Tout se passe normalement, les deux femmes ne cessent de se regarder, en échangeant des sourires ravageurs. Justin et son papa vont s’étendre sur un transat pour lire le journal. les deux en femmes n’en espéraient pas tant elles débarrassent la table et se rendent à la cuisine. Amandine comme une vorace se jette sur sa Aurèlie, elle peine à se contrôler. Elle l’enlace et cherche ses lèvres, les deux amantes ont les lèvres brûlantes. Le baiser fougueux, qu’elles échangent est violent. Aurélie est basculée sur la table, Amandine lui ouvre le peignoir et les jambes. Elle plaque sa bouche sur la fine toison humide, sa langue s’enfonce profondément dans le vagin, pour en fouiller chaque recoin.
Belle-maman surprise par cet assaut soudain, ne repousse pas l’agresseur, au contraire, elle ne peut retenir des gémissements, qu’elle étouffe en se mordant la main. La bouche vorace de sa belle-fille, lui dévore la vulve avec acharnement. Mais lorsque Amandine lui aspire le clito, Aurèlie pousse un gémissement, en se mordant la main jusqu’au sang. Amandine, suce la boule de chair en faisant geindre son amante, qui se cambre comme un pont, pour offrir davantage son fruit trop mûr à la bouche avide qui là dévore.
Pendant quelques minutes, Aurélie subit la bouche vorace de son amante insatiable. Et ce qui devait arriver, arriva. En poussant un long râle, Aurélie explose de jouissance. c’est si intense, que son corps se met à trembler comme une feuille au vent d’automne. Enfin Amandine la libère, en se rajustant péniblement, Aurèlie dit avec beaucoup de trémolos dans la voix :
-Amandine, Amandine, tu me rends folle, oh comme je t’aime, je ne peux vivre sans toi !
Elle l’enlace, ses gestes sont maladroits, ses mains tremblantes passent sous la nuisette et se posent sur la vulve en ébullition de son amante. Elle attrape la protubérance de chair, et avec des gestes malhabiles, elle l’agite comme elle peut. Amandine hyper excitée, explose rapidement. les doigts s’Aurélie reçoivent un jet de cyprine. Surprise, elle retire rapidement sa main. La nuisette est trempée, une petite flaque s’étend sur le sol. Amandine, en regardant sa belle-mère lui dit :
-Je ne veux plus te quitter, je veux que tu sois à moi nuit et jour, mon amour !
Aurélie l’enlace, et l’embrasse fougueusement, le baiser est rageur, les repirations bruyantes. Le bruit d’une porte les fait sursauter, rapidement, Aurélie ferme son peignoir, pendant qu’Amandine monte rapidement dans sa chambre. Après avoir pris une bonne douche, les deux femmes sont enfin présentables. Elles se préparent pour faire quelques courses. C’est bras dessus, bras dessous, qu’elles déambulent dans les rue de la ville, pour faire le plein de victuailles. Elles décident de prendre un verre, elles entre dans un café, et se placent dans un coin à l’abri des regards. Après avoir fait la commande, les deux femmes se caressent les mains, les bras. Elle sirotent doucement leur boisson.
Les deux femmes assisent l’une à côté de l’autre, se regardent amoureusement. Amandine, est la plus hardi, elle pose sa main sur la cuisse d’Aurélie, et la glisse lentement sous sa jupe. Belle-maman qui craint les regards indiscrets, rougit et dit :
-Non pas ici ma chérie, sois sage, nous ne sommes pas seules !
Sans l’écouter Amandine arrive à l’entrejambes, elle caresse la vulve au travers de la culotte qui rapidement s’humidifie. Aurélie s’agite sur sa chaise, sa belle-fille lui met le feu. Elle grimace et dit :
-Non, non, arrête, je vais jouir, non, non, assez, oh mon Dieu tu me rends folle !
En serrant les dents fortement et en plaquant se main sur sa bouche. Aurélie réussit à atténuer son gémissement de jouissance. Sa culotte est trempée, elle repousse ma main qui vient de la faire jouir. Elle avale son verre et dit :
-Partons ma chérie, tu prends beaucoup trop de risque !
Amandine la regarde et répond :
-le danger m’excite mon amour, je sais, je suis folle, mais c’est toi qui me rends comme ça, bon tu veux partir eh bien partons !
Les courses faites, les deux amantes rentrent. Les hommes, sont toujours sur les transats. En rangeant les courses, Amandine ne cesse d’agacer sa belle-mère en répétant sans cesse :
-Je te veux, je veux te bouffer !
