Après sa douche, Manon monte se coucher. En passant dans le couloir, elle entend des bruits incongrus. La porte de la chambre de ses parents, par inadvertance, est restée entrouverte. Curieuse, elle passe la tête par l’ouverture et se qu’elle voit, la tétanise. Sa maman, Lucette, à quatre pattes sur le lit, se fait prendre en levrette par Marc, son papa. Le bougre la défonce en la faisant geindre comme une bête. La maman accrochée aux draps agite sa croupe en grimaçant.
Manon, regarde avec intérêt la verge puissante de son papa, faire des allers et retours dans le ventre de sa maman. La femme soumise, geint de plus en plus fort, elle dit entre deux souffles :
-Vas-y, mon chéri, vas-y, ça vient, ça vient !
En se cambrant comme un pont, Lucette explose de jouissance. C’est si violent qu’elle s’écroule sur le lit en se désaccouplant de son mari. Manon écarquille les yeux, la verge de son papa semble monstrueuse. le bougre n’a pas eu le temps de lâcher sa semence dans sa femme, il dit en grognant :
-Suce-moi, suce-moi !
Lucette se redresse et saisit la verge tendue, elle décalotte le gland et le gobe. Elle suce et tète l’engin en poussant des gémissements étouffés. Marc agite doucement son bassin en l’encourageant :
-Oui, oui, ma chérie, continue, oh putain ce que tu es bonne !
Manon, ne quitte pas des yeux la bouche de sa maman, qui s’active sur le gland de son papa. Soudain, la maman assidue, reçoit sa récompense. Marc lui envoie dans la bouche sa semence …
… épaisse. Lucette manque d’étouffer tellement la décharge est abondante, elle repousse brutalement son mari. Elle se pince les lèvres, un filet de sperme s’échappe à la commissure de ses lèvres. Ses yeux brillent, elle regarde son mari, qui lui dit :
-Avale, ma chérie, avale !
Par petites gorgées, Lucette, avale la semence visqueuse. Elle ouvre largement la bouche pour montrer à son mari qu’elle à bien tout avaler. Manon mouille comme un ruisseau, sa culotte est trempée, elle rebrousse chemin de peur de se faire surprendre.
Une fois sur son lit. Elle retire sa culotte trempée, la jette sur le plancher, retrousse sa nuisette, et saisit son clito. Le bougre est déjà gonflé de désir. Elle le travaille pour obtenir une jouissance hors norme. Plusieurs masturbations sont nécessaires, pour calmer le feu qui lui brule les entrailles. C’est apaisée, qu’elle s’endort.
Le lendemain matin, elle se lève, la bonne odeur du café vient lui taquiner les narines. Elle descend l’escalier en balançant son bassin avec la souplesse d’un félin. Sa courte nuisette transparente, faute de culotte, laisse apercevoir son intimité. Le papa, la maman, qui prennent leur petit déjeuner, la regardent en souriant. À chaque descende des marches de l’escalier, sa nuisette remonte fortement en dévoilant une partie de la fine toison. Marc ravale sa salive, des idées salaces lui traversent l’esprit. Il a tellement honte de lui, qu’il n’ose plus regarder sa fille.
Elle embrasse ses parents, avec ce qu’elle a vu la veille, la coquine se permet de toiser son papa de haut. Elle prend place à table, et prend son petit déjeuner. En regardant son papa, elle ne peut s’empêcher, de revoir sa verge puissante, voyager dans le ventre de sa maman.
Émoustillée par les images, elle décide de le chauffer. De temps en temps, il lui lance un petit sourire en la regardant. Son sang se met à bouillir dans ses veines, ses yeux posent sur la poitrine de sa fille. Il voit à travers la nuisette, les mamelons appuyer sur le fin tissu, comme pour le percer. Plusieurs fois, Marc ravale sa salive. Lentement, sa verge prend du volume.
Les bougres de mamelons, semblent larges et bien épais. L’imagination du papa devient fertile, ses idées malsaines, refont surface. Soudain, Marc, sursaute, il sent sous la table le pied de sa fille lui caresser le mollet. Il reste un moment figé, il lève les yeux vers sa fille, qui le foudroie du regard. Le pied s’insère entre ses jambes et monte lentement. Marc serre les poings, il soupire plusieurs fois, mais n’ose pas réagir, car sa femme est juste à côté de lui. Manon devient plus audacieuse, son pied force les genoux de son papa, et glisse entre ses cuisses.
