Paul a pris en seconde noce Aurèlie, ils vivent depuis plusieurs années comme des ermites, dans un petit village au bord d’une rivière. Mais un jour à cause d’inondations, son fils Justin et sa femme Amandine, les invitent à loger chez eux. Les deux sinistrés, ne peuvent qu’accepter. Ils sont reçus à bras ouverts, les jours se passent merveilleusement bien. Aurèlie très timide, se fait discrète elle ne se livre pas beaucoup, elle rougit pour un rien. Mais en revanche, elle s’entend magnifiquement bien avec Amandine.
Elle ne se quittent pratiquement plus, font les courses le ménage et la cuisine ensemble, une entente comme cela, est rare. Paul est ravit que cela ce passe bien jeune retraité de 53 ans, il passe son temps à jardiner. Justin, lui, travaille dans une petite société, comme mécanicien. Très travailleur, Il ne compte pas ses heures. Les weekends les quarte profitent du soleil pour faire quelques promenades, et le soir un bon barbecue. Bien qu’il y est une différance d’âge, elles rient, et jouent comme des enfants, les deux femmes s’apprécient sincérement.
Amandine la considère comme sa meilleure amie, elle ne fait rien sans lui demander son avis. Un samedi soir, Justin voit sortir de la salle de bain Aurèlie en petite tenue. Dès qu’elle l’aperçoit, elle se raidit et automatiquement, elle plaque une main sur son entrejambe et l’autre sur sa poitrine, en rougissant comme une pivoine. Justin reste un instant sans voix, avant de s’excuser.
Aurèlie très gênée, passe devant lui, en baissant les yeux. Lui au contraire, ne regarde que ses fesses et ses seins que seul un fin tissu protège.
Aurèlie à des formes qui ne peuvent laisser un homme de glace. Elle s’enfuit dans sa chambre, et se jette sur son lit, ses yeux s’emplissent de larmes pour elle c’est une humiliation de c’être montrée en sous vêtements devant son beau-fils.
Elle met un bon bout de temps avant de réapparaitre. C’est l’heure de passer à table, Aurèlie met les couverts, pendant que Justin serre les apéros.
Aurèlie, évite de croiser le regard de Justin. Comme d’habitude Paul est un moulin à parole, il amuse la galerie. Souvent pour taquiner sa femme, il parle de sexe. Mais ce soir il dépasse les bornes, il met en cause les performances pitoyables au lit de sa femme et ajoute qu’elle ne sait même pas faire une fellation. Cela la met très mal à l’aise, Aurèlie, se lève rouge de honte, et va se refugier dans sa chambre. Amandine secoue la tête négativement en regardant son beau-père. Elle se lève à son tour, et monte rejoindre sa belle-mère dans sa chambre.
Elle la trouve en larmes allongée sur le ventre, la tête enfouit dans l’oreiller. Amandine s’assoit sur le bord du lit et pose sa main sur son épaule. Elle lui parle tendrement, pour la réconforter. Aurèlie se redresse et se jette dans les bras d’Amandine, elle la serre très fort en se plaquant contre elle. Amandine sent contre sa poitrine, les seins de sa belle-maman appuyer fortement contre les siens. Aurèlie renifle souvent en écoutant les douces paroles réconfortantes de sa belle-fille. Amandine, lui donne un gros baiser bruyant sur la tête. Aurélie redresse la tête, et regarde avec des yeux de chien battu Amandine, qui lui couvre le visage de petits baisers, qui quelques fois dérapent sur ses lèvres.
Elle lape de sa langue agile, les perles salées qui coulent sur ses joues, les deux femmes se regardent un long moment, sans se dire un mot, seul les yeux parlent. Leurs visages et si près que leurs souffles chauds se mêlent. Amandine dépose un tendre baiser sur les lèvres d’Aurèlie, qui frémit terriblement. Les deux femmes basculent en douceur sur le lit, elles ne cessent de se regarder. La main d’Amandine glisse sur le ventre d’Aurèlie en faisant de petits cercles, et monte lentement vers le torse. Aurèlie semble hypnotisée, ses yeux humides, ne quittent pas ceux d’Amandine. Très intimidée, Aurèlie ne peut contrôler les frissons qui parcourent son corps.
La main avec douceur presse doucement un à un les lobes mammaires, et les caresse au travers du tissu. Belle-maman ne porte pas de soutien gorge car, Amandine sent sous ses longs doigts fins, les mamelons. Elle les agace l’un après l’autre, les presse doucement pour les stimuler. Aurèlie pousse de nombreux soupirs. Habilement, la belle-fille dégrafe un à un les boutons du corsage pour découvrir les seins. Ils sont magnifiques. les bouts sensibles, devenus épais, sont dressés au centre des aréoles brunes, ne demandent qu’à être agressés.
Amandine les roule entre ses doigts, les étire en regardant Aurèlie grimacer. Puis audacieusement en gobe un. Elle le suce et le tète comme un enfant qui s’allaite. Aurèlie se met à geindre doucement, cela encourage son amante qui s’empare du second mamelon et lui fait subir les mêmes outrages. les succions sont bruyantes. Pensant qu’elle aspire les mamelons, elle passe sa main sous la jupe de son amante, qui a un geste de défense, en se cabrant. Mais la caresse de la visiteuse et si douce que belle-maman ne peut y résister.
Sans savoir pour quelle raison, elle ouvre en tremblant fortement, les jambes. La main monte entre les cuisses, passe sur la culotte qui étrangement est humide. Les doigts agiles d’Amandine glisse sur la fente, s’insèrent dans le sillon en entrainant le tissu. Les intruses glissent sur le tissu, en s’approchant de la boule magique. Aurèlie souffle comme une locomotive, sa respiration s’accélère. Dès que les doigts s’emparent de sa perle, Aurèlie ne peut empêcher un gémissement sortir de sa gorge.