Enfin elle la coince contre le mur et en la serrant très fort contre elle l’embrasse sauvagement, en lui caressant les fesses. Aurélie lui rend son baiser, avec autant de fougue. Soudain une voix se fait entendre :
-Papa, papa, nous sommes cocus, viens voir nos deux salopes, se roulent des pelles et se caressent !
Paul entre rapidement, les femmes se séparent. Aurélie et rouge de honte, Amandine prend la parole :
– Eh bien j’aime mieux ça, Aurélie et moi nous n’aurons plus besoin de nous cacher. Nous, nous, aimons, je sais que c’est insensé, mais nous n’en pouvons rien, je ne peux vivre sans elle, elle sans moi, maintenant vous savez tout. !
Aurélie reste sans voix, elle tremble de tous ses membres. Paul reste dubitatif un long moment, avant de dire :
-Et nous la dedans qu’est-ce que l’ont deviens, vous comptez vivre sans nous, nous quitter ?
Amandine réplique en se pinçant les lèvres:
-C’est très compliqué, mais laissez nous le temps de réfléchir !
La journée se passe tendue, pensant le repas aucun mot n’est échangé. Aurélie baisse toujours les yeux, l’atmosphère est lourde. Il se passe une chose inhabituelle, c’est Aurélie qui prend l’initiative, elle entraine son amour dans le salon, les deux prennent place sur le canapé. Elles s’enlacent, échangent un baiser fougueux. L’appel des sens est trop fort, sans se soucier des deux hommes, les deux amantes commencent à s’effeuiller en ne cessant de se regarder amoureusement. Aurélie étrangement obtempère, elle aide Amandine à se dévêtir.
Aurélie est en admiration devant le corps de sa belle-fille, là, elle peut le contempler longuement sans avoir peur d’être surprise. Elle bascule Amandine sur le canapé, et commence à lui caresser les seins, elle roule entre ses doigts, les mamelons, les étire et les presse pour faire monter la tension. Rapidement les bouts deviennent durs et épais.
Aurélie, n’est plus la même, depuis qu’elle sait que les maris sont au courant de leur amour, elle devient plus audacieuse. Elle pose sa bouche sur un mamelon et se met à le sucer. Amandine commence à geindre elle s’accroche à son amante, en lui disant des mots tendres.
Aurélie maintenant fait une chose qu’elle n’a jamais faite, elle place sa tête entre les cuisses de sa belle-fille, et donne des coups de langue redoutables sur la vulve qui rejette son jus. Elle gobe le clito, l’aspire et le tète avec de plus en plus de férocité. Amandine explose, sa jouissance et bruyante. Amandine saisit Aurélie et la bascule sur le sol, elle se met tête bêche sur elle, et mutuellement, les deux se dévore la chatte. les gémissements sont très expressifs, les bassins s’agites. Paul est au bord de la syncope, il bande comme un poney. Justin ne reconnait plus sa femme, elle s’acharne sur le corps de sa belle-mère, comme un rapace sur sa proie.
Lui aussi est dans un état d’érection monstrueuse. Son papa, sort sa verge il n’en peut plus, il dit :
-Aurélie me fait cocu, je vais la faire cocu aussi !
Il s’avance vers le couple, se place derrière sa belle-fille et sans crier gare, il lui plante sa bite dans le ventre. Amandine sursaute en poussant un gémissement. Surprise par cet assaut, délaisse un instant la chatte de son amante, comme elle ne reconnait pas la verge de son mari celle-ci, est bien plus grosse, elle tourne légèrement la tête. Elle sursaute, mais ne repousse pas son beau-père, elle grimace, en subissant ses assauts violents. Il dit :
-Oh depuis le temps que j’avais envie de te sauter, tiens, tiens prends ça, oh comme ta chatte est brulante, je vais bien te remplir de mon foutre salope !
Amandine disjoncte :
-Oui, oui, beau Papa défoncez -moi, oh putain que c’est bon !
Tout cela devant les yeux médusés de Justin, qui reste sans voix.
Amandine reprend en bouche la chatte d’Aurélie qui n’est autre qu’une fontaine. La soumise dit entre deux souffles :
-Oui, oui, Paul prends-la bien, fait jouir mon amour !
De temps en temps, Aurélie donne un coup de langue sur la verge qui voyage dans les corps de son amante. Paul est aux anges, jamais, il n’aurait imaginé qu’il posséderais la femme qui le fait cocu. il donne des coups de reins violents. Amandine geint tout en dévorant la chatte de belle-maman. Aurélie, regarde émerveillé la verge puissante de son mari défoncée la chatte de son amour, cela l’excite encore plus, elle grogne :
-Vas-y, Paul, vas-y, elle va jouir !
