13. Introspections variées
Le temps s’est écoulé. Une demi-heure, une heure, peut-être. Patrick ne sait guère trop, mais quand il se réveille, il constate que les deux garçons d’à-côté ont repris leurs activités indécentes. Alain s’est également réveillé et semble être fort intéressé par ce qui se passe. Cela n’est pas sans inquiéter son ami car l’un des deux s’est placé à quatre pattes tandis que l’autre vient derrière lui et commence par lui caresser les fesses, puis il lui introduit d’abord un doigt dans le cul, puis sa bite bien raide.
Patrick laisse alors échapper un léger murmure d’appréhension, ce que remarque Alain.
— Tu voudrais faire comme eux ?
— Non. Franchement, je n’ai pas vraiment envie de me faire sodomiser.
— Je comprends. Mais moi, j’aime bien, de temps en temps, ressentir que l’on me pénètre.
— Vraiment ?
— Oui. Mais cela dépend du partenaire. Avec toi, par exemple, ça me plairait bien.
— Tu es sûr ?
— Les voir en train de s’enculer, ça me donne vraiment envie de sentir ta bite dans mon cul.
— Après tout… Si ça peut te faire plaisir… Je ne suis plus à ça près. Tu as des préservatifs, j’espère ?
— Bien sûr ! Tiens.
Alain se met alors à quatre pattes pour que son ami puisse le prendre en levrette. Patrick se place alors derrière lui et enfile le préservatif sur sa bite déjà en érection. Tout en regardant le cul de son ami, il est en train de se dire que c’est la première fois qu’il va enculer un autre mec. Mais après tout, cela ne doit guère être différent d’une femme. N’ayant guère envie de mettre ses doigts dans l’anus de son partenaire, il y place directement son sexe encapuchonné. Heureusement pour lui, Alain semble habitué à cette pratique et il n’a pas de grands efforts à faire pour parvenir à s’introduire en lui, même sans lubrifiant. Les premiers allers-retours sont assez fastidieux, Patrick hésitant à pénétrer à fond son ami. Mais suite aux encouragements de ce dernier, son mouvement prend progressivement de la vitesse, de l’ampleur et de l’assurance. Le plaisir commence à monter en lui tandis qu’il tient son ami par les hanches tout en le bourrant furieusement.

À côté d’eux, Lise observe ceci, autant étonnée qu’émerveillée. Elle ne peut s’empêcher de partager son impression avec Catherine.
— Je n’aurais pas cru qu’il le ferait.
— Comme quoi… tout arrive !
— Ils me donnent envie…
— On remet ça ?
En guise de réponse, Lise s’approche de son amie et commence à la caresser. Rapidement, les deux jeunes femmes se placent sur les genoux, face à face, et commencent à se masturber mutuellement tout en s’embrassant et en observant les deux couples d’hommes occupés à s’enculer à côté d’elles.
Les deux jeunes sont certainement intimes, car ils n’ont pas mis de préservatif. Le premier ne tarde pas à jouir dans le cul de son copain. Ils échangent alors leurs places. Patrick, qui pour sa part a enfilé une capote, sent venir l’imminence de sa jouissance et il choisit d’en faire part à son ami. Alain trouvant qu’il serait dommage de laisser tout ce bon sperme se perdre au fond d’une capote, préfère que Patrick se retire de son cul et lui éjacule dessus, invitant également les deux femmes à se joindre à lui.
Lise et Catherine viennent donc se placer de part de l’autre de lui. Tous les trois accroupis, juste au niveau de la bite de Patrick qui est en train de se branler face à eux. Alain profite que les deux femmes ont les cuisses écartées pour leur introduire deux doigts chacune, ce qu’il n’a aucune difficulté à faire tant elles mouillent à force de se caresser. Patrick ne résiste par longtemps à cette scène perverse et il éjacule soudainement et abondamment sur sa femme et ses amis, orientant sa bite pour répartir équitablement son sperme entre tous.
