, oui bredouille ma femme ; je veux bien !
– Alors tu te laisses faire gentiment ?
– Oui d’accord murmure — t — elle !
– Alors, on peut voir un peu ce qu’il y a sous cette petite jupette ?
– Thérèse baisse la tête ; si vous voulez !
– Eh eh !
– Un type prend le bord de sa jupe et la soulève doucement ; elle ne bouge pas ; la jupe est troussée jusqu’au ventre dévoilant son collant sous lequel on devine une petite culotte blanche !
– Les portables sont sortis, et tous prennent des photos de son cul gainé de nylon !
– On pourrait lui virer son collant, on verrait mieux ! rires !
– Tu veux bien qu’on te descende le collant, Thérèse ?
– Oh, si vous voulez bredouille ma femme.
– Les mecs se regardent, eux aussi ont le visage rouge ; alors des mains se portent sur la ceinture du collant, qui est tiré doucement vers le bas, voici la petite culotte blanche, qui cache la moitié du cul de ma femme !
– Le collant est baissé à mi-cuisses !
– Puis, jusqu’en bas !
– Aussitôt les mains se posent sur ses cuisses nues la caressent tendrement !
– Humm elle a la peau douce !
– Un mec attrape l’élastique de la culotte et tire vers le haut, lui rentre dans la raie !
– Elle a une jolie raie ! rires
– Et si on lui baissait aussi le slip suggère un mec !
– Allez déculottez la lance une femme en riant, elle n’attend que ça !
– ouais, allez, on lui baisse le slip !
– Aussitôt des mains se glissent sous l’élastique de la culotte et ho on lui descend, cette fois — ci c’est sérieux, elle est déculottée !
– Ouais on lui fout le cul à l’air ! les mecs sont déchainés, excités à la vue du gros cul nu tout blanc de ma femme ; collant et slip aux chevilles ; on lui soulève les pieds pour lui ôter ses sous- vêtements en lui ôtant ses escarpins ; elle est cul nu ; alors les mains se glissent entre ses cuisses !
– Ecarte un peu Thérèse, allez écarte bien les cuisses !
– Elle obéit ses jambes écartées, permettent aux doigts d’explorer ses cavités ; un doigt se glisse dans son anus tandis que deux doigts ont pénétré son vagin ; elle commence à couiner ; humm oh !!
– Elle aime ça se faire branler la petite dame !
– virez lui sa jupe ça sera plus pratique ! rire !
– Aussitôt des mains défont l’agrafe de la jupe puis la fermeture éclair est descendue, on tire dessus et la jupe chute à ses pieds !
– Bon, on la fout à poils ?
– Oui elle n’a plus que le haut on va voir aussi ses gros nichons ! – Ouais à poils Thérèse !
– son corsage est déboutonné, on lui dégrafe le soutien-gorge, ses gros nichons sont à l’air ! elle est entièrement nue !
– Bon, on l’a foutue à poils c’est pas seulement pour la prendre en photo ; on la baise où quoi ?
– Allez, soulevez la, posez la sur la table ; rassemblez deux tables pour avoir de la place !
– Elle est allongée, on lui écarte les cuisses ; ses jambes sont relevées sur son buste.
– Tiens tes chevilles ma jolie reste comme ça bien ouverte ! Thérèse nue, cuisses ouvertes ferme les yeux et attend l’assaut !
– ils commencent par la lécher ; on lui bouffe un peu le cul et on la baise ?
– ouais allez ; ils s’approchent et chacun à son tour vient lui sucer le bouton tout en lui fourrant les doigts dans le con les doigts glissent elle on lui doigte aussi un peu le cul !
– Puis, un type a sorti sa queue dure et tendue, il s’approche et lui fourre dans le con ! – Elle couine plus fort humm ouiiii !!!
– Tu aimes ça Thérèse ?
– Oui, oh oui !
– On va tous te baiser tu es d’accord ?
– Oui oui je veux bien –
– Alors le mes se met à la tringler à grands coups de bites !
– On va tous lui passer dessus ! Oui, chacun son tour !
– J’espère que tu reviendras servir !
– Oui oui ! je reviendrai oui humm oh ouiiii ! elle jouit !
Tous les mecs lui seront passés dessus ce soir — là !
– Et lorsque Thierry m’appellera ce soir vers 23 h 30 ce sera pour me dire de préparer une serviette éponge pour mettre sur le siège car ma femme s’était bien fait remplir !
Harry Covert
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