Les orteils viennent en contact avec la verge emprisonnée dans le pantalon. Vicieusement, la coquine agite ses orteils, en taquinant le membre plein de vie. La verge prend encore du volume, elle devient douloureuse. Discrètement, Marc repousse le pied, se lève, très perturbé. Il se dirige vers le salon en cachant son érection comme il peut, et prend place dans un fauteuil. Manon avale son café et se rend, elle aussi, au salon. Elle s’assoit sur les genoux de son papa, le prend par le cou et le regarde droit dans les yeux, elle sent sous ses fesses la verge dure comme du bois. Avec malice, elle ondule du bassin.
Elle lui souffle à l’oreille :
-Tu bandes petit coquin, tu aimerais enfoncer ta queue dans ma chatte, hein gros cochon, avoue !
En rougissant, Marc répond :
-Tu es folle Manon, cesse ce petit jeu, je t’en prie, c’est malsain !
Pour toute réponse, la coquine s’agite encore plus sur les genoux de son papa, et finit par dire :
-J’aie vu hier soir, hum ta bonne queue forait maman. Je veux que tu me fasses la même chose !
Manon se lève et sans aucun scrupules, presse fortement la verge de son papa, qui se cabre en grimaçant. Il réplique :
-Manon, tu dérailles, jamais, je ne pourrais faire ça avec toi, tu te rends compte de ce que tu me demandes, tu as pensé à, ta maman !
Sans se démonter, elle répond :
-Je veux que tu me fasses jouir comme elle, d’ailleurs, tu en meurs d’envie, tu bandes comme un poney !
Elle ressaisit la verge et l’agite tant bien que mal à travers le pantalon. Marc se cambre, mais ne repousse pas la main audacieuse, qui agite son manche emprisonné dans un carcan de tissu. Malheureusement, Manon doit cesser, car elle entend sa maman arriver. Marc saisit un journal et le pose sur la bosse qui déforme son pantalon.
Manon se place en face de son papa. La coquine savoure, la gène, qu’elle cause à son papa. le bougre la regarde en ravalant sa salive.
Lucette, qui vient d’entrer dans la pièce, dit :
-Ma chérie, je te conseille d’habiller, ce n’est pas sain de rester en nuisette, et si on te surprenait !
En souriant, elle dit, je vais me changer maman, n’es crainte, d’abords, il n’y a que nous ici !
La maman répond en souriant :
-C’est déjà de trop ma chérie !
Puis, Lucette monte faire les chambres. Manon se lève et en se plantant devant son papa, et en souriant remonte sa nuisette. Elle dit :
-Alors ce n’est pas tentant une petite chatte comme la mienne, si tu veux, elle est à toi mon petit papounet !
Marc reste scotché sur la vulve aux fines lèvres bien dessinées. Il hoche la tête négativement, en disant :
-Ma fille est folle, ma fille est folle !
Elle s’approche de son papa, s’agenouille face à lui, est sans aucune gêne, lui dégrafe la braguette. Comme tétanisé, Marc ne bronche pas. Manon extirpe du pantalon la verge qui se dresse comme un mat. Elle la saisit, la branle un instant avant de la décalotter. Elle l’observe un moment, et donne quelques coups de langues sur le gland qui suinte. Sa langue en fait plusieurs fois le tour, avant que la coquine ne le gobe. Elle suce comme une déesse, Marc geint comme une bête malade. La bouche s’acharne sur le gland en arrachant au papa des gémissements d’agonisant.
La persévérance de Manon paie, elle reçoit une formidable giclée de sperme dans la bouche. Elle recrache le gland, regarde son papa dans les yeux et comme sa maman avale jusqu’à la dernière goutte, et comme elle, ouvre la bouche pour montrer qu’elle a tout avalée. Rapidement, elle enjambe son papa, et s’empale sur sa verge gluante. Elle s’agite comme une forcenée, en geignant fortement. Son corps souple, ondule sur le pal qui lui fore le ventre. Manon, en quête de jouissance, s’agite de plus en plus vite. Une violente jouissance la fait hurler.
Marc ne peut retenir sa semence plus longtemps, il remplit le ventre de sa fille en marmonnant :
-Oh ce que tu es bonne ma chérie, comme ta chatte est brulante !
Enfin, les deux amants se séparent. Manon dit :
-Papa, lorsque chaque fois que maman sera absente, je veux être ta chose, promets-le !
En souriant, Marc répond :
-Ma chérie, bien que cela me coûte, tu seras mon vide couilles !
Linsee
























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