En effet Amandine pousse un long gémissement sa jouissance est terrible. C’est si intense qu’elle mord la chatte de sa belle-mère, qui pousse un grognement, et explose à son tour. Paul s’active enserrant les dents, enfin il se raidit est remplit le ventre de sa belle-fille avec sa semence.
Il se retire en soufflant comme un taureau, Aurélie plaque sa bouche sur la vulve qui rejette le surplus se sperme, elle l’aspire en faisant geindre à nouveau sa belle-fille. La bouche vorace œuvre férocement sur la chatte en fusion, Amandine ne peut retenir une seconde jouissance. Elle se laisse tombée sur le coté, en haletant.
Justin réagit enfin il regarde sa belle-mère jambes écartées, pour lui c’est un appel. Il se place entre ses cuisses et lui enfonce sa bite jusqu’aux couilles dans le ventre. Aurélie instinctivement s’accroche à lui et commence à geindre en agitant son bassin. la verge vigoureuse de son beau-fils, coulisse allégrement dans son ventre en lui arrachant des gémissements de bêtes blessées. les coups de reins sont violents Justin se régale il dit entre deux coups de reins :
-Oh putain ce qu’elle est bonne ta femme papa, je vais décharger dans son ventre, ouah ce qu’elle est chaude !
Une violente décharge de sperme, remplit le ventre de belle-maman qui s’agite comme une forcenée sur la queue qui la pourfend. Elle se cabre en poussant un long râle, et explose, sa jouissance est terrible, elle s’agrippe à son beau fils en marmonnant :
-Oh Justin, Justin, mon chéri prends-moi encore !
Mais Justin se retire du ventre d’Aurélie, et offre à ses lèvres charnues sa verge gluante.
Paul reste baba sa femme qu’il considère comme sans expériences sexuelles, la coquine en redemande. Elle saisit la verge d’une main, la décalotte et donne des coups de langue sur le chapeau large et épais. Bien qu’elle soit un peu maladroite, la coquine lui suce le gland, en y mettent tout son cœur. Paul yeux écarquillés, n’en revient pas, sa femme s’acharne sur le gland de Justin, en geignant de plaisir. belle-maman et vite récompensée, une giclée de sperme lui remplit la bouche. Elle doit repousser l’éjaculateur pour ne pas étouffer. Elle avale la crème onctueuse par petites gorgées. la semence épaisse, coule lentement dans sa gorge, elle geint de bonheur.
Paul est estomaqué, sa femme novice sexuellement, fait des choses qu’elle n’a jamais osée, faire avec lui.
les femmes peu à peu refont surface, elles se regardent, se sourient, et s’embrassent longuement. les deux hommes queues hors du pantalon, les regardent. Ils ne savent plus quoi faire. Paul dit :
-Au point ou nous en sommes, pourquoi ne pas faire ménage à quatre ?
Les deux femmes se regardent un peu hébétées, puis en se pinçant le lèvres, Aurélie dit :
-C’est une expérience à tenter, qu’en penses un mon amour !
Amandine en souriant répond :
-Pourquoi pas avoir toujours à disposition une bonne queue cela peut-être utile !
Les deux complices éclatent de rire, Amandine dit en regardant son amour :
– Pourquoi ne pas en profiter immédiatement, et voir si nos hommes sont capables, de nous contenter, depuis le temps que je rêve d’une double pénétration, je crois que c’est le moment de la tenter !
Aurèlie écarquille les yeux et dit :
-Tu veux dire ma chérie, deux verges en même temps dans le corps ?
Amandine répond en souriant :
-Oui c’est exactement ça que je veux dire, deux bonnes queues en même temps !
Les deux maris se regardent leurs yeux pétillent, Paul jubile sa femme à toujours refusée la sodomie, elle trouve cela humiliant et bestial. Elle reste dubitative à la proposition de son amour. les vêtements sont vite ôtés, Justin s’allonge sur le sol, et invite sa femme à venir s’empaler sur sa queue tendue vers le plafond. Amandine l’enjambe, saisit sa verge et descend lentement son corps, en dirigeant la verge vers son temple d’amour.