Finalement, Patrick s’accroupit avec ses amis, tout le monde se lèche le visage et s’embrasse, s’échangeant le sperme, hommes comme femmes, tout en se caressant mutuellement le corps et le sexe.
Après avoir rincé leur visage dans l’eau fraîche de la rivière, ils s’allongent à nouveau. Ils ont tous besoin de récupérer de leurs émotions avant de reprendre la route. Pendant ce temps, les deux garçons renfilent leurs shorts et reprennent leur navigation.
Les meilleures choses ont une fin, il est temps de repartir car il y a encore pas mal de chemin avant de revenir au point de départ. Tout le monde se rhabille alors, ce qui est rapide puisque personne ne porte de sous-vêtements. Quelques minutes plus tard, ils ont repris leur route sous le soleil qui tape toujours aussi fort.
Marchant seul avec Alain, Patrick vient de raconter à son ami le souvenir de jeunesse dont il avait déjà fait part à sa femme la veille. Cette histoire troublante ne manque pas de stimuler la mémoire d’Alain, des expériences anciennes lui reviennent aussi à l’esprit.

— Les souvenirs de jeunesse restent toujours gravés dans la mémoire. Moi aussi j’en ai eu un assez marquant.
— Ah oui ? Raconte.
— J’étais au lycée à l’époque. Notre prof d’anglais ne mettait jamais de soutien-gorge. En été, elle portait souvent des chemisiers clairs, et l’on devinait bien ses seins par transparence. Je n’ai jamais trouvé les cours d’anglais aussi intéressants qu’à cette époque. Quand elle se penchait vers nous pour nous aider, si elle portait un vêtement assez décolleté, on pouvait avoir une vue plongeante sur ses seins en liberté. Je pense que c’est depuis cette époque que j’ai une passion pour les femmes qui ont les nichons en liberté.
— J’aurais bien voulu avoir une prof d’anglais comme cela !
— Je comprends. Mais je ne t’ai pas encore tout raconté. Après le bac, j’ai continué sur un BTS, et je l’ai eue à nouveau en cours d’anglais. Vers la fin de l’année, elle avait proposé de dispenser des cours de soutien aux élèves qui le souhaitaient. Comme j’adorais assister à ses cours, je me suis immédiatement inscrit.
Après avoir ménagé un instant de silence, il reprend son récit.
— Le cours était prévu un samedi après-midi, chez elle, pour pouvoir regarder les chaînes anglaises de télévision par satellite. Quand je suis arrivé, j’ai réalisé que j’étais seul. Elle était vêtue d’une grande robe de crêpe blanc qui lui arrivait aux genoux. Je l’ai suivie jusqu’au salon. Tandis que je posais mes affaires sur la table, elle est passée devant une baie vitrée, sa robe de crêpe, très légère, m’a permis de tout voir par transparence. Non seulement elle ne portait pas de soutien-gorge, comme d’habitude, mais j’ai aussi pu deviner qu’elle ne portait pas de culotte non plus !
— Ça me rappelle la tenue vestimentaire de nos femmes.
— Exactement ! Je devinais même le triangle de ses poils pubiens, il était bien visible puisqu’elle était brune. On a commencé par travailler l’écrit. J’étais assis à la table, elle était toujours assez près de moi, sur le côté ou derrière. J’avais comme l’impression de ressentir le contact de ses seins dans mon dos, je sentais l’érection venir. Ensuite, elle m’a proposé de regarder la chaîne d’infos Sky News pour que je m’entraîne à l’anglais parlé. Je me suis assis sur le canapé, elle est venue s’asseoir à son tour après avoir pris la télécommande en main, sa robe remonta alors, dévoilant une partie de ses cuisses. Je sentais mon sexe se durcir. C’est alors qu’il s’est produit un truc dingue !
— Quoi donc ? Raconte !