La boule de chair enfle de plus en plus, Amandine la travaille longuement au travers du tissu, et cela porte ses fruits. Aurèlie se cabre en geignant, elle se mord le poignet au sang en jouissant. Elle repousse brutalement son amant, se met en chien de fusil, en appuyant fortement ses mains sur sa vulve. Amandine souriante dépose un baiser sur son épaule. Aurèlie est rouge coquelicot, elle ravale plusieurs fois sa salive avant de bégayer :
-Mon Dieu, Amandine, qu’avons nous fait, mon Dieu comme j’ai honte !
Mais la belle fille sait trouver les mots pour la rassurer, elle lui dit avec douceur :
-Ma chérie, tu as besoin de tendresse, et ton mari s’y prend mal, moi je peux t’aimer comme tu le mérites, et faire de toi une femme comblée. J’avoue que tu ne me laisses pas indifférente, et en te caressant, j’ai mouillée ma culotte !
Aurèlie se redresse dépose un baiser bruyant sur les lèvres de sa belle-fille, et lui prenant la main l’entraine, rejoindre les deux hommes, qui ne cessent de boire, et de se raconter des blagues. Les deux femmes prennent place l’une en face de l’autre et reprennent ce qu’elles avec cesser. Elles ne cessent de se sourire, lorsque Aurèlie prend sur la table quelque chose, Amandine lui frôle la main, en ne la quittant pas des yeux. Belle-maman, ravale sa salive en tremblant légèrement. Elle semble heureuse, ses yeux pétillent lorsqu’elle regarde son amante. Quelque chose à changé en elle.
Après une douche, ils visionnent un film, puis montent se coucher. La grâce matinée est de rigueur. Aurélie en peignoir, est déjà levée. Elle à préparée le petit déjeuner. C’est Amandine qui apparait, sa nuisette voile à peine son corps. Elle descend les marches de l’escalier en se déhanchant comme un félin. Les deux femmes se souris. Une fois en bas de l’escalier, Amandine s’approche et enlace Aurèlie, qui frissonne. Elle la serre entre ses bras et lui murmure à l’oreille :
-Bien dormit ma chérie ?
-En basculant sa tête en arrière, Aurélie répond :
-Oh oui très bien, peut-être à cause de toi. Je n’ai pas arrêtée de penser à ce que nous avions fait hier. J’avoue que j’ai fait une chose que je ne fais que très rarement, je me suis masturbée !
Amandine s’esclaffe :
-Ouah géniale, tu te dévergondes ma chérie, oh comme j’ai envie de toi, si j’osais, je te basculerais sur la table et te dévorerais jusqu’à ce que tu demandes grâce !
Les yeux de belle-maman se mettent à pétiller, elle pousse plusieurs soupirs avant de se retourner. les deux femmes face à face, se dévisagent longuement sans dire un mot. Amandine l’enlace les souffles sont courts. D’un geste précis, Amandine fait tomber la ceinture du peignoir. lentement elle ouvre les pans, Aurèlie est nue dessous. le spectacle est si beau, que la voyeuse, reste un long moment à admirer le corps dont elle a tant envie. Sa main, doucement glisse sur la peau moite d’Aurélie, qui est secouée par des frissons incontrôlables.
La main prend plus d’audace, et glisse avec douceur sur les courbes du fessier. Aurèlie se pince les lèvres, sa respiration s’accélère. les doigts s’insèrent dans le large sillon, fait plusieurs montées et descentes entre les demi sphères charnues avant de se stabilisés, sur l’anneau ridé, qui se met à frémir. Elle fait quelques pressions sur le muscle rectal, comme pour en tester la souplesse. Elle retire ses doigts. Amandine regarde belle-maman dans les yeux et lui murmure :
-Oh comme j’ai envie de t’aimer, je suis tombée amoureuse de toi, je deviens folle, soit à moi ma chérie !
Aurélie, soupire profondément, et pour cacher son visage rouge de honte, se plaque contre elle, et répond :
-Je crois que moi aussi je t’aime, toute la nuit je n’ai cessée de penser à toi, comme je te l’ai dit, je me suis masturbée, mais pas qu’une seule fois, plusieurs fois, je t’imaginais nue devant. Depuis hier je ne suis plus la même, je ne pense qu’à toi. Mais qu’est-ce qui nous m’arrive, c’est de la folie !
Amandine lui relève le menton avec deux doigts et dépose un doux baiser sur les lèvres charnues de sa belle-mère. Elle la serre très fort, et cherche ses lèvres. Dans la bouche entrouverte d’Aurèlie, Amandine glisse habilement sa langue, et la noue à la sienne. Les langues s’enroulent comme deux serpents qui cherchent à s’accoupler. Le baiser pas simulé, ne peut être que sincère. Il dure de longues minutes, enfin pour conclure, un échange de salive abondant se fait.
Les cœurs battent la chamade, en tremblant terriblement, Aurélie prend sa belle-fille par le cou et lui rend langoureusement le baiser. Les vulves sont humides Aurélie ose passer sa main sur l’entrejambes de sa belle fille, et au travers du fin tissu, presse délicatement la vulve gorgée de cyprine. Mais un bruit, interrompt les attouchements. Rapidement les deux femmes se rajustent et prennent place à table. C’est les deux retardataires qui font leur apparition.
Ils embrassent les femmes, et s’installent pour prendre le petit déjeuner.
Linsee
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