Lentement elle s’empale, elle fait quelques demi rotations avec son bassin pour être totalement embrochée. Aurélie, yeux écarquillés regarde le membre planté dans le ventre de son amour. Amandine se plaque contre le torse de son mari, et attend que son beau-père dégaine venir la prendre par les cul. Après avoir bien salivé sa verge et l’anus de la demandeuse. Il frotte sa verge contre l’anus. Il la maintient contre la petite porte se cramponne d’une main, et pousse. C’est en grimaçant qu’Amandine subit la pénétration anale. lentement la verge puissante s’enfonce dans son rectum sans faire une pause.
C’est une fois sa queue bien en place, que son beau-père commence le va-et-vient. les grincements de dents d’Amandine sont inquiétants, elle grimace fortement en faisant une moue affreuse. Aurélie reste yeux fixés sur le manche qui commence à faire des allers et retours dans les fondement de son amour. Elle salive abondamment, Amandine s’habitue au manche de son beau-père qui lui dilate la gaine anale. Maintenant, elle commence à geindre de plaisir. les deux verges se synchronisent, pour que l’acte soit parfait. les queues agissent comme deux pistons dans leur cylindre.
Aurélie bouche bée, ravale sa salive en stressant, les deux hommes semblent s’acharner sur leur proie, qui gémit de plus en plus fort. Un hurlement fait cabrer Amandine une violente jouissance, la fait délirer :
-Oui, oui, mes salauds, bourrez-moi bien, oh putain comme vous me dilatez mes cochons, encore, encore oui, oui, plus fort oh putain que c’est bon !
Aurélie est sans voix, elle voit son amante s’agiter férocement, sur les queues qui l’embrochent fortement. Une seconde jouissance la fait cabrer, et s’écroule sur le torse de son mari, en haletant comme une bête blessée. Ses deux amants lui pilonnent les entrailles avec violence. Ils finissent à tour de rôles, par déverser dans les orifices brûlants de la soumise, leur semence épaisse. Les trois amants restent soudés un long moment avant de se désunir. Aurélie stresse de plus en plus, elle ne peut détacher ses yeux sur les verges qui embrochent profondément son amour. Enfin les deux hommes libèrent Amandine. Elle regarde en souriant Aurélie et lui :
-Oh ma chérie, c’est magnifique, tu m’en diras des nouvelles, aller à ton tour mon amour !
Aurélie angoisse, elle dit en béguant :
-Mais jamais un engin aussi gros, ne pourra entrée dans mon anus, il est bien trop étroit, Ilva me déchirer !
En souriant Amandine lui répond :
-C’est Justin qui va te prendre par le cul, sa bite et moins grosse que celle de ton mari, mais avant ma chérie je vais te préparer !
Aurélie ravale bruyamment sa salive, Amandine la bascule sur le canapé, lui relève les jambes sur son ventre et commence avec des coups de langue bien ajustées, à lui lécher l’anus. C’est la première fois qu’Aurélie subit de tel attouchement, cela ne semble pas lui déplaire. Mais lorsque son amant lui aspire fortement l’anus, elle se cabre en poussant un long gémissement. A force d’aspirer, l’anus sort légèrement de son logement. Tant bien que mal, Amandine le suce. l’effet produit sur le corps d’Aurélie et phénoménal, elle gémit en se cramponnant au canapé, elle marmonne :
-Oh mon Dieu, mon Dieu, c’est démentiel ce que tu me fais ma chérie, tu me tues !
La pointe de la langue s’enfonce dans l’anus de deux ou trois centimètres. Aurélie défaille :
-Amandine, Amandine, ma chérie, c’est atroce je meurs, oh mon Dieu, je vais jouir !
Aurélie se cambre fortement, et pour la première fois de sa vie jouit analement. Amandine en profite pour lui dévorer le clito sauvagement, et la faire jouir une seconde fois. Enfin elle se redresse et dit :
-Justin, prend ta belle-mère par le cul, elle est prête, vas-y doucement, c’est sa première fois !
Justin s’avance, il regarde longuement l’orifice qu’il doit investir. l’anneau qui vient d’être très sollicité par Amandine, est secoué par de nombreuses contractions. Justin se décalotte el gland et le place contre le muscle rectal. Il pousse, une résistance se fait ressentir. Il s’accroche aux hanches de belle-maman et pousse plus fort.
L’anneau cède, et la verge s’engage dans la gaine étroite. Aurélie pousse un hurlement qui fait sursauter Amandine, qui doit lui venir en aide. Elle pose sa main sur le clito de son amour et le saisit entre son pouce et son index, elle commence un branlage qui prend de la vigueur. la bouche d’Aurélie et déformée par un rictus affreux, une douleur presque insoutenable lui tenaille les entrailles. Elle se cramponne au canapé en grimaçant terriblement. Lentement la verge du beau-fils s’enfonce lentement dans la gaine étroite qui se dilate, en enveloppant la verge parfaitement.
