— Quand même gêné d’assister au lavage de mon épouse par deux mecs et d’y trouver du plaisir, je les suis à la douche ; ils la font entrer manipulent les robinets, et bientôt les voici qui arrosent son corps nu.
— Bien sûr c’est surtout son entre-cuisse qui fait l’objet de tout leur attention ; pour mieux lui laver le con et le trou du cul, ils lui prennent une jambe qu’ils soulèvent, ce qui leur permet d’arroser copieusement le clitoris en faisant des petits mouvements avec la pomme de la douche ;
— Ma femme semble apprécier car elle commence à pousser des petits couinements de plaisir.
— Elle aime ça la salope ricanent ils ; puis les mains enduites de savonnette remplacent la pomme de douche, et les voici qui passent leurs mains sur tout le corps de haut en bas le long des jambes, lui soulèvent les pieds, remontent le long des jambes, puis les cuisses, insistent sur son con, vont jusqu’à lui enfoncer un doigt savonneux dans le cul ; il faut aussi laver l’intérieur rigole le mec qui la doigte.
— Thérèse gémit de plus belle ; tu as vu, cocu comme on s’occupe bien de ta femme ?
— Euh oui, oui, je fais plutôt honteux !
— Tu bandes ?
— Euh, je ne sais pas.
— On va voir ; dis — moi Thérèse que penserais tu de le foutre à poils ton vieux mari ?
— Oh oui mes chéris, bonne idée, vous allez voir sa petite bite hihi !
— Bon on t’essuie et on s’occupe de lui !
— Je frissonne ! Déconnez pas ! je vous offre ma femme quand même, soyez sympas avec moi !
— Puisque ta petite femme veut qu’on te soumette ! on va lui faire plaisir !
— Ils ont fini d’essuyer mon épouse, qui enfile une nuisette transparente que lui ont amenée les gars ; elle est jolie,
— c’est comme si elle était encore nue ;
— ça te va bien il faudrait te promener comme ça hihi !
— On va acheter la même pour ton cocu ! bon allez on le fout à poils, on va voir comment il est fait ; et avant que j’ai pu esquisser un geste, je suis empoigné ; l’un me tient les bras tandis que l’autre s’en prend à la braguette de mon jean, qui est vite descendu aux chevilles ; je bredouille : pas le slip, pas le slip !!!
— Ils rient ; on a dit à poils, mon slip est baissé et enlevé, puis ils troussent mon tee — shirt et me l’ôtent, me voici nu devant eux !
— Le plus gênant c’est que je bande à moitié ; regardez ça l’excite le cochon !
— On pourra lui mettre aussi un porte jarretelle et des bas ! hihi !
— Thérèse qui a suivi la scène avec intérêt, revient de l’armoire de la chambre avec un joli porte — jarretelle et une paire de bas à résille.
— Je les réservais pour servir au café ; mais pour l’instant je vais lui prêter ! rires !
— Me voici affublé de la tenue du parfait cocu soumis !
— Bon qu’est-ce qu’on pourrait lui faire ?
— Thérèse minaude en souriant : obligez le à vous sucer ; un mari cocu qui suce les amants de sa femme ; ça se fait !
— Je sursaute ! Oh tu exagères ma chéri de demander ça !
— Mais quelle bonne idée !
— Non jamais !
— Mais si mais si !
— Je refuse de faire ça !
— Thérèse intervient une seconde fois.
— Il faut le fesser jusqu’à ce qui obéisse !
— Ah ! oui, tu as raison !
— Allez le cocu sur mes genoux, et je suis de nouveau empoigné sans douceur, allongé sur les genoux de william, tandis que Tonio son copain me tient les bras ; et de bonnes claques arrivent sur mes fesses ! clac clac clac !!! Portées avec vigueur, et je sens que ça commence à me brûler ; moi qui croyais pouvoir résister me voici en train de pleurnicher comme un gamin ! aie aie ! ça fait mal arrêtez !
— Mais les claques redoublent d’intensité ; on arrêtera quand tu seras décidé !
— Aie aie !! ça me cuit, ça fait trop mal arrêtez !
— Alors, tu suces ?
— Vaincu je bredouille un oui à voix basse !
— Je veux te l’entendre dire ! oui je vais vous sucer et à haute voix !
— Mort de honte je clame : oui je vais vous sucer !
— Très bien, alors on s’y met immédiatement ; à genoux !
— Ils me lâchent ; je dois avoir le visage aussi rouge que mes fesses : Thérèse a pris le portable et le dirige vers moi.
— J’ai mis la fonction vidéo s’amuse t — elle ! Allez vas — y !
— C’est Tonio qui sort sa queue ; elle est d’une bonne taille mais molle ; ils viennent de baiser ma femme !
— mort de honte j’ouvre la bouche et l’engloutit ; gloup gloup dlurp huphff gloup ; je la sens qui grossit dans mon bec !
— Eh eh ! il suce bien ; je suis sûr qu’il a déjà sucé avant s’amuse-t-il ! il
— Il suce aussi bien que toi, Thérèse ! rires !
— On ne va pas décharger dedans pour le moment, à toi william ; et il sort sa queue, l’autre prend sa place et me voici en train de le pomper à son tour ; même réaction ! je le fais bander, et c’est une bite bien raide qu’il sort de ma bouche en riant !
— Il est doué ! à partir de maintenant tu nous suceras avant qu’on baise ta femme !
— Je vous sucerai aussi un peu mes chéris lance Thérèse en souriant !
— Au fait, je voulais vous dire que demain j’ai mon rendez-vous chez le gynéco, c’est ma visite trimestrielle ; vous m’accompagnerez ?
— Oh avec plaisir, on pourra assister ? ça nous intéresse !
— Vous demanderez au docteur, vous n’aurez qu’à lui dire que vous êtes mes amants ; le connaissant ça m’étonnerait qu’il refuse !
_Chouette ! Et le cocu, il vient aussi ?
— Oui mais lui il attendra dans la salle d’attente !
Harry Covert
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