— La télécommande du récepteur satellite ne voulait pas fonctionner, elle a essayé de retirer les piles mais celles-ci se sont éjectées de la télécommande et sont tombées devant moi. Je me suis mis à genoux pour les ramasser puis me suis tourné vers elle. J’ai alors pu profiter de la plus belle vue que je pouvais espérer. Ses cuisses étaient légèrement entrouvertes, je pouvais voir sans grande difficulté la fente de son sexe, qui était épilé, ainsi que son triangle pubien, brun et touffu. Mon regard ne parvenait pas à se décoller de cette vision merveilleuse, j’ai quand même essayé de la regarder dans les yeux tandis que je lui rendais les piles. En tout cas, est-ce que je tremblais de trop ou l’avait-elle fait exprès, mais les piles sont tombées à nouveau, et cette fois-ci sur le canapé, juste entre ses cuisses.
— Il faut le faire ! Personnellement, je pense qu’elle l’avait fait exprès.
— C’est bien possible. Du coup, elle a écarté encore plus les cuisses pour essayer de retrouver les piles. Moi, je ne voyais que la fente de son sexe de plus en plus visible. Elle m’a alors demandé si je les voyais. J’ai dit que oui et j’ai machinalement avancé la main pour les récupérer. Elle s’est alors avancée soudain et ma main est arrivée directement en contact avec son sexe.
— Là, elle l’a fait exprès !
Alain acquiesce.
— C’est certain. D’ailleurs, elle n’a pas cherché à reculer, bien au contraire, elle a même saisi mon bras pour que je ne puisse pas le reculer et s’est introduit le bout de mes doigts entre ses lèvres intimes. Son sexe était chaud et tout mouillé. Quant à moi, je bandais comme un fou. Elle m’a fait me lever et a immédiatement remarqué la bosse dans mon pantalon. Sans me laisser le temps de réagir, elle a ouvert ma braguette et fait sortir mon sexe qui s’est immédiatement redressé. Nous nous sommes alors masturbés mutuellement tout en restant debout, elle avait posé un pied sur le canapé pour bien ouvrir son sexe. J’étais très excité et je n’ai pas tardé à jouir. Je lui ai éjaculé dans la main ainsi que sur sa robe. Cela ne l’a pas contrariée, bien au contraire. Elle s’est rapidement léché les doigts, puis elle a retiré sa robe. Et j’ai enfin pu la voir complètement nue, elle était magnifique. Elle m’a alors demandé de me déshabiller aussi et de la faire jouir à son tour, ce que j’ai accepté de faire avec plaisir. J’avais l’impression de rêver, je pouvais enfin caresser et lécher ces seins que je voyais régulièrement depuis plusieurs années, j’avais fantasmé de cette situation tant de fois tout en me masturbant le soir, et cette fois-ci, c’était pour de vrai ! Mais ce qu’elle voulait surtout, c’était que je m’occupe de son sexe. Alors je l’ai léchée, je lui ai introduit des doigts tout en lui suçant le clitoris. Elle me disait ce qu’elle voulait et je le faisais. Ça a dû durer une bonne demi-heure, je ne voyais pas le temps passer tellement j’appréciais faire cela. Elle gémissait de plus en plus fort, m’indiquant très clairement l’intensité du plaisir que je lui procurais. Elle a fini par jouir, tout en criant bruyamment son plaisir.
— Et puis ?
— Elle m’a proposé de prendre une douche. En fait, nous avons pris la douche ensemble et nous nous sommes lavés mutuellement, ce qui commençait déjà à m’exciter à nouveau. Une fois séchés, nous sommes allés dans sa chambre, je pense qu’elle était célibataire. Et nous avons fait l’amour ensemble, c’était ma première fois. À cette époque on ne parlait pas des MST, comme elle prenait la pilule, je n’ai pas eu à mettre de préservatif et j’ai joui en elle. Il était déjà tard, c’est fou comme le temps passe vite quand on s’amuse bien. Je suis rentré chez moi avec l’espoir fou qu’elle me rappelle pour que l’on recommence, mais non, cela ne s’est jamais reproduit. Je suppose que chaque samedi, elle devait inviter un nouvel élève chez elle.