Avec précaution, Justin enfonce son mandrin dans le rectum de sa belle-mère qui rugit comme un fauve tombé dans un piège. Peu à peu il prend possession des lieux. Il reste un moment sans faire de mouvement. Il faut que belle-maman s’habitue à l’engin qui lui dilate le rectum. Amandine ne cesse de lui agiter le clito, elle dit tendrement :
-C’est bien ma chérie, tu l’as toute toi, crois moi, ta jouissance va être exceptionnelle !
Justin commence le va-et-vient, il s’accroche à sa belle-mère en accélérant le rythme. Maintenant Aurélie prend du plaisir, son visage se détend, les grimaces qui déforment son visage, peu à peu disparaissent. Les coups de reins deviennent plus redoutables. A chaque enfoncement du pieu dans le corps, les couilles bien pleines de semence, viennent frapper lourdement les fesses d’Aurélie, qui geint de plus en plus fort. Elle agite sa croupe avec plus de vitesse, grogne comme un fauve, puis se libère, elle cambre fortement est explose. Sa jouissance anale est terrible, un jet de cyprine est expulsé de sa chatte avec force.
Amandine lui écrase fortement le clito, une seconde jouissance, fait hurler Aurélie. Justin enfin se soulage dans l’intestin de sa belle-mère, qui râle comme une bête blessée. Elle sent le sperme couler dans son corps cela la rend euphorique :
-Oh mon dieu, Amandine, mon amour, je viens de me faire déflorer le cul par mon beau-fils, c’est merveilleux, oh le cochon m’a remplit de foutre !
Amandine lui sourit et répond :
-C’est magnifique comme tu jouis du cul ma chérie, maintenant tu es prête pour la double pénétration !
Justin se retire, il regarde le trou béant, rejeter le surplus de sperme. Il est souriant et content de lui, il vient d’enculer sa belle-mère jusqu’à l’orgasme, et cela le rend fier. C’était inconcevable il y à peu de temps, mais le miracle a eu lieu, il à défoncé belle-maman. Il s’allonge sur le sol, et attend un moment que sa belle-mère reprenne ses esprits, avant qu’elle ne vienne s’empaler sur sa queue, toujours opérationnelle.
Amandine, aide son amour à descendre du canapé et à enjamber Justin. Aurélie descend lentement son corps, c’est Amandine qui dirige la verge gluante vers la chatte dégoulinante. Elle s’empale doucement dessus. Amandine pas satisfaite, lui pèse fortement sur les épaules pour que l’empalement soit total. En poussant un gémissement, Aurélie, reçoit la bite de son beau-fils, jusqu’aux couilles dans le ventre.
Paul regarde l’anus encore ouvert de sa femme, il est souriant car c’est la première fois qu’il va investir le petit trou qu’elle lui a toujours refusée. Il place sa verge contre l’anus palpitant et pousse. La pénétration est un peu douloureuse car le bougre est mieux membré que son fils. Mais heureusement, Justin lui a bien dilaté le cul. Lentement il occupe la gaine anale avec son membre fortement veiné, qui est gorgé de sang.
Aurélie, grimace, elle sent bien les deux membres en elle, la paroi qui sépare les orifices, est si fine, qu’Aurélie à l’impression que les deux verges sont dans la même ouverture. Elle serre les dents, en s’accrochant à Justin. Les deux hommes commencent à s’agiter. Peu à peu, la synchronisation se met en place, Aurélie étrenne une première sodomie, et une première double pénétration, dans un lapse de temps réduit. Cela fait sourire Amandine qui l’encourage:
-Oui, ma chérie donne-toi entièrement, joui, joui, mon amour !
Bien que dilatée fortement, Aurélie commence à prendre du plaisir, sous les coups de reins de ses amants. Ses gémissements maintenant, sont plus rauques, sa bouche est grande ouverte un filet de bave s’échappe à la commissure de ses lèvres. Les deux hommes la travaillent jusqu’à ce qu’elle explose, sa jouissance est grandiose, elle ne cesse de s’agiter sur les deux queues, qui inlassablement, lui labourent les entrailles.
Elle reçoit un flot de sperme dans chaque orifice, une nouvelle jouissance la fait hurler. Elle s’écroule sur le torse de son beau-fils, en haletant comme un sprinteur en fin de course.
Depuis ce jour, les femmes acceptent l’amour pluriel, qui devient presque quotidien.
Linsee
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