– Effectivement, quand je retrouvai ma femme, elle était restée nue ; je ne l’ai pas rhabillée me dit Thierry comme ça tu vas pouvoir constater qu’elle s’est bien fait tringler ! il rit !
– Ma femme assise dans un coin du bar dont le rideau est tiré semble épuisée ; elle me jette un rapide coup d’œil ; j’ai sommeil chéri, tu me ramènes ?
– Regarde fait Thierry, et se penchant vers ma femme il lui écarte doucement les jambes ; de grosses larmes de sperme coulent de son vagin entrouvert et s’écoulent sur l’intérieur de ses cuisses formant de longues trainées gluantes !
– Tu vois pourquoi je t’ai dit de prendre une grosse serviette ; rires pour ne pas souiller son siège ; allez emmène la ; au fait elle s’est quand même fait une vingtaine d’euros de pourboires ! hihi ! c’est vrai que c’est peu mais elle a bien joui ! n’est-ce — pas Thérèse ?
– Oh oui oui !
– Tu reviendras ?
– Oui quand tu voudras !
– On va quand même espacer un peu ; un samedi sur deux peut-être !
– La prochaine fois il faudra lui mettre un porte — jarretelles et des bas !
– Il la fait lever, lui assène une bonne claque sur le cul ; allez embarque la ; Au fait elle prend bien dans le cul ajoute –t — il en souriant, les autres l’ont baisée, moi je l’ai enculée !
– Ah parce — que toi aussi !
– Ben quand même tu ne croyais pas que j’allais me priver ! rires ! bonne nuit !
– Un peu vexé, je prends ma femme par le bras, nous gagnons, la voiture ; j’ai pris soin de déplier la serviette éponge, sur laquelle elle pose ses grosses fesses !
– Alors contente de ta soirée, ma chérie ?
– Très répond — elle en soupirant d’aise, il y avait longtemps que je n’avais pas joui autant !
– Ce n’est pas pour autant que j’ai eu droit à quelque câlin cette nuit la !
– Laisses moi dormir m’a — t – elle dit après une bonne douche !
– le lendemain matin, après une grasse matinée nous eûmes la visite de deux hommes vers dix heures ; je ne les connaissais pas ; mais Thérèse si, elle les fit entrer en souriant ; je me doutais que ce devait être des protagonistes de la soirée !
– Assez jeunes, la trentaine, pas mal, bruns bien mis, souriant, ils me saluèrent poliment ; vous devez être son mari bien sûr ; nous voudrions vous proposer quelque chose !
– Thérèse leur sourit, attentive ; vous voulez que je revienne au café, c’est ça ?
– Euh, oui bien sûr, mais nous avons pensé à une autre solution pour vous retrouver, Thérèse.
– D’après ce que nous a confié Thierry, qui est un copain, vous êtes en attente de plaisir, que.. euh, vous n’avez plus avec votre mari !
– Je rougis sans répondre.
– Ce sont des choses qui arrivent, ne soyez pas gêné, monsieur, nous comprenons, mais apparemment votre épouse a des gros besoins ; euh sexuels :
– Oh oui lance ma femme c’est vrai !
– Justement, nous sommes tous les deux divorcés, donc seuls, et nous pourrions nous occuper de Thérèse régulièrement, qu’en pensez — vous ?
– Ils nous regardent.
– Ma femme pousse un petit cri de joie !
– C’est exactement ce que je voudrais, deux hommes mignons et gentils, attentionnés, qui me donnent du plaisir !
– Mon chéri me fait — elle j’accepte ; tu vois tu vas être mon petit cocu maintenant, j’aurai mes deux amants attitrés !
– Les mecs se regardent ! super !
– Alors c’est d’accord ? mais on fait comment ?
– Déjà nous allons vous inviter à passer la soirée et même la nuit ici, mon petit cocu fera la cuisine, c’est ce qu’il fait de mieux ! elle rit ; mieux que l’amour ! rires !
– Ensuite vous pourrez dormir ici si vous voulez ! elle me regard ; mon mari euh je veux dire mon cocu est d’accord !
– Je baisse la tête ; bon, bon, d’accord je fais d’une voix rauque !
– On s’embrasse, fait — elle en les regardant.
– Ils s’approchent d’elle et chacun à son tour pose sa bouche sur celle de ma femme pour un roulage de pelles assez intense ; je devine leurs langues que se lèchent dans leur bouche : tout cela accompagné de mains baladeuses sur tout son corps ! passant de ses seins à ses fesses allant même jusqu’à se glisser sous sa jupe !
– Venez dans la chambre ; j’ai trop envie d’être à vous !
– Rouges d’excitation les deux hommes prennent ma femme par le bras, et se dirigent vers l’escalier qui mène aux chambres !
– Attend nous mon petit cocu pendant que je fais l’amour prépare donc le déjeuner ! ensuite tu nous serviras l’apéritif ! j’ai très envie que tu deviennes un gentil cocu soumis, qu’en penses – tu ?
– On va voir ça ; je crois que ça te conviendrait très bien ; mes nouveaux amants m’aideront, je suis sûr que dominer un mari cocu tout en baisant sa femme ça va leur plaire ! rires !
– Il ne leur faudra que quelques minutes pour faire grincer le lit et jouir ma femme dont j’eus le loisir d’entendre les couinements pendant une bonne demi-heure ! le long ouiiiiiii !!!! qu’elle finit par pousser m’en dit long sur l’intensité de son plaisir !
– Ils finirent par descendre, eux s’étaient rhabillé, par contre ils avaient laissé ma femme entièrement nue.
– On s’est dit que tu avais sans doute envie de la voir à poils ! rires !
– On va la laver ! on aime bien laver la femme d’un cocu devant lui ; viens regarder si tu veux !
Harry Covert
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