Patrick ne peut s’empêcher de laisser échapper un soupir.
— Que d’émotions ! J’en ai même une érection !
Alain n’hésite pas une seconde, il porte sa main sur le short de son ami pour y tâter son sexe.
— Effectivement, je constate que mon histoire t’a fait de l’effet. Tu veux que je te suce ?
— Encore ? Mais tu ne t’intéresses qu’à ma bite ! Attention, tu vas devenir pédé !
— C’est déjà un peu le cas, puisque je suis bisexuel. Mais si tu préfères, je demande à ma femme.
Il se tourne alors vers elle et lui propose, le plus simplement du monde.
— Chérie, est-ce que tu veux bien sucer Patrick, je crois qu’il en a grand besoin.
— Avec plaisir. Mais Lise préférerait peut-être le faire elle-même.
Cette dernière la rassure immédiatement.
— Pas de souci, je te laisse mon mari, d’ailleurs je me ferai un plaisir de m’occuper du tien.
Sans plus attendre, les deux hommes s’écartent du chemin et baissent leurs shorts, leurs sexes sont déjà à moitié en érection, suite au récit d’Alain. Les deux femmes s’accroupissent devant eux et commencent à les sucer avec application. Sérieusement excités, ils ne tardent pas à leur éjaculer dans la bouche. Les deux femmes se tournent alors l’une vers l’autre et s’embrassent, la bouche pleine de sperme, tout en se masturbant mutuellement. Quant à Alain, il s’accroupit face à son ami pour lécher le sperme qu’il a encore sur la bite. Patrick ne pouvant s’empêcher de ronchonner.
— C’est plus fort que toi, tu ne peux pas t’en empêcher.
— Il fallait bien te nettoyer le sexe, non ? D’ailleurs, regarde, le mien aussi est tout gluant !
Patrick sourit malgré lui.
— Et tu veux que je te le nettoie ?
— Pourquoi pas ?
— Bon… C’est bien pour te faire plaisir.
Patrick lèche alors à son tour le sexe de son ami et tout le sperme qui est dessus tandis que leurs femmes sont en train de jouir sous l’effet de leurs caresses mutuelles.
Enfin calmés, ils réalisent alors qu’un groupe de marcheurs semble arriver au loin. Les deux hommes remontent en vitesse leur short et referment leur braguette. Quant aux deux femmes, c’est plus facile pour elles, puisqu’étant en jupe et ne portant pas de sous-vêtements, elles n’ont qu’à se relever pour retrouver une apparence convenable. Ils reprennent alors leur route. La fatigue commençant à se faire sentir, et ce genre de pause libertine augmentant encore plus l’épuisement, ils décident de ne plus s’arrêter avant la fin du parcours.
La fin de l’après-midi est proche quand ils arrivent enfin en vue de la voiture. Les dernières centaines de mètres sont toujours les plus dures, mais ce sont les dernières !
L’eau de la fontaine, bien que fraîche, est d’un grand réconfort. Ils s’en aspergent le visage allègrement, ainsi que le cou et les bras. Les hommes commencent à éclabousser leurs femmes qui ripostent immédiatement. La bataille s’engage et ils ne tardent pas à être tous trempés de la tête aux pieds. Les deux femmes réalisent alors que leurs débardeurs mouillés sont devenus presque transparents, leurs poitrines étant nettement visibles et leurs tétons pointant fièrement sous l’effet de l’eau fraîche.
Malgré cette situation excitante, tous préfèrent remonter en voiture et retourner directement au camping, pressés de pouvoir enfin prendre une bonne douche, puis se reposer un peu. Après tout, la journée n’est pas encore terminée, il faut garder encore quelques forces pour la soirée. Patrick et Lise ont beau être habitués aux marches à pied, l’exercice d’aujourd’hui était d’un tout autre genre. Complètement épuisés, ils ont juste le temps d’ôter leurs vêtements avant de s’allonger sur leur lit, le sommeil les gagnant en quelques instants.
La suite demain même